La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 358)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-12-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 358)
Suite de l'épisode N°354 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré –
Walter, le Majordome du Château d’Evans, vient d’interroger Marie la cuisinière, pour connaître la nature des deux fautes et manquements au règlement que la chienne-esclave Thaïs MDE a commises, et ce que Marie qui a réclamé le droit de pouvoir elle-même punir la soumise défaillante, compte bien lui faire subir. Entre les deux, à quatre pattes, la tête baissée et rentrée dans les épaules, la chienne-esclave attend de savoir ce qui va lui arriver. Elle est troublée car Walter a précisé juste avant qu’il allait forcément noter toutes ces infractions dans un carnet de punitions. Thaïs MDE ne savait pas que telle était la pratique au Château, jusque-là lorsqu’elle faisait une bêtise involontaire, elle était punie par le Maître Vénéré comme elle le méritait et suivant le châtiment que le Maître décidait eu égard à la faute commise, mais jamais IL ne lui avait demandé de faire la liste des punitions qu’elle avait récoltées. Par contre, il incombait à l’esclave fautive de venir humblement et repentante reconnaître sa faute, implorer Le Maître de consentir à la punir et remercier par la suite le Maître de la punition accordée et exécutée, tout cela avant même d’imaginer pouvoir implorer et obtenir le Pardon pour ladite erreur. Thaïs MDE avait toujours reconnu la sagesse des sanctions imposées par Monsieur le Marquis d’Evans, qui était avant tout là pour servir de prise de conscience de la défaillance et du fait que par là-même le Châtelain en avait été courroucé à juste titre, espérant que la punition serve de leçon pour que l’esclave-soumise ne recommence pas deux fois la même erreur.
Thaïs MDE aurait pu se douter de la rigueur qui règne au Château et de la minutie avec laquelle les esclaves sont surveillés en permanence pour pouvoir cheminer dans la soumission, car elle sait que Monsieur le Marquis d’Evans veille toujours, malgré une activité professionnelle prenante, à être tenu informé de tout ce qui se passe, ici chez lui, au Château concernant tant le personnel que les esclaves de Son cheptel. La chienne-soumise est d’autant plus inquiète et attristée que Walter a ajouté que Le Maître serait fortement déçu de savoir que Sa nouvelle recrue est plus que désarmante récoltant punition sur punition à longueur de journée. Et pourtant, l’esclave-soumise fait tout ce qu’elle peut et même parfois plus pour contenter ceux entre les mains de qui elle a été remise en l’absence du Noble, et avant tout pour contenter le Maître Vénéré à qui elle a décidé d’appartenir de son plein gré et à qui elle voudrait pouvoir obéir sans jamais défaillir comme elle Lui en a fait la promesse, mais aussi parce qu’elle sait qu’IL a horreur qu’on lui désobéisse et qu’IL n’aime pas du tout être contraint de devoir punir Ses soumis et soumises. Mais les sollicitations sont nombreuses et permanentes depuis son arrivée au Château, sans la laisser souffler une seconde, et les exigences sont difficiles à tenir parfois avec la fatigue qui s’accumule et la difficulté croissante des épreuves imposées et de tout ce que l’on exige d’elle et de son corps. Elle aimerait un peu de compassion de la part de Walter et Marie, mais elle a bien compris que cela n’est pas du tout dans leur intention de la ménager, bien au contraire. Le ton sarcastique et complice de leurs voix ne trompe pas, même si l’esclave qui garde la tête baissée ne peut voir tous les clins d’œil qu’ils s’échangent avec de vrais rictus pervers sur les lèvres. C’est à ce moment-là que Marie d’une voix lourde et puissante interrompt le silence en attrapant à pleines mains la tignasse de l’esclave qu’elle tire vers l’arrière.
- Alors la chienne mal dressée, est-ce que tu pourras au moins avoir le courage de raconter tes délits, qui sont loin d’être des peccadilles, d’autant plus que ce n’est pas la première fois que tu oublies que les esclaves sont privés de certains droits comme celui de parler avant qu’on ne les autorise à s’exprimer. Eh bien, puisque je te donne la parole pour quelques secondes, fait donc un peu part à Monsieur Walter de tes inqualifiables forfaits.
L’esclave-soumise se trouve physiquement tirée de part en part, entre Marie qui tire vers l’arrière sur ses cheveux pour lui faire lever la tête et Walter qui tient toujours fortement la chaîne de métal qui lui sert de laisse. Elle se cabre au maximum pour résister aux deux pressions intenses qui s’opposent, presque contrainte de se redresser légèrement et de s’arcbouter dans une position instable et difficile à maintenir en équilibre. Elle est au fond d’elle-même offusquée par les propos diffamatoires de la cuisinière qui parle d’inqualifiables forfaits au regard de ce qu’elle a eu le malheur de faire, un premier petit cri de surprise lorsque Marie à commencer à la sodomiser en lui introduisant sans même l’alerter un gros poireau dans le cul et aussi, ce qui avait tout l’air d’un piège tendu, lorsque Marie lui avait demandé de la supplier et de la supplier encore convenablement, pour qu’elle consente à l’autoriser à jouir tandis que la cuisinière pratiquait sur l’esclave qui pataugeait dans son « bain de légumes » un godage végétal assez poussé dans ses deux orifices tourmentés en même temps, tandis qu’elle tenait d’une main un énorme concombre et de l’autre encore le gros poireau avec lequel Thaïs MDE avait été enculée.
Thaïs MDE se demande comment elle serait traitée dans des circonstances plus graves en premier par le Maître et par ses deux fidèles serviteurs, qui n’en restent pas moins des acolytes assez pervers de nature, si elle avait commis une faute plus grave et ce de manière volontaire, refusant d’obtempérer à un ordre ou faisant quelque chose de totalement répréhensible par les lois ou règles en vigueur au Château ainsi que par les préceptes élémentaires d’une manière de vivre D/s qui font d’elle une esclave-soumise librement asservie, qui a prêté vœu d’allégeance au Dominant à qui elle a voué sa vie. Elle ne peut s’empêcher de repenser à cet autre esclave en devenir qui le matin même avait osé porter la main sur une de ses sœurs de soumission, allant même jusqu’à casser le nez d’un autre chien-mâle d’un véritable uppercut à main nue. Certes, Monsieur Walter, n’a pas hésité à l’humilier devant tout le Château rassemblé et ensuite à l’attacher sur un pilori le laissant à la disposition de tout le personnel qui pourrait abuser de lui et user de tous ses orifices à leur convenance pour le laisser méditer dans l’attente et la déchéance. Mais Thaïs MDE a eu le sentiment que essai76 a presque donné l’impression d’apprécier, ce qui lui avait été imposé, découvrant ce côté masochiste qui lui faisait prendre du plaisir là où d’autres ne ressentiraient que douleurs, regrets, honte et ignominie. Mais Thaïs MDE n’a rien commis de vraiment très grave après tout et encore moins de comparable à ce que Monsieur le Marquis d’Evans pourra reprocher dès Son retour à juste titre à essai76, qui a commis une vraie agression brutale sur d’autres personnes au mépris des règles légales de droit, des règles D/s de servitudes et du simple respect de la personne humaine et d’autrui.
A cet instant, elle se sent injustement mise sur la sellette et jugée par Marie avec une dureté qu’elle pressent qui ressort bien plus du caractère de cette vicieuse femme qui examine tous les moyens pour profiter des esclaves du cheptel qui ne peuvent jamais chercher à se plaindre. Elle se dit qu’il serait bien qu’il y ait une totale équité d’exigences et de traitement, ainsi qu’une juste proportionnalité de punitions entre les esclaves, et en même temps, elle se rend compte que cela est presque impossible, car ce serait ne pas tenir compte de leurs propres capacités, de leurs progressions dans la servitude aux pieds du Maître. Alors, elle repense à ce proverbe qui dit « Qui aime bien, châtie bien » essayant de se réconforter en se disant que si l’on exige beaucoup d’elle, c’est d’une part que le Maître estime qu’elle en a la capacité et d’autre part qu’IL a formé de grandes attentes sur sa nouvelle recrue dont IL est devenu sur un plan professionnel, à la fois l’associé mais aussi le Patron. C’est donc de bonnes grâces qu’elle accepte après une réflexion qui n’a duré que quelques secondes de se plier à tout ce qui va être exigée d’elle par Marie, et ensuite par Walter qui a en réserve une ancienne punition, sans compter qu’il ne manquera pas de lui faire payer le retard de 4 minutes à un moment ou à un autre. Marie lâche aussi sec la tignasse de l’esclave et lui bascule la tête fortement vers l’avant pour la positionner dans une attitude qui correspond à celle d’une implorante repentante.
- Vas-y ! La chienne désobéissante et indisciplinée, nous daignons t’écouter ! Tâche au moins que ton acte de contrition ressemble à quelque chose si tu veux pouvoir mériter mon absolution, ce qui ne sera pas sans deux punitions conséquente, crois le bien, mais il n’y a pas que la correction qui compte, je dois aussi ressentir la profondeur de ta sincère repentance et ton acceptation pleine et entière du châtiment qui te sera infligé suivant mon bon plaisir, et ce avec l’aval de Monsieur Walter ici présent.
Thaïs MDE toute penaude et ressentant l’émotion qui la gagne, car elle ne sait pas encore ce que Marie a concocté avec toute la perversité qu’elle lui connaît déjà que trop bien, mets ses deux mains jointes en prière, pensant que c’est la position qu’il convient d’adopter à ce moment-là et ajoute d’une voix toute tremblotante :
- Monsieur Walter, Madame Marie, je viens ici vous confesser mes fautes, mes deux fautes commises pendant le temps où j’avais été remise par vos soins entre les mains de Madame Marie. Je connais depuis mon arrivée la règle de base qui s’imposent aux esclaves du cheptel qui n’ont le droit de pouvoir parler que lorsqu’ils y sont autorisés explicitement et lorsqu’ils doivent répondre à une question qui leur a été posée. Le reste du temps, ils sont tenus de se taire sous peine d’encourir le courroux de celui qui a la charge de les surveiller. Je reconnais bien platement, et sans en disconvenir, que je n’ai pas respecté cette règle par deux fois. La première en osant pousser un cri sans raison alors que j’étais dans la baignoire et la deuxième lorsque j’ai eu l’impudence d’interpeller Madame Marie en lui disant à voix haute « Madame Marie, je vous en supplie, je vous en supplie » car je n’étais même pas capable de supporter sans rien dire et de contrôler la montée du plaisir et la jouissance qui ne m’avait pas été accordée.
L’esclave-soumise a choisi volontairement d’occulter le reste de ce qui s’est passé et en particulier le fait que c’est Madame Marie, elle-même, qui lui avait demandé de la supplier encore et encore. Elle se dit que cela aurait pu faire l’effet inverse et bien loin de la dédouaner de sa faute risquait de la voir doubler pour impertinence et pire si Marie avait nié les faits. Elle pense aussi que la cuisinière devrait pouvoir apprécier le geste de Thaïs MDE qui ne la met pas en porte-à-faux vis-à-vis du Majordome, mais c’est connaître bien mal Marie que de penser qu’elle en fera cas, alors qu’elle trouve cela on ne peut plus normal de la part d’une esclave qui doit accepter de subir sans se plaindre. Le seul point sur lequel Thaïs MDE ne s’est pas trompé, c’est d’avoir bien compris que l’inverse et le moindre propos accusateur de Thaïs MDE aurait d’ailleurs déclenché chez Marie les foudres de guerre qui aurait bien entendu profité de l’aubaine pour la traiter de menteuse et de calomnieuse et avoir une opportunité de la punir encore plus. Walter qui a entendu les propos de la chienne-esclave, agenouillée en position de suppliante, interrompt Thaïs MDE d’une voix tonitruante qui montre sa colère et son agacement de devoir une fois de plus s’occuper de cette nouvelle recrue récalcitrante.
- Et cela te rend fière et arrogante de me raconter cela dans la plus grande outrecuidance ! Sale petite effrontée indigne de conserver une place entre ses murs ! Que veux-tu que je fasse de quelqu’un qui a l’audace de venir hautaine et méprisante me déblatérer ses exploits ?
Thaïs MDE est désemparée face à ce qu’elle entend, elle est dans une position qui est loin de ressembler à ce que décrit le Majordome. Les larmes d’émotion commencent à lui venir aux yeux et à couler sur ses joues. Ses propos mesurés n’avaient rien d’arrogant ou du moins le croit-elle ainsi, et c’est avec des regrets sincères qu’elle a avoué ses fautes humblement et sûrement pas avec le plus microscopique grain de fierté. Elle hésite un temps avant de reprendre, carrément désarçonnée dans sa lancée par l’intervention du Majordome, mais elle se décide malgré tout à aller au bout de sa démarche, comme elle l’aurait fait en présence de Monsieur le Marquis d’Evans, bien décidée à implorer la punition qu’elle sait être méritée, car elle reconnaît que l’ordre était très clair dès le départ et qu’elle y failli plusieurs fois de suite par manque d’attention et de concentration, même si c’est plus facile à dire qu’à faire, lorsque pendant des années dans la vie de tous les jours on a été éduqué pour fonctionner autrement, n’étant pas muette de naissance et encore moins timide pour s’exprimer.
- Monsieur Walter, Madame Marie, je reconnais humblement mes fautes, les offenses faites à Madame Marie par là même, qui constituent des manquements à la règle et à mes devoirs d’esclave-soumise de Monsieur le Marquis d’Evans. Je viens vous implorer de bien vouloir daigner me châtier pour mes méfaits comme il se doit, pour pouvoir me permettre d’expier mes fautes et à terme, si Madame Marie y consent, une fois le châtiment enduré dans la plus totale obéissance et soumission, pouvoir venir implorer son pardon pour mes écarts de conduite inacceptables. Consciente de ma défaillance qui offense le Maître Vénéré en tout premier lieu, je suis résignée à accepter la sanction qu’il plaira à Madame Marie de m’infliger et ce qu’elle qu’en soit la teneur, la remerciant par avance du temps qu’elle passera à m’aider à me corriger et à progresser pour devenir une meilleure soumise au service de Monsieur le Marquis d’Evans…
D’une voix lourde, Walter qui est bien décidé à profiter de chaque mot de l’esclave-soumise pour enfoncer un peu plus le clou ajoute :
- Comme tu y vas ! Grossière impudente ! « Une meilleure soumise » !.... laisse-moi rire doucement, encore faudrait-il que tu sois déjà une soumise débutante au sens premier du terme, avant de vouloir devenir une meilleure « quoi que ce soit ». On ne t’a jamais appris qu’on gravit les échelons un à un et en commençant par le premier au ras du sol. En ce qui te concerne, tu n’as même pas encore grimpé sur la première marche. Seule ton audace éhontée te fait croire le contraire par vanité et parce que tu es encore pleine de l’orgueil de ta vie d’avant. Ici, en ce Château, tu n’es rien, tu n’es plus rien, qu’une misérable chienne qui ne deviendra vraiment une esclave-soumise digne de ce nom qu’avec de la patience, de l’endurance et beaucoup d’efforts pour te corriger de tes vilaines manières et apprendre à servir le Maître en devenant Sa propriété, Sa chose, une parmi tant d’autres largement plus satisfaisantes que toi, en tout cas celle sur qui IL a tous les droits, parce que c’est toi-même qui a désiré qu’il en soit ainsi. Alors, tant pis pour toi, si tu as un peu de mal à comprendre facilement ce qui relève de ta condition de base ! Tu es là avant tout pour être commandée, dressée, réprimandée et châtiée si nécessaire. Et dis-toi bien qu’ici ce n’est pas un club de vacances où tu peux te la couler douce, ….. ah, ah, ah … (ajoute t-il d’un air satisfait et pervers) … et si la vérité ne te plait pas, la grille du Château est ouverte en permanence de l’intérieur, tu peux sortir et partir quand tu le souhaites. Ici ce n’est pas une prison, Monsieur le Marquis n’a jamais forcé qui que ce soit à faire quoi que ce soit, et donc si un jour tu te décidais à partir, il est utile de te rappeler que revenir aux pieds du Maître est impensable et donc impossible. Donc si tu veux partir, bon vent ! Monsieur le Marquis d’Evans n’a que faire des recrues de mauvaise qualité qui ne font aucun effort pour respecter les ordres impératifs en tout temps et en tous lieux…
(A suivre…)
Walter, le Majordome du Château d’Evans, vient d’interroger Marie la cuisinière, pour connaître la nature des deux fautes et manquements au règlement que la chienne-esclave Thaïs MDE a commises, et ce que Marie qui a réclamé le droit de pouvoir elle-même punir la soumise défaillante, compte bien lui faire subir. Entre les deux, à quatre pattes, la tête baissée et rentrée dans les épaules, la chienne-esclave attend de savoir ce qui va lui arriver. Elle est troublée car Walter a précisé juste avant qu’il allait forcément noter toutes ces infractions dans un carnet de punitions. Thaïs MDE ne savait pas que telle était la pratique au Château, jusque-là lorsqu’elle faisait une bêtise involontaire, elle était punie par le Maître Vénéré comme elle le méritait et suivant le châtiment que le Maître décidait eu égard à la faute commise, mais jamais IL ne lui avait demandé de faire la liste des punitions qu’elle avait récoltées. Par contre, il incombait à l’esclave fautive de venir humblement et repentante reconnaître sa faute, implorer Le Maître de consentir à la punir et remercier par la suite le Maître de la punition accordée et exécutée, tout cela avant même d’imaginer pouvoir implorer et obtenir le Pardon pour ladite erreur. Thaïs MDE avait toujours reconnu la sagesse des sanctions imposées par Monsieur le Marquis d’Evans, qui était avant tout là pour servir de prise de conscience de la défaillance et du fait que par là-même le Châtelain en avait été courroucé à juste titre, espérant que la punition serve de leçon pour que l’esclave-soumise ne recommence pas deux fois la même erreur.
Thaïs MDE aurait pu se douter de la rigueur qui règne au Château et de la minutie avec laquelle les esclaves sont surveillés en permanence pour pouvoir cheminer dans la soumission, car elle sait que Monsieur le Marquis d’Evans veille toujours, malgré une activité professionnelle prenante, à être tenu informé de tout ce qui se passe, ici chez lui, au Château concernant tant le personnel que les esclaves de Son cheptel. La chienne-soumise est d’autant plus inquiète et attristée que Walter a ajouté que Le Maître serait fortement déçu de savoir que Sa nouvelle recrue est plus que désarmante récoltant punition sur punition à longueur de journée. Et pourtant, l’esclave-soumise fait tout ce qu’elle peut et même parfois plus pour contenter ceux entre les mains de qui elle a été remise en l’absence du Noble, et avant tout pour contenter le Maître Vénéré à qui elle a décidé d’appartenir de son plein gré et à qui elle voudrait pouvoir obéir sans jamais défaillir comme elle Lui en a fait la promesse, mais aussi parce qu’elle sait qu’IL a horreur qu’on lui désobéisse et qu’IL n’aime pas du tout être contraint de devoir punir Ses soumis et soumises. Mais les sollicitations sont nombreuses et permanentes depuis son arrivée au Château, sans la laisser souffler une seconde, et les exigences sont difficiles à tenir parfois avec la fatigue qui s’accumule et la difficulté croissante des épreuves imposées et de tout ce que l’on exige d’elle et de son corps. Elle aimerait un peu de compassion de la part de Walter et Marie, mais elle a bien compris que cela n’est pas du tout dans leur intention de la ménager, bien au contraire. Le ton sarcastique et complice de leurs voix ne trompe pas, même si l’esclave qui garde la tête baissée ne peut voir tous les clins d’œil qu’ils s’échangent avec de vrais rictus pervers sur les lèvres. C’est à ce moment-là que Marie d’une voix lourde et puissante interrompt le silence en attrapant à pleines mains la tignasse de l’esclave qu’elle tire vers l’arrière.
- Alors la chienne mal dressée, est-ce que tu pourras au moins avoir le courage de raconter tes délits, qui sont loin d’être des peccadilles, d’autant plus que ce n’est pas la première fois que tu oublies que les esclaves sont privés de certains droits comme celui de parler avant qu’on ne les autorise à s’exprimer. Eh bien, puisque je te donne la parole pour quelques secondes, fait donc un peu part à Monsieur Walter de tes inqualifiables forfaits.
L’esclave-soumise se trouve physiquement tirée de part en part, entre Marie qui tire vers l’arrière sur ses cheveux pour lui faire lever la tête et Walter qui tient toujours fortement la chaîne de métal qui lui sert de laisse. Elle se cabre au maximum pour résister aux deux pressions intenses qui s’opposent, presque contrainte de se redresser légèrement et de s’arcbouter dans une position instable et difficile à maintenir en équilibre. Elle est au fond d’elle-même offusquée par les propos diffamatoires de la cuisinière qui parle d’inqualifiables forfaits au regard de ce qu’elle a eu le malheur de faire, un premier petit cri de surprise lorsque Marie à commencer à la sodomiser en lui introduisant sans même l’alerter un gros poireau dans le cul et aussi, ce qui avait tout l’air d’un piège tendu, lorsque Marie lui avait demandé de la supplier et de la supplier encore convenablement, pour qu’elle consente à l’autoriser à jouir tandis que la cuisinière pratiquait sur l’esclave qui pataugeait dans son « bain de légumes » un godage végétal assez poussé dans ses deux orifices tourmentés en même temps, tandis qu’elle tenait d’une main un énorme concombre et de l’autre encore le gros poireau avec lequel Thaïs MDE avait été enculée.
Thaïs MDE se demande comment elle serait traitée dans des circonstances plus graves en premier par le Maître et par ses deux fidèles serviteurs, qui n’en restent pas moins des acolytes assez pervers de nature, si elle avait commis une faute plus grave et ce de manière volontaire, refusant d’obtempérer à un ordre ou faisant quelque chose de totalement répréhensible par les lois ou règles en vigueur au Château ainsi que par les préceptes élémentaires d’une manière de vivre D/s qui font d’elle une esclave-soumise librement asservie, qui a prêté vœu d’allégeance au Dominant à qui elle a voué sa vie. Elle ne peut s’empêcher de repenser à cet autre esclave en devenir qui le matin même avait osé porter la main sur une de ses sœurs de soumission, allant même jusqu’à casser le nez d’un autre chien-mâle d’un véritable uppercut à main nue. Certes, Monsieur Walter, n’a pas hésité à l’humilier devant tout le Château rassemblé et ensuite à l’attacher sur un pilori le laissant à la disposition de tout le personnel qui pourrait abuser de lui et user de tous ses orifices à leur convenance pour le laisser méditer dans l’attente et la déchéance. Mais Thaïs MDE a eu le sentiment que essai76 a presque donné l’impression d’apprécier, ce qui lui avait été imposé, découvrant ce côté masochiste qui lui faisait prendre du plaisir là où d’autres ne ressentiraient que douleurs, regrets, honte et ignominie. Mais Thaïs MDE n’a rien commis de vraiment très grave après tout et encore moins de comparable à ce que Monsieur le Marquis d’Evans pourra reprocher dès Son retour à juste titre à essai76, qui a commis une vraie agression brutale sur d’autres personnes au mépris des règles légales de droit, des règles D/s de servitudes et du simple respect de la personne humaine et d’autrui.
A cet instant, elle se sent injustement mise sur la sellette et jugée par Marie avec une dureté qu’elle pressent qui ressort bien plus du caractère de cette vicieuse femme qui examine tous les moyens pour profiter des esclaves du cheptel qui ne peuvent jamais chercher à se plaindre. Elle se dit qu’il serait bien qu’il y ait une totale équité d’exigences et de traitement, ainsi qu’une juste proportionnalité de punitions entre les esclaves, et en même temps, elle se rend compte que cela est presque impossible, car ce serait ne pas tenir compte de leurs propres capacités, de leurs progressions dans la servitude aux pieds du Maître. Alors, elle repense à ce proverbe qui dit « Qui aime bien, châtie bien » essayant de se réconforter en se disant que si l’on exige beaucoup d’elle, c’est d’une part que le Maître estime qu’elle en a la capacité et d’autre part qu’IL a formé de grandes attentes sur sa nouvelle recrue dont IL est devenu sur un plan professionnel, à la fois l’associé mais aussi le Patron. C’est donc de bonnes grâces qu’elle accepte après une réflexion qui n’a duré que quelques secondes de se plier à tout ce qui va être exigée d’elle par Marie, et ensuite par Walter qui a en réserve une ancienne punition, sans compter qu’il ne manquera pas de lui faire payer le retard de 4 minutes à un moment ou à un autre. Marie lâche aussi sec la tignasse de l’esclave et lui bascule la tête fortement vers l’avant pour la positionner dans une attitude qui correspond à celle d’une implorante repentante.
- Vas-y ! La chienne désobéissante et indisciplinée, nous daignons t’écouter ! Tâche au moins que ton acte de contrition ressemble à quelque chose si tu veux pouvoir mériter mon absolution, ce qui ne sera pas sans deux punitions conséquente, crois le bien, mais il n’y a pas que la correction qui compte, je dois aussi ressentir la profondeur de ta sincère repentance et ton acceptation pleine et entière du châtiment qui te sera infligé suivant mon bon plaisir, et ce avec l’aval de Monsieur Walter ici présent.
Thaïs MDE toute penaude et ressentant l’émotion qui la gagne, car elle ne sait pas encore ce que Marie a concocté avec toute la perversité qu’elle lui connaît déjà que trop bien, mets ses deux mains jointes en prière, pensant que c’est la position qu’il convient d’adopter à ce moment-là et ajoute d’une voix toute tremblotante :
- Monsieur Walter, Madame Marie, je viens ici vous confesser mes fautes, mes deux fautes commises pendant le temps où j’avais été remise par vos soins entre les mains de Madame Marie. Je connais depuis mon arrivée la règle de base qui s’imposent aux esclaves du cheptel qui n’ont le droit de pouvoir parler que lorsqu’ils y sont autorisés explicitement et lorsqu’ils doivent répondre à une question qui leur a été posée. Le reste du temps, ils sont tenus de se taire sous peine d’encourir le courroux de celui qui a la charge de les surveiller. Je reconnais bien platement, et sans en disconvenir, que je n’ai pas respecté cette règle par deux fois. La première en osant pousser un cri sans raison alors que j’étais dans la baignoire et la deuxième lorsque j’ai eu l’impudence d’interpeller Madame Marie en lui disant à voix haute « Madame Marie, je vous en supplie, je vous en supplie » car je n’étais même pas capable de supporter sans rien dire et de contrôler la montée du plaisir et la jouissance qui ne m’avait pas été accordée.
L’esclave-soumise a choisi volontairement d’occulter le reste de ce qui s’est passé et en particulier le fait que c’est Madame Marie, elle-même, qui lui avait demandé de la supplier encore et encore. Elle se dit que cela aurait pu faire l’effet inverse et bien loin de la dédouaner de sa faute risquait de la voir doubler pour impertinence et pire si Marie avait nié les faits. Elle pense aussi que la cuisinière devrait pouvoir apprécier le geste de Thaïs MDE qui ne la met pas en porte-à-faux vis-à-vis du Majordome, mais c’est connaître bien mal Marie que de penser qu’elle en fera cas, alors qu’elle trouve cela on ne peut plus normal de la part d’une esclave qui doit accepter de subir sans se plaindre. Le seul point sur lequel Thaïs MDE ne s’est pas trompé, c’est d’avoir bien compris que l’inverse et le moindre propos accusateur de Thaïs MDE aurait d’ailleurs déclenché chez Marie les foudres de guerre qui aurait bien entendu profité de l’aubaine pour la traiter de menteuse et de calomnieuse et avoir une opportunité de la punir encore plus. Walter qui a entendu les propos de la chienne-esclave, agenouillée en position de suppliante, interrompt Thaïs MDE d’une voix tonitruante qui montre sa colère et son agacement de devoir une fois de plus s’occuper de cette nouvelle recrue récalcitrante.
- Et cela te rend fière et arrogante de me raconter cela dans la plus grande outrecuidance ! Sale petite effrontée indigne de conserver une place entre ses murs ! Que veux-tu que je fasse de quelqu’un qui a l’audace de venir hautaine et méprisante me déblatérer ses exploits ?
Thaïs MDE est désemparée face à ce qu’elle entend, elle est dans une position qui est loin de ressembler à ce que décrit le Majordome. Les larmes d’émotion commencent à lui venir aux yeux et à couler sur ses joues. Ses propos mesurés n’avaient rien d’arrogant ou du moins le croit-elle ainsi, et c’est avec des regrets sincères qu’elle a avoué ses fautes humblement et sûrement pas avec le plus microscopique grain de fierté. Elle hésite un temps avant de reprendre, carrément désarçonnée dans sa lancée par l’intervention du Majordome, mais elle se décide malgré tout à aller au bout de sa démarche, comme elle l’aurait fait en présence de Monsieur le Marquis d’Evans, bien décidée à implorer la punition qu’elle sait être méritée, car elle reconnaît que l’ordre était très clair dès le départ et qu’elle y failli plusieurs fois de suite par manque d’attention et de concentration, même si c’est plus facile à dire qu’à faire, lorsque pendant des années dans la vie de tous les jours on a été éduqué pour fonctionner autrement, n’étant pas muette de naissance et encore moins timide pour s’exprimer.
- Monsieur Walter, Madame Marie, je reconnais humblement mes fautes, les offenses faites à Madame Marie par là même, qui constituent des manquements à la règle et à mes devoirs d’esclave-soumise de Monsieur le Marquis d’Evans. Je viens vous implorer de bien vouloir daigner me châtier pour mes méfaits comme il se doit, pour pouvoir me permettre d’expier mes fautes et à terme, si Madame Marie y consent, une fois le châtiment enduré dans la plus totale obéissance et soumission, pouvoir venir implorer son pardon pour mes écarts de conduite inacceptables. Consciente de ma défaillance qui offense le Maître Vénéré en tout premier lieu, je suis résignée à accepter la sanction qu’il plaira à Madame Marie de m’infliger et ce qu’elle qu’en soit la teneur, la remerciant par avance du temps qu’elle passera à m’aider à me corriger et à progresser pour devenir une meilleure soumise au service de Monsieur le Marquis d’Evans…
D’une voix lourde, Walter qui est bien décidé à profiter de chaque mot de l’esclave-soumise pour enfoncer un peu plus le clou ajoute :
- Comme tu y vas ! Grossière impudente ! « Une meilleure soumise » !.... laisse-moi rire doucement, encore faudrait-il que tu sois déjà une soumise débutante au sens premier du terme, avant de vouloir devenir une meilleure « quoi que ce soit ». On ne t’a jamais appris qu’on gravit les échelons un à un et en commençant par le premier au ras du sol. En ce qui te concerne, tu n’as même pas encore grimpé sur la première marche. Seule ton audace éhontée te fait croire le contraire par vanité et parce que tu es encore pleine de l’orgueil de ta vie d’avant. Ici, en ce Château, tu n’es rien, tu n’es plus rien, qu’une misérable chienne qui ne deviendra vraiment une esclave-soumise digne de ce nom qu’avec de la patience, de l’endurance et beaucoup d’efforts pour te corriger de tes vilaines manières et apprendre à servir le Maître en devenant Sa propriété, Sa chose, une parmi tant d’autres largement plus satisfaisantes que toi, en tout cas celle sur qui IL a tous les droits, parce que c’est toi-même qui a désiré qu’il en soit ainsi. Alors, tant pis pour toi, si tu as un peu de mal à comprendre facilement ce qui relève de ta condition de base ! Tu es là avant tout pour être commandée, dressée, réprimandée et châtiée si nécessaire. Et dis-toi bien qu’ici ce n’est pas un club de vacances où tu peux te la couler douce, ….. ah, ah, ah … (ajoute t-il d’un air satisfait et pervers) … et si la vérité ne te plait pas, la grille du Château est ouverte en permanence de l’intérieur, tu peux sortir et partir quand tu le souhaites. Ici ce n’est pas une prison, Monsieur le Marquis n’a jamais forcé qui que ce soit à faire quoi que ce soit, et donc si un jour tu te décidais à partir, il est utile de te rappeler que revenir aux pieds du Maître est impensable et donc impossible. Donc si tu veux partir, bon vent ! Monsieur le Marquis d’Evans n’a que faire des recrues de mauvaise qualité qui ne font aucun effort pour respecter les ordres impératifs en tout temps et en tous lieux…
(A suivre…)
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