La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 331)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-10-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 331)
Suite de l'épisode précédent N°330 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans -
La soubrette s’incline respectueusement et s’exécute sans perdre une seconde. Elle revient quelques instants plus tard, ayant juste pris le temps de prévenir l’esclave 26 et de passer au bar installé pour la soirée au fond de la pièce, pour récupérer les deux boissons qu’elle doit rapporter à Monsieur le Marquis d’Evans et à Son Invité Miss Elle. L’esclave 26 arrivé le premier dépose les deux fauteuils qu’il glisse juste derrière les deux dominants et vient s’incliner profondément devant le Maître, à genoux et tête au sol. Il est suivi juste après par la soubrette qui apporte les deux boissons et présente le plateau à Miss Elle en premier tout en s’inclinant profondément. Elle s’approche alors du Marquis d’Evans pour qu’il puisse prendre le grand verre d’eau pour s’abreuver et à ce moment-là, l’esclave femelle sent qu’Il attrape sa laisse d’une main et le verre de l’autre.
- Met-toi à quatre pattes, comme la petite chienne docile que tu es pour Le Maître, pose ton plateau vide sur le sol. Ces fauteuils n’ont pas de repose-pieds, alors tu vas les remplacer jusqu’à nouvel ordre. Quand à toi, chien 26, tu n’allais pas rester à attendre plus longtemps dans ton coin. Met-toi à la disposition de ma charmante voisine et amie. Miss Elle saura bien t’utiliser à sa convenance, maintenant que Ses deux chiens-esclaves de compagnie sont occupés.
La Domina d’un ton sévère ajoute.
- Approche 26, que je tâte un peu la marchandise que Monsieur le Marquis a l’amabilité de me confier.
Tandis que l’esclave trop heureux de ne plus avoir à rester juste en position d’attente dans son coin, s’approche du fauteuil de Miss Elle. La Maîtresse toute excitée l’attrape directement par la cage de chasteté pour l’attirer encore plus près d’Elle, mais sans daigner poser le moindre regard sur celui qui n’est qu’un soumis de plus à maltraiter, une masse de chair neuve et encore intacte lui permettant d’assouvir ses plaisirs les plus griffant. Miss Elle se retourne vers le Châtelain et lui adresse un large sourire.
- Mon cher Ami, Cher Marquis, perspicace comme toujours ! Je constate que Vous connaissez bien mes goûts. Ce chien mâle est parfait, je risque cependant de Vous le rendre un peu rayé, mais cela partira, je ne laboure jamais mes victimes en profondeur, j’aime juste les marquer de mon initiale sur tout le corps et voir leur visages et leurs yeux frissonner de désirs sensuels sous mes caresses acérées.
Miss Elle dessine lentement un premier grand « L » sur la poitrine de celui dont elle prend possession, et trouvant la zébrure tout à fait à son goût, elle se retourne vers le Châtelain, qui est en train de lui répondre.
- Je pense que ce chien fera très bien l’affaire, il a la peau dure et résistante, et puis il aime autant frissonner de petits délices-supplices que vos deux bestioles habituelles. Les chiennes-esclaves ont la peau beaucoup plus fragile en général. Cela m’avait d’ailleurs surpris en approchant de constater que vous aviez décidé de tirer une boule femelle, je croyais vraiment que vous n’appréciez que les chiens-mâles bien charpentés. Comme quoi, je ne sais pas si je vous connais aussi bien que cela, car la frêle chienne 9 qui attend sur la croix de Saint-André, frémissante et les yeux hagards est plutôt à l’opposé de vos habitudes de Dominante.
- Oui, une lubie de passage pour une soirée et pour aussi me conforter dans ce qui reste mes petits plaisirs pervers que j’assume jusqu’au bout des ongles (ajoute-t-elle d’un ton malicieux et pervers)
Miss Elle, tout en laissant glisser sa main à plusieurs reprises sur la poitrine gonflée de 26, de plus en plus sauvagement, le griffant de ses ongles qui laissent de belles petites boursouflures au moins aussi rouges maintenant que des coups de badine, invective.
- Mes deux bâtards de chiens, Vous êtes près, je suppose. Vous allez passer entrer l’un après l’autre vos mains entièrement dans la chatte onctueuse de cette petite chienne que je sens déjà en chaleur, et qui ne refusera un petit fisting pour rendre vos sales pattes avant plus douces et moins rugueuses.
Les deux Dominants regarde les deux chiens dilater le vagin humide de l’esclave qui commence à ressentir une vague de plaisirs d’autant plus intense qu’elle est attachée sur la croix de Saint-André et qu’elle ne peut se soustraire à ceux qui prennent possession de son intimité écartelée. Des petits murmures et une respiration saccadée trahissent son excitation, mais elle se retient car le regard foudroyant et directif du Maître, lui fait bien comprendre que la jouissance ne fait pas partie du programme, même si privée de l’ouïe, elle ne peut percevoir aucun son, aucun ordre, ni aucune interdiction précise.
- Les chiens, cela suffit ! Cette femelle a eu largement son compte. Maintenant faites tourner rapidement la roue en continue dans le sens des aiguilles d’une montre, jusqu’à ce que Monsieur le Marquis d’Evans, s’IL le veut bien donne le signal de départ de la joute en tapant deux fois dans les mains.
Le Châtelain lance le duel tandis que la roue s’arrête en position inclinée à 50 degrés vers le bas, l’esclave-femelle en croix est presque tourmentée par ce qui va se passer, car ces premiers tours de roue à grande vitesse lui ont déjà donné le tournis et elle sait bien que le jeu ne fait que commencer et qu’il y a peu de chance que cela s’arrête aussi vite. Les deux esclaves s’empressent d’attraper la roue et ils tentent de la mettre en mouvement, tirant le plus fort possible, ayant quelques difficultés à la maintenir fermement, car leurs mains enduites de cyprine sont glissantes, réalisant tout d’un coup pourquoi leur Maîtresse perverse et retord les a autorisé à fister cette chienne-femelle. La roue oscille autour de son axe de départ, mais pour l’instant ne s’écarte pas assez pour savoir qui est celui qui va emporter cette première manche.
L’esclave 9 écartelée est secouée comme si elle était sur un bateau secoué par les vagues, sauf qu’en plus elle est inclinée, la tête légèrement penchée vers le bas, ce qui ajoute à la sensation de malaise qui la submerge mais ajoute à son excitation, car sa chatte qui a été laissée béante est en feu.
Pendant ce temps, Miss Elle attrape entre ses ongles affilés l’un après l’autre les tétons du chien-esclave 26 qu’elle pince si fortement qu’il craint de ne pas résister et de se mettre à hurler, comme si elle lui enfonçait carrément la pointe d’un couteau dans cette zone sensible qu’elle étire au maximum. Elle le force ensuite à se retourner pour pouvoir se mettre à caresser les fesses musclées du mâle au corps d’athlète. Profitant de ce petit changement de pause, elle attrape le fouet qu’elle porte à la ceinture et donne un coup sur le haut des cuisses de l’esclave-femelle toujours balancée et écartelée sur la croix en X qui malgré sa peur et son appréhension se trouve très excitée d’être le jouet de cette Domina, sous l’œil perçant du Maître qui la regarde avec attention, confortablement installée dans son fauteuil, les jambes tendues et surélevées reposant sur la croupe de la soubrette-soumise transformée en repose-pied d’appoint. Miss Elle qui est experte après tant d’années du maniement du fouet redonne un nouveau coup dans l’entrecuisse de l’esclave frôlant au passage son pubis et ses lèvres intimes. Le chien-esclave qui se trouve du côté des jambes, surpris de voir le coup de fouet passer si près, a un moment d’inattention et lâche la roue une fraction de seconde. Il n’en faut pas moins pour que l’autre qui exerçait toujours une pression constante l’emporte et fasse faire plus d’un quart de tour à l’appareil, positionnant cette fois la chienne 9 la tête en bas, situation assez difficile à supporter à long terme, même si elle est relativement bien arrimée et calée, car le port de la cagoule sur la tête qui obstrue ses oreilles et la comprime fortement limitant tout mouvement au niveau du cou ajoute au sentiment de déséquilibre. Et pourtant, c’est à cet instant que l’esclave ressent une excitation grandissante à l’idée de se savoir totalement écartelée, les cuisses grandes ouvertes et la chatte béante. Miss Elle a pris son fouet et l’a fait siffler sur la croupe du chien-esclave défaillant qui baisse la tête, avant d’ajouter d’une voix timide.
- Merci, Maîtresse, de punir le misérable chien que je suis qui n’a pas su Vous contenter.
- Le prochain coup de fouet sera le signal de départ.
Miss Elle attrape à nouveau son instrument et vise cette fois, l’intérieur tendre de la cuisse de la chienne écartelée sur la croix de Saint-André qui se trouve marquée d’une zébrure d’autant plus rouge qu’elle a la peau très blanche à cet endroit du corps.
- Cher Marquis, Votre esclave était beaucoup trop tentante, les cuisses ainsi écartées. Je constate que sa chatte est de plus en plus humide car la cyprine coule abondamment de son entrejambe. Ce qui est bien avec les chiennes-femelles, c’est que l’on peut mesurer tout de suite le taux d’humidité de leur excitation, mais cela me dérangerait de ne pas pouvoir les empêcher de mouiller et de ne pas avoir un contrôle total sur leur anatomie intime. Mes deux sales cabots sont appareillés pour ne rien laisser suinter. Je sais qu’ils sont toujours très excités car ils sont vraiment à ma botte au sens propre et au sens figuré, mais je ne les autorise que très rarement à se vider les couilles après de longues périodes d’abstinence.
Pendant ce temps-là, les deux chiens-esclaves autour de la roue tentent de la faire tourner, chacun s’évertuant à empêcher l’autre de prendre le dessus, faisant osciller 9 comme un culbuto qui affiche sur sa poitrine plutôt un 6 en position inversée. Miss Elle trouvant que le spectacle manque un peu d’intérêt, même s’il lui laisse le temps de labourer le dos, qui a pris une bonne teinte rouge, de celui qui se tient à ses pieds, décide d’accélérer les choses. Elle prend son fouet, qu’elle fait claquer tantôt entre les cuisses écartelées de celle qui trésaille à chaque coup, coulant un peu plus par la même occasion tandis que son regard ne quitte pas celui du Maître Vénéré qui l’observe avec ravissement. Tantôt les coups de fouet viennent siffler près des oreilles des deux chiens-mâles qui ont du mal à se concentrer. Et au bout de quelques temps, c’est au tour de l’esclave de droite de lâcher la roue qui aussi sec se met en mouvement, ramenant cette fois la croix de Saint-André en position presque normale. Miss Elle aussi sec applique la sanction d’un coup magistral sur la croupe du chien défaillant, qui baisse la tête, mais qui ne peut pas parler puisque sa langue est encore retenue par deux pinces en métal que la Domina lui a imposé à titre de sanction. Un deuxième coup de fouet vient à nouveau s’abattre sur la croupe du malheureux qui ne comprend pas la raison de cette nouvelle correction et a le malheur de relever la tête vers sa Maîtresse d’un air très interrogatif.
- Le deuxième coup, c’est pour avoir osé ne pas me remercier pour le premier coup que tu as reçu……… Et le troisième que voici, c’est pour avoir osé lever la tête et porter le regard sur ta Divine Maîtresse sans y avoir été autorisé, et sans même comprendre la raison du doublement de ta punition. Peut m’importe que tu ne puisses pas parler parce que tu viens d’être châtié, tu dois dans tous les cas en subir les conséquences en chaîne, cela t’apprendra à ne pas brailler la prochaine fois pour une broutille qui ne peut que m’offenser dans tous les cas. Reprenez immédiatement, vous me faites perdre mon temps, sales cabots.
Miss Elle attrape par la peau des fesses l’esclave 26 qui est à ses côtés pour le forcer à se lever, et elle se met à le caresser à sa manière toujours aussi piquante sur la croupe immobile et à éperonner les deux masses bombées, promenant son doigt pointu tantôt vers le haut jusque dans le creux des reins et tantôt plus profondément dans le sillon qui partage les deux fesses, qu’elle écarte d’une caresse inquisitrice excitante et aigue ne pouvant aller plus loin vers l’anus en raison du plug que l’esclave porte pour la soirée comme tous les autres chiens-mâles du cheptel.
- Cher Marquis, tous Vos esclaves plugués à Vos armoiries, c’est d’un raffinement ! J’adore vraiment, bien que j’aime bien parfois planter mes ongles profondément dans les trous de mes deux cabots. J’enfile malgré tout des gants de latex, pour ne pas me salir les mains et aussi pour ne pas déchirer les parois internes du rectum et de l’anus. Je sens leurs muscles se relâcher et se contracter avec délice sur mes doigts qui les force.
- Très Chère Amie, Je suis vraiment désolé, je vais devoir Vous laisser continuer seule. J’aperçois au fond de la salle, Monsieur le Député-maire du chef–lieu du canton et son épouse, qui ont l’air de vouloir s’approcher de la porte de sortie. Je me dois à l’ensemble de mes Invités et je ne peux pas les laisser partir sans aller les saluer, question de respect avant tout. J’espère que Vous ne m’en voudrez pas de vous fausser compagnie. Vous me raconterez si nous en avons l’occasion la fin de ce tournoi.
Le Marquis qui avait apprécié un petit moment de calme sur ce fauteuil mais qui se voyait mal devoir passer plus de temps juste assis là, s’empresse de se lever, laissant Miss Elle à son divertissement avec ses deux chiens mâles destinés à savoir au terme de ce petit concours improvisé lequel aurait le privilège de pouvoir coucher aux pieds de sa Maîtresse et lequel devrait rejoindre la niche. Elle profite de l’intermède pour faire allonger le chien 26, le dos contre le sol, sous ses pieds, plus exactement sous ses bottes à très hauts talons, qu’elle promène largement sur le thorax et les mamelons déjà sensibilisés par les griffures précédentes. Du bout de la botte, elle malaxe le sexe encagé et les couilles de celui qui lui sert de paillasson, n’hésitant pas à appuyer du bout du talon sur les zones les plus érotiquement sensibles, mais évitant malgré tout les parties ventrales dangereuses où se situent les organes internes. Elle relance le jeu de la roue à faire tourner pour les trois dernières manches qui décideront du sort des deux chiens-mâles en compétition…. Pendant ce temps-là, Monsieur le Marquis d’Evans, a rejoint Monsieur le Député-maire et son épouse…
(A suivre ….)
La soubrette s’incline respectueusement et s’exécute sans perdre une seconde. Elle revient quelques instants plus tard, ayant juste pris le temps de prévenir l’esclave 26 et de passer au bar installé pour la soirée au fond de la pièce, pour récupérer les deux boissons qu’elle doit rapporter à Monsieur le Marquis d’Evans et à Son Invité Miss Elle. L’esclave 26 arrivé le premier dépose les deux fauteuils qu’il glisse juste derrière les deux dominants et vient s’incliner profondément devant le Maître, à genoux et tête au sol. Il est suivi juste après par la soubrette qui apporte les deux boissons et présente le plateau à Miss Elle en premier tout en s’inclinant profondément. Elle s’approche alors du Marquis d’Evans pour qu’il puisse prendre le grand verre d’eau pour s’abreuver et à ce moment-là, l’esclave femelle sent qu’Il attrape sa laisse d’une main et le verre de l’autre.
- Met-toi à quatre pattes, comme la petite chienne docile que tu es pour Le Maître, pose ton plateau vide sur le sol. Ces fauteuils n’ont pas de repose-pieds, alors tu vas les remplacer jusqu’à nouvel ordre. Quand à toi, chien 26, tu n’allais pas rester à attendre plus longtemps dans ton coin. Met-toi à la disposition de ma charmante voisine et amie. Miss Elle saura bien t’utiliser à sa convenance, maintenant que Ses deux chiens-esclaves de compagnie sont occupés.
La Domina d’un ton sévère ajoute.
- Approche 26, que je tâte un peu la marchandise que Monsieur le Marquis a l’amabilité de me confier.
Tandis que l’esclave trop heureux de ne plus avoir à rester juste en position d’attente dans son coin, s’approche du fauteuil de Miss Elle. La Maîtresse toute excitée l’attrape directement par la cage de chasteté pour l’attirer encore plus près d’Elle, mais sans daigner poser le moindre regard sur celui qui n’est qu’un soumis de plus à maltraiter, une masse de chair neuve et encore intacte lui permettant d’assouvir ses plaisirs les plus griffant. Miss Elle se retourne vers le Châtelain et lui adresse un large sourire.
- Mon cher Ami, Cher Marquis, perspicace comme toujours ! Je constate que Vous connaissez bien mes goûts. Ce chien mâle est parfait, je risque cependant de Vous le rendre un peu rayé, mais cela partira, je ne laboure jamais mes victimes en profondeur, j’aime juste les marquer de mon initiale sur tout le corps et voir leur visages et leurs yeux frissonner de désirs sensuels sous mes caresses acérées.
Miss Elle dessine lentement un premier grand « L » sur la poitrine de celui dont elle prend possession, et trouvant la zébrure tout à fait à son goût, elle se retourne vers le Châtelain, qui est en train de lui répondre.
- Je pense que ce chien fera très bien l’affaire, il a la peau dure et résistante, et puis il aime autant frissonner de petits délices-supplices que vos deux bestioles habituelles. Les chiennes-esclaves ont la peau beaucoup plus fragile en général. Cela m’avait d’ailleurs surpris en approchant de constater que vous aviez décidé de tirer une boule femelle, je croyais vraiment que vous n’appréciez que les chiens-mâles bien charpentés. Comme quoi, je ne sais pas si je vous connais aussi bien que cela, car la frêle chienne 9 qui attend sur la croix de Saint-André, frémissante et les yeux hagards est plutôt à l’opposé de vos habitudes de Dominante.
- Oui, une lubie de passage pour une soirée et pour aussi me conforter dans ce qui reste mes petits plaisirs pervers que j’assume jusqu’au bout des ongles (ajoute-t-elle d’un ton malicieux et pervers)
Miss Elle, tout en laissant glisser sa main à plusieurs reprises sur la poitrine gonflée de 26, de plus en plus sauvagement, le griffant de ses ongles qui laissent de belles petites boursouflures au moins aussi rouges maintenant que des coups de badine, invective.
- Mes deux bâtards de chiens, Vous êtes près, je suppose. Vous allez passer entrer l’un après l’autre vos mains entièrement dans la chatte onctueuse de cette petite chienne que je sens déjà en chaleur, et qui ne refusera un petit fisting pour rendre vos sales pattes avant plus douces et moins rugueuses.
Les deux Dominants regarde les deux chiens dilater le vagin humide de l’esclave qui commence à ressentir une vague de plaisirs d’autant plus intense qu’elle est attachée sur la croix de Saint-André et qu’elle ne peut se soustraire à ceux qui prennent possession de son intimité écartelée. Des petits murmures et une respiration saccadée trahissent son excitation, mais elle se retient car le regard foudroyant et directif du Maître, lui fait bien comprendre que la jouissance ne fait pas partie du programme, même si privée de l’ouïe, elle ne peut percevoir aucun son, aucun ordre, ni aucune interdiction précise.
- Les chiens, cela suffit ! Cette femelle a eu largement son compte. Maintenant faites tourner rapidement la roue en continue dans le sens des aiguilles d’une montre, jusqu’à ce que Monsieur le Marquis d’Evans, s’IL le veut bien donne le signal de départ de la joute en tapant deux fois dans les mains.
Le Châtelain lance le duel tandis que la roue s’arrête en position inclinée à 50 degrés vers le bas, l’esclave-femelle en croix est presque tourmentée par ce qui va se passer, car ces premiers tours de roue à grande vitesse lui ont déjà donné le tournis et elle sait bien que le jeu ne fait que commencer et qu’il y a peu de chance que cela s’arrête aussi vite. Les deux esclaves s’empressent d’attraper la roue et ils tentent de la mettre en mouvement, tirant le plus fort possible, ayant quelques difficultés à la maintenir fermement, car leurs mains enduites de cyprine sont glissantes, réalisant tout d’un coup pourquoi leur Maîtresse perverse et retord les a autorisé à fister cette chienne-femelle. La roue oscille autour de son axe de départ, mais pour l’instant ne s’écarte pas assez pour savoir qui est celui qui va emporter cette première manche.
L’esclave 9 écartelée est secouée comme si elle était sur un bateau secoué par les vagues, sauf qu’en plus elle est inclinée, la tête légèrement penchée vers le bas, ce qui ajoute à la sensation de malaise qui la submerge mais ajoute à son excitation, car sa chatte qui a été laissée béante est en feu.
Pendant ce temps, Miss Elle attrape entre ses ongles affilés l’un après l’autre les tétons du chien-esclave 26 qu’elle pince si fortement qu’il craint de ne pas résister et de se mettre à hurler, comme si elle lui enfonçait carrément la pointe d’un couteau dans cette zone sensible qu’elle étire au maximum. Elle le force ensuite à se retourner pour pouvoir se mettre à caresser les fesses musclées du mâle au corps d’athlète. Profitant de ce petit changement de pause, elle attrape le fouet qu’elle porte à la ceinture et donne un coup sur le haut des cuisses de l’esclave-femelle toujours balancée et écartelée sur la croix en X qui malgré sa peur et son appréhension se trouve très excitée d’être le jouet de cette Domina, sous l’œil perçant du Maître qui la regarde avec attention, confortablement installée dans son fauteuil, les jambes tendues et surélevées reposant sur la croupe de la soubrette-soumise transformée en repose-pied d’appoint. Miss Elle qui est experte après tant d’années du maniement du fouet redonne un nouveau coup dans l’entrecuisse de l’esclave frôlant au passage son pubis et ses lèvres intimes. Le chien-esclave qui se trouve du côté des jambes, surpris de voir le coup de fouet passer si près, a un moment d’inattention et lâche la roue une fraction de seconde. Il n’en faut pas moins pour que l’autre qui exerçait toujours une pression constante l’emporte et fasse faire plus d’un quart de tour à l’appareil, positionnant cette fois la chienne 9 la tête en bas, situation assez difficile à supporter à long terme, même si elle est relativement bien arrimée et calée, car le port de la cagoule sur la tête qui obstrue ses oreilles et la comprime fortement limitant tout mouvement au niveau du cou ajoute au sentiment de déséquilibre. Et pourtant, c’est à cet instant que l’esclave ressent une excitation grandissante à l’idée de se savoir totalement écartelée, les cuisses grandes ouvertes et la chatte béante. Miss Elle a pris son fouet et l’a fait siffler sur la croupe du chien-esclave défaillant qui baisse la tête, avant d’ajouter d’une voix timide.
- Merci, Maîtresse, de punir le misérable chien que je suis qui n’a pas su Vous contenter.
- Le prochain coup de fouet sera le signal de départ.
Miss Elle attrape à nouveau son instrument et vise cette fois, l’intérieur tendre de la cuisse de la chienne écartelée sur la croix de Saint-André qui se trouve marquée d’une zébrure d’autant plus rouge qu’elle a la peau très blanche à cet endroit du corps.
- Cher Marquis, Votre esclave était beaucoup trop tentante, les cuisses ainsi écartées. Je constate que sa chatte est de plus en plus humide car la cyprine coule abondamment de son entrejambe. Ce qui est bien avec les chiennes-femelles, c’est que l’on peut mesurer tout de suite le taux d’humidité de leur excitation, mais cela me dérangerait de ne pas pouvoir les empêcher de mouiller et de ne pas avoir un contrôle total sur leur anatomie intime. Mes deux sales cabots sont appareillés pour ne rien laisser suinter. Je sais qu’ils sont toujours très excités car ils sont vraiment à ma botte au sens propre et au sens figuré, mais je ne les autorise que très rarement à se vider les couilles après de longues périodes d’abstinence.
Pendant ce temps-là, les deux chiens-esclaves autour de la roue tentent de la faire tourner, chacun s’évertuant à empêcher l’autre de prendre le dessus, faisant osciller 9 comme un culbuto qui affiche sur sa poitrine plutôt un 6 en position inversée. Miss Elle trouvant que le spectacle manque un peu d’intérêt, même s’il lui laisse le temps de labourer le dos, qui a pris une bonne teinte rouge, de celui qui se tient à ses pieds, décide d’accélérer les choses. Elle prend son fouet, qu’elle fait claquer tantôt entre les cuisses écartelées de celle qui trésaille à chaque coup, coulant un peu plus par la même occasion tandis que son regard ne quitte pas celui du Maître Vénéré qui l’observe avec ravissement. Tantôt les coups de fouet viennent siffler près des oreilles des deux chiens-mâles qui ont du mal à se concentrer. Et au bout de quelques temps, c’est au tour de l’esclave de droite de lâcher la roue qui aussi sec se met en mouvement, ramenant cette fois la croix de Saint-André en position presque normale. Miss Elle aussi sec applique la sanction d’un coup magistral sur la croupe du chien défaillant, qui baisse la tête, mais qui ne peut pas parler puisque sa langue est encore retenue par deux pinces en métal que la Domina lui a imposé à titre de sanction. Un deuxième coup de fouet vient à nouveau s’abattre sur la croupe du malheureux qui ne comprend pas la raison de cette nouvelle correction et a le malheur de relever la tête vers sa Maîtresse d’un air très interrogatif.
- Le deuxième coup, c’est pour avoir osé ne pas me remercier pour le premier coup que tu as reçu……… Et le troisième que voici, c’est pour avoir osé lever la tête et porter le regard sur ta Divine Maîtresse sans y avoir été autorisé, et sans même comprendre la raison du doublement de ta punition. Peut m’importe que tu ne puisses pas parler parce que tu viens d’être châtié, tu dois dans tous les cas en subir les conséquences en chaîne, cela t’apprendra à ne pas brailler la prochaine fois pour une broutille qui ne peut que m’offenser dans tous les cas. Reprenez immédiatement, vous me faites perdre mon temps, sales cabots.
Miss Elle attrape par la peau des fesses l’esclave 26 qui est à ses côtés pour le forcer à se lever, et elle se met à le caresser à sa manière toujours aussi piquante sur la croupe immobile et à éperonner les deux masses bombées, promenant son doigt pointu tantôt vers le haut jusque dans le creux des reins et tantôt plus profondément dans le sillon qui partage les deux fesses, qu’elle écarte d’une caresse inquisitrice excitante et aigue ne pouvant aller plus loin vers l’anus en raison du plug que l’esclave porte pour la soirée comme tous les autres chiens-mâles du cheptel.
- Cher Marquis, tous Vos esclaves plugués à Vos armoiries, c’est d’un raffinement ! J’adore vraiment, bien que j’aime bien parfois planter mes ongles profondément dans les trous de mes deux cabots. J’enfile malgré tout des gants de latex, pour ne pas me salir les mains et aussi pour ne pas déchirer les parois internes du rectum et de l’anus. Je sens leurs muscles se relâcher et se contracter avec délice sur mes doigts qui les force.
- Très Chère Amie, Je suis vraiment désolé, je vais devoir Vous laisser continuer seule. J’aperçois au fond de la salle, Monsieur le Député-maire du chef–lieu du canton et son épouse, qui ont l’air de vouloir s’approcher de la porte de sortie. Je me dois à l’ensemble de mes Invités et je ne peux pas les laisser partir sans aller les saluer, question de respect avant tout. J’espère que Vous ne m’en voudrez pas de vous fausser compagnie. Vous me raconterez si nous en avons l’occasion la fin de ce tournoi.
Le Marquis qui avait apprécié un petit moment de calme sur ce fauteuil mais qui se voyait mal devoir passer plus de temps juste assis là, s’empresse de se lever, laissant Miss Elle à son divertissement avec ses deux chiens mâles destinés à savoir au terme de ce petit concours improvisé lequel aurait le privilège de pouvoir coucher aux pieds de sa Maîtresse et lequel devrait rejoindre la niche. Elle profite de l’intermède pour faire allonger le chien 26, le dos contre le sol, sous ses pieds, plus exactement sous ses bottes à très hauts talons, qu’elle promène largement sur le thorax et les mamelons déjà sensibilisés par les griffures précédentes. Du bout de la botte, elle malaxe le sexe encagé et les couilles de celui qui lui sert de paillasson, n’hésitant pas à appuyer du bout du talon sur les zones les plus érotiquement sensibles, mais évitant malgré tout les parties ventrales dangereuses où se situent les organes internes. Elle relance le jeu de la roue à faire tourner pour les trois dernières manches qui décideront du sort des deux chiens-mâles en compétition…. Pendant ce temps-là, Monsieur le Marquis d’Evans, a rejoint Monsieur le Député-maire et son épouse…
(A suivre ….)
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