La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 375)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-01-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 375)
Suite de l'épisode précédent N°374 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré –
A peine le Majordome a-t’il franchi la porte et prononcé quelques mots de sa voix habituellement forte que le chien-mâle e6938 MDE qui était allongé sur un des lits de l’infirmerie s’est levé en toute hâte pour s’agenouiller au pied du lit. Il est juste vêtu d’une chemise de nuit d’hôpital qui s’enfile par devant et se boutonne à l’arrière d’un seul bouton pression au niveau du cou. D’une voix tonitruante qui ferait presque trembler les vitres de la pièce et qui a fait sursauter Thaïs MDE qui se tenait juste un mètre derrière le Majordome, Walter rugit :
- Le chien, est-ce qu’il y a quelqu’un qui t’a autorisé à te lever du lit ! Ne sais-tu pas que l’infirmerie est le seul endroit du Château où les règles sont abrogées en fonction de l’état de chaque malade. Ce n’est bien sûr pas une raison pour en profiter et me manquer de respect à moi et aussi à notre dévouée infirmière, mais tu dois attendre d’avoir reçu l’autorisation avant de pouvoir quitter le lit où tu es astreint jusqu’à nouvel ordre. Et pas de commentaires, ni d’excuses maintenant …. Pour l’instant, tu retournes t’allonger sans discuter que je vois un peu dans quel état tu es.
e6938 MDE qui ne veut pas se faire réprimander une fois de plus par Walter s’empresse de se relever et de s’étendre sur le lit, même s’il n’a pas le sentiment d’être si blessé qu’il lui faudrait rester alité en permanence, malgré le fait qu’il a le nez en piteux état avec une légère fracture non déviée de l’os nasal. Walter, se doutant que l’esclave éprouvé doit endurer une douleur plus que cuisante sur une grande partie du visage tuméfié, s’approche avec délicatesse pour examiner de plus près e6938 MDE, même si une grande partie de la face se trouve masquée par le petit plâtre qui protège la pyramide nasale et qui est fixé par des bandes élastiques qui sont collées au niveau du front et aussi des joues. Il le manipule avec précaution et se retourne vers l’infirmière soumise, particulièrement perturbé de voir combien le visage de l’esclave a accusé le coup, des cernes sous les yeux, des bleus qui vont bien au-delà du pansement, des petits vaisseaux sanguins qui ont éclaté dans les yeux dont les pupilles sont devenues en partie rouge.
- Et bien, le moins qu’on puisse dire c’est que ce matin ce bâtard de chien enragé d’essai76 MDE n’y est pas allé de main morte. Je crois bien que depuis que j’ai pris mon service au Château, jamais il n’y avait eu un incident de la sorte. Il était arrivé d’avoir des petites chamailleries au sein du chenil vite réprimandées avec quelques punitions à la clef pour que tout rentre dans l’ordre sans tarder….
Tout en continuant très délicatement à lui tourner le visage entre ses grosses mains, Walter enchaîne :
- … Je me souviens aussi d’une fois où deux esclaves, un mâle et une femelle, avaient été surpris à s’accorder en cachette des petits câlins non autorisés, ce qui leur avait valu un châtiment des plus exemplaires leur faisant amèrement regretter un temps de plaisirs charnel qui est vite devenu un vrai déplaisir que Monsieur le Marquis à fait durer pendant un bon moment pour que cela leur serve de leçon à tous les deux, mais aussi pour que cela soit profitable à l’ensemble des autres esclaves averti de la sanction qui pouvait en résulter si de tels faits devaient se reproduire… Mais là, aujourd’hui, c’est vraiment le comble, imaginer un chien-mâle à l’essai qui prétend vouloir se soumettre de son plein gré, attiré par la D/s et qui n’est même pas capable de contrôler ses actes, faisant preuve d’impulsivité et de bestialité, un comportement qui n’est même pas tolérable dans des relations normales vanille. C’est à se demander si les mots « soumission » et « abnégation » ont un sens profond chez tous ceux qui ont la prétention de vouloir devenir chien-esclave au service de Monsieur le Marquis d’Evans.
- Oui, Monsieur Walter, vous avez raison. Depuis que Monsieur le Marquis d’Evans m’a octroyé dans son immense bonté le droit de pouvoir rester à demeure au Château en tant qu’infirmière MDE, je n’ai jamais eu à m’occuper de membres du personnel ou même d’esclaves qui auraient été blessés intentionnellement par quelqu’un. Monsieur le Marquis d’Evans est un Dominant qui sait rester ferme malgré sa grande magnanimité, qui sait aussi punir avec justesse et intransigeance quand il le faut, mais Le Maître Vénéré fait toujours très attention à la santé et à la sécurité de tous ceux qui se sont mis sous sa garde et sa protection.
- Je rajouterai même que Monsieur le Marquis est le meilleur Patron qu’il m’ait été donné de connaître, et je suis bien placé pour savoir de quoi je parle, car je ne céderais ma place de Majordome pour rien au monde. Sans compter qu’il reste un employeur très respectueux et attentif avec tout l’ensemble personnel qui se plait de pouvoir rester à travailler au Château. C’est le genre de patron humain et respecté de tous.
- Monsieur Walter, si vous me le permettez, pour en revenir à notre courageux blessé, comme je vous l’ai indiqué par téléphone, je me permets de vous signaler à nouveau qu’il a eu un comportement exemplaire pendant que le chirurgien s’occupait de le soigner. Il devra garder cette protection nasale pendant trois semaines et éviter tous pratiques à risques pendant au moins un mois. Il est préférable qu’il se repose pendant quelques jours, le temps que les hématomes se résorbent un peu, mais dès demain il pourra se lever et marcher pour faire un minimum d’exercice, cela lui fera le plus grand bien et puis pas question de le garder alité sans raison comme s’il était en punition ou contraint à une immobilité totale. Bien au contraire quelques petits plaisirs lui permettront de guérir plus vite et de pouvoir reprendre du service au plus tôt, même s’il faudra le ménager jusqu’à parfaite guérison.
- Mûriana MDE, tu me parles de plaisirs … voulais-tu dire des plaisirs de jouissance ? En quoi, le fait de se vider les couilles pourrait avoir une incidence sur la réparation de son nez cassé ? Je ne m’y connais pas en médecine, mais faut quand même pas me raconter n’importe quoi. Je suis un Homme et quand j’éjacule cela me fait du bien par où cela passe, mais je n’ai jamais rien ressenti au niveau du nez !
- Monsieur Walter, je vous prie de m’excuser si je me suis mal exprimée, mais ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Je parlais de petits plaisirs simples, sortir prendre l’air pour aller faire un tour, voir le ciel bleu au lieu de rester cloitré ici dans les sous-sols du Château, où seule la lumière artificielle nous éclaire. Je ne parlais pas de plaisirs virils, encore que je pense que cela ne lui ferait sûrement pas de mal dans son état. Je me permets de vous préciser que j’ai remis le collier au cou du chien e6938 MDE, car il n’y avait aucune contre-indication au port du collier et je crois surtout qu’il espérait que je le lui remette le plus tôt possible car il se sentait un peu perdu sans son collier d’appartenance et la médaille qui pend à son cou avec son numéro matricule…. Je le voyais qui envoyait sans cesse la main à son cou, cherchant désespérément ce qui lui manquait, et j’ai pris sur moi de le poser sans attendre, d’autant plus que c’est moi qui avais dû le lui défaire avant de pouvoir l’emmener en ville chez le médecin. J’espère que je n’ai pas mal fait et que vous n’aviez pas l’intention de vouloir le poser vous-même. Par contre, j’ai décidé de pas encore lui remettre la cage de chasteté car ce n’est pas des plus pratiques pour l’instant, surtout s’il reste allongé et qu’il doit arriver à pisser dans l’urinal (récipient pour uriner au lit).
- Tu parles sérieusement quand tu dis que cela ne lui ferait pas de mal dans son état de pouvoir jouir maintenant ?
- Monsieur Walter, je pense effectivement que cela lui permettrait d’évacuer un peu la tension nerveuse qu’il a accumulée depuis ce matin. D’ailleurs, il n’y a qu’à voir le morceau de tissu qui bouge tout seul pour se rendre compte que nos propos ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd et qu’il y a une queue qui n’a pas tardé à se dresser dès qu’on s’est mis à parler d’elle.
e6938 MDE est honteux de la réaction physique qu’il a eu et il se sent terriblement gêné de savoir que, sous le regard de l’infirmière MDE et du Majordome, il est en train de bander de la manière la plus effrontée qui soit, alors qu’il est juste couvert d’une blouse blanche d’hôpital ouverte en coton et qu’il est nu en dessous, ses parties sexuelles étant, ce qui est assez rare dans sa condition de chien-esclave du cheptel, totalement libres de toutes contraintes. Le Majordome détache la laisse de Thaïs MDE qui était à ses côtés et tire dessus pour la rapprocher et la faire se mettre à genou sur le côté du lit.
- Le chien ! Il parait donc que tu as eu un comportement exemplaire toute la matinée. Toutes les fautes en ce lieu sont sanctionnées comme il se doit par des punitions adaptées, mais il est aussi normal de savoir gratifier les esclaves qui se comportent comme il faut, même si cela devrait être une simple normalité qui ne devrait pas avoir besoin d’autres récompenses que le plaisir d’imaginer la satisfaction pleine et entière du Maître. Cette femelle est à toi pendant que je vais devoir m’occuper ailleurs. Enfin, disons, sa bouche est à toi si cela te tente de la baiser dans le seul orifice qu’elle a encore inoccupé à cet instant. Elle a la langue un peu courte à mon avis pour pouvoir lécher comme il faut, mais c’est une vraie chienne en chaleur que tu ne devrais pas avoir de mal à envoyer au 7ème ciel car elle est déjà bien excitée de la chatte. Je n’ai pas le temps de lui ôter son carcan, il te faudra donc te débrouiller de faire avec. Tâche de lui faire gicler ta semence bien dans le gosier, cela remplacera le repas qu’elle n’a pas eu le temps de prendre, Marie lui ayant juste donné à déguster quelques tomates tout à l’heure…
Walter se penche vers la chienne-esclave, au moment même où il remet l’œuf vibrant en position maximum.
- Femelle ! Tâche de donner le maximum de plaisirs à notre blessé de « guerre ». Très exceptionnellement, je te donne le droit de jouir autant que tu veux, car il doit y avoir longtemps que tu en as plus qu’envie et cela va mettre un peu d’animation musicale dans ce lieu qui sent beaucoup trop les produits médicaux. Je te préviens juste d’une chose si tu coules, tu seras priée de lécher par terre ton eau de fontaine une fois terminée car notre infirmière MDE n’est sûrement pas là pour perdre son temps à nettoyer tes cochonneries lubriques. Tu as le droit de crier ton plaisir, cela devrait faire du bien à nos trois malades de t’entendre haleter et brayer comme la chienne-femelle en chaleur que tu es, qui n’attend que de se faire baiser la gueule et de se faire fourrer de foutre...
L’esclave-soumise Thaïs MDE ne peut s’empêcher de rougir, mais aussi de sourire de savoir qu’elle a enfin le droit de jouir sans la moindre retenue, et dans l’état d’excitation où elle se trouve, avec l’œuf qui continue à vibrer, elle se demande même si elle va tenir avant de laisser son orgasme l’emporter jusqu’à ce que e6938 MDE se lève du lit et s’approche. De son côté, le Majordome se dirige vers l’infirmière MDE qui était revenue près de son bureau sur lequel sont entreposés tous les dossiers médicaux en cours.
- Mûriana MDE, à nous deux maintenant. Je me sens vraiment bizarre, il me semble qu’il faudrait que tu viennes m’examiner de plus près et de partout. Tout à l’heure, j’ai dû faire passer un examen à cette nouvelle recrue pour tester pendant 5 minutes sa minuscule langue de lapin qui n’est pas assez longue pour lécher correctement pénis et couilles. Depuis, j’ai quelque chose qui ne passe pas à l’intérieur de mon pantalon, une bosse qui n’a pas encore disparu ..... et qui mérite quelques soins d’une infirmière diplômée telle que toi, experte en la matière…
Walter attrape la blouse de l’infirmière soumise MDE qu’il écarte en arrachant les boutons sans même prendre le temps de les déboutonner. Il l’entraine vers un des lits du dortoir de l’infirmerie dont il tire précipitamment les rideaux qui servent de séparation entre les différents couchages pour malades. Il s’allonge sur le lit, laissant Mûriana MDE prendre en charge la suite des opérations « médicales »…
(A suivre...)
A peine le Majordome a-t’il franchi la porte et prononcé quelques mots de sa voix habituellement forte que le chien-mâle e6938 MDE qui était allongé sur un des lits de l’infirmerie s’est levé en toute hâte pour s’agenouiller au pied du lit. Il est juste vêtu d’une chemise de nuit d’hôpital qui s’enfile par devant et se boutonne à l’arrière d’un seul bouton pression au niveau du cou. D’une voix tonitruante qui ferait presque trembler les vitres de la pièce et qui a fait sursauter Thaïs MDE qui se tenait juste un mètre derrière le Majordome, Walter rugit :
- Le chien, est-ce qu’il y a quelqu’un qui t’a autorisé à te lever du lit ! Ne sais-tu pas que l’infirmerie est le seul endroit du Château où les règles sont abrogées en fonction de l’état de chaque malade. Ce n’est bien sûr pas une raison pour en profiter et me manquer de respect à moi et aussi à notre dévouée infirmière, mais tu dois attendre d’avoir reçu l’autorisation avant de pouvoir quitter le lit où tu es astreint jusqu’à nouvel ordre. Et pas de commentaires, ni d’excuses maintenant …. Pour l’instant, tu retournes t’allonger sans discuter que je vois un peu dans quel état tu es.
e6938 MDE qui ne veut pas se faire réprimander une fois de plus par Walter s’empresse de se relever et de s’étendre sur le lit, même s’il n’a pas le sentiment d’être si blessé qu’il lui faudrait rester alité en permanence, malgré le fait qu’il a le nez en piteux état avec une légère fracture non déviée de l’os nasal. Walter, se doutant que l’esclave éprouvé doit endurer une douleur plus que cuisante sur une grande partie du visage tuméfié, s’approche avec délicatesse pour examiner de plus près e6938 MDE, même si une grande partie de la face se trouve masquée par le petit plâtre qui protège la pyramide nasale et qui est fixé par des bandes élastiques qui sont collées au niveau du front et aussi des joues. Il le manipule avec précaution et se retourne vers l’infirmière soumise, particulièrement perturbé de voir combien le visage de l’esclave a accusé le coup, des cernes sous les yeux, des bleus qui vont bien au-delà du pansement, des petits vaisseaux sanguins qui ont éclaté dans les yeux dont les pupilles sont devenues en partie rouge.
- Et bien, le moins qu’on puisse dire c’est que ce matin ce bâtard de chien enragé d’essai76 MDE n’y est pas allé de main morte. Je crois bien que depuis que j’ai pris mon service au Château, jamais il n’y avait eu un incident de la sorte. Il était arrivé d’avoir des petites chamailleries au sein du chenil vite réprimandées avec quelques punitions à la clef pour que tout rentre dans l’ordre sans tarder….
Tout en continuant très délicatement à lui tourner le visage entre ses grosses mains, Walter enchaîne :
- … Je me souviens aussi d’une fois où deux esclaves, un mâle et une femelle, avaient été surpris à s’accorder en cachette des petits câlins non autorisés, ce qui leur avait valu un châtiment des plus exemplaires leur faisant amèrement regretter un temps de plaisirs charnel qui est vite devenu un vrai déplaisir que Monsieur le Marquis à fait durer pendant un bon moment pour que cela leur serve de leçon à tous les deux, mais aussi pour que cela soit profitable à l’ensemble des autres esclaves averti de la sanction qui pouvait en résulter si de tels faits devaient se reproduire… Mais là, aujourd’hui, c’est vraiment le comble, imaginer un chien-mâle à l’essai qui prétend vouloir se soumettre de son plein gré, attiré par la D/s et qui n’est même pas capable de contrôler ses actes, faisant preuve d’impulsivité et de bestialité, un comportement qui n’est même pas tolérable dans des relations normales vanille. C’est à se demander si les mots « soumission » et « abnégation » ont un sens profond chez tous ceux qui ont la prétention de vouloir devenir chien-esclave au service de Monsieur le Marquis d’Evans.
- Oui, Monsieur Walter, vous avez raison. Depuis que Monsieur le Marquis d’Evans m’a octroyé dans son immense bonté le droit de pouvoir rester à demeure au Château en tant qu’infirmière MDE, je n’ai jamais eu à m’occuper de membres du personnel ou même d’esclaves qui auraient été blessés intentionnellement par quelqu’un. Monsieur le Marquis d’Evans est un Dominant qui sait rester ferme malgré sa grande magnanimité, qui sait aussi punir avec justesse et intransigeance quand il le faut, mais Le Maître Vénéré fait toujours très attention à la santé et à la sécurité de tous ceux qui se sont mis sous sa garde et sa protection.
- Je rajouterai même que Monsieur le Marquis est le meilleur Patron qu’il m’ait été donné de connaître, et je suis bien placé pour savoir de quoi je parle, car je ne céderais ma place de Majordome pour rien au monde. Sans compter qu’il reste un employeur très respectueux et attentif avec tout l’ensemble personnel qui se plait de pouvoir rester à travailler au Château. C’est le genre de patron humain et respecté de tous.
- Monsieur Walter, si vous me le permettez, pour en revenir à notre courageux blessé, comme je vous l’ai indiqué par téléphone, je me permets de vous signaler à nouveau qu’il a eu un comportement exemplaire pendant que le chirurgien s’occupait de le soigner. Il devra garder cette protection nasale pendant trois semaines et éviter tous pratiques à risques pendant au moins un mois. Il est préférable qu’il se repose pendant quelques jours, le temps que les hématomes se résorbent un peu, mais dès demain il pourra se lever et marcher pour faire un minimum d’exercice, cela lui fera le plus grand bien et puis pas question de le garder alité sans raison comme s’il était en punition ou contraint à une immobilité totale. Bien au contraire quelques petits plaisirs lui permettront de guérir plus vite et de pouvoir reprendre du service au plus tôt, même s’il faudra le ménager jusqu’à parfaite guérison.
- Mûriana MDE, tu me parles de plaisirs … voulais-tu dire des plaisirs de jouissance ? En quoi, le fait de se vider les couilles pourrait avoir une incidence sur la réparation de son nez cassé ? Je ne m’y connais pas en médecine, mais faut quand même pas me raconter n’importe quoi. Je suis un Homme et quand j’éjacule cela me fait du bien par où cela passe, mais je n’ai jamais rien ressenti au niveau du nez !
- Monsieur Walter, je vous prie de m’excuser si je me suis mal exprimée, mais ne me faites pas dire ce que je n’ai pas dit. Je parlais de petits plaisirs simples, sortir prendre l’air pour aller faire un tour, voir le ciel bleu au lieu de rester cloitré ici dans les sous-sols du Château, où seule la lumière artificielle nous éclaire. Je ne parlais pas de plaisirs virils, encore que je pense que cela ne lui ferait sûrement pas de mal dans son état. Je me permets de vous préciser que j’ai remis le collier au cou du chien e6938 MDE, car il n’y avait aucune contre-indication au port du collier et je crois surtout qu’il espérait que je le lui remette le plus tôt possible car il se sentait un peu perdu sans son collier d’appartenance et la médaille qui pend à son cou avec son numéro matricule…. Je le voyais qui envoyait sans cesse la main à son cou, cherchant désespérément ce qui lui manquait, et j’ai pris sur moi de le poser sans attendre, d’autant plus que c’est moi qui avais dû le lui défaire avant de pouvoir l’emmener en ville chez le médecin. J’espère que je n’ai pas mal fait et que vous n’aviez pas l’intention de vouloir le poser vous-même. Par contre, j’ai décidé de pas encore lui remettre la cage de chasteté car ce n’est pas des plus pratiques pour l’instant, surtout s’il reste allongé et qu’il doit arriver à pisser dans l’urinal (récipient pour uriner au lit).
- Tu parles sérieusement quand tu dis que cela ne lui ferait pas de mal dans son état de pouvoir jouir maintenant ?
- Monsieur Walter, je pense effectivement que cela lui permettrait d’évacuer un peu la tension nerveuse qu’il a accumulée depuis ce matin. D’ailleurs, il n’y a qu’à voir le morceau de tissu qui bouge tout seul pour se rendre compte que nos propos ne sont pas tombés dans l’oreille d’un sourd et qu’il y a une queue qui n’a pas tardé à se dresser dès qu’on s’est mis à parler d’elle.
e6938 MDE est honteux de la réaction physique qu’il a eu et il se sent terriblement gêné de savoir que, sous le regard de l’infirmière MDE et du Majordome, il est en train de bander de la manière la plus effrontée qui soit, alors qu’il est juste couvert d’une blouse blanche d’hôpital ouverte en coton et qu’il est nu en dessous, ses parties sexuelles étant, ce qui est assez rare dans sa condition de chien-esclave du cheptel, totalement libres de toutes contraintes. Le Majordome détache la laisse de Thaïs MDE qui était à ses côtés et tire dessus pour la rapprocher et la faire se mettre à genou sur le côté du lit.
- Le chien ! Il parait donc que tu as eu un comportement exemplaire toute la matinée. Toutes les fautes en ce lieu sont sanctionnées comme il se doit par des punitions adaptées, mais il est aussi normal de savoir gratifier les esclaves qui se comportent comme il faut, même si cela devrait être une simple normalité qui ne devrait pas avoir besoin d’autres récompenses que le plaisir d’imaginer la satisfaction pleine et entière du Maître. Cette femelle est à toi pendant que je vais devoir m’occuper ailleurs. Enfin, disons, sa bouche est à toi si cela te tente de la baiser dans le seul orifice qu’elle a encore inoccupé à cet instant. Elle a la langue un peu courte à mon avis pour pouvoir lécher comme il faut, mais c’est une vraie chienne en chaleur que tu ne devrais pas avoir de mal à envoyer au 7ème ciel car elle est déjà bien excitée de la chatte. Je n’ai pas le temps de lui ôter son carcan, il te faudra donc te débrouiller de faire avec. Tâche de lui faire gicler ta semence bien dans le gosier, cela remplacera le repas qu’elle n’a pas eu le temps de prendre, Marie lui ayant juste donné à déguster quelques tomates tout à l’heure…
Walter se penche vers la chienne-esclave, au moment même où il remet l’œuf vibrant en position maximum.
- Femelle ! Tâche de donner le maximum de plaisirs à notre blessé de « guerre ». Très exceptionnellement, je te donne le droit de jouir autant que tu veux, car il doit y avoir longtemps que tu en as plus qu’envie et cela va mettre un peu d’animation musicale dans ce lieu qui sent beaucoup trop les produits médicaux. Je te préviens juste d’une chose si tu coules, tu seras priée de lécher par terre ton eau de fontaine une fois terminée car notre infirmière MDE n’est sûrement pas là pour perdre son temps à nettoyer tes cochonneries lubriques. Tu as le droit de crier ton plaisir, cela devrait faire du bien à nos trois malades de t’entendre haleter et brayer comme la chienne-femelle en chaleur que tu es, qui n’attend que de se faire baiser la gueule et de se faire fourrer de foutre...
L’esclave-soumise Thaïs MDE ne peut s’empêcher de rougir, mais aussi de sourire de savoir qu’elle a enfin le droit de jouir sans la moindre retenue, et dans l’état d’excitation où elle se trouve, avec l’œuf qui continue à vibrer, elle se demande même si elle va tenir avant de laisser son orgasme l’emporter jusqu’à ce que e6938 MDE se lève du lit et s’approche. De son côté, le Majordome se dirige vers l’infirmière MDE qui était revenue près de son bureau sur lequel sont entreposés tous les dossiers médicaux en cours.
- Mûriana MDE, à nous deux maintenant. Je me sens vraiment bizarre, il me semble qu’il faudrait que tu viennes m’examiner de plus près et de partout. Tout à l’heure, j’ai dû faire passer un examen à cette nouvelle recrue pour tester pendant 5 minutes sa minuscule langue de lapin qui n’est pas assez longue pour lécher correctement pénis et couilles. Depuis, j’ai quelque chose qui ne passe pas à l’intérieur de mon pantalon, une bosse qui n’a pas encore disparu ..... et qui mérite quelques soins d’une infirmière diplômée telle que toi, experte en la matière…
Walter attrape la blouse de l’infirmière soumise MDE qu’il écarte en arrachant les boutons sans même prendre le temps de les déboutonner. Il l’entraine vers un des lits du dortoir de l’infirmerie dont il tire précipitamment les rideaux qui servent de séparation entre les différents couchages pour malades. Il s’allonge sur le lit, laissant Mûriana MDE prendre en charge la suite des opérations « médicales »…
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