La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 363)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-01-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 363)
Suite de l'épisode N°359 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré –
Walter est plus qu’irrité par le gloussement étouffé qu’a laissé échapper soumise Thaïs MDE, plus sous la forme d’un rire nerveux car elle commence à accuser la fatigue après tant de sollicitations diverses, intenses et ininterrompues depuis plus de deux jours, essayant de tenir au-delà de ses propres forces pour résister aux exigences permanentes du Majordome et de la cuisinière qui ne lui laissent pas une seconde de répit, tant ils ne manquent pas d’idées perverses pour la titiller de toutes les manières possibles, physiquement et psychiquement tout autant. En réalité, au fond de lui, même s’il refuse de le laisser paraître, Walter est plutôt amusé par l’humour et intrigué par la finesse d’esprit de cette nouvelle recrue qui au lieu de s’offusquer des idées vicieuses de Marie la cuisinière, avec ses légumes du potager utilisés en gode végétal a trouvé le moyen de penser à des citations grivoises et des œuvres classiques quand Marie a parlé de lui foutre un poireau dans le cul en guise de punition.
Mais pour le Majordome, il n’est pas question de lâcher la bride et de perdre la face en se mettant lui aussi à rire de la blague de Thaïs, à laquelle il aurait bien rétorqué qu’il s’endort rarement avec « le poireau dans la main » et qu’il y a bien peu de risques qu’il trouve « le plafond repeint au matin » , ayant sous la main tout ce qu’il faut pour se faire branler ou sucer à sa guise, et pour décharger dans un gosier avide de sa précieuse semence, puisque Monsieur le Marquis d’Evans l’autorise en guise de remerciements, bien plus que de gages en nature, de pouvoir utiliser les chiens dociles et les chiennes en chaleur du cheptel pour assouvir chaque fois que nécessaire tous ses besoins de Mâle éjaculateur. Et puis, il n’est pas question pour lui de laisser se dévoiler son manque de culture, car il n’a jamais lu les textes de Rabelais, préférant de loin les écrits plus D/s que « gargantuesques » de Monsieur le Marquis d’Evans qu’il savoure avec grand plaisir et il n’entend donc pas laisser Thaïs MDE le ridiculiser avec quelques références littéraires que ce soit, quand elle devrait se contenter de ne citer tout au plus que Le Maître Vénéré auquel elle appartient pour ses talents d’écrivain reconnu par tous.
- Alors, irrespectueuse et vilaine petite chienne qui ne sait pas tenir sa langue dans sa bouche et ne l’utiliser que pour sucer les sexes auxquels elle est astreinte de donner du plaisir ! Loin de ressentir de la honte de devoir doublement être punie pour son inconduite devant Madame Marie, tu trouves le moyen de pouffer de rire de la manière la plus impertinente qui soit. Le poireau te fait t’esclaffer, alors je vais t’en donner à profusion à t’en remplir le ventre et à mon avis, tu vas finir par t’assécher à force de pleurer …. de tourments bien plus que de fous rires !
L’esclave-soumise qui est maintenue sur la table pliée en équerre au niveau de la taille, immobilisée par la poigne ferme du domestique à la forte carrure qui ne manque pas de musculature dans les bras, s’inquiète de la suite des évènements. Elle regrette amèrement de savoir que sa minuscule inspiration enjouée qu’elle a laissé échapper bien malgré elle ne soit pas passée inaperçue aux oreilles de ce fidèle serviteur toujours aux aguets, surtout en l’absence du Châtelain, car elle se serait bien dispensée de nouvelles réprimandes de la part du Majordome qui a l’art d’amplifier la plus minuscule des erreurs, car la chienne-esclave admonestée était bien loin, dans l’état d’asservissement où elle se trouve, d’être tentée de pouffer de rire d’impertinence, mais elle a fini par comprendre qu’il lui sera dorénavant fait grief de toute infime défaillance, du plus petit écart de conduite, du moindre rictus ou soupir de travers pour la maintenir en permanence sur le fil du rasoir et dans un état qui lui rappelle à chaque seconde sa condition servile d’esclave-soumise librement assujettie à Monsieur le Marquis Edouard d’Evans. Sur ces entrefaites, la cuisinière revient tenant entre ses mains plusieurs très gros poireau lavés mais non épluchés et quelques accessoires de contraintes diverses.
- Walter, tu aurais pu m’attendre avant de vouloir chauffer la couenne de cette fâcheuse désobéissante au lieu de commencer à profiter seul de quelques petits préliminaires cinglants qui ne sont jamais pour me déplaire. Tu sais bien combien j’aime voir rougir intensément les croupes des petites chiennes de Monsieur le Marquis quand on a la chance de pouvoir les punir sans retenue, tout à notre aise et sans parcimonie, parce qu’elles accumulent fautes sur fautes, à croire qu’elles sont toutes assez masos pour en redemander encore et encore plus.
- Ah ! Marie, te revoilà, tu tombes à pic ! Sais-tu que cette effrontée a eu le culot de rigoler de la manière la plus irrévérencieuse qui soit à cause de ton histoire de poireau dans le cul. Elle s’est permise de se gausser ouvertement de ce qui était censé être une punition humiliante et dégradante, destinée à lui servir de leçon en lui faisant regretter amèrement de n’avoir pas su respecter l’interdiction faite aux esclaves de parler sans autorisation, qui a depuis des années cours en ces illustres lieux, suivant les exigences renouvelées de Monsieur le Marquis en personne. Je suis certain que Notre Châtelain bien aimé n’appréciera guère le manque de respect de sa nouvelle petite chienne réfractaire et qu’il saura lui faire passer l’envie de fanfaronner avec des blagues de comptoir et des anecdotes rabelaisiennes.
- Des … quoi ??? Tu me parles de quoi, Walter ? … C’est quoi cette histoire de trucs en « …iennes » que je ne comprends pas, des histoires de lesbiennes tu veux dire ….
- Mais non, j’ai dit « rabelaisiennes », …. (puis rajoutant d’un ton très dédaigneux tout en fixant Thaïs MDE dont il vient d’attraper la tignasse et en lui secouant la tête dans tous les sens tout en continuant de parler ) … parce que ma…da…me… l’ex-chef d’entreprise, qui n’a pas encore compris qu’ici elle n’était plus grand-chose, juste une esclave en formation au milieu de tant d’autres largement plus qualifiées et satisfaisantes, n’a pas trouvé mieux que de me sortir sa science et ses connaissances littéraires, comme si elle s’imaginait un peu que je n’en connais pas au moins autant qu’elle sur Rabelais. Mais elle se croit où cette miteuse pimbêche, dans une grotesque foire ou une comédie burlesque ! Tu vas voir que je vais lui faire regretter d’avoir eu l’idée de plaisanter et de se railler de nous, alors même qu’elle aurait dû se sentir honteuse d’être en pénitence, condamnée pour expier ses manquements à la première règle de base du silence.
Walter de sa plus grosse voix et s’approchant de l’oreille de l’esclave dans laquelle il vocifère presque à la rendre sourde d’étourdissement pendant quelques secondes, s’exclame :
- Minable chienne, tu ne bouges pas d’un quart de millimètre jusqu’à mon retour. Je vais chercher ce qu’il me faut car tu vas voir de quel bois je me chauffe, quand quelqu’un a le malheur de me mettre en colère. Je suis persuadé que tu ne vas pas avoir vraiment le temps de pouffer de rire, mais moi si !!! … ah … ah … ah … (ajoute t-il avec un ton des plus vicieux qui a un arrière goût d’humour très noir)
Thaïs MDE est frémissante d’inquiétude, mais en même temps étonnée du frisson d’excitation qui lui parcourt l’échine de se sentir presque heureuse de se trouver là, dans cet illustre Château dont elle avait tant rêvé depuis des semaines, assurée plus que jamais de son choix de renoncer à sa vie d’avant de femme libre et libérée, autonome et indépendante, afin de devenir pour toujours l’une des esclaves-soumises MDE du Maître Vénéré, Monsieur le Marquis d’Evans, même si elle a conscience des contraintes et des règles qu’elle a accepté de se voir imposer suivant le seul bon plaisir et les exigences absolues du Maître, tout autant que ses multiples ordres impératifs auxquels elle ne pourra jamais se soustraire et devra se plier bon gré mal gré. Elle ressent même un immense bien-être l’envahir qui ne s’explique pas autrement que de comprendre qu’elle se sent enfin à sa place, la seule qui lui convient pour être en accord avec son désir inné de soumission qu’elle porte au plus profond de son âme, bien-être qui, au-delà des apparences de la situation qu’elle doit supporter et de la punition qu’il lui faudra souffrir, la transporte dans un état sublimé, presque transcendant, où elle a conscience que son plaisir dorénavant découle de sa capacité à donner le meilleur d’elle-même pour la satisfaction du Maître avant tout, même s’il lui faut pour cela accepter le dressage pénible obligatoire, qui en est le passage incontournable pour « entrer en soumission » et respecter ses vœux d’allégeance envers Le Maître Vénéré et Adulé, comme d’autres « entrent en religion » avec des vœux monastiques. Elle reconnaît largement le bien-fondé des punitions qui doivent lui être infligées en cas de désobéissance et de défaillance, pour lui permettre de s’amender d’une part et de s’améliorer d’autre part dans son long cheminement vers une meilleure soumission au service du Dominant à qui elle a donné tous pouvoirs sur sa vie et sur son corps.
Tandis qu’elle s’abandonne sans retenue entre les mains du Majordome, oubliant peu à peu ses craintes pour ne plus voir dans sa résignation que sa capacité à abdiquer toute volonté et une capitulation salvatrice en conformité avec cet état de soumission qu’elle désire de toute son âme, elle ressent son corps qui vibre de l’intérieur la portant presque dans un état de béatitude, avec l’humidité sexuelle de son bas-ventre qui va de pair, qui lui fait presque oublier les sévices punitifs qu’elle va devoir endurer, mais qui lui apprendront dorénavant à rabattre son caquet avant de partir dans des réflexions délirantes qui ne sont plus de mises en ce lieu pour une chienne-esclave faisant partie du cheptel du Marquis d’Evans. Walter après avoir baissé d’au moins cinq tons se retourne à nouveau vers la cuisinière.
- Marie, est-ce que tu pourrais encore prendre de ton temps avant de retourner en cuisine reprendre ton service, et t’occuper de ce fessier à mes lieux et place, pendant que je vais aller chercher mon attirail pour la suite des réjouissances, afin que cette révoltante garce perdre définitivement le goût des moqueries déplacées qui ne sont pas du tout à mon goût ? En tout premier lieu, je n’ai pas oublié que cette chienne indolente m’a fait attendre devant mon café pendant 4 minutes et tu m’as bien dit que le retard était de son seul fait. Tu connais donc comme moi le règlement intérieur, auquel il n’est pas question de déroger pour une moins que rien qui ne mérite aucune indulgence. Je te serais reconnaissant si ton poignet ne craint pas un peu d’exercice supplémentaire de lui assener les 40 coups de cravache qu’elle mérite très largement. Ce sera une première mise en bouche avant le plat de résistance …. Et surtout ne te retiens pas, car elle a eu le toupet de te narguer dédaigneusement en osant se moquer de la digne punition que tu avais décidé de lui imposer, il y va donc de ton honneur de transformer ses rires en pleurs, et de ne pas te contenter de simples larmoiements de fillette plaintive.
Pendant que Walter s’éloigne, Marie vient d’attraper sur une desserte à proximité une cravache de dressage, d’autant plus cinglante qu’elle est longue et très fine. Elle s’apprête à se défouler sur le postérieur exposé si tentant de l’esclave-soumise, n’ayant pas du tout apprécié d’entendre Walter lui annoncer que Thaïs MDE avait cru pouvoir rigoler de ce qu’elle avait choisi comme sanction avilissante.
- Puisque c’est ainsi que tu as osé me remercier des plaisirs que je t’ai accordés lorsque je t’ai permis de patauger dans mon « bouillon de légumes » que j’avais parfumé de toutes mes sucs de femelle et de mon abondante douche dorée, je peux t’assurer que tu ne vas guère avoir le temps de « badiner » (se comporter plaisamment) sur la table avec la badine que je viens de choisir pour ta belle croupe plantureuse qui va me permettre de me livrer à mon tour à quelques facéties que je ne manquerais pas de trouver fort rigolotes, tout comme mes jeux de mots, lorsque je constaterai que tu rigoles bien moins à présent.
Thaïs MDE se mort les lèvres de remords se trouvant prise à son propre piège de mille et une manières, sentant bien que la plaisanterie que les deux fidèles serviteurs de Monsieur le Marquis sont en train de vouloir lui imposer n’aura rien de bien plaisant à son niveau. Marie promène la cravache sur le dos de l’esclave-soumise, la glisse sans la moindre pudeur dans le sillon fessier avant de venir s’immiscer dans la chatte entrouverte de Thaïs MDE et de donner deux petits coups sur l’intérieur des cuisses pour lui faire comprendre qu’elle doit encore plus écarter les jambes. La forçant également à creuser encore plus les reins, en appuyant de l’aplat minuscule de la cravache, la chienne-soumise se sent encore plus excitée de se savoir ainsi cambrée, ouverte, exposée et fouillée avant même d’être corrigée. La cuisinière ajoute d’un ton ferme.
- Est-il besoin de te préciser qu’à chaque coup de badine, tu comptes ! Il n’est pas question que je me fatigue à cette tâche subalterne qui t’incombe. Evidemment, à la première erreur ou au premier oubli, tu remettras le compteur à zéro. Et pour te rappeler le respect qui m’est dû, tu ajouteras après chaque chiffre « Merci Madame Marie de bien vouloir me punir » et tous les dix coups tu compléteras ta phrase par « J’implore votre Pardon pour vous avoir offensé et pour avoir trouvé à rire de la punition que vous avez choisi de m’imposer ». Tu peux commencer dès à présent par m’implorer sans avoir à attendre le dixième coup.
Tandis que Marie fait siffler dans l’air l’instrument, histoire de faire monter la tension nerveuse et l’excitation dans le corps de la chienne-soumise qui contracte tous ses muscles ne sachant pas quand et où le premier coup va tomber, Thaïs MDE, d’une voix timide et se faisant le plus humble possible, se lance avec quelques difficultés, ne sachant pas si elle a bien compris ou non l’ordre qui vient de lui être donné, et si une fois de plus, elle ne va pas se faire rabrouer encore plus pour avoir ouvert la bouche alors qu’elle aurait dû se taire.
- Madame Marie, j’implore respectueusement et très humblement votre Pardon pour n’avoir pas respecté par deux fois la règle du silence imposée à tous les esclaves du cheptel de Monsieur le Marquis d’Evans, pour de ce fait vous avoir offensé et aussi pour avoir trouvé à redire et encore plus à rire de la punition que vous aviez choisie de m’imposer à fort juste titre et pour laquelle j’aurai dû seulement ressentir la honte d’avoir désobéi aux règles impératives de Monsieur le Marquis d’Evans, Le Maître Vénéré à qui j’appartiens corps et âme.
- Tu es vraiment infernale ! Tu ne sais pas t’en tenir à O-BE-IR et à respecter ce que l’on exige de toi à la lettre et au mot près. Il faut toujours que tu en rajoutes pour montrer que tu sais causer. Mais ici, tu dois montrer avant tout que tu sais te taire, écouter, retenir ce que l’on prend le temps de t’expliquer, ne pas répliquer, ne pas interpréter à ta convenance ce qui t’est imposé, ne pas décider de quoique ce soit car les choix ne t’appartiennent plus, et donc juste O-BE-IR. C’est quoi cette tartine de mots inutiles que tu viens de me débiter à n’en plus finir …. Si tu penses que j’ai du temps à perdre à t’écouter déblatérer, tu te trompes fallacieusement, espèce de sale pie bavarde…
Thaïs MDE se sent perdue, elle qui croyait s’amender honorablement en implorant encore plus Madame Marie et en exprimant son repentir deux fois plutôt qu’une, s’est une fois de plus fait admonestée. Elle a du mal à modifier son comportement naturel d’avant, à freiner son côté prolixe et perfectionniste qui cherche toujours en faire plus pour essayer de faire du mieux possible et elle comprend, mais un peu tard, que ce n’est pas précisément ce que l’on attend d’elle, et que vouloir devenir une vraie soumise dévouée, c’est aussi accepter de ne pas toujours chercher à comprendre ce qu’on attend d’elle et à l’interpréter à sa manière à elle qui peut être faussée mais juste à exécuter ce qui est exigé dans une soumission simple et une dévotion totale. Marie, de manière encore plus ferme, continue.
- Pour la peine, tu vas fermer une bonne fois pour toutes ton clapet volubile de concierge. Je ne t’autorise même plus pour l’instant à compter, à me remercier et encore moins à implorer mon pardon, cela t’apprendra ! Mais, sache que du coup, tu n’en seras pas quitte pour autant vis-à-vis de ton offense à mon égard que je n’oublierai pas de te rappeler le moment venu. Et tâche aussi que je n’entende plus le moindre mot sortir de tes lèvres avant la fin de la raclée si tu ne veux pas que je te les scelle pour un long moment avec du ruban scotch.
Marie abat la cravache sur les fesses tendues et cambrées de l’esclave-soumise qui serre les dents ressentant un impact beaucoup plus intense que les coups qu’elle avait jusqu’alors reçu de la part du Maître Vénéré ou même de Walter le Majordome. Marie se doutant bien de l’effet produit par ce premier coup lancé par surprise et avec force, avec cet instrument particulièrement cinglant, approche le fin aplat de la cravache de la bouche de Thaïs MDE, pour savourer encore plus le plaisir pervers qu’elle va prendre.
- Embrasse délicatement l’objet qui sert à te punir. Je suis persuadée que tu le trouves fort à ton goût, et que tu vas apprécier à leur juste valeur les 39 coups qui restent à venir. Tes fesses sont assez larges pour que je puisse les colorer sur toute leur surface, et je peux t’assurer que tu en garderas la marque en souvenir bien plus longtemps que n’ont duré tes 4 minutes de retard, ce qui t’apprendra la prochaine fois à ne pas lambiner sur le chemin...
(A suivre …)
Walter est plus qu’irrité par le gloussement étouffé qu’a laissé échapper soumise Thaïs MDE, plus sous la forme d’un rire nerveux car elle commence à accuser la fatigue après tant de sollicitations diverses, intenses et ininterrompues depuis plus de deux jours, essayant de tenir au-delà de ses propres forces pour résister aux exigences permanentes du Majordome et de la cuisinière qui ne lui laissent pas une seconde de répit, tant ils ne manquent pas d’idées perverses pour la titiller de toutes les manières possibles, physiquement et psychiquement tout autant. En réalité, au fond de lui, même s’il refuse de le laisser paraître, Walter est plutôt amusé par l’humour et intrigué par la finesse d’esprit de cette nouvelle recrue qui au lieu de s’offusquer des idées vicieuses de Marie la cuisinière, avec ses légumes du potager utilisés en gode végétal a trouvé le moyen de penser à des citations grivoises et des œuvres classiques quand Marie a parlé de lui foutre un poireau dans le cul en guise de punition.
Mais pour le Majordome, il n’est pas question de lâcher la bride et de perdre la face en se mettant lui aussi à rire de la blague de Thaïs, à laquelle il aurait bien rétorqué qu’il s’endort rarement avec « le poireau dans la main » et qu’il y a bien peu de risques qu’il trouve « le plafond repeint au matin » , ayant sous la main tout ce qu’il faut pour se faire branler ou sucer à sa guise, et pour décharger dans un gosier avide de sa précieuse semence, puisque Monsieur le Marquis d’Evans l’autorise en guise de remerciements, bien plus que de gages en nature, de pouvoir utiliser les chiens dociles et les chiennes en chaleur du cheptel pour assouvir chaque fois que nécessaire tous ses besoins de Mâle éjaculateur. Et puis, il n’est pas question pour lui de laisser se dévoiler son manque de culture, car il n’a jamais lu les textes de Rabelais, préférant de loin les écrits plus D/s que « gargantuesques » de Monsieur le Marquis d’Evans qu’il savoure avec grand plaisir et il n’entend donc pas laisser Thaïs MDE le ridiculiser avec quelques références littéraires que ce soit, quand elle devrait se contenter de ne citer tout au plus que Le Maître Vénéré auquel elle appartient pour ses talents d’écrivain reconnu par tous.
- Alors, irrespectueuse et vilaine petite chienne qui ne sait pas tenir sa langue dans sa bouche et ne l’utiliser que pour sucer les sexes auxquels elle est astreinte de donner du plaisir ! Loin de ressentir de la honte de devoir doublement être punie pour son inconduite devant Madame Marie, tu trouves le moyen de pouffer de rire de la manière la plus impertinente qui soit. Le poireau te fait t’esclaffer, alors je vais t’en donner à profusion à t’en remplir le ventre et à mon avis, tu vas finir par t’assécher à force de pleurer …. de tourments bien plus que de fous rires !
L’esclave-soumise qui est maintenue sur la table pliée en équerre au niveau de la taille, immobilisée par la poigne ferme du domestique à la forte carrure qui ne manque pas de musculature dans les bras, s’inquiète de la suite des évènements. Elle regrette amèrement de savoir que sa minuscule inspiration enjouée qu’elle a laissé échapper bien malgré elle ne soit pas passée inaperçue aux oreilles de ce fidèle serviteur toujours aux aguets, surtout en l’absence du Châtelain, car elle se serait bien dispensée de nouvelles réprimandes de la part du Majordome qui a l’art d’amplifier la plus minuscule des erreurs, car la chienne-esclave admonestée était bien loin, dans l’état d’asservissement où elle se trouve, d’être tentée de pouffer de rire d’impertinence, mais elle a fini par comprendre qu’il lui sera dorénavant fait grief de toute infime défaillance, du plus petit écart de conduite, du moindre rictus ou soupir de travers pour la maintenir en permanence sur le fil du rasoir et dans un état qui lui rappelle à chaque seconde sa condition servile d’esclave-soumise librement assujettie à Monsieur le Marquis Edouard d’Evans. Sur ces entrefaites, la cuisinière revient tenant entre ses mains plusieurs très gros poireau lavés mais non épluchés et quelques accessoires de contraintes diverses.
- Walter, tu aurais pu m’attendre avant de vouloir chauffer la couenne de cette fâcheuse désobéissante au lieu de commencer à profiter seul de quelques petits préliminaires cinglants qui ne sont jamais pour me déplaire. Tu sais bien combien j’aime voir rougir intensément les croupes des petites chiennes de Monsieur le Marquis quand on a la chance de pouvoir les punir sans retenue, tout à notre aise et sans parcimonie, parce qu’elles accumulent fautes sur fautes, à croire qu’elles sont toutes assez masos pour en redemander encore et encore plus.
- Ah ! Marie, te revoilà, tu tombes à pic ! Sais-tu que cette effrontée a eu le culot de rigoler de la manière la plus irrévérencieuse qui soit à cause de ton histoire de poireau dans le cul. Elle s’est permise de se gausser ouvertement de ce qui était censé être une punition humiliante et dégradante, destinée à lui servir de leçon en lui faisant regretter amèrement de n’avoir pas su respecter l’interdiction faite aux esclaves de parler sans autorisation, qui a depuis des années cours en ces illustres lieux, suivant les exigences renouvelées de Monsieur le Marquis en personne. Je suis certain que Notre Châtelain bien aimé n’appréciera guère le manque de respect de sa nouvelle petite chienne réfractaire et qu’il saura lui faire passer l’envie de fanfaronner avec des blagues de comptoir et des anecdotes rabelaisiennes.
- Des … quoi ??? Tu me parles de quoi, Walter ? … C’est quoi cette histoire de trucs en « …iennes » que je ne comprends pas, des histoires de lesbiennes tu veux dire ….
- Mais non, j’ai dit « rabelaisiennes », …. (puis rajoutant d’un ton très dédaigneux tout en fixant Thaïs MDE dont il vient d’attraper la tignasse et en lui secouant la tête dans tous les sens tout en continuant de parler ) … parce que ma…da…me… l’ex-chef d’entreprise, qui n’a pas encore compris qu’ici elle n’était plus grand-chose, juste une esclave en formation au milieu de tant d’autres largement plus qualifiées et satisfaisantes, n’a pas trouvé mieux que de me sortir sa science et ses connaissances littéraires, comme si elle s’imaginait un peu que je n’en connais pas au moins autant qu’elle sur Rabelais. Mais elle se croit où cette miteuse pimbêche, dans une grotesque foire ou une comédie burlesque ! Tu vas voir que je vais lui faire regretter d’avoir eu l’idée de plaisanter et de se railler de nous, alors même qu’elle aurait dû se sentir honteuse d’être en pénitence, condamnée pour expier ses manquements à la première règle de base du silence.
Walter de sa plus grosse voix et s’approchant de l’oreille de l’esclave dans laquelle il vocifère presque à la rendre sourde d’étourdissement pendant quelques secondes, s’exclame :
- Minable chienne, tu ne bouges pas d’un quart de millimètre jusqu’à mon retour. Je vais chercher ce qu’il me faut car tu vas voir de quel bois je me chauffe, quand quelqu’un a le malheur de me mettre en colère. Je suis persuadé que tu ne vas pas avoir vraiment le temps de pouffer de rire, mais moi si !!! … ah … ah … ah … (ajoute t-il avec un ton des plus vicieux qui a un arrière goût d’humour très noir)
Thaïs MDE est frémissante d’inquiétude, mais en même temps étonnée du frisson d’excitation qui lui parcourt l’échine de se sentir presque heureuse de se trouver là, dans cet illustre Château dont elle avait tant rêvé depuis des semaines, assurée plus que jamais de son choix de renoncer à sa vie d’avant de femme libre et libérée, autonome et indépendante, afin de devenir pour toujours l’une des esclaves-soumises MDE du Maître Vénéré, Monsieur le Marquis d’Evans, même si elle a conscience des contraintes et des règles qu’elle a accepté de se voir imposer suivant le seul bon plaisir et les exigences absolues du Maître, tout autant que ses multiples ordres impératifs auxquels elle ne pourra jamais se soustraire et devra se plier bon gré mal gré. Elle ressent même un immense bien-être l’envahir qui ne s’explique pas autrement que de comprendre qu’elle se sent enfin à sa place, la seule qui lui convient pour être en accord avec son désir inné de soumission qu’elle porte au plus profond de son âme, bien-être qui, au-delà des apparences de la situation qu’elle doit supporter et de la punition qu’il lui faudra souffrir, la transporte dans un état sublimé, presque transcendant, où elle a conscience que son plaisir dorénavant découle de sa capacité à donner le meilleur d’elle-même pour la satisfaction du Maître avant tout, même s’il lui faut pour cela accepter le dressage pénible obligatoire, qui en est le passage incontournable pour « entrer en soumission » et respecter ses vœux d’allégeance envers Le Maître Vénéré et Adulé, comme d’autres « entrent en religion » avec des vœux monastiques. Elle reconnaît largement le bien-fondé des punitions qui doivent lui être infligées en cas de désobéissance et de défaillance, pour lui permettre de s’amender d’une part et de s’améliorer d’autre part dans son long cheminement vers une meilleure soumission au service du Dominant à qui elle a donné tous pouvoirs sur sa vie et sur son corps.
Tandis qu’elle s’abandonne sans retenue entre les mains du Majordome, oubliant peu à peu ses craintes pour ne plus voir dans sa résignation que sa capacité à abdiquer toute volonté et une capitulation salvatrice en conformité avec cet état de soumission qu’elle désire de toute son âme, elle ressent son corps qui vibre de l’intérieur la portant presque dans un état de béatitude, avec l’humidité sexuelle de son bas-ventre qui va de pair, qui lui fait presque oublier les sévices punitifs qu’elle va devoir endurer, mais qui lui apprendront dorénavant à rabattre son caquet avant de partir dans des réflexions délirantes qui ne sont plus de mises en ce lieu pour une chienne-esclave faisant partie du cheptel du Marquis d’Evans. Walter après avoir baissé d’au moins cinq tons se retourne à nouveau vers la cuisinière.
- Marie, est-ce que tu pourrais encore prendre de ton temps avant de retourner en cuisine reprendre ton service, et t’occuper de ce fessier à mes lieux et place, pendant que je vais aller chercher mon attirail pour la suite des réjouissances, afin que cette révoltante garce perdre définitivement le goût des moqueries déplacées qui ne sont pas du tout à mon goût ? En tout premier lieu, je n’ai pas oublié que cette chienne indolente m’a fait attendre devant mon café pendant 4 minutes et tu m’as bien dit que le retard était de son seul fait. Tu connais donc comme moi le règlement intérieur, auquel il n’est pas question de déroger pour une moins que rien qui ne mérite aucune indulgence. Je te serais reconnaissant si ton poignet ne craint pas un peu d’exercice supplémentaire de lui assener les 40 coups de cravache qu’elle mérite très largement. Ce sera une première mise en bouche avant le plat de résistance …. Et surtout ne te retiens pas, car elle a eu le toupet de te narguer dédaigneusement en osant se moquer de la digne punition que tu avais décidé de lui imposer, il y va donc de ton honneur de transformer ses rires en pleurs, et de ne pas te contenter de simples larmoiements de fillette plaintive.
Pendant que Walter s’éloigne, Marie vient d’attraper sur une desserte à proximité une cravache de dressage, d’autant plus cinglante qu’elle est longue et très fine. Elle s’apprête à se défouler sur le postérieur exposé si tentant de l’esclave-soumise, n’ayant pas du tout apprécié d’entendre Walter lui annoncer que Thaïs MDE avait cru pouvoir rigoler de ce qu’elle avait choisi comme sanction avilissante.
- Puisque c’est ainsi que tu as osé me remercier des plaisirs que je t’ai accordés lorsque je t’ai permis de patauger dans mon « bouillon de légumes » que j’avais parfumé de toutes mes sucs de femelle et de mon abondante douche dorée, je peux t’assurer que tu ne vas guère avoir le temps de « badiner » (se comporter plaisamment) sur la table avec la badine que je viens de choisir pour ta belle croupe plantureuse qui va me permettre de me livrer à mon tour à quelques facéties que je ne manquerais pas de trouver fort rigolotes, tout comme mes jeux de mots, lorsque je constaterai que tu rigoles bien moins à présent.
Thaïs MDE se mort les lèvres de remords se trouvant prise à son propre piège de mille et une manières, sentant bien que la plaisanterie que les deux fidèles serviteurs de Monsieur le Marquis sont en train de vouloir lui imposer n’aura rien de bien plaisant à son niveau. Marie promène la cravache sur le dos de l’esclave-soumise, la glisse sans la moindre pudeur dans le sillon fessier avant de venir s’immiscer dans la chatte entrouverte de Thaïs MDE et de donner deux petits coups sur l’intérieur des cuisses pour lui faire comprendre qu’elle doit encore plus écarter les jambes. La forçant également à creuser encore plus les reins, en appuyant de l’aplat minuscule de la cravache, la chienne-soumise se sent encore plus excitée de se savoir ainsi cambrée, ouverte, exposée et fouillée avant même d’être corrigée. La cuisinière ajoute d’un ton ferme.
- Est-il besoin de te préciser qu’à chaque coup de badine, tu comptes ! Il n’est pas question que je me fatigue à cette tâche subalterne qui t’incombe. Evidemment, à la première erreur ou au premier oubli, tu remettras le compteur à zéro. Et pour te rappeler le respect qui m’est dû, tu ajouteras après chaque chiffre « Merci Madame Marie de bien vouloir me punir » et tous les dix coups tu compléteras ta phrase par « J’implore votre Pardon pour vous avoir offensé et pour avoir trouvé à rire de la punition que vous avez choisi de m’imposer ». Tu peux commencer dès à présent par m’implorer sans avoir à attendre le dixième coup.
Tandis que Marie fait siffler dans l’air l’instrument, histoire de faire monter la tension nerveuse et l’excitation dans le corps de la chienne-soumise qui contracte tous ses muscles ne sachant pas quand et où le premier coup va tomber, Thaïs MDE, d’une voix timide et se faisant le plus humble possible, se lance avec quelques difficultés, ne sachant pas si elle a bien compris ou non l’ordre qui vient de lui être donné, et si une fois de plus, elle ne va pas se faire rabrouer encore plus pour avoir ouvert la bouche alors qu’elle aurait dû se taire.
- Madame Marie, j’implore respectueusement et très humblement votre Pardon pour n’avoir pas respecté par deux fois la règle du silence imposée à tous les esclaves du cheptel de Monsieur le Marquis d’Evans, pour de ce fait vous avoir offensé et aussi pour avoir trouvé à redire et encore plus à rire de la punition que vous aviez choisie de m’imposer à fort juste titre et pour laquelle j’aurai dû seulement ressentir la honte d’avoir désobéi aux règles impératives de Monsieur le Marquis d’Evans, Le Maître Vénéré à qui j’appartiens corps et âme.
- Tu es vraiment infernale ! Tu ne sais pas t’en tenir à O-BE-IR et à respecter ce que l’on exige de toi à la lettre et au mot près. Il faut toujours que tu en rajoutes pour montrer que tu sais causer. Mais ici, tu dois montrer avant tout que tu sais te taire, écouter, retenir ce que l’on prend le temps de t’expliquer, ne pas répliquer, ne pas interpréter à ta convenance ce qui t’est imposé, ne pas décider de quoique ce soit car les choix ne t’appartiennent plus, et donc juste O-BE-IR. C’est quoi cette tartine de mots inutiles que tu viens de me débiter à n’en plus finir …. Si tu penses que j’ai du temps à perdre à t’écouter déblatérer, tu te trompes fallacieusement, espèce de sale pie bavarde…
Thaïs MDE se sent perdue, elle qui croyait s’amender honorablement en implorant encore plus Madame Marie et en exprimant son repentir deux fois plutôt qu’une, s’est une fois de plus fait admonestée. Elle a du mal à modifier son comportement naturel d’avant, à freiner son côté prolixe et perfectionniste qui cherche toujours en faire plus pour essayer de faire du mieux possible et elle comprend, mais un peu tard, que ce n’est pas précisément ce que l’on attend d’elle, et que vouloir devenir une vraie soumise dévouée, c’est aussi accepter de ne pas toujours chercher à comprendre ce qu’on attend d’elle et à l’interpréter à sa manière à elle qui peut être faussée mais juste à exécuter ce qui est exigé dans une soumission simple et une dévotion totale. Marie, de manière encore plus ferme, continue.
- Pour la peine, tu vas fermer une bonne fois pour toutes ton clapet volubile de concierge. Je ne t’autorise même plus pour l’instant à compter, à me remercier et encore moins à implorer mon pardon, cela t’apprendra ! Mais, sache que du coup, tu n’en seras pas quitte pour autant vis-à-vis de ton offense à mon égard que je n’oublierai pas de te rappeler le moment venu. Et tâche aussi que je n’entende plus le moindre mot sortir de tes lèvres avant la fin de la raclée si tu ne veux pas que je te les scelle pour un long moment avec du ruban scotch.
Marie abat la cravache sur les fesses tendues et cambrées de l’esclave-soumise qui serre les dents ressentant un impact beaucoup plus intense que les coups qu’elle avait jusqu’alors reçu de la part du Maître Vénéré ou même de Walter le Majordome. Marie se doutant bien de l’effet produit par ce premier coup lancé par surprise et avec force, avec cet instrument particulièrement cinglant, approche le fin aplat de la cravache de la bouche de Thaïs MDE, pour savourer encore plus le plaisir pervers qu’elle va prendre.
- Embrasse délicatement l’objet qui sert à te punir. Je suis persuadée que tu le trouves fort à ton goût, et que tu vas apprécier à leur juste valeur les 39 coups qui restent à venir. Tes fesses sont assez larges pour que je puisse les colorer sur toute leur surface, et je peux t’assurer que tu en garderas la marque en souvenir bien plus longtemps que n’ont duré tes 4 minutes de retard, ce qui t’apprendra la prochaine fois à ne pas lambiner sur le chemin...
(A suivre …)
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