La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 326)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 326) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 326)
Suite de l'épisode précédent N°325 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -

L’esclave brittany, contrite et penaude, se positionne tant bien que mal à quatre pattes, étant obligée de se déplacer par à-coups pour pouvoir se tourner et suivre le premier esclave mâle qui vient de prendre la laisse commune en main et de les positionner suivant les consignes de Monsieur le Marquis. Le deuxième esclave mâle met des bouchons d’oreille sur chacune et noue des foulards sur les yeux des deux jumelles. Se positionnant tous les deux, derrière la chienne-siamoise, ils la font avancer à coups de cravache, la faisant changer de direction régulièrement en frappant de petits coups sur le côté des cuisses et non sur la croupe. Les deux jumelles se déplacent difficilement, ayant totalement perdu le sens de l’orientation, ne pouvant se diriger, ni au bruit, ni à la vue, devant pour autant chercher à coordonner leurs mouvements pour pouvoir avancer. Elles ont encore plus de mal à s’adapter aux ordres qui leur sont donnés juste à l’aide de coups de cravache sur les fesses pour avancer et sur l’une des cuisses pour tourner, que les deux esclaves mâles, sur les ordres malicieux du Marquis d’Evans, s’amusent un peu à les faire tourner en bourrique par des ordres contradictoires tapant sur les deux cuisses à la fois, sachant que chacune des jumelles va vouloir chercher à obliquer de son côté. Plusieurs personnes qui se sont regroupées pour profiter du divertissement, que suivent aussi avec attention les deux Dominants, plaisantent allégrement de la maladresse des deux pauvres siamoises en bien mauvaise posture, et qui se sont effondrées à même le sol à plusieurs reprises, ayant du mal chaque fois à se remettre en position à quatre pattes, car elles doivent se relever absolument ensemble.

- Cher ami, je vous avoue que votre duo de soumises siamoises reste assez fascinant et ce petit amusement est fort à mon goût. Je pense que votre esclave brittany aura largement retenu la leçon après cet intermède, que je vous encourage à renouveler encore plus durement si ce n’était pas le cas après cette première sanction. Il m’est arrivé souvent d’attacher et de faire copuler certains de mes esclaves entre eux pour le plaisir que je prends à les voir obéir à la moindre de Mes exigences, mais je trouve votre idée concernant des jumelles les plus banales à les transformer en siamoises très étonnante. En matière de jeux D/s, toutes les fantaisies sont possibles. Mais, qu’en est-il question plaisir sexuel, car je suppose que si vous avez doublé le nombre d’orifices disponibles, cela ne doit pas être toujours pratique pour en disposer à votre guise.
- Détrompez-vous, Edouard, je trouve même cela terriblement excitant de pouvoir profiter de l’une et de priver l’autre de tout plaisir quand il me chante. Il y a un petit côté pervers et sadique, je l’avoue, à attiser sans cesse à la fois leur jalousie, mais aussi leur complicité et la cohésion que cela implique. De toute manière, elles sont détachées et ne deviennent « une » que le WE lorsque je les récupère dès le vendredi soir, car le reste de la semaine, elles ont une activité professionnelle normale et une vie sociale indépendante même si elles restent toutes les deux très proches l’une de l’autre, ce qui est le cas de beaucoup de vrais jumeaux. En ce qui me concerne, j’ai réparti les tâches, la siamoise de droite est celle qui peut écrire et faire plus de tâches matérielles, celle de gauche est donc celle qui a seule le droit de me répondre si je pose une question, quand elles ne sont pas bâillonnées bien sûr. Je m’amuse à les intervertir régulièrement pour complexifier et renouveler le jeu, ce qui me donne aussi l’occasion de trouver de bonnes raisons de les punir quand elles se trompent, mais je sais qu’elles apprécient, tant l’une que l’autre au vue de leurs multiples excitations, et leurs désirs communs à me satisfaire pleinement dans notre relation D/s à trois.

Le Marquis d’Evans prend le temps de terminer sa coupe de champagne tout en ne perdant pas des yeux les deux jumelles qui font une distraction appréciable, pour les convives qui ne manquent pas de ponctuer leurs maladresses de rires et moqueries, ajoutant le geste à la parole pour tourmenter encore plus les deux pauvres malheureuses qui sont aussi pelotées par plusieurs mains inquisitrices qui n’hésitent pas à leur pincer les seins et à fouiller leurs intimités. Le Châtelain se retourne vers Sir Akhen-Aton, avec un sourire coquin et pervers, haussant les sourcils et relevant le menton, car une idée vient de lui traverser l’esprit.

- Cher Ami, que diriez-vous si nous les faisions maintenant arrêter de marcher et organisions un accouplement multiple. La plupart des femmes ont le fantasme d’être prises par deux ou trois hommes en même temps. Combien de queues pensez-vous que nous pourrions faire entrer dans les multiples trous de votre esclave. Le challenge est ouvert, je vais faire venir plusieurs de mes esclaves qui seront plus que ravis de faire un peu de contorsion si je les autorise à pouvoir enfin sortir leur nouille de la cage dans laquelle elle se trouve enfermée.
- Edouard, Vous avez toujours des idées de génie, digne du Grand Maître D/s que Vous êtes, que nous sommes si nombreux à admirer pour Vos capacités incontestables de Dominant, Votre grande sagesse, mais aussi Votre imagination sans borne que nous retrouvons également dans Vos écrits, car je suis aussi pour ma part, un lecteur assidu de Vos magnifiques œuvres, tantôt nous parlions de mythologie et bien sachez comme j’aime lire votre histoire des 12 servitudes d’Hélène !… Mais revenons à votre idée et au risque de vous décevoir, je ne suis pas sûr que Vous puissiez concrètement arriver à utiliser en même temps tous les six trous de ma brittany.
- Je relève le défi, très cher. Si j’échoue, je vous laisserai en gage mes six mâles qui se seraient révélés incompétents pendant une semaine pour que vous puissiez en disposer comme il vous plaira, que ce soit sexuellement ou même pour des tâches plus bassement matérielles.

Le Marquis d’Evans tape dans ses mains en direction des deux esclaves mâles qui font encore serpenter sous leurs yeux les deux jumelles de plus en plus harassées.

- STOP ! Cette petite chienne-siamoise doit avoir assez chaud aux fesses vu la couleur rouge de ces deux postérieurs. Je pense aussi que la punition aura servi de leçon à cette esclave qui ne faisait pas assez attention à respecter les exigences de son Maître, qui aura toute la latitude de poursuivre le châtiment si nécessaire.

Les deux esclaves mâles s’exécutent immédiatement reposant leur cravache et lâchant la laisse de brittany qu’ils déposent au sol. Le Marquis d’Evans toujours confortablement installé dans son fauteuil fait signe aux deux esclaves pour qu’ils retirent sans tarder les deux foulards, les quatre bouchons d’oreille et les deux baillons-boule. Les deux jumelles sont presque étourdies de retrouver ainsi l’usage de leurs sens, elles sont en nage après l’exercice périlleux auquel elles se sont livrées. Elles n’osent pas bouger, sentant que tous les regards de l’assistance sont portées sur elles deux, se demandant chacune dans leur tête comment leur Maître, Sir Akhen-Aton, a pu apprécier leur prestation qui ne fut pas des plus élégantes en matière de démarche canine, mais qui fut particulièrement excitante pour toutes les deux qui ont le bas-ventre en feu et la vulve gonflée, sûrement aussi rouge que leurs fesses, leur excitation abondante ne fait aucun doute. On devine aisément qu’elles ont apprécié cette épreuve Le Châtelain demande à la soubrette d’aller chercher quatre autres chiens-mâles inoccupés qui attendaient patiemment agenouillés le long des murs, tête basse, et de les ramener à Ses pieds, accompagnés aussi des deux autres qui avaient été assignés à jouer de la cravache sur le double fessier.

Les six esclaves mâles s’approchent, s’agenouillent et s’inclinent jusqu’à poser leur front contre le sol, bien trop heureux d’avoir la chance d’être appelés par le Maître en cette soirée anniversaire, prêts à obéir au moindre des ordres de Celui qu’ils servent docilement et vénèrent profondément.

- Debout, mes fidèles chiens. Approchez un après l’autre, je vais vous ôter la cage de chasteté qui enserre votre sexe rabougri, l’empêchant de bander et aussi de pouvoir éjaculer. Je veux vous voir tous les six vous accoupler avec cette chienne-siamoise qui a six trous, soit un pour chacun. Débrouillez-vous comme vous voulez, mais je veux la voir pleine avec six sexes actifs et gonflés qui pourront se répandre, tachez donc de bien en profiter pour vous vider les couilles le plus abondamment possible.

Le Marquis d’Evans défait de sa ceinture un énorme trousseau de clés toutes rassemblées par un large anneau métallique. Le Noble choisis les clés portant le numéro de la cage pour chacun et commence à ouvrir et retirer lui-même les six cages de chasteté des mâles-esclaves, tenant à faire ce geste symbolique lui-même, caressant juste après de la main chaque pénis encore flétri et minuscule, dont certains commencent à réagir en se dépliant, presque de ce simple contact et du désir que le Maître a laissé naître entre eux, mais ils sont tous encore loin d’arborer un phallus digne de ce nom. Chacun s’est agenouillé après avoir été libéré de la cage qu’il porte presque en permanence au Château et a déposé un baiser très respectueux sur la main du Maître, qui ayant terminé cette séance inhabituelle de « déshabillage » d’attributs virils ajoute :

- C’est un challenge que je viens de relever avec mon très cher ami, Sir Akhen-Aton. Si vous échouez, non seulement, je vous remets immédiatement la queue en cage, mais ensuite, je vous offre en gage pendant une semaine à Sir Akhen-Aton qui sera libre de faire de vous ce qu’il voudra à sa seule convenance. Ceci ne vous dispensera pas de la punition que je vous imposerai à votre retour, pour n’avoir pas été capable de répondre favorablement à mes exigences. Tacher donc de faire gonfler vos queues rapidement, avec vos mains si besoin, car nous n’avons pas de temps à perdre à vous regarder vous secouer le poireau.
- Edouard, je vais être fair-play. Votre esclave N°13 qui est toujours là à mes pieds, a une bouche suave, je suis sûr qu’elle va bien aider ces minuscules petites choses, endormies et recroquevillées d’avoir été encagées, à reprendre une forme plus propice à la pénétration. Je la mets à la disposition de vos six esclaves, car je souhaite moi aussi que Vous puissiez réussir ce défi, car il me plairait bien de profiter du spectacle final et de voir enfin mon esclave brittany comblée comme jamais.

Sir Akhen-Aton se retourne vers N°13 et la poussant vers l’avant en lui donnant une petite tape sur les fesses, il l’invite à aller au-devant des six mâles qui sont maintenant au centre de l’attention de tous les Invités. De sa bouche, elle branle, caresse, aspire et suce, tour à tour les six sexes qui durcissent et gonflent d’autant plus rapidement qu’ils savent qu’ils sont sous l’œil attentif et directif du Maître Vénéré qu’ils n’ont pas envie de décevoir, sans compter que l’excitation est forte chez les six esclaves à l’idée de pouvoir jouir enfin, ce qui ne leur est pas souvent accordé en raison de leur condition servile qui leur impose d’abandonner le droit de pouvoir accéder librement au plaisir et à la jouissance, afin de se remettre totalement entre les mains du Maître qu’ils ont acceptés de servir et à qui ils appartiennent tous, corps et âme. Quelques minutes plus tard, ce sont six statues dont le corps de mâle est peint de couleur argent, portant encore collier et plug anal, qui se tiennent droites devant le Maître, têtes baissées et verges dressées.

- L’esclave brittany est à vous. Alors, voilà ce que vous allez faire. Les deux premiers, les plus petits, toi et toi (dit-IL en les désignant du doigt) se glissent dessous côte à côte et envahissent les deux chattes humides. Tâchez de vous serrer car l’espace est réduit. Les deux suivants, les plus gros, donc toi et toi, lui fourrent la bouche. Mais attention, vous ne les étouffez pas quand même, car leurs têtes sont attachées ensemble et qu’elles devront agir concomitamment. Le plus simple sera de les laisser vous lécher tranquillement, je suis sûr que ce sont deux bonnes suceuses siamoises. Là où cela se complique, ce sera pour les deux derniers qui vont devoir la sodomiser par les deux petits trous, mais qui n’auront pas beaucoup de place pour se faufiler au milieu de l’amas de corps et aussi pour prendre appui.

Les esclaves se mettent en place, les quatre premiers ne posent pas de difficulté et ils commencent à pénétrer l’esclave siamoise qui est onctueuse à souhait car terriblement excitée de se savoir ainsi au centre de l’attraction, et surtout à l’idée de se faire remplir par six hommes ce que, ni l’une, ni l’autre, n’avaient jamais pu imaginer même dans leurs fantasmes les plus fous. Le cinquième mâle approche sa queue de l’anus de la première des jumelles, mais il se rend compte que pour l’enculer en sandwich, il lui faudrait pouvoir écarter les jambes pour les passer de part et d’autre des jambes des deux esclaves allongées sur le sol qui encadrent déjà les deux jambes intérieures accolées des siamoises, ce qui de fait empêcherait une sixième et dernière pénétration. Il essaye donc d’écarter les jambes de ceux qui sont au sol pour se faire un peu de place, mais il n’arrive pas nécessairement à trouver l’équilibre pour se tenir, craignant de prendre appui sur les deux jumelles qui sont déjà mises à l’épreuve, sollicitées et contorsionnées. Il fait signe au sixième esclave pour qu’il s’approche à son tour, lui attrapant la main pour faire contrepoids. Mais ce dernier ne parvient pas à avancer assez près pour glisser sa queue dans le dernier trou de libre. Il ne renonce pas pour autant, prenant appui sur un seul pied et soulevant sa jambe qu’il fait reposer sur celle de son collatéral, il se penche en avant en tendant la main qui a trouvé un appui sur celle de l’esclave qui est juste sous lui en train de baiser la chatte de la même jumelle. Dans un équilibre assez précaire, retenu également par les mains libres des deux mâles restés debout en plein coït facial, il avance son bassin de manière à faire pénétrer sa queue dans le dernier anus béants sous les applaudissements de toute l’assistance et l’œil ravi de Monsieur le Marquis d’Evans qui s’exclame alors.

- Et tachez maintenant de me la faire grimper au firmament cette chienne en chaleur qu’elle se souvienne à tout jamais de cette soirée orgiaque où elle fut possédée par six queues à la fois.

La masse humaine constituée des six mâles et des deux jumelles au centre ondule au gré des différents mouvements de bassins et des gémissements de plaisir décuplés par la proximité des corps qui se soutiennent les uns les autres, mêlant leurs odeurs corporelles. L’excitation de la situation est à son comble à la fois jouissive mais aussi exhibitionniste et originale, tout autant que troublante car l’édifice est aussi chancelant qu’un château de cartes. Oubliant presque les contraintes d’espace et l’équilibre précaire de cet enchevêtrement humain, les esclaves mâles se lâchent dans des mouvements plus affirmés, pourfendant les deux jumelles qui déferlent dans un orgasme fulgurant tandis que les mâles lâchent leur sextuple semence dans les multiples orifices de brittany qui n’est plus que spasmes désordonnés et halètements encore accélérés. Elle s’affale à terre à peine est-elle libérée de tous ceux qui avaient entrepris de la baiser de toutes les manières possibles, pour profiter amorphe de ce temps de bien-être qui suit l’extase, quand la montée en puissance qui précède la jouissance commence à redescendre pour tendre vers le calme plat.

- Cher Marquis, je reconnais que ce petit divertissement m’a beaucoup plu. Je ne les ai pas quitté des yeux, j’en ai même joui dans la bouche de votre esclave N°13 tant j’étais excité de regarder mon esclave ainsi mise à contribution comme objet de plaisir, remplie de tant de semence à la fois. Je pense qu’elle a bien mérité un peu de repos maintenant, je crois que je vais me retirer pour la nuit car, après tant d’émotions, un moment câlin à deux (ou trois aurait-il aussi pu dire) ne sera pas inutile.
- Cher ami, souhaitez-vous que je demande à ces esclaves de porter votre petite chienne brittany jusqu’à votre chambre, car elle me semble assez abattue pour trouver encore la force de monter les escaliers.
- Je vous remercie de Votre sollicitude et j’accepte avec grand plaisir Votre proposition. Je Vous souhaite donc une bonne fin de soirée et une très bonne nuit de Votre côté. Je quitterai le Château avec ma petite chienne-siamoise demain en fin de matinée, j’espère que j’aurai le plaisir de pouvoir Vous saluer avant mon départ pour vous exprimer toute ma gratitude pour ce si agréable moment passé entre Vos murs.

Le Marquis Edouard d’Evans se lève, assez fier de ses esclaves-mâles et tout autant de l’idée qu’IL a eu d’organiser cet ébat multiple. IL se rappelle qu’avant de s’asseoir dans ce fauteuil au côté de Son cher ami, Sir Akhen-Aton, IL était parti à la recherche de son compagnon David à qui IL avait confié pour la soirée et la nuit son assistante émeline MDE. IL se rend compte qu’il ne n’était pas là parmi toute l’assistance qui avait fini par se regrouper autour de ce pôle d’attraction et plus généralement le Noble, fronçant les sourcils, se fait la réflexion qu’effectivement, IL ne l’a pas aperçu depuis la fin du banquet. Walter le Majordome semble également avoir déserté les lieux et en tout cas le Grand Hall aménagé en donjon. Pourtant le Châtelain est persuadé qu’en fidèle serviteur, son Majordome aura à cœur de ne pas aller se coucher avant la fin de la nuitée orgiaque, continuant à veiller sur le bon déroulement de la soirée anniversaire et à rester éveillé la nuit entière s’il le faut.

(A suivre ….)

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