La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 367)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-01-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 367)
Suite de l'épisode N°364 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré –
La chienne-soumise Thaïs MDE, équipée par Walter, le Majordome, se tient droite, la tête baissée, les jambes écartées, les yeux en larmes, ressentant l’œuf vibrant au fond de son vagin qui lui stimule avec beaucoup d’excitation sa chatte déjà plus qu’humide et coulante qui a été forcée et remplie par deux poireaux en guise de « godes-bouchons » maintenus en place par une ceinture de chasteté, tandis qu’entre ses fesses à travers le trou prévu à cet effet à la hauteur de l’anus dans la ceinture de métal sort le bout vert feuillu d’un troisième énorme poireau qui lui dilate le cul. Elle est tiraillée entre la honte de savoir qu’elle va devoir arpenter toutes les pièces du château au vu et au su de tout le personnel, et le trouble qui s’est emparé de son corps et de son esprit car elle ressent le plaisir qui monte en elle tandis que l’œuf a été mis en position de vibration maximale et qu’elle se sent vraiment possédée et remplie, fût-ce par des légumes et non de vrais sextoys ce qui ajoute à sa confusion face à cette situation incongrue et relativement humiliante. Elle est aussi au fond d’elle-même un peu inquiète à l’idée de savoir que sa punition et les tourments qu’elle va devoir continuer à subir n’ont fait que commencer et qu’elle est déjà dans un véritable état de fatigue après tant de sollicitations, ce qui lui a fait abandonner toutes forces et toute capacité de résistance. La voix très sarcastique du Majordome se fait alors entendre faisant émerger l’esclave de son état second.
- Bon la pleurnicharde, tu as fini de couler et de tout mouiller, on dirait une gamine qui a fait pipi dans sa culotte et qui est trempée de partout. Et puis tu arrêtes un peu tes jérémiades et surtout tes larmes, qui ne sont maintenant je le sais, que des larmes de crocodile qui ne veulent rien dire. C’est normal que maintenant que tu aies moins envie de pouffer de rire, mais si tu voyais la triste allure que tu as, c’est à mon tour de rigoler un bon coup. … ah ! ah ! ah ! …. Et puis c’est bien fait pour toi ce qui t’arrive, tu l’as amplement mérité, car cela t’apprendra à te maîtriser un peu plus à l’avenir avant de t’esclaffer.
Thaïs MDE se sent encore plus confuse entre l’excitation, qu’elle a du mal à maîtriser tant son bas-ventre est en feu, et son mal-être, car elle pense que le Majordome exagère en parlant de jérémiades alors qu’elle n’a même pas prononcé un seul mot et qu’il cherche surtout tous les moyens pour la rabaisser et faire toute une histoire avec un minuscule soupir qu’elle a, bien malgré elle, eu le malheur de laisser s’échapper, mais qui était loin de marquer un quelconque manque de déférence pour l’esclave-soumise qu’elle essaye d’être en faisant de son mieux pour satisfaire toutes les exigences des deux fidèles serviteurs entre les mains desquels le Maître Vénéré l’a remise. Walter après avoir repris sa respiration et une voix amplement plus courtoise et moins railleuse, mais suffisamment malicieuse, se retourne vers Marie la cuisinière, d’un air satisfait et toujours aussi complice.
- Il est temps que j’y aille, surtout que je vais devoir encore me coltiner pour toute l’après-midi ce paquet de poireau sur deux pattes, ce qui ne va pas être de la tarte …. Ah oui, c’est cela ! …. Pas de la tarte aux poireaux » je devrais préciser !!! … ah ! ah ! ah ! … Marie, tu as toujours de si bonnes idées perverses pour punir et dresser les esclaves de Monsieur le Marquis.
- Oui, Walter, je te remercie de le remarquer une fois de plus et de saluer mon ingéniosité ainsi que l’aide précieuse que je m’efforce de t’apporter dans la surveillance et la gestion au quotidien du cheptel qui t’incombent. Le dressage de cette meute de chiens bâtards et de chiennes en chaleur n’est pas de tout repos, mais je ne nie pas que je puisse y prendre un certain plaisir libidineux et y trouver quelques petites récompenses jouissives à titre de dédommagement de mon investissement total, qui va bien au-delà de mes fonctions de cuisinière au Château, qui aime préparer de bons petits plats pour notre bien-aimé Châtelain. Dans tous les cas, ce n’est pas toi qui va me contredire, il est bon que ces esclaves soient toujours maintenus dans un état conforme à leur condition servile, sinon ils finissent par se perdre eux-mêmes, si on leur laisse trop de liberté et trop de temps pour réfléchir ou se poser des questions inutiles. Ils sont là de leur plein gré pour être dressés à obéir et à satisfaire Monsieur le Marquis en tous points. Beaucoup d’entre eux oublient trop vite à quoi cela les engage que de vouloir servir un Grand Dominant de la qualité du Maître des Lieux.
- Mais Marie, tu ne m’as toujours pas expliqué ce que tu avais prévu pour la deuxième punition que tu devais imposer à cette pipelette qui ne sait pas tenir sa langue.
- Justement, Walter, c’est bien une histoire de langue. Cette vilaine chienne a la langue bien trop longue quand il s’agit de se taire, et elle l’a bien trop courte quand il s’agit de s’en servir pour lécher. Je pense que quelques exercices d’étirement ne lui feraient pas de mal, pour qu’elle apprenne à mieux sortir sa langue que lorsqu’elle y est autorisée et que le reste du temps, elle pense qu’elle a tout intérêt à la garder immobile à l’intérieur sans émettre le moindre son.
Marie attrape sur la table une chaîne qui est munie d’une pince de métal dans l’un des bouts et attrapant le menton de Thaïs MDE en lui pinçant fortement la peau du cou pour la forcer à redresser la mâchoire inférieure, la perverse cuisinière ajoute :
- La chienne, tu vas ouvrir la bouche et tendre ta langue de chienne baveuse au maximum que je vois un peu la taille de ton organe buccal indiscipliné qui doit juste te servir à lécher tout ce que l’on te donne mais aussi à laper eau et nourriture en bonne chienne à quatre pattes.
Thaïs MDE entrouvre la bouche, sort et tend sa langue au maximum, ne pouvant s’empêcher de penser que la situation serait plutôt jugée comme obscène ou mal élevée en dehors de ce milieu D/s, mais qu’entre ses murs, sa condition de chienne-esclave qui porte un collier et une laisse renforce le sentiment profond qu’elle ressent d’être chienne, animale, femelle et soumise. La cuisinière attrape le morceau de chair rose qui dépasse des lèvres couleur framboise de l’esclave et tire dessus presque comme si elle voulait l’arracher ce qui fait que la chienne-soumise avance la tête pour suivre le mouvement et perd presque l’équilibre instable qu’elle avait avec les jambes écartées au maximum, se retenant de justesse avant de tomber vers l’avant sous la tension exercée par la cuisinière. Marie d’un ton ironique, qui flaire encore plus la mauvaise foi, ajoute :
- Ah mais voilà ! Tout s’explique ! Je comprends mieux pourquoi cette nouvelle recrue m’a donné aussi peu de plaisirs lorsque je lui ai fait l’honneur de la fourrer entre mes cuisses. Tu as vu, Walter, le minuscule petit bout de chair qui sort de la gueule de cette chienne bâtarde ? On dirait une langue de lapin tellement elle est ridiculement petite, étroite et courte. On ne pourra jamais en faire une vraie chienne lubrique de bonne race, une bonne lécheuse de couilles et de bites avec son insignifiant petit bout rose si riquiqui qu’on dirait une limace recroquevillée qui a déteint. Une piètre excroissance pour se faufiler entre mes lèvres charnues et le pire, c’est que je suis persuadée qu’elle n’arriverait même pas à me lécher le cul avec le peu qui arrive à sortir de cet orifice beaucoup trop étriqué pour s’adonner à de vraies fellations à la gorge profonde.
Une fois de plus, l’esclave-soumise se met à rougir, mal à l’aise en entendant les propos toujours aussi crus et peu distingués de la cuisinière. Jamais elle n’avait imaginé que sa langue n’était pas assez grosse, ni assez longue pour donner du plaisir à un Homme ou à une femme sur les ordres du Maître car elle n’avait jamais connu de plaisirs saphiques avant de devenir soumise et d’accepter tout ce que le Dominant lui imposerait. D’ailleurs, Le Maître Vénéré le lui avait jamais fait jusqu’ici la moindre réflexion lorsqu’elle avait eu la chance de pouvoir Lui faire une fellation en laissant la Divine Queue du Maître la baisser de la bouche à Sa convenance, ce qu’elle aimait profondément et intensément quand elle avait eu la chance de pouvoir être appelée à Ses pieds tant elle savait le plaisir que le Maître avait pu prendre à la posséder entièrement de toutes les manières possibles suivant Son bon plaisir, qui était devenu le sien par résonnance. Thaïs MDE essaye tant bien que mal de tendre un peu plus les muscles de la langue pour que Marie arrête de la ridiculiser devant le Majordome, mais elle a bien le sentiment que c’est peine perdue, car d’une part, elle ne peut pas changer grand-chose à son anatomie externe et interne et d’autre part, quelle que soit la longueur de sa langue, il y a fort à parier que Marie aurait fait les mêmes commentaires déplaisants, histoire de l’humilier un peu plus pour lui rappeler qu’en ces lieux, elle n’était plus rien qu’une esclave-soumise qui n’avait jamais son mot à dire et qu’elle n’était là que pour subir et accepter son sort qui devait lui rappeler sans cesse sa condition et son libre assujettissement.
Marie attrape la chaîne avec la pince et « clip » aussi sec fortement la langue en son milieu le plus profondément possible à l’intérieur de la bouche pour avoir une bonne prise, elle tire sur la chaîne pour vérifier que le pincement tient bien. Elle attrape ensuite un écarte lèvres-bouche qui est constitué d’un grand anneau de métal que la cuisinière vient insérer dans la bouche de Thaïs MDE l’obligeant à écarter au maximum la mâchoire et à la garder en permanence ouverte et béante. Marie attache les deux liens de cuir, qui retiennent l’anneau derrière la tête de l’esclave, solidement arrimés pour que l’esclave-soumise ne puisse pas avoir la possibilité d’enlever la contrainte qui lui écartèle la bouche, encore qu’il y a fort à parier que même si elle en avait eu l’envie, elle ne l’aurait pas fait sans autorisation au risque d’une sanction supplémentaire qui n’aurait pas manqué de survenir. La cuisinière pince alors les deux mamelons de Thaïs MDE avec deux pince-seins reliés entre eux par une chaînette et elle tire sur la chaîne et la pince-langue de manière à faire sortir au maximum la langue, puis accroche les deux parties ensemble, c’est-à-dire la chaîne pince-seins et la chaîne qui pend de la langue de l’esclave, grâce à un mousqueton de manière à ce que l’ensemble soit le plus tendu possible. Marie se recule d’un pas pour regarder ce que cela donne et satisfaite de son système ingénieux et sûrement largement douloureux et inconfortable, elle se retourne vers Walter.
- Tiens, voilà j’ai équipé ton panier de poireau à deux pattes d’une anse en métal. L’avantage, c’est que s’il prenait l’envie à cette corpulente chienne qui a une minuscule langue de petit caniche de vouloir rentrer sa courte limace, elle tirerait aussi sec sur ses mamelons qui sont déjà tendus à l’extrême. Cela devrait donc lui permettre de faire un peu « d’exercice physique » et d’élongation salutaire pour le plaisir que queues et chattes pourront en retirer par la suite. Si tu poursuis le même traitement pendant plusieurs jours et de longues heures quotidiennes d’étirement, peut-être qu’elle va gagner en longueur, cela pourrait faire comme pour les pianistes qui ont tous de longs doigts agiles à force de taper sur les touches et de monter ou descendre les gammes. C’est cela la punition que j’impose à cette bavarde-poissonnière qui a osé venir me supplier et surtout m’échauffer les oreilles. Pour la durée du traitement et son renouvellement, je te laisse décider de la suite. Il est temps que je retourne enfin à mes fourneaux si nous voulons tous avoir quelque chose dans nos assiettes.
Thaïs MDE ne peut s’empêcher de penser que lorsqu’elle avait supplié Madame Marie, c’était à la demande expresse de cette dernière qu’elle s’était permise de le faire, et elle ressent avec âpreté la mauvaise foi de Marie, mais elle pense qu’il vaut mieux qu’elle n’y prête pas attention pour se contenter d’obéir et surtout se concentrer afin d’éviter de bouger la tête pour réduire la tension qui lui arrache la langue et les deux pointes de seins, se disant que la douleur risque fort de devenir de plus en plus intense avec le temps s’il prenait l’envie à Walter de prolonger le port de ces pincements intenses.
- Marie, moi aussi, il est temps que je descende à l’infirmerie voir comment va Mûriana MDE et notre chien blessé e6938. Pour ton petit montage qui tient lieu de punition, je retiens l’idée, mais je vais devoir remettre cela à plus tard pour un port prolongé d’élongation, car ton équipement est incompatible avec le petit appareillage que j’ai imaginé pour cette chienne indocile qui baisse la tête quand elle doit la garder levée et qui ne la baisse encore pas assez lorsqu’elle est en présence de Monsieur le Marquis, ou même devant nous deux, car son cou et ses cervicales sont loin d’être suffisamment souples pour se courber et se plier convenablement.
Thaïs MDE se demande bien ce qu’a pu inventer Walter, se disant qu’elle risque de tomber de Charybde en Scylla (expression qui vient de la mythologie grecque et de l’Odyssée d’Ulysse qui pût échapper à un grand danger en s’en frottant à un autre encore plus périlleux) si le Majordome lui défait la chaîne qui est reliée à la pince qui retient sa langue sortie, et lui arrache carrément les tétons au moindre mouvement de la tête, rendant presque impossible toute déglutition qui a pour effet de faire bouger la base de la langue en même temps que les amygdales, la glotte et le fond du palais. Pour autant la douleur imposée par la punition imposée par Marie lui semble si insupportable sur des parties du corps sensibles telles que celles de la langue et des tétons qu’elle n’espère plus qu’une chose, c’est qu’il soit mis fin le plus rapidement possible à la tension qui lui tétanise la langue, ce qui au passage n’a pas manqué de lui rappeler combien elle devra veiller à l’avenir à la garder bien au chaud immobile à l’intérieur avant de parler et surtout d’émettre le moindre son, plainte ou gémissement, sans y avoir été invitée... Mais Thaïs MDE ressent aussi cette étrange réalité de constater que son bas-ventre mouille, encore plus intensément, quand la douleur lui traverse le corps. L’esclave focalisée sur l’installation de Marie, n’a donc pas oublié son bas-ventre plus qu’humide, et une pensée lui traverse l’esprit car elle se rend compte que l’œuf vibrant a cessé de fonctionner, ce qui certes aurait pu lui donner encore plus de bien-être jouissif pour compenser d’autres sensations plus pinçant et plus douloureuses, mais ce temps de repos accordé à son intimité qui reste toujours très excitée lui a permis malgré tout de ne pas trop se laisser déborder par la vague de plaisirs qu’elle aurait eu beaucoup de mal à contrôler au milieu de tant d’autres tourments…
(A suivre…)
La chienne-soumise Thaïs MDE, équipée par Walter, le Majordome, se tient droite, la tête baissée, les jambes écartées, les yeux en larmes, ressentant l’œuf vibrant au fond de son vagin qui lui stimule avec beaucoup d’excitation sa chatte déjà plus qu’humide et coulante qui a été forcée et remplie par deux poireaux en guise de « godes-bouchons » maintenus en place par une ceinture de chasteté, tandis qu’entre ses fesses à travers le trou prévu à cet effet à la hauteur de l’anus dans la ceinture de métal sort le bout vert feuillu d’un troisième énorme poireau qui lui dilate le cul. Elle est tiraillée entre la honte de savoir qu’elle va devoir arpenter toutes les pièces du château au vu et au su de tout le personnel, et le trouble qui s’est emparé de son corps et de son esprit car elle ressent le plaisir qui monte en elle tandis que l’œuf a été mis en position de vibration maximale et qu’elle se sent vraiment possédée et remplie, fût-ce par des légumes et non de vrais sextoys ce qui ajoute à sa confusion face à cette situation incongrue et relativement humiliante. Elle est aussi au fond d’elle-même un peu inquiète à l’idée de savoir que sa punition et les tourments qu’elle va devoir continuer à subir n’ont fait que commencer et qu’elle est déjà dans un véritable état de fatigue après tant de sollicitations, ce qui lui a fait abandonner toutes forces et toute capacité de résistance. La voix très sarcastique du Majordome se fait alors entendre faisant émerger l’esclave de son état second.
- Bon la pleurnicharde, tu as fini de couler et de tout mouiller, on dirait une gamine qui a fait pipi dans sa culotte et qui est trempée de partout. Et puis tu arrêtes un peu tes jérémiades et surtout tes larmes, qui ne sont maintenant je le sais, que des larmes de crocodile qui ne veulent rien dire. C’est normal que maintenant que tu aies moins envie de pouffer de rire, mais si tu voyais la triste allure que tu as, c’est à mon tour de rigoler un bon coup. … ah ! ah ! ah ! …. Et puis c’est bien fait pour toi ce qui t’arrive, tu l’as amplement mérité, car cela t’apprendra à te maîtriser un peu plus à l’avenir avant de t’esclaffer.
Thaïs MDE se sent encore plus confuse entre l’excitation, qu’elle a du mal à maîtriser tant son bas-ventre est en feu, et son mal-être, car elle pense que le Majordome exagère en parlant de jérémiades alors qu’elle n’a même pas prononcé un seul mot et qu’il cherche surtout tous les moyens pour la rabaisser et faire toute une histoire avec un minuscule soupir qu’elle a, bien malgré elle, eu le malheur de laisser s’échapper, mais qui était loin de marquer un quelconque manque de déférence pour l’esclave-soumise qu’elle essaye d’être en faisant de son mieux pour satisfaire toutes les exigences des deux fidèles serviteurs entre les mains desquels le Maître Vénéré l’a remise. Walter après avoir repris sa respiration et une voix amplement plus courtoise et moins railleuse, mais suffisamment malicieuse, se retourne vers Marie la cuisinière, d’un air satisfait et toujours aussi complice.
- Il est temps que j’y aille, surtout que je vais devoir encore me coltiner pour toute l’après-midi ce paquet de poireau sur deux pattes, ce qui ne va pas être de la tarte …. Ah oui, c’est cela ! …. Pas de la tarte aux poireaux » je devrais préciser !!! … ah ! ah ! ah ! … Marie, tu as toujours de si bonnes idées perverses pour punir et dresser les esclaves de Monsieur le Marquis.
- Oui, Walter, je te remercie de le remarquer une fois de plus et de saluer mon ingéniosité ainsi que l’aide précieuse que je m’efforce de t’apporter dans la surveillance et la gestion au quotidien du cheptel qui t’incombent. Le dressage de cette meute de chiens bâtards et de chiennes en chaleur n’est pas de tout repos, mais je ne nie pas que je puisse y prendre un certain plaisir libidineux et y trouver quelques petites récompenses jouissives à titre de dédommagement de mon investissement total, qui va bien au-delà de mes fonctions de cuisinière au Château, qui aime préparer de bons petits plats pour notre bien-aimé Châtelain. Dans tous les cas, ce n’est pas toi qui va me contredire, il est bon que ces esclaves soient toujours maintenus dans un état conforme à leur condition servile, sinon ils finissent par se perdre eux-mêmes, si on leur laisse trop de liberté et trop de temps pour réfléchir ou se poser des questions inutiles. Ils sont là de leur plein gré pour être dressés à obéir et à satisfaire Monsieur le Marquis en tous points. Beaucoup d’entre eux oublient trop vite à quoi cela les engage que de vouloir servir un Grand Dominant de la qualité du Maître des Lieux.
- Mais Marie, tu ne m’as toujours pas expliqué ce que tu avais prévu pour la deuxième punition que tu devais imposer à cette pipelette qui ne sait pas tenir sa langue.
- Justement, Walter, c’est bien une histoire de langue. Cette vilaine chienne a la langue bien trop longue quand il s’agit de se taire, et elle l’a bien trop courte quand il s’agit de s’en servir pour lécher. Je pense que quelques exercices d’étirement ne lui feraient pas de mal, pour qu’elle apprenne à mieux sortir sa langue que lorsqu’elle y est autorisée et que le reste du temps, elle pense qu’elle a tout intérêt à la garder immobile à l’intérieur sans émettre le moindre son.
Marie attrape sur la table une chaîne qui est munie d’une pince de métal dans l’un des bouts et attrapant le menton de Thaïs MDE en lui pinçant fortement la peau du cou pour la forcer à redresser la mâchoire inférieure, la perverse cuisinière ajoute :
- La chienne, tu vas ouvrir la bouche et tendre ta langue de chienne baveuse au maximum que je vois un peu la taille de ton organe buccal indiscipliné qui doit juste te servir à lécher tout ce que l’on te donne mais aussi à laper eau et nourriture en bonne chienne à quatre pattes.
Thaïs MDE entrouvre la bouche, sort et tend sa langue au maximum, ne pouvant s’empêcher de penser que la situation serait plutôt jugée comme obscène ou mal élevée en dehors de ce milieu D/s, mais qu’entre ses murs, sa condition de chienne-esclave qui porte un collier et une laisse renforce le sentiment profond qu’elle ressent d’être chienne, animale, femelle et soumise. La cuisinière attrape le morceau de chair rose qui dépasse des lèvres couleur framboise de l’esclave et tire dessus presque comme si elle voulait l’arracher ce qui fait que la chienne-soumise avance la tête pour suivre le mouvement et perd presque l’équilibre instable qu’elle avait avec les jambes écartées au maximum, se retenant de justesse avant de tomber vers l’avant sous la tension exercée par la cuisinière. Marie d’un ton ironique, qui flaire encore plus la mauvaise foi, ajoute :
- Ah mais voilà ! Tout s’explique ! Je comprends mieux pourquoi cette nouvelle recrue m’a donné aussi peu de plaisirs lorsque je lui ai fait l’honneur de la fourrer entre mes cuisses. Tu as vu, Walter, le minuscule petit bout de chair qui sort de la gueule de cette chienne bâtarde ? On dirait une langue de lapin tellement elle est ridiculement petite, étroite et courte. On ne pourra jamais en faire une vraie chienne lubrique de bonne race, une bonne lécheuse de couilles et de bites avec son insignifiant petit bout rose si riquiqui qu’on dirait une limace recroquevillée qui a déteint. Une piètre excroissance pour se faufiler entre mes lèvres charnues et le pire, c’est que je suis persuadée qu’elle n’arriverait même pas à me lécher le cul avec le peu qui arrive à sortir de cet orifice beaucoup trop étriqué pour s’adonner à de vraies fellations à la gorge profonde.
Une fois de plus, l’esclave-soumise se met à rougir, mal à l’aise en entendant les propos toujours aussi crus et peu distingués de la cuisinière. Jamais elle n’avait imaginé que sa langue n’était pas assez grosse, ni assez longue pour donner du plaisir à un Homme ou à une femme sur les ordres du Maître car elle n’avait jamais connu de plaisirs saphiques avant de devenir soumise et d’accepter tout ce que le Dominant lui imposerait. D’ailleurs, Le Maître Vénéré le lui avait jamais fait jusqu’ici la moindre réflexion lorsqu’elle avait eu la chance de pouvoir Lui faire une fellation en laissant la Divine Queue du Maître la baisser de la bouche à Sa convenance, ce qu’elle aimait profondément et intensément quand elle avait eu la chance de pouvoir être appelée à Ses pieds tant elle savait le plaisir que le Maître avait pu prendre à la posséder entièrement de toutes les manières possibles suivant Son bon plaisir, qui était devenu le sien par résonnance. Thaïs MDE essaye tant bien que mal de tendre un peu plus les muscles de la langue pour que Marie arrête de la ridiculiser devant le Majordome, mais elle a bien le sentiment que c’est peine perdue, car d’une part, elle ne peut pas changer grand-chose à son anatomie externe et interne et d’autre part, quelle que soit la longueur de sa langue, il y a fort à parier que Marie aurait fait les mêmes commentaires déplaisants, histoire de l’humilier un peu plus pour lui rappeler qu’en ces lieux, elle n’était plus rien qu’une esclave-soumise qui n’avait jamais son mot à dire et qu’elle n’était là que pour subir et accepter son sort qui devait lui rappeler sans cesse sa condition et son libre assujettissement.
Marie attrape la chaîne avec la pince et « clip » aussi sec fortement la langue en son milieu le plus profondément possible à l’intérieur de la bouche pour avoir une bonne prise, elle tire sur la chaîne pour vérifier que le pincement tient bien. Elle attrape ensuite un écarte lèvres-bouche qui est constitué d’un grand anneau de métal que la cuisinière vient insérer dans la bouche de Thaïs MDE l’obligeant à écarter au maximum la mâchoire et à la garder en permanence ouverte et béante. Marie attache les deux liens de cuir, qui retiennent l’anneau derrière la tête de l’esclave, solidement arrimés pour que l’esclave-soumise ne puisse pas avoir la possibilité d’enlever la contrainte qui lui écartèle la bouche, encore qu’il y a fort à parier que même si elle en avait eu l’envie, elle ne l’aurait pas fait sans autorisation au risque d’une sanction supplémentaire qui n’aurait pas manqué de survenir. La cuisinière pince alors les deux mamelons de Thaïs MDE avec deux pince-seins reliés entre eux par une chaînette et elle tire sur la chaîne et la pince-langue de manière à faire sortir au maximum la langue, puis accroche les deux parties ensemble, c’est-à-dire la chaîne pince-seins et la chaîne qui pend de la langue de l’esclave, grâce à un mousqueton de manière à ce que l’ensemble soit le plus tendu possible. Marie se recule d’un pas pour regarder ce que cela donne et satisfaite de son système ingénieux et sûrement largement douloureux et inconfortable, elle se retourne vers Walter.
- Tiens, voilà j’ai équipé ton panier de poireau à deux pattes d’une anse en métal. L’avantage, c’est que s’il prenait l’envie à cette corpulente chienne qui a une minuscule langue de petit caniche de vouloir rentrer sa courte limace, elle tirerait aussi sec sur ses mamelons qui sont déjà tendus à l’extrême. Cela devrait donc lui permettre de faire un peu « d’exercice physique » et d’élongation salutaire pour le plaisir que queues et chattes pourront en retirer par la suite. Si tu poursuis le même traitement pendant plusieurs jours et de longues heures quotidiennes d’étirement, peut-être qu’elle va gagner en longueur, cela pourrait faire comme pour les pianistes qui ont tous de longs doigts agiles à force de taper sur les touches et de monter ou descendre les gammes. C’est cela la punition que j’impose à cette bavarde-poissonnière qui a osé venir me supplier et surtout m’échauffer les oreilles. Pour la durée du traitement et son renouvellement, je te laisse décider de la suite. Il est temps que je retourne enfin à mes fourneaux si nous voulons tous avoir quelque chose dans nos assiettes.
Thaïs MDE ne peut s’empêcher de penser que lorsqu’elle avait supplié Madame Marie, c’était à la demande expresse de cette dernière qu’elle s’était permise de le faire, et elle ressent avec âpreté la mauvaise foi de Marie, mais elle pense qu’il vaut mieux qu’elle n’y prête pas attention pour se contenter d’obéir et surtout se concentrer afin d’éviter de bouger la tête pour réduire la tension qui lui arrache la langue et les deux pointes de seins, se disant que la douleur risque fort de devenir de plus en plus intense avec le temps s’il prenait l’envie à Walter de prolonger le port de ces pincements intenses.
- Marie, moi aussi, il est temps que je descende à l’infirmerie voir comment va Mûriana MDE et notre chien blessé e6938. Pour ton petit montage qui tient lieu de punition, je retiens l’idée, mais je vais devoir remettre cela à plus tard pour un port prolongé d’élongation, car ton équipement est incompatible avec le petit appareillage que j’ai imaginé pour cette chienne indocile qui baisse la tête quand elle doit la garder levée et qui ne la baisse encore pas assez lorsqu’elle est en présence de Monsieur le Marquis, ou même devant nous deux, car son cou et ses cervicales sont loin d’être suffisamment souples pour se courber et se plier convenablement.
Thaïs MDE se demande bien ce qu’a pu inventer Walter, se disant qu’elle risque de tomber de Charybde en Scylla (expression qui vient de la mythologie grecque et de l’Odyssée d’Ulysse qui pût échapper à un grand danger en s’en frottant à un autre encore plus périlleux) si le Majordome lui défait la chaîne qui est reliée à la pince qui retient sa langue sortie, et lui arrache carrément les tétons au moindre mouvement de la tête, rendant presque impossible toute déglutition qui a pour effet de faire bouger la base de la langue en même temps que les amygdales, la glotte et le fond du palais. Pour autant la douleur imposée par la punition imposée par Marie lui semble si insupportable sur des parties du corps sensibles telles que celles de la langue et des tétons qu’elle n’espère plus qu’une chose, c’est qu’il soit mis fin le plus rapidement possible à la tension qui lui tétanise la langue, ce qui au passage n’a pas manqué de lui rappeler combien elle devra veiller à l’avenir à la garder bien au chaud immobile à l’intérieur avant de parler et surtout d’émettre le moindre son, plainte ou gémissement, sans y avoir été invitée... Mais Thaïs MDE ressent aussi cette étrange réalité de constater que son bas-ventre mouille, encore plus intensément, quand la douleur lui traverse le corps. L’esclave focalisée sur l’installation de Marie, n’a donc pas oublié son bas-ventre plus qu’humide, et une pensée lui traverse l’esprit car elle se rend compte que l’œuf vibrant a cessé de fonctionner, ce qui certes aurait pu lui donner encore plus de bien-être jouissif pour compenser d’autres sensations plus pinçant et plus douloureuses, mais ce temps de repos accordé à son intimité qui reste toujours très excitée lui a permis malgré tout de ne pas trop se laisser déborder par la vague de plaisirs qu’elle aurait eu beaucoup de mal à contrôler au milieu de tant d’autres tourments…
(A suivre…)
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