La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 342)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 342)
Suite de l'épisode précédent N°341 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré -
L’esclave baisse la tête, regrettant beaucoup d’avoir laissé trop paraître son désir, alors qu’elle n’était là après tout que pour satisfaire les envies farfelues de Marie. Son bas-ventre la titille d’autant plus que la cuisinière a commencé à lui caresser les seins, à les lui malaxer pleinement de ses grandes mains encore trempées de tomate, même si Marie lui en déjà fait lécher une bonne partie.
- Oui, c’est bien ce que je dis, tu n’es qu’une chienne-esclave qui ne doit pas comprendre et connaître grand-chose à la cuisine, surtout que si j’ai bien compris avant de venir ici, tu la jouais grande femme d’affaires qui ne devait pas souvent se salir les mains devant les fourneaux. Je parie même que tu avais une femme de ménage et une cuisinière à ton service… Mais ici, les rôles sont inversés, alors, je vais quand même essayer de t’expliquer le bé à ba de la cuisine à ma manière. Pour faire un bon bouillon, il faut de bons légumes. Tu vois, c’est simple après tout !... Simple, mais… surtout quand c’est à ma façon… ha ! ha ! ha ! …
Marie ironiquement perverse par son rire vicieux s’éloigne de quelques mètres et revient avec une petite caissette remplie de poireaux déjà correctement nettoyés mais laissés entiers et mis à refroidir et durcir tels quels. Elle en attrape un et s’en sert pour caresser avec la partie blanche, les joues, le cou et la poitrine de Thaïs MDE qui frissonne en sentant le légume froid qui sort du freezer parcourir sa peau sensible et vivifiée. La cuisinière ayant attisé les sens de la soumise sur la partie du corps qui est au-dessus de l’eau prend le poireau dans l’autre sens écartant la partie verte supérieure au maximum et donnent de petits coups sur les seins tendus de la chienne, martinet naturel dont les lanières sont constitués des feuilles encore givrées et durcies qui viennent s’abattre sur les mamelons turgescents d’autant plus sensibles que l’écart de température entre le poireau glacé et le bain très chaud est important. Après avoir refroidi sensiblement la poitrine de l’esclave, ayant pour cela utilisé plusieurs poireaux qui finissaient par devenir inefficaces en quelques giclées dès qu’ils se réchauffaient et se ramollissaient à température ambiante, la cuisinière ajoute :
- C’est très bon les poireaux pour faire un bon « potage à la soumise » façon Marie, recette inventée par mes soins et dont je conserve l’exclusivité absolue. Par contre, le poireau, ce n’est pas bon pour toi, il est cru et tu ne peux pas en manger. Je vais te redonner encore un peu de tomate mais plus … disons… de façon plus cuisinée … !
Alors cette fois-ci, Marie presse carrément de manière presque ininterrompue plusieurs tomates molles au-dessus de la bouche et du visage de la soumise faisant tomber la chair souple dans la bouche ou à côté, et jetant le reste des légumes écrasés dans l’eau. La cuisinière entreprend ensuite de couper un à un les poireaux au-dessus du corps de Thaïs, laissant les petits centimètres verts et blancs de légumes coupés tomber sur la poitrine ou dans le bain. Thaïs qui avait accepté sans broncher jusqu’à présent de se laisser manipuler par la cuisinière, commence à se sentir assez mal à l’aise de voir la tournure que prennent les événements. Elle vient de repenser aux images de BD ou de films qui montraient des cannibales qui mettaient leurs victimes et leur futur repas humain à cuire dans de grandes marmites à même le feu. Elle se demande si Marie n’a pas perdu la tête car elle se souvient que la poissonnière dans laquelle elle trempe est située au-dessus justement de réchauds posés à même le sol. L’eau est déjà très chaude et elle craint d’être brulée carrément si la cuisinière se mettait à allumer les feux, car le métal du récipient deviendrait vite brulant. Elle tente de se raisonner en se disant que même si elle a compris depuis le début que Marie la cuisinière est assez sadique, aimant jouer avec les esclaves du cheptel à leurs dépens, Le Maître Vénéré à qui elle appartient, a toute confiance en elle et que dans ces conditions, elle ne pourra pas prendre le risque de porter atteinte à la vie de celle qui est sous la protection du Châtelain.
En parallèle, la soumise se rend compte que cette situation qui la panique par un certain côté malgré le fait que cela soit peu crédible, l’excite aussi terriblement, se sentant totalement impuissante, vulnérable, devant accepter toutes les lubies les plus folles de cette cuisinière qui se plait à jouer des aliments qui font son quotidien, n’hésitant pas à gâcher sans remords cette nourriture juste pour le plaisir d’un spectacle loufoque et l’envie de faire tremper l’esclave dans un bain déjà souillé de l’urine et de la cyprine de Marie, et maintenant rempli de tomates et de poireaux. Marie continue à couper les poireaux, mais en garde un non coupé, ayant déjà en tête la suite de sa recette. Elle oblige Thaïs MDE à boire un cinquième grand verre d’eau qui doit bien avoir maintenant vidé une bouteille entière, mais dont une bonne partie a dû partir en transpiration dans ce « spa » alimentaire improvisé et forcé, qui est loin de ressembler à un spa aux huiles essentielles comme on en trouve dans certains instituts de beauté. La cuisinière glisse le dernier gros poireau non coupé dans la bouche de la soumise, le plaçant à l’horizontale en travers entre les deux commissures des lèvres écartées de l’esclave, un peu comme si elle lui avait mis un mors entre les dents.
- Ne bouge pas … Celui-ci sera pour plus tard …. Pour l’instant, il faut que je te prépare un peu mieux. Je ne sais pas si tu sais pourquoi lorsqu’on a fait cuire de la tête de veau ou bien de cochon, l’habitude est de toujours garnir de persil les trous des oreilles et du nez de l’animal si on veut la servir entière sur une table, il parait que c’est plus pudique. Je me demande si tu ne serais pas enfin belle toi aussi avec un peu d’herbes frisée comme parure pendant que tu fais trempette dans mon bouillon.
La cuisinière repart vers le frigidaire chercher plusieurs saladiers remplis que Thaïs MDE aperçoit à peine car elle garde la tête inclinée et le regard baisé, conservant entre ses dents le gros poireau entier que Marie lui a glissé qui lui tient la bouche complètement écartelée. Thaïs comprend cependant que la cuisinière avait déjà largement tout orchestré et préparé avant de venir en ce lieu, et que ce n’est pas une lubie passagère mais bien quelque chose de concocté dans le détail, un vrai jeu avec ingrédients et recettes, comme peuvent parfois le faire les enfants quand ils veulent jouer à la maman et à la cuisinière. Marie renverse dans l’eau les saladiers qui contiennent des petits cubes de pommes de terre que visiblement l’un des esclaves du cheptel a dû éplucher et couper dans la matinée. Elle y ajoute des dés de courgette et saupoudre l’ensemble de grains de sel et de poivres concassés qu’elle vient de jeter sur le cou et les seins de Thaïs. La soumise commence à se sentir d’autant plus mal que Marie vient de lui mettre deux bouquets de persil sans tige dans chaque oreille et qu’elle a jeté sur l’eau du bain des herbes de Provence qui embaument ses narines certes, mais qui donne à ce bain une odeur peu habituelle, pour celle qui utilise toujours des huiles parfumées fleuries, tonifiantes ou relaxantes, qui donnent de l’onctuosité et de la senteur à sa peau à la sortie du bain. Elle est honteuse d’avoir été ainsi garnie de persil, comme une vulgaire tête de porc qui ornerait la devanture d’une boucherie, se sentant maintenant souillée et presque dégoutée de tant d’aliments dans lesquels elle barbote à peine immobile, pouvant cependant de temps en temps relever son postérieur par contraction des muscles fessiers pour alléger la tension dans les membres qui commencent à s’endolorir.
- Voilà tous les ingrédients y sont presque, je voudrais juste rajouter dans ce bouillon un peu de tes sucs de chienne-femelle en chaleur.
Marie qui avait pourtant quelques instants plus tard précisé le contraire, vient de mettre en éveil à nouveau les sens et l’excitation de Thaïs MDE qui n’a pas manqué de noter cette petite phrase, malgré le fait qu’elle ne se sent pas vraiment à l’aise dans cette pataugeoire qui ne ressemble plus à l’eau limpide dans laquelle elle s’était immergée au départ. La cuisinière relève les manches de sa grande liquette et trempe ses mains dans l’eau à la recherche du corps de la soumise et plus particulièrement de ses parties intimes qu’elle imagine largement excitées tant par le désir que par la chaleur qui doit régner entre ses lèvres roses qui doivent être aussi rouges que le reste de son corps. Elle passe la main largement entre les lèvres, caressant la belle et la fouillant, se plaisant aussi à attraper dans chaque main quelques cubes de légumes plus durs pour les faire riper sur le corps, le ventre, les jambes, le pubis glabre et la chatte de l’esclave qui a vraiment l’impression de n’être plus qu’un jouet frivole pour les idées concupiscentes de cette cuisinière qui à force de trainer dans les cuisines et au milieu de tant d’aliments a dû finir par perdre la tête et sûrement fantasmer avec ce qui fait son univers et son quotidien. La cuisinière attrape dans la bouche de Thaïs MDE le dernier poireau qui n’a pas été coupé et sans perdre un instant, elle l’enfonce dans l’anus de la soumise sans ménagement, d’un coup sec. La chienne-esclave pousse un petit cri, plus de surprise que de douleur, malgré la grosseur du pseudo-gode naturel, même si elle se comprend maintenant pourquoi Marie avait choisi de conserver pour ne pas le couper le poireau au diamètre le plus large.
- Vilaine chienne, juste bonne à dresser et à châtier ! Qui est-ce qui t’a autorisé à parler ou à gémir ! (Marie s’exprime de sa lourde voix qui est fracassante dans le silence qui règne dans cette pièce où les deux femmes se trouvent seules). Tu seras punie pour ce manquement à la règle de base qui règne en ces murs légendaires. Je vais réfléchir à quelque chose de tout à fait adapté à ton cas d’écervelée. Je te ferai part de la sanction que je vais t’imposer au moment où je te remettrai à nouveau entre les mains de notre bon Majordome, qui pourra s’il le juge utile compléter ou doubler la sanction, suivant tes autres fautes accumulées de la journée. Tâche maintenant de la fermer sinon j’inverse et ce « petit » con-combre que je destinais à ton con, je te le fourre dans le cul et tu verras bien qu’il est d’une toute autre taille pour te dilater les fesses…
Thaïs MDE est très gênée des propos rustres et obscènes de la cuisinière, rougissant de honte de se savoir excitée d’être ainsi à sa merci et pourtant si désireuse de pouvoir être pénétrée malgré l’étrangeté de la situation et le drôle de liquide dans lequel elle a été plongée, car il lui semble de plus en plus difficile de comparer cela à un bain maintenant. La chienne-esclave est toutefois heureuse de savoir que Marie n’avait pas eu dans l’idée de lui enfoncer l’énorme concombre dans son petit trou, mais bien le poireau qui reste d’une taille plus adaptée, bien que déjà conséquente. La cuisinière essaye d’enfoncer un peu plus profondément le poireau entre les fesses de l’esclave qui se mord les lèvres pour ne pas broncher, ni de douleur, ni de surprise, ni surtout d’excitation et de plaisirs non encore autorisés. Elle sent ce premier légume venir appuyer au plus profond de ses entrailles, tout en même temps qu’elle comprend que Marie est en train d’écarter ses grandes lèvres pour rentrer dans son vagin l’énorme et long concombre, qui s’il n’est pas équivalent à un fisting, s’en rapproche plus par la taille que d’un simple godage. Sensation étrange pour Thaïs MDE qui avait déjà eu l’occasion de faire l’amour en couple dans une baignoire remplie de mousse et d’effluves de senteurs odorantes, mais qui comprend que ce qu’elle vit est d’une toute autre perversité et d’une intensité à nulle autre pareille tandis que Marie commence à agiter dans tous les sens les deux légumes, entrant et sortant dans ses orifices immergés, faisant remuer à grands coups de vagues tous les ingrédients qui viennent par moment caresser et titiller la peau de la chienne-esclave, dont le corps se trouve sollicité de multiples sensations.
- Je te préviens ! Tu ne jouis pas la chienne ! …. Tu vas attendre un peu avant de pouvoir y avoir droit et avant que je te laisse atteindre la crête des plaisirs. J’ai envie de t’entendre me supplier et me supplier encore de te permettre de te lâcher et de faire retomber la pression qui va te dévorer. Et même quand tu me supplieras de te permettre d’avoir un orgasme, il n’est même pas sûr que je consentirai à te l’accorder, si je trouve que c’est trop tôt ou que tu ne m’as pas assez bien supplié et remercié pour le mal que je me suis donnée à te préparer un si bon bouillon de légumes et de cyprine dans lequel tu mijotes allégrement...
Et Marie accentua de plus belle le godage végétal dans les deux orifices de la chienne-soumise …
(A suivre…..)
L’esclave baisse la tête, regrettant beaucoup d’avoir laissé trop paraître son désir, alors qu’elle n’était là après tout que pour satisfaire les envies farfelues de Marie. Son bas-ventre la titille d’autant plus que la cuisinière a commencé à lui caresser les seins, à les lui malaxer pleinement de ses grandes mains encore trempées de tomate, même si Marie lui en déjà fait lécher une bonne partie.
- Oui, c’est bien ce que je dis, tu n’es qu’une chienne-esclave qui ne doit pas comprendre et connaître grand-chose à la cuisine, surtout que si j’ai bien compris avant de venir ici, tu la jouais grande femme d’affaires qui ne devait pas souvent se salir les mains devant les fourneaux. Je parie même que tu avais une femme de ménage et une cuisinière à ton service… Mais ici, les rôles sont inversés, alors, je vais quand même essayer de t’expliquer le bé à ba de la cuisine à ma manière. Pour faire un bon bouillon, il faut de bons légumes. Tu vois, c’est simple après tout !... Simple, mais… surtout quand c’est à ma façon… ha ! ha ! ha ! …
Marie ironiquement perverse par son rire vicieux s’éloigne de quelques mètres et revient avec une petite caissette remplie de poireaux déjà correctement nettoyés mais laissés entiers et mis à refroidir et durcir tels quels. Elle en attrape un et s’en sert pour caresser avec la partie blanche, les joues, le cou et la poitrine de Thaïs MDE qui frissonne en sentant le légume froid qui sort du freezer parcourir sa peau sensible et vivifiée. La cuisinière ayant attisé les sens de la soumise sur la partie du corps qui est au-dessus de l’eau prend le poireau dans l’autre sens écartant la partie verte supérieure au maximum et donnent de petits coups sur les seins tendus de la chienne, martinet naturel dont les lanières sont constitués des feuilles encore givrées et durcies qui viennent s’abattre sur les mamelons turgescents d’autant plus sensibles que l’écart de température entre le poireau glacé et le bain très chaud est important. Après avoir refroidi sensiblement la poitrine de l’esclave, ayant pour cela utilisé plusieurs poireaux qui finissaient par devenir inefficaces en quelques giclées dès qu’ils se réchauffaient et se ramollissaient à température ambiante, la cuisinière ajoute :
- C’est très bon les poireaux pour faire un bon « potage à la soumise » façon Marie, recette inventée par mes soins et dont je conserve l’exclusivité absolue. Par contre, le poireau, ce n’est pas bon pour toi, il est cru et tu ne peux pas en manger. Je vais te redonner encore un peu de tomate mais plus … disons… de façon plus cuisinée … !
Alors cette fois-ci, Marie presse carrément de manière presque ininterrompue plusieurs tomates molles au-dessus de la bouche et du visage de la soumise faisant tomber la chair souple dans la bouche ou à côté, et jetant le reste des légumes écrasés dans l’eau. La cuisinière entreprend ensuite de couper un à un les poireaux au-dessus du corps de Thaïs, laissant les petits centimètres verts et blancs de légumes coupés tomber sur la poitrine ou dans le bain. Thaïs qui avait accepté sans broncher jusqu’à présent de se laisser manipuler par la cuisinière, commence à se sentir assez mal à l’aise de voir la tournure que prennent les événements. Elle vient de repenser aux images de BD ou de films qui montraient des cannibales qui mettaient leurs victimes et leur futur repas humain à cuire dans de grandes marmites à même le feu. Elle se demande si Marie n’a pas perdu la tête car elle se souvient que la poissonnière dans laquelle elle trempe est située au-dessus justement de réchauds posés à même le sol. L’eau est déjà très chaude et elle craint d’être brulée carrément si la cuisinière se mettait à allumer les feux, car le métal du récipient deviendrait vite brulant. Elle tente de se raisonner en se disant que même si elle a compris depuis le début que Marie la cuisinière est assez sadique, aimant jouer avec les esclaves du cheptel à leurs dépens, Le Maître Vénéré à qui elle appartient, a toute confiance en elle et que dans ces conditions, elle ne pourra pas prendre le risque de porter atteinte à la vie de celle qui est sous la protection du Châtelain.
En parallèle, la soumise se rend compte que cette situation qui la panique par un certain côté malgré le fait que cela soit peu crédible, l’excite aussi terriblement, se sentant totalement impuissante, vulnérable, devant accepter toutes les lubies les plus folles de cette cuisinière qui se plait à jouer des aliments qui font son quotidien, n’hésitant pas à gâcher sans remords cette nourriture juste pour le plaisir d’un spectacle loufoque et l’envie de faire tremper l’esclave dans un bain déjà souillé de l’urine et de la cyprine de Marie, et maintenant rempli de tomates et de poireaux. Marie continue à couper les poireaux, mais en garde un non coupé, ayant déjà en tête la suite de sa recette. Elle oblige Thaïs MDE à boire un cinquième grand verre d’eau qui doit bien avoir maintenant vidé une bouteille entière, mais dont une bonne partie a dû partir en transpiration dans ce « spa » alimentaire improvisé et forcé, qui est loin de ressembler à un spa aux huiles essentielles comme on en trouve dans certains instituts de beauté. La cuisinière glisse le dernier gros poireau non coupé dans la bouche de la soumise, le plaçant à l’horizontale en travers entre les deux commissures des lèvres écartées de l’esclave, un peu comme si elle lui avait mis un mors entre les dents.
- Ne bouge pas … Celui-ci sera pour plus tard …. Pour l’instant, il faut que je te prépare un peu mieux. Je ne sais pas si tu sais pourquoi lorsqu’on a fait cuire de la tête de veau ou bien de cochon, l’habitude est de toujours garnir de persil les trous des oreilles et du nez de l’animal si on veut la servir entière sur une table, il parait que c’est plus pudique. Je me demande si tu ne serais pas enfin belle toi aussi avec un peu d’herbes frisée comme parure pendant que tu fais trempette dans mon bouillon.
La cuisinière repart vers le frigidaire chercher plusieurs saladiers remplis que Thaïs MDE aperçoit à peine car elle garde la tête inclinée et le regard baisé, conservant entre ses dents le gros poireau entier que Marie lui a glissé qui lui tient la bouche complètement écartelée. Thaïs comprend cependant que la cuisinière avait déjà largement tout orchestré et préparé avant de venir en ce lieu, et que ce n’est pas une lubie passagère mais bien quelque chose de concocté dans le détail, un vrai jeu avec ingrédients et recettes, comme peuvent parfois le faire les enfants quand ils veulent jouer à la maman et à la cuisinière. Marie renverse dans l’eau les saladiers qui contiennent des petits cubes de pommes de terre que visiblement l’un des esclaves du cheptel a dû éplucher et couper dans la matinée. Elle y ajoute des dés de courgette et saupoudre l’ensemble de grains de sel et de poivres concassés qu’elle vient de jeter sur le cou et les seins de Thaïs. La soumise commence à se sentir d’autant plus mal que Marie vient de lui mettre deux bouquets de persil sans tige dans chaque oreille et qu’elle a jeté sur l’eau du bain des herbes de Provence qui embaument ses narines certes, mais qui donne à ce bain une odeur peu habituelle, pour celle qui utilise toujours des huiles parfumées fleuries, tonifiantes ou relaxantes, qui donnent de l’onctuosité et de la senteur à sa peau à la sortie du bain. Elle est honteuse d’avoir été ainsi garnie de persil, comme une vulgaire tête de porc qui ornerait la devanture d’une boucherie, se sentant maintenant souillée et presque dégoutée de tant d’aliments dans lesquels elle barbote à peine immobile, pouvant cependant de temps en temps relever son postérieur par contraction des muscles fessiers pour alléger la tension dans les membres qui commencent à s’endolorir.
- Voilà tous les ingrédients y sont presque, je voudrais juste rajouter dans ce bouillon un peu de tes sucs de chienne-femelle en chaleur.
Marie qui avait pourtant quelques instants plus tard précisé le contraire, vient de mettre en éveil à nouveau les sens et l’excitation de Thaïs MDE qui n’a pas manqué de noter cette petite phrase, malgré le fait qu’elle ne se sent pas vraiment à l’aise dans cette pataugeoire qui ne ressemble plus à l’eau limpide dans laquelle elle s’était immergée au départ. La cuisinière relève les manches de sa grande liquette et trempe ses mains dans l’eau à la recherche du corps de la soumise et plus particulièrement de ses parties intimes qu’elle imagine largement excitées tant par le désir que par la chaleur qui doit régner entre ses lèvres roses qui doivent être aussi rouges que le reste de son corps. Elle passe la main largement entre les lèvres, caressant la belle et la fouillant, se plaisant aussi à attraper dans chaque main quelques cubes de légumes plus durs pour les faire riper sur le corps, le ventre, les jambes, le pubis glabre et la chatte de l’esclave qui a vraiment l’impression de n’être plus qu’un jouet frivole pour les idées concupiscentes de cette cuisinière qui à force de trainer dans les cuisines et au milieu de tant d’aliments a dû finir par perdre la tête et sûrement fantasmer avec ce qui fait son univers et son quotidien. La cuisinière attrape dans la bouche de Thaïs MDE le dernier poireau qui n’a pas été coupé et sans perdre un instant, elle l’enfonce dans l’anus de la soumise sans ménagement, d’un coup sec. La chienne-esclave pousse un petit cri, plus de surprise que de douleur, malgré la grosseur du pseudo-gode naturel, même si elle se comprend maintenant pourquoi Marie avait choisi de conserver pour ne pas le couper le poireau au diamètre le plus large.
- Vilaine chienne, juste bonne à dresser et à châtier ! Qui est-ce qui t’a autorisé à parler ou à gémir ! (Marie s’exprime de sa lourde voix qui est fracassante dans le silence qui règne dans cette pièce où les deux femmes se trouvent seules). Tu seras punie pour ce manquement à la règle de base qui règne en ces murs légendaires. Je vais réfléchir à quelque chose de tout à fait adapté à ton cas d’écervelée. Je te ferai part de la sanction que je vais t’imposer au moment où je te remettrai à nouveau entre les mains de notre bon Majordome, qui pourra s’il le juge utile compléter ou doubler la sanction, suivant tes autres fautes accumulées de la journée. Tâche maintenant de la fermer sinon j’inverse et ce « petit » con-combre que je destinais à ton con, je te le fourre dans le cul et tu verras bien qu’il est d’une toute autre taille pour te dilater les fesses…
Thaïs MDE est très gênée des propos rustres et obscènes de la cuisinière, rougissant de honte de se savoir excitée d’être ainsi à sa merci et pourtant si désireuse de pouvoir être pénétrée malgré l’étrangeté de la situation et le drôle de liquide dans lequel elle a été plongée, car il lui semble de plus en plus difficile de comparer cela à un bain maintenant. La chienne-esclave est toutefois heureuse de savoir que Marie n’avait pas eu dans l’idée de lui enfoncer l’énorme concombre dans son petit trou, mais bien le poireau qui reste d’une taille plus adaptée, bien que déjà conséquente. La cuisinière essaye d’enfoncer un peu plus profondément le poireau entre les fesses de l’esclave qui se mord les lèvres pour ne pas broncher, ni de douleur, ni de surprise, ni surtout d’excitation et de plaisirs non encore autorisés. Elle sent ce premier légume venir appuyer au plus profond de ses entrailles, tout en même temps qu’elle comprend que Marie est en train d’écarter ses grandes lèvres pour rentrer dans son vagin l’énorme et long concombre, qui s’il n’est pas équivalent à un fisting, s’en rapproche plus par la taille que d’un simple godage. Sensation étrange pour Thaïs MDE qui avait déjà eu l’occasion de faire l’amour en couple dans une baignoire remplie de mousse et d’effluves de senteurs odorantes, mais qui comprend que ce qu’elle vit est d’une toute autre perversité et d’une intensité à nulle autre pareille tandis que Marie commence à agiter dans tous les sens les deux légumes, entrant et sortant dans ses orifices immergés, faisant remuer à grands coups de vagues tous les ingrédients qui viennent par moment caresser et titiller la peau de la chienne-esclave, dont le corps se trouve sollicité de multiples sensations.
- Je te préviens ! Tu ne jouis pas la chienne ! …. Tu vas attendre un peu avant de pouvoir y avoir droit et avant que je te laisse atteindre la crête des plaisirs. J’ai envie de t’entendre me supplier et me supplier encore de te permettre de te lâcher et de faire retomber la pression qui va te dévorer. Et même quand tu me supplieras de te permettre d’avoir un orgasme, il n’est même pas sûr que je consentirai à te l’accorder, si je trouve que c’est trop tôt ou que tu ne m’as pas assez bien supplié et remercié pour le mal que je me suis donnée à te préparer un si bon bouillon de légumes et de cyprine dans lequel tu mijotes allégrement...
Et Marie accentua de plus belle le godage végétal dans les deux orifices de la chienne-soumise …
(A suivre…..)
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