La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 335)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 335)
Suite de l'épisode précédent N°334 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -
Thaïs MDE est choquée des propos de Marie qui ne dépeignent pas du tout ce qu’elle a ressenti, mais elle préfère ne pas broncher, laissant juste l’eau couler sur son corps, projetée avec force par Marie qui la fait se tourner dans tous les sens et qui n’épargne aucun coin, aucun trou, surtout pas ceux particulièrement sensibles de son bas-ventre allant même jusqu’à lui fourrer le jet dans l’anus pour bien la laver en profondeur.
- Bon, cela suffit, la toilette de petite princesse. Tu sors de là ! Tu peux rester debout, on a de la marche à faire et je n’ai pas de temps à perdre. Tu sècheras en marchant, les couloirs du sous-sol ne sont pas fragiles et en craignent pas de recevoir quelques gouttes qui tomberont de ton corps. On les lave à grande eau régulièrement. Et puis, je vais vite te réchauffer, tu vas voir. Mais d’abord, je vais te mettre un bouchon dans le cul, cela sera plus propre ainsi.
Thaïs MDE sort de la douche, toute dégoulinante, tremblant de froid, baissant la tête devant Marie qui vient d’attraper une lourde laisse en métal qu’elle accroche à l’anneau qui pend au cou de la soumise. Elle attrape la chaîne presque par le bout, laissant à la belle chienne peu de liberté d’action et la forçant à se tenir presque pliée en deux au niveau de la taille. Marie insère un plug en métal dans l’anus de la chienne-soumise et sans ajouter un mot, elle démarre en trombe, sort du cachot et se dirige vers l’autre aile du Château, la partie qui se trouve sous les cuisines et les offices. Thaïs MDE suit difficilement courbée en deux, la tête plus bas que la taille, dans un déséquilibre presque permanent qui l’oblige à se concentrer pour ne pas tomber, ce qui ne ferait qu’ajouter à l’emportement et l’impatience de la cuisinière qui semble aussi pressée que si elle avait un train à prendre.
- Dépêche-toi un peu fainéante. Je n’ai pas envie que ce que j’ai mis sur le feu refroidisse avant mon arrivée.
Marie arrive dans une grande salle qui ressemble à une cuisine de collectivité, bien différente de la cuisine du rez-de-chaussée utilisée tous les jours, qui est plutôt restée à l’ancienne dans le décor, bien qu’équipée des appareils ménagers les plus performants, mais encastrés dans un style rustique et avec des meubles en bois et de nombreux ustensiles en cuivre qui servent tant à faire la cuisine qu’à l’ornementation. Cette pièce est vide et semble ne pas avoir été utilisée récemment, car tout est nickel presque comme neuf d'un métal étincelant. La cuisinière a fait se redresser Thaïs MDE comme s'il fallait qu’elle regarde ce qui l’entoure à présent.
- Je suppose que tu n’es jamais rentrée dans cette pièce. Cette cuisine n’est utilisée que lors des grandes réceptions au Château qui réunissent une centaine ou plus de personnes, car j’ai beaucoup plus d’espace et de commodités pour gérer la fabrication des plats en grande quantité. Il y a ici de grands fourneaux, un tourne broche géant qui permet de faire cuire un animal entier, qu’il s’agisse d’un cochon de lait, sanglier ou d’un chevreuil par exemple. Tu vas voir, un peu plus loin, il y a quelque chose de très intéressant à découvrir.
Thaïs MDE se demande bien pourquoi Marie tient tant à lui faire visiter cette cuisine désaffectée bien qu’impeccablement propre et visiblement entretenue en bon état, s’interrogeant d’autant plus que la cuisinière semblait pressée quelques minutes plus tôt et qu’elle parlait de ce qu’elle avait mis sur le feu qui risquait de refroidir, ne comprenant pas bien pourquoi elle lui a fait faire une halte dans cette pièce au lieu de monter directement en cuisine. Au fond de la pièce, presque à même le sol, elle aperçoit un genre de baquet allongé en métal qui lui fait presque plus penser à une baignoire de l’ancien temps sur pied, qu'à un équipement ménager. En dessous, il y a deux grands feux de réchauds posés à même le sol, un peu comme des feux de réchauds de camping mais en cinq fois plus gros. La soumise se demande si c’est ça que Marie tenait tant à lui montrer.
- C’est notre "poissonnière-saumonnière" géante. Je m’en suis déjà servie pour faire cuire des saumons de plus d’1,20 m en entier. Cela fait en général un effet époustouflant sur le buffet lorsque je fais porter ce plat d’un poisson d’une seule pièce et garni par au moins quatre soumis. Monsieur le Marquis d’Evans apprécie que je puisse toujours gâter et surprendre Ses Invités lorsqu’Il organise des soirées si renommées.
Marie s’approche de l’installation faite maison, qui est bien une ancienne baignoire qui a été détournée de son utilisation première et qui sert maintenant à faire cuire divers aliments en grande quantité ou de taille anormalement longue. La poissonnière-baignoire est remplie d’eau qui semble chaude car un peu de buée s’en échappe.
- Tu as eu froid sous la douche, tu vas pouvoir te réchauffer dans ce bon bain maintenant. Tu vois, je t’avais bien promis que tu n’aurais pas froid très longtemps.
Thaïs MDE est un peu récalcitrante à l’idée de se tremper dans cette eau qui lui semble particulièrement chaude et Marie s’est aperçue de son temps de recul. La cuisinière attrape donc sa spatule en bois et de grands coups sur les fesses de la soumise, elle la pousse vers le bain chaud.
- Tu n’as rien à craindre, ce n’est pas brûlant. C’est un peu chaud, mais cela reste équivalent à ce que tu pourrais trouver en hydrothérapie, c'est-à-dire les bains chauds utilisés en thalassothérapie ou dans les stations de bains thermaux, la température est entre 37° et 38°, je viens de vérifier au thermomètre immergé. Cela va te paraître chaud au début, mais tu ne risques rien sauf de devenir un peu rouge crevette tant que tu feras trempette et de suer à grosses gouttes. Bon maintenant que je t’ai tout expliqué, soit tu grimpes dedans et tu te trempes en entier en moins de 5 secondes, soit c’est moi qui te jette à l’eau sans prendre de gants, punition à la clef bien entendu.
Thaïs MDE ne voulant pas prendre le risque d’une punition qui serait rapporté bien évidemment à son Maître Vénéré, se résout à tremper une jambe et puis l’autre. La sensation de chaleur se répand sur tout le corps, elle a bien entendu Marie lui dire qu’elle ne risquait pas de se brûler, elle est submergée par la température chaude qui contraste d’autant plus qu’elle était encore grelottante depuis la sortie de la douche, mais elle se rappelle qu’elle avait l’habitude plus jeune de fréquenter un centre aquatique où elle prenait plaisir à se tremper simultanément dans un bain chaud puis dans un bain froid, car elle savait que c’était bon pour la peau et le corps. Prenant son courage à deux mains, elle se glisse entièrement au fond de la baignoire, en position allongée, déjà transpirant à grosses gouttes qui coulent de son front.
- Je suppose que tu n’as pas beaucoup bu depuis ce matin. Il te faut boire car tu vas transpirer beaucoup.
Marie lui tend gentiment un grand verre d’eau ressemblant plus à une haute chope de bière, ce qui surprend Thaïs MDE qui a plus l’habitude de devoir boire dans sa gamelle à même le sol. Elle avale le grand verre plein d’une seule traite malgré sa grosse contenance car elle était vraiment assoiffée, et Marie lui en propose un deuxième aussi sec.
- Boit encore, et dépêche-toi, je n’ai pas de temps à perdre.
Pendant que Thaïs MDE boit un peu plus lentement cette fois ce deuxième verre, Marie soulève les jambes de la soumise hors de l’eau et attache les pieds sur le rebord de la poissonnière-baignoire, solidement arrimés sur les pieds de la baignoire afin qu’elle ne puisse pas bouger et encore moins fermer les cuisses. La soumise se sent écartelée et à nouveau elle sent l’excitation qui la prend de se savoir ainsi à la merci de Marie qui n’hésite pas à la regarder faire trempette dans cette eau si claire. Au moment où Thaïs MDE termine son verre d’eau, Marie, qui a grimpé sur deux petits parapets faits de deux agglos chacun, vient se positionner juste au-dessus de la bouche et du visage de la soumise, ayant juste pris soin d’enlever avant sa jupe et laissant apparaître sa chatte dégoulinante de désirs pervers.
- Je suppose que tu sais ce qui te reste à faire. Tâche de me donner le maximum de plaisir, mais avant j’ai besoin de me vider pour être tout à mon aise.
La cuisinière qui a les pattes écartées de chaque côté de la baignoire attrape ses grandes lèvres pour diriger son jet d’urine directement sur le visage de Thaïs MDE qui se demande bien à cet instant quel pouvait être l’intérêt de l’avoir fait se laver sous la douche froide juste avant, sauf à savoir qu’elle n’a pas à se poser de questions et se contenter juste d’obéir. Marquée par l’odeur forte de Marie et trempant dans un bain souillé de son liquide jaunâtre, Thaïs sent que Marie vient coller directement ses grandes lèvres intimes imprégnées de tant de liquide et d’odeurs fortes mélangés sur sa bouche. La soumise est d’autant plus excitée qu’elle avait bien penser qu’il lui faudrait en passer par là, et que finalement s’il plaisait à Marie que le léchage se fasse au-dessus d’un bain chaud, cela reste une petite perversité sans autre conséquence que de la faire suer un peu plus, mêlant aussi ses grosses gouttes de transpiration aux différents sucs de la cuisinière.
Il ne faut pas très longtemps pour que Marie se laisse débordée par le plaisir né de la langue experte de Thaïs MDE qui lèche son bouton d’amour avec dévouement et suavité. Le bassin de la Domina de Marie s’agite en se frottant de plus en plus fort contre le visage de la soumise. La scène est torride, tant elle dure dans ce plaisir qu’à Marie d’une si puissante excitation à posséder, à jouir de la langue de chienne qui tant bien que mal s’infiltre dans la chatte trempée de Marie. Quand, au bout d’un long moment de spasmes, de gémissements jouissifs, la cuisinière pousse de profonds soupirs assortis de divers ah, ah, ah, langoureux et expressifs tandis qu’elle jouit enfin abondamment tout à son aise, ne se relevant pour libérer la soumise qui se trouvait presque étouffée à force sous les masses de chairs intimes que lorsqu’elle estime avoir assez profité d’un orgasme qu’elle désirait tant. La cuisinière redescend de son perchoir et ayant repris une respiration normale au bout de quelques minutes, elle s’approche de Thaïs MDE qui est toujours en nage dans son eau chaude, beaucoup moins transparente maintenant.
- Viens par-là, la belle chienne à la langue magique. Je vais t’attacher les bras, cela me garantira que tu ne vas pas bouger pour la suite des événements. Je te sais docile et obéissante, mais tout à l’heure tu as eu le malheur d’hésiter lorsqu’il s’est agi de rentrer dans le bain, alors pas question que je risque de rater à cause de toi ma recette savante.
Marie attrape les mains de Thaïs MDE qu’elle lui croise derrière la nuque, attachant chaque bras au pied opposé de la baignoire en métal, l’immobilisant totalement, pieds et poings liés de fait.
- Tu vois comme je suis gentille, j’ai même prévu de te faire un coussin pour que ta tête repose dessus et que tu ne te fatigues pas au niveau de la nuque à force d’appuyer sur le rebord de la poissonnière. Et comme je vais être encore plus gentille, je vais aussi te nourrir. Est-ce que tu as mangé depuis ce matin ?
Thaïs MDE hoche négativement de la tête, n’ayant pas expressément été autorisée à parler.
- Je m’en doutais. Tiens voilà une tomate, tu vas pouvoir croquer dedans à pleine dents. C’est bon pour la santé les légumes…
(A suivre…..)
Thaïs MDE est choquée des propos de Marie qui ne dépeignent pas du tout ce qu’elle a ressenti, mais elle préfère ne pas broncher, laissant juste l’eau couler sur son corps, projetée avec force par Marie qui la fait se tourner dans tous les sens et qui n’épargne aucun coin, aucun trou, surtout pas ceux particulièrement sensibles de son bas-ventre allant même jusqu’à lui fourrer le jet dans l’anus pour bien la laver en profondeur.
- Bon, cela suffit, la toilette de petite princesse. Tu sors de là ! Tu peux rester debout, on a de la marche à faire et je n’ai pas de temps à perdre. Tu sècheras en marchant, les couloirs du sous-sol ne sont pas fragiles et en craignent pas de recevoir quelques gouttes qui tomberont de ton corps. On les lave à grande eau régulièrement. Et puis, je vais vite te réchauffer, tu vas voir. Mais d’abord, je vais te mettre un bouchon dans le cul, cela sera plus propre ainsi.
Thaïs MDE sort de la douche, toute dégoulinante, tremblant de froid, baissant la tête devant Marie qui vient d’attraper une lourde laisse en métal qu’elle accroche à l’anneau qui pend au cou de la soumise. Elle attrape la chaîne presque par le bout, laissant à la belle chienne peu de liberté d’action et la forçant à se tenir presque pliée en deux au niveau de la taille. Marie insère un plug en métal dans l’anus de la chienne-soumise et sans ajouter un mot, elle démarre en trombe, sort du cachot et se dirige vers l’autre aile du Château, la partie qui se trouve sous les cuisines et les offices. Thaïs MDE suit difficilement courbée en deux, la tête plus bas que la taille, dans un déséquilibre presque permanent qui l’oblige à se concentrer pour ne pas tomber, ce qui ne ferait qu’ajouter à l’emportement et l’impatience de la cuisinière qui semble aussi pressée que si elle avait un train à prendre.
- Dépêche-toi un peu fainéante. Je n’ai pas envie que ce que j’ai mis sur le feu refroidisse avant mon arrivée.
Marie arrive dans une grande salle qui ressemble à une cuisine de collectivité, bien différente de la cuisine du rez-de-chaussée utilisée tous les jours, qui est plutôt restée à l’ancienne dans le décor, bien qu’équipée des appareils ménagers les plus performants, mais encastrés dans un style rustique et avec des meubles en bois et de nombreux ustensiles en cuivre qui servent tant à faire la cuisine qu’à l’ornementation. Cette pièce est vide et semble ne pas avoir été utilisée récemment, car tout est nickel presque comme neuf d'un métal étincelant. La cuisinière a fait se redresser Thaïs MDE comme s'il fallait qu’elle regarde ce qui l’entoure à présent.
- Je suppose que tu n’es jamais rentrée dans cette pièce. Cette cuisine n’est utilisée que lors des grandes réceptions au Château qui réunissent une centaine ou plus de personnes, car j’ai beaucoup plus d’espace et de commodités pour gérer la fabrication des plats en grande quantité. Il y a ici de grands fourneaux, un tourne broche géant qui permet de faire cuire un animal entier, qu’il s’agisse d’un cochon de lait, sanglier ou d’un chevreuil par exemple. Tu vas voir, un peu plus loin, il y a quelque chose de très intéressant à découvrir.
Thaïs MDE se demande bien pourquoi Marie tient tant à lui faire visiter cette cuisine désaffectée bien qu’impeccablement propre et visiblement entretenue en bon état, s’interrogeant d’autant plus que la cuisinière semblait pressée quelques minutes plus tôt et qu’elle parlait de ce qu’elle avait mis sur le feu qui risquait de refroidir, ne comprenant pas bien pourquoi elle lui a fait faire une halte dans cette pièce au lieu de monter directement en cuisine. Au fond de la pièce, presque à même le sol, elle aperçoit un genre de baquet allongé en métal qui lui fait presque plus penser à une baignoire de l’ancien temps sur pied, qu'à un équipement ménager. En dessous, il y a deux grands feux de réchauds posés à même le sol, un peu comme des feux de réchauds de camping mais en cinq fois plus gros. La soumise se demande si c’est ça que Marie tenait tant à lui montrer.
- C’est notre "poissonnière-saumonnière" géante. Je m’en suis déjà servie pour faire cuire des saumons de plus d’1,20 m en entier. Cela fait en général un effet époustouflant sur le buffet lorsque je fais porter ce plat d’un poisson d’une seule pièce et garni par au moins quatre soumis. Monsieur le Marquis d’Evans apprécie que je puisse toujours gâter et surprendre Ses Invités lorsqu’Il organise des soirées si renommées.
Marie s’approche de l’installation faite maison, qui est bien une ancienne baignoire qui a été détournée de son utilisation première et qui sert maintenant à faire cuire divers aliments en grande quantité ou de taille anormalement longue. La poissonnière-baignoire est remplie d’eau qui semble chaude car un peu de buée s’en échappe.
- Tu as eu froid sous la douche, tu vas pouvoir te réchauffer dans ce bon bain maintenant. Tu vois, je t’avais bien promis que tu n’aurais pas froid très longtemps.
Thaïs MDE est un peu récalcitrante à l’idée de se tremper dans cette eau qui lui semble particulièrement chaude et Marie s’est aperçue de son temps de recul. La cuisinière attrape donc sa spatule en bois et de grands coups sur les fesses de la soumise, elle la pousse vers le bain chaud.
- Tu n’as rien à craindre, ce n’est pas brûlant. C’est un peu chaud, mais cela reste équivalent à ce que tu pourrais trouver en hydrothérapie, c'est-à-dire les bains chauds utilisés en thalassothérapie ou dans les stations de bains thermaux, la température est entre 37° et 38°, je viens de vérifier au thermomètre immergé. Cela va te paraître chaud au début, mais tu ne risques rien sauf de devenir un peu rouge crevette tant que tu feras trempette et de suer à grosses gouttes. Bon maintenant que je t’ai tout expliqué, soit tu grimpes dedans et tu te trempes en entier en moins de 5 secondes, soit c’est moi qui te jette à l’eau sans prendre de gants, punition à la clef bien entendu.
Thaïs MDE ne voulant pas prendre le risque d’une punition qui serait rapporté bien évidemment à son Maître Vénéré, se résout à tremper une jambe et puis l’autre. La sensation de chaleur se répand sur tout le corps, elle a bien entendu Marie lui dire qu’elle ne risquait pas de se brûler, elle est submergée par la température chaude qui contraste d’autant plus qu’elle était encore grelottante depuis la sortie de la douche, mais elle se rappelle qu’elle avait l’habitude plus jeune de fréquenter un centre aquatique où elle prenait plaisir à se tremper simultanément dans un bain chaud puis dans un bain froid, car elle savait que c’était bon pour la peau et le corps. Prenant son courage à deux mains, elle se glisse entièrement au fond de la baignoire, en position allongée, déjà transpirant à grosses gouttes qui coulent de son front.
- Je suppose que tu n’as pas beaucoup bu depuis ce matin. Il te faut boire car tu vas transpirer beaucoup.
Marie lui tend gentiment un grand verre d’eau ressemblant plus à une haute chope de bière, ce qui surprend Thaïs MDE qui a plus l’habitude de devoir boire dans sa gamelle à même le sol. Elle avale le grand verre plein d’une seule traite malgré sa grosse contenance car elle était vraiment assoiffée, et Marie lui en propose un deuxième aussi sec.
- Boit encore, et dépêche-toi, je n’ai pas de temps à perdre.
Pendant que Thaïs MDE boit un peu plus lentement cette fois ce deuxième verre, Marie soulève les jambes de la soumise hors de l’eau et attache les pieds sur le rebord de la poissonnière-baignoire, solidement arrimés sur les pieds de la baignoire afin qu’elle ne puisse pas bouger et encore moins fermer les cuisses. La soumise se sent écartelée et à nouveau elle sent l’excitation qui la prend de se savoir ainsi à la merci de Marie qui n’hésite pas à la regarder faire trempette dans cette eau si claire. Au moment où Thaïs MDE termine son verre d’eau, Marie, qui a grimpé sur deux petits parapets faits de deux agglos chacun, vient se positionner juste au-dessus de la bouche et du visage de la soumise, ayant juste pris soin d’enlever avant sa jupe et laissant apparaître sa chatte dégoulinante de désirs pervers.
- Je suppose que tu sais ce qui te reste à faire. Tâche de me donner le maximum de plaisir, mais avant j’ai besoin de me vider pour être tout à mon aise.
La cuisinière qui a les pattes écartées de chaque côté de la baignoire attrape ses grandes lèvres pour diriger son jet d’urine directement sur le visage de Thaïs MDE qui se demande bien à cet instant quel pouvait être l’intérêt de l’avoir fait se laver sous la douche froide juste avant, sauf à savoir qu’elle n’a pas à se poser de questions et se contenter juste d’obéir. Marquée par l’odeur forte de Marie et trempant dans un bain souillé de son liquide jaunâtre, Thaïs sent que Marie vient coller directement ses grandes lèvres intimes imprégnées de tant de liquide et d’odeurs fortes mélangés sur sa bouche. La soumise est d’autant plus excitée qu’elle avait bien penser qu’il lui faudrait en passer par là, et que finalement s’il plaisait à Marie que le léchage se fasse au-dessus d’un bain chaud, cela reste une petite perversité sans autre conséquence que de la faire suer un peu plus, mêlant aussi ses grosses gouttes de transpiration aux différents sucs de la cuisinière.
Il ne faut pas très longtemps pour que Marie se laisse débordée par le plaisir né de la langue experte de Thaïs MDE qui lèche son bouton d’amour avec dévouement et suavité. Le bassin de la Domina de Marie s’agite en se frottant de plus en plus fort contre le visage de la soumise. La scène est torride, tant elle dure dans ce plaisir qu’à Marie d’une si puissante excitation à posséder, à jouir de la langue de chienne qui tant bien que mal s’infiltre dans la chatte trempée de Marie. Quand, au bout d’un long moment de spasmes, de gémissements jouissifs, la cuisinière pousse de profonds soupirs assortis de divers ah, ah, ah, langoureux et expressifs tandis qu’elle jouit enfin abondamment tout à son aise, ne se relevant pour libérer la soumise qui se trouvait presque étouffée à force sous les masses de chairs intimes que lorsqu’elle estime avoir assez profité d’un orgasme qu’elle désirait tant. La cuisinière redescend de son perchoir et ayant repris une respiration normale au bout de quelques minutes, elle s’approche de Thaïs MDE qui est toujours en nage dans son eau chaude, beaucoup moins transparente maintenant.
- Viens par-là, la belle chienne à la langue magique. Je vais t’attacher les bras, cela me garantira que tu ne vas pas bouger pour la suite des événements. Je te sais docile et obéissante, mais tout à l’heure tu as eu le malheur d’hésiter lorsqu’il s’est agi de rentrer dans le bain, alors pas question que je risque de rater à cause de toi ma recette savante.
Marie attrape les mains de Thaïs MDE qu’elle lui croise derrière la nuque, attachant chaque bras au pied opposé de la baignoire en métal, l’immobilisant totalement, pieds et poings liés de fait.
- Tu vois comme je suis gentille, j’ai même prévu de te faire un coussin pour que ta tête repose dessus et que tu ne te fatigues pas au niveau de la nuque à force d’appuyer sur le rebord de la poissonnière. Et comme je vais être encore plus gentille, je vais aussi te nourrir. Est-ce que tu as mangé depuis ce matin ?
Thaïs MDE hoche négativement de la tête, n’ayant pas expressément été autorisée à parler.
- Je m’en doutais. Tiens voilà une tomate, tu vas pouvoir croquer dedans à pleine dents. C’est bon pour la santé les légumes…
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