La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 377)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 377)
Suite de l'épisode précédent N°376 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans –
Les deux Dominants rigolent encore tous les deux pendant quelques instants avant de fixer du regard la belle et intimidée « réka » qui s’est aussi décoincée un peu, car tout en ayant la tête baissée, elle sourit également mais timidement devant l’humour de son Maître. Elle aurait pu se sentir vexée de ce que Maitre MC2 dévoilait de ses difficultés d’expression, mais comme elle est dans une phase de progression significative, ne prononçant presque plus jamais de « euh » avant de s’exprimer, elle reste optimiste quant à sa « guérison » complète, ressentant une infinie gratitude envers celui qui l’a aidé à se débarrasser de cette mauvaise manie. Cependant, elle s’en veut un peu de n’avoir pu ce soir articuler le moindre mot et juste sortir ces deux « sons » lorsque le Marquis d’Evans l’a interrogée. Et puis, au fond d’elle, elle se sent presque flattée du nom choisi par Maître MC2 pour elle, en relation avec ce premier jour où elle l’a reconnu et accepté comme Maître, franchissant de ce fait ce qui lui est apparu comme un vrai premier pas dans le monde de sa soumission, même si elle sait que cela ne lui donne pas encore le titre de soumise qui vient en pendant de celui de Maître. Elle repense également à tous les propos que les deux Dominants ont échangés quelques instants plus tôt et se déride de plus en plus, comprenant qu’elle s’est fait peur pour pas grand-chose. Mais il est vrai que tous ces coups de fouets et de cravache qu’elle entendait siffler dans tous les coins, toutes ces personnes attachées, contraintes, ligotées, bâillonnées, malmenées, cravachées, fouettées, godées, enculées, cela avait fini par faire trop pour elle d’un seul coup, même si Maître MC2 avait essayé de lui expliquer avant ce qu’elle serait amené à voir au cours d’une nuitée orgiaque D/s et qu’il ne lui imposerait rien à elle pour cette première soirée D/s où elle ne serait que spectatrice néophyte, sauf si c’était elle qui lui demandait expressément d’essayer quelque chose qui la tenterait.
Le Marquis d’Evans, qui a l’œil très aiguisé depuis fort longtemps, s’aperçoit que « réka » commence à lever la tête et qu’elle regarde fixement l’esclave N°1, qui est toujours solidement attachée sur la croix de Saint-André et qui semble si apaisée et souriante même si elle garde la tête inclinée et le regard dirigé vers le bas, dans une parfaite attitude de soumission. La chienne-femelle ne bouge pas, patiente, elle attend de subir ce qui sera exigée d’elle qu’elle ignore, car Maître MC2 n’a rien précisé lorsqu’il lui a demandé de venir s’installer sur les marches-pieds sur lesquels elle repose qui se trouve au bas des deux bras inférieurs de la croix qui est au centre de la roue. Elle a des liens en cuir réglables aux poignets qui la fixent écartelées sur les deux bras supérieurs du X et chaque main enserre deux petits morceaux de bois sur lesquels elle pourrait si besoin s’agripper, voir s’appuyer en position tête en bas, mais en réalité l’esclave est solidement arrimée par de nombreuses sangles qui la relient à chaque partie de la croix tout le long du corps, sans parler des taquets qui permettent de la caler pour éviter que le corps ne puisse glisser lorsque la roue sera mise en mouvement.
« réka » examine attentivement l’équipement qui lui avait fait si peur lorsqu’elle s’était approchée à la suite de Maître MC2, prenant conscience peu à peu qu’évidemment toutes les précautions ont été prises pour éviter que l’esclave puisse être blessée en tournant, et en tout état de cause qu’elle puisse tomber et se fracasser quelque chose. Elle se rappelle que pendant tout le temps du festin, elle avait souvent fermé les yeux pour ne pas voir ce qui se passait, dès fois qu’un incident se produise, un peu comme le font les enfants et les personnes sensibles au cirque lorsqu’ils commencent à avoir peur devant un numéro particulièrement périlleux d’acrobates, de funambules ou de trapézistes. Lorsqu’elle avait aperçu une soumise attachée au milieu de la roue d’où partait des gerbes de feu pétillantes, elle avait pensé à fuir en se disant que tous dans la salle devait être devenus « fous » d’avoir envie d’assister au spectacle d’une malheureuse qui allait sûrement être « brûlée » gravement au milieu des flammèches. Elle prend conscience peu à peu combien sa peur l’a induite en erreur et l’a faite paniquée outre mesure. La roue est encore bien là, en parfait état, pas le moins du monde détériorée par une seule marque de brûlure. Les effets d’optique ont joué de la confusion, puisque si la roue tournait bien, les cierges magiques étincelants (qui traditionnellement garnissent nos gâteaux d’anniversaire sans le moindre risque de brûlure, sauf à venir toucher directement la partie allumée incandescente et la tige en fer brûlante) et les feux de Bengale étaient suffisamment décalés du support pour que ni le matériel, ni surtout la soumise au milieu ne craignent quoique ce soit. Le Châtelain tout en gardant une main protectrice sur la nuque de la soumise en devenir qu’IL caresse, d’une voix posée reprend.
- « réka », puisque c’est le nom que t’a donné le Maître que tu as reconnu comme tel et pour qui tu désires devenir sa soumise, laisse-moi t’expliquer certaines choses sur notre monde D/s et nos pratiques. Je pense que Maître MC2 a déjà dû t’en parler et que son discours ne changera guère du mien, mais il est bon parfois de l’entendre de la voix même d’une autre personne pour que cela prenne plus de poids et de réalité, même si tu devras apprendre avec le temps à faire confiance avant tout à Celui qui est là pour te Dominer certes, mais pour te guider et te protéger avant tout. Bien sûr, dans la réalité, beaucoup de personnes s’abrogent des faux-titres de dominants qu’ils ne sont pas, et de ceux-là il faut surtout s’en méfier et ne pas se remettre en leurs mains aveuglément car ils ne cherchent souvent que des proies à casser et à utiliser sexuellement ou sadiquement. Mais toutes les personnes qui sont réunies en ce lieu ce soir sont adeptes de ce que j’appelle la saine Domination/soumission, ce qui n’excluent pas des pratiques plus ou moins intenses et hard en fonction des désirs, attentes et capacités de chaque tandem.
Le Châtelain reprend son souffle, lève la main qu’IL avait gardée posé sur la tête de « réka » et l’attrape sous le coude pour l’aider et l’inciter à se relever. Tout en la guidant pour qu’elle se tienne bien droite et la forçant à se tourner peu à peu pour que, d’un regard panoramique, elle puisse balayer toute la salle de cette nuitée orgiaque, qui est parcourue de nombreux râles de plaisirs, provenant de groupes ou de couples, plus lascifs et emmêlés à cette heure tardive qu’affairés et excités à faire jouer du fouet et des autres instruments D/s.
- « réka », regarde autour de toi, crois-tu qu’il y a quelque part quelqu’un de vraiment « martyrisé » qui aurait envie de s’enfuir en courant. La plupart de Mes esclaves et soumis que tu vois dans cette pièce, pour ne parler que de ceux sur lesquels j’ai toute autorité et toutes capacités de m’exprimer, sont entrainés à supporter la douleur qui peut découler de diverses pratiques D/s. Certains sont par nature masochistes, et ils la sollicitent même pour y trouver du plaisir, parfois même ils la réclament un peu trop à mon goût oubliant qu’ils sont à Mon service pour Mon bon plaisir avant tout dans des relations D/s d’abnégation et de dévotion, et non pour amasser quantité de punitions pour céder à leur petits plaisirs masos si jouissifs. D’autres ne sont pas masochistes, et ils trouvent du plaisir et de l’excitation dans le bonheur qu’ils ressentent de satisfaire à toutes Mes exigences et de subir par dévotion et abnégation ce qui leur est imposé par Moi ou par ceux entre les mains de qui je les remets. La résistance à la douleur vient avec le temps avec une part d’accoutumance et la disparition de l’appréhension. De plus, les endorphines produites par le corps lors de plus vives pratiques D/s, cinglantes, chauffantes, contraignantes, sont de même nature que les hormones libérées par le plaisir radieux du désir charnel orgasmique. D’ailleurs, tu dois entendre que les gémissements des soumis et soumises se transforment très vite une fois la première douleur passée et surmontée pour faire place à une vraie douceur excitante, et tu ne peux qu’admettre que ce que tu entends correspond bien plus à de vrais râles de plaisirs jouissifs, surtout lorsqu’ils sont accordés par Le Maître.
Le Marquis d’Evans s’approche de la roue et de la croix de Saint-André sur laquelle, l’esclave N°1 attend toujours patiemment. IL entraine à sa suite en la tenant par la main la soumise en devenir.
- N’aie pas peur, « réka », je pense que Maître MC2 n’a pas envie de te faire tester aujourd’hui cet appareil qui peut te paraître comme venant d’une autre époque plus moyenâgeuse et encore « barbare ». Il y a un temps pour chaque chose et il faut progresser chacun à son allure. Mais je suis persuadée que ma chienne-femelle est sûrement déjà très excitée depuis qu’elle est écartelée sur cette croix en X, sans savoir ce qui va lui arriver, et avec des sensations d’autant plus exacerbées que justement elle ignore tout de ce qui va lui être imposée. Je pense même que, du simple fait de m’avoir entendu approcher, elle mouille énormément.
Le Châtelain s’avance près de l’esclave-femelle N°1, tend le bras vers la chatte glabre qu’IL attrape à pleine mains, serrant fortement le pubis épilé qui est peint en doré pour bien marquer Son emprise et Son pouvoir avant de glisser Sa main largement entre les lèvres vaginales onctueuses de la chienne dont la respiration s’accélère et qui a bien du mal à retenir de vrais soupirs de plaisirs.
- Chutt … Chutt …. Maître MC2 entre les mains de qui tu as été remise pour la soirée ne t’a pas autorisée à ronronner, que je sache, même si je sens ici une chatte qui a l’air de bien apprécier une simple caresse du Maître Vénéré.
Le Noble se retourne vers « réka » en lui montrant la main très poisseuse qu’IL vient de sortir de l’intimité de Son esclave.
- Veux-tu que je demande à Mon esclave, Ma propriété, si elle désire à cet instant que Maître MC2 ou moi-même la détachions pour lui rendre sa liberté parce qu’elle craindrait quelque chose.
- Monsieur le Marquis d’Evans, Il est clair que vous n’avez pas besoin de poser la moindre question. Je Vous demande Pardon, mais il ne faut pas m’en vouloir. Moi aussi, je sens bien que mon bas-ventre est tout excité depuis mon arrivée dans ce lieu où règne une ambiance si envoûtante. Pour autant je suis troublée, intriguée et apeurée en même temps. Je ne comprends plus ce qui m’arrive et je me sens dépassée, ne contrôlant plus grand-chose dans mon esprit et dans mon corps. Je ne pensais pas voir autant de choses se dérouler en vrai, je suis encore naïve et fleur bleue, je l’admets sans détours, mais j’ai envie d’apprendre avec du temps quand je me sentirai plus en confiance.
Le Marquis d’Evans se retourne vers Son esclave N°1 et lui fourre carrément les doigts profondément dans la gorge, montrant encore là l’emprise sur celle qui lui est entièrement dévouée et là pour accepter le moindre de Ses désirs de Maître.
- Lèche femelle ta mouille qui coule. Lave bien la cyprine qui a recouvert mes doigts, car je ne tiens pas à terminer la soirée avec une main droite poisseuse qui laisserait des tâches sur tout ce que je toucherai, surtout que si Maître MC2 me le permettait, j’ai de plus en plus envie de mettre cette roue en mouvement et de m’exercer un peu le poignet avec un bon martinet sur un corps aussi magnifiquement offert qui ne demande qu’à être chauffé un peu pour devenir encore plus humide, même si tu dois pour cela finir par goutter sur le sol, qu’il te faudra par la suite lécher et nettoyer.
- Monsieur le Marquis d’Evans, je serai bien malvenu de Vous refuser quoique ce soit en cette soirée anniversaire. Cette esclave est Vôtre avant tout, même si je sais que j’en ai le plein usage pour tous mes désirs et fantasmes pour la soirée. Par contre, je n’ai pas Votre dextérité pour me hasarder à tester cet appareil en mouvement. Je serai fort aise de Vous voir à l’ouvrage. Je vais vous regarder faire avec curiosité et excitation, ce qui me laissera aussi de la disponibilité pour m’occuper avec ma petite « réka » qui semble enfin décider à s’éveiller un peu plus, et je crois bien que je vais en profiter pour la dérider complètement pendant le spectacle que Vous allez nous offrir.
Le Marquis d’Evans attrape un martinet à lanières souples et courtes sur une des consoles et IL commence à le faire tourner lentement s’approchant au plus près du corps dénudé et offert de l’esclave, la frôlant juste du bout des lanières pour commencer à exciter le corps qui se tend vers les sensations encore douces, surtout lorsque le Châtelain promène les lanières sur la peau frissonnante de la chienne, le long des jambes et des bras, faisant le tour des deux seins fermes et pointus en s’attardant sur les tétons durs, descendant sur le ventre qui se raidit et se rentre à chaque respiration profonde pour ensuite se gonfler et se tendre. Le Châtelain prend plaisir à sentir le corps réceptif de sa chienne-esclave dont IL caresse maintenant l’entrecuisse avec volupté, appréciant de voir qu’elle respire de plus en plus fort d’excitation et de désirs en espérant une suite plus chauffante à laquelle elle aspire et s’offre entièrement, sous les yeux ébahis de « réka » étonnée de voir tant de sensualité et de désirs s’exprimer à travers ce qu’elle imaginait comme un acte beaucoup plus emprunt de douleurs imposées par fantasme pervers, voire à tendance sadique. La soumise en devenir ne quitte pas des yeux le visage de l’esclave N°1 qui s’illumine de plus en plus, même si celle-ci garde toujours le regard baissé devant le Maître qui joue allègrement de son corps et de ses vibrations.
Pendant ce temps là, Maître MC2 qui espérait bien en emmenant sa nouvelle recrue à cette soirée pouvoir lui faire comprendre de visu ce qui s’explique plus mal avec des mots, l’enserre dans ses bras, venant se coller contre son dos. La bosse que forme son pantalon est si grosse qu’elle ne peut que la sentir poindre sur son arrière-train et imaginer le désir phallique de mâle de celui entre les mains de qui elle s’est remise. Le Dominant caresse sa soumise en devenir à pleine mains, suivant presque les gestes du Châtelain qui, quant à lui se sert des lanières du martinet pour exciter Sa femelle en croix, comme si Maître MC2 voulait mettre sa « réka » en symbiose avec le spectacle dont elle ne perd pas une miette, laissant ses deux larges mains d’homme glisser sur le ventre, les bras, la poitrine et l’entrecuisse de celle qui se laisse faire, ayant laissé tomber sa tête dans le creux de l’épaule de Maître MC2 en s’abandonnant enfin avec plus de sérénité et moins de pudeur pour laisser exprimer sa sensualité. « réka » qui n’avait pas encore l’habitude de s’exhiber nue en public, porte toujours sur elle une petite robe noire translucide, qui sans masquer totalement son corps laisse apercevoir par transparence sa poitrine légèrement bombée, qui n’a nul besoin de soutien-gorge. Sous l’effet des caresses, tandis que Maître MC2 malaxe avec plus de fermeté les deux petits monts pointus et fermes, la jeune soumise en devenir sent ses deux mamelons devenir de plus en plus sensibles et elle commence à imaginer le plaisir plus intense qu’elle pourrait ressentir si elle arrivait à surmonter sa peur, d’autant plus rassurée qu’elle voit le visage radieux de l’esclave qui halète de plus en plus fort depuis que le Châtelain a repris un maniement plus ondulant et rapide du martinet.
Le martinet pleut de plus en plus, rythmés ou aléatoires, caressants et chauffants sur la poitrine, le ventre, les jambes, le bas ventre et l’entrecuisse de l’esclave dont la peau prend une légère teinte rouge. Aucune partie du corps n’est épargnée sauf au niveau du cou et du visage, mais la dextérité de maniement de l’instrument par le Noble est d’une telle assurance que les coups sont mesurés en intensité pour qu’aucun ne soit blessants et qu’ils soient tous excitants. Alors que le corps de l’esclave-femelle se trouve bien échauffé, le Marquis d’Evans s’approche de la roue qu’IL met en mouvement dans une rotation qui va s’accélérant, pour reprendre ensuite sa distribution de coups de martinet, ciblés juste sur le centre de la croix au niveau de la poitrine, du ventre, et du bas-ventre, pour éviter de toucher les extrémités et en particulier tout ce qui est à hauteur de la tête en rotation. En fait de « coups », il s’agit presque plus de caresses des lanières légèrement appuyées qui sont là pour maintenir l’excitation à son niveau maximum jusqu’à ce que le Marquis d’Evans n’autorise Sa chienne-femelle à se lâcher et à crier sa jouissance. S’agissant d’une femme-fontaine, ses longs jets sortent de manière saccadés en même temps que ses râles de plaisirs, mais du fait de la rotation de la croix sur laquelle elle est toujours attachée, c’est une vraie gerbe d’eau qui gicle dans tous les sens. Monsieur le Marquis d’Evans, après un certain temps d’un long orgasme jouissif entretenus par des caresses de martinet ciblés sur l’entrecuisse et le bas-ventre, arrête la rotation de la roue et remet son esclave N°1 en position normale verticale, tandis qu’elle est encore prises de longs soubresauts et de spasmes convulsifs. Maître MC2 est resté pendant tout le spectacle ébahi tenant sa soumise en devenir dans ses bras de plus en plus voluptueusement, ayant fini par lui enlever peu à peu sa robe qu’il a fait glisser à ses pieds, promenant sa main dans la petite culotte de celle qui déjà excitée n’a pas pu que se laisser faire et qui s’est même empressée de glisser ses mains dans le dos à la recherche d’une braguette à ouvrir et d’un bâton de joie à faire sortir de sa cachette bombée. Elle caresse à pleine mains le pénis bien gonflé qui darde entre leur deux corps enlacés.
- Très Cher Marquis, c’est un spectacle de très grande qualité que Vous nous avez offert. Je ne peux que Vous en remercier vivement, de cela et de tout le reste aussi, car Vos soirées sont toujours subliment D/s. Votre soumise et sa gerbe-fontaine fut un régal pour les yeux. Mais je pense que cette esclave a bien mérité maintenant de pouvoir reprendre ses esprits et je Vous propose de la détacher si Vous n’y voyez pas d’inconvénient.
- C’est vous qui décidez, mon esclave est à votre service pour toute la soirée. Comme il me semble avec plaisir et une joie non dissimulée que vous me semblez légèrement occupé pour l’heure à des sensations plus phalliques, je vous propose de demander à l’une de mes soubrettes de s’occuper de descendre Ma femelle N°1 de la croix, car malheureusement, je vais devoir vous laisser à vos plaisirs à partager avec votre petite « réka » qui me semble bien partie et beaucoup moins tremblante et recroquevillée que tantôt. J’ai encore tant de Maîtres et Maîtresses que je voudrais pouvoir saluer avant la fin de la nuitée orgiaque.
Le Marquis d’Evans fait signe à la soubrette la plus proche et lui demande de veiller à détacher sa femelle N°1 avec précaution, de lui permettre de s’étendre sur le sol. IL lui intime également l’ordre de la nettoyer en se servant de sa langue et aussi de veiller à lécher toutes les traces de cyprine et d’éjaculat qui ont giclées sur l’équipement D/s recouvert de cuir noir, pour éviter que les tâches ne provoquent des auréoles permanentes. Le Châtelain, fort satisfait de cet intermède plaisant et giclant, s’éloigne aussi sec, laissant Maître MC2 et « réka » qui, tels deux amants qui ne soucient plus du reste du monde qui les entoure, s’embrassent avant de s’allonger à terre pour s’accoupler avec volupté.
(A suivre…)
Les deux Dominants rigolent encore tous les deux pendant quelques instants avant de fixer du regard la belle et intimidée « réka » qui s’est aussi décoincée un peu, car tout en ayant la tête baissée, elle sourit également mais timidement devant l’humour de son Maître. Elle aurait pu se sentir vexée de ce que Maitre MC2 dévoilait de ses difficultés d’expression, mais comme elle est dans une phase de progression significative, ne prononçant presque plus jamais de « euh » avant de s’exprimer, elle reste optimiste quant à sa « guérison » complète, ressentant une infinie gratitude envers celui qui l’a aidé à se débarrasser de cette mauvaise manie. Cependant, elle s’en veut un peu de n’avoir pu ce soir articuler le moindre mot et juste sortir ces deux « sons » lorsque le Marquis d’Evans l’a interrogée. Et puis, au fond d’elle, elle se sent presque flattée du nom choisi par Maître MC2 pour elle, en relation avec ce premier jour où elle l’a reconnu et accepté comme Maître, franchissant de ce fait ce qui lui est apparu comme un vrai premier pas dans le monde de sa soumission, même si elle sait que cela ne lui donne pas encore le titre de soumise qui vient en pendant de celui de Maître. Elle repense également à tous les propos que les deux Dominants ont échangés quelques instants plus tôt et se déride de plus en plus, comprenant qu’elle s’est fait peur pour pas grand-chose. Mais il est vrai que tous ces coups de fouets et de cravache qu’elle entendait siffler dans tous les coins, toutes ces personnes attachées, contraintes, ligotées, bâillonnées, malmenées, cravachées, fouettées, godées, enculées, cela avait fini par faire trop pour elle d’un seul coup, même si Maître MC2 avait essayé de lui expliquer avant ce qu’elle serait amené à voir au cours d’une nuitée orgiaque D/s et qu’il ne lui imposerait rien à elle pour cette première soirée D/s où elle ne serait que spectatrice néophyte, sauf si c’était elle qui lui demandait expressément d’essayer quelque chose qui la tenterait.
Le Marquis d’Evans, qui a l’œil très aiguisé depuis fort longtemps, s’aperçoit que « réka » commence à lever la tête et qu’elle regarde fixement l’esclave N°1, qui est toujours solidement attachée sur la croix de Saint-André et qui semble si apaisée et souriante même si elle garde la tête inclinée et le regard dirigé vers le bas, dans une parfaite attitude de soumission. La chienne-femelle ne bouge pas, patiente, elle attend de subir ce qui sera exigée d’elle qu’elle ignore, car Maître MC2 n’a rien précisé lorsqu’il lui a demandé de venir s’installer sur les marches-pieds sur lesquels elle repose qui se trouve au bas des deux bras inférieurs de la croix qui est au centre de la roue. Elle a des liens en cuir réglables aux poignets qui la fixent écartelées sur les deux bras supérieurs du X et chaque main enserre deux petits morceaux de bois sur lesquels elle pourrait si besoin s’agripper, voir s’appuyer en position tête en bas, mais en réalité l’esclave est solidement arrimée par de nombreuses sangles qui la relient à chaque partie de la croix tout le long du corps, sans parler des taquets qui permettent de la caler pour éviter que le corps ne puisse glisser lorsque la roue sera mise en mouvement.
« réka » examine attentivement l’équipement qui lui avait fait si peur lorsqu’elle s’était approchée à la suite de Maître MC2, prenant conscience peu à peu qu’évidemment toutes les précautions ont été prises pour éviter que l’esclave puisse être blessée en tournant, et en tout état de cause qu’elle puisse tomber et se fracasser quelque chose. Elle se rappelle que pendant tout le temps du festin, elle avait souvent fermé les yeux pour ne pas voir ce qui se passait, dès fois qu’un incident se produise, un peu comme le font les enfants et les personnes sensibles au cirque lorsqu’ils commencent à avoir peur devant un numéro particulièrement périlleux d’acrobates, de funambules ou de trapézistes. Lorsqu’elle avait aperçu une soumise attachée au milieu de la roue d’où partait des gerbes de feu pétillantes, elle avait pensé à fuir en se disant que tous dans la salle devait être devenus « fous » d’avoir envie d’assister au spectacle d’une malheureuse qui allait sûrement être « brûlée » gravement au milieu des flammèches. Elle prend conscience peu à peu combien sa peur l’a induite en erreur et l’a faite paniquée outre mesure. La roue est encore bien là, en parfait état, pas le moins du monde détériorée par une seule marque de brûlure. Les effets d’optique ont joué de la confusion, puisque si la roue tournait bien, les cierges magiques étincelants (qui traditionnellement garnissent nos gâteaux d’anniversaire sans le moindre risque de brûlure, sauf à venir toucher directement la partie allumée incandescente et la tige en fer brûlante) et les feux de Bengale étaient suffisamment décalés du support pour que ni le matériel, ni surtout la soumise au milieu ne craignent quoique ce soit. Le Châtelain tout en gardant une main protectrice sur la nuque de la soumise en devenir qu’IL caresse, d’une voix posée reprend.
- « réka », puisque c’est le nom que t’a donné le Maître que tu as reconnu comme tel et pour qui tu désires devenir sa soumise, laisse-moi t’expliquer certaines choses sur notre monde D/s et nos pratiques. Je pense que Maître MC2 a déjà dû t’en parler et que son discours ne changera guère du mien, mais il est bon parfois de l’entendre de la voix même d’une autre personne pour que cela prenne plus de poids et de réalité, même si tu devras apprendre avec le temps à faire confiance avant tout à Celui qui est là pour te Dominer certes, mais pour te guider et te protéger avant tout. Bien sûr, dans la réalité, beaucoup de personnes s’abrogent des faux-titres de dominants qu’ils ne sont pas, et de ceux-là il faut surtout s’en méfier et ne pas se remettre en leurs mains aveuglément car ils ne cherchent souvent que des proies à casser et à utiliser sexuellement ou sadiquement. Mais toutes les personnes qui sont réunies en ce lieu ce soir sont adeptes de ce que j’appelle la saine Domination/soumission, ce qui n’excluent pas des pratiques plus ou moins intenses et hard en fonction des désirs, attentes et capacités de chaque tandem.
Le Châtelain reprend son souffle, lève la main qu’IL avait gardée posé sur la tête de « réka » et l’attrape sous le coude pour l’aider et l’inciter à se relever. Tout en la guidant pour qu’elle se tienne bien droite et la forçant à se tourner peu à peu pour que, d’un regard panoramique, elle puisse balayer toute la salle de cette nuitée orgiaque, qui est parcourue de nombreux râles de plaisirs, provenant de groupes ou de couples, plus lascifs et emmêlés à cette heure tardive qu’affairés et excités à faire jouer du fouet et des autres instruments D/s.
- « réka », regarde autour de toi, crois-tu qu’il y a quelque part quelqu’un de vraiment « martyrisé » qui aurait envie de s’enfuir en courant. La plupart de Mes esclaves et soumis que tu vois dans cette pièce, pour ne parler que de ceux sur lesquels j’ai toute autorité et toutes capacités de m’exprimer, sont entrainés à supporter la douleur qui peut découler de diverses pratiques D/s. Certains sont par nature masochistes, et ils la sollicitent même pour y trouver du plaisir, parfois même ils la réclament un peu trop à mon goût oubliant qu’ils sont à Mon service pour Mon bon plaisir avant tout dans des relations D/s d’abnégation et de dévotion, et non pour amasser quantité de punitions pour céder à leur petits plaisirs masos si jouissifs. D’autres ne sont pas masochistes, et ils trouvent du plaisir et de l’excitation dans le bonheur qu’ils ressentent de satisfaire à toutes Mes exigences et de subir par dévotion et abnégation ce qui leur est imposé par Moi ou par ceux entre les mains de qui je les remets. La résistance à la douleur vient avec le temps avec une part d’accoutumance et la disparition de l’appréhension. De plus, les endorphines produites par le corps lors de plus vives pratiques D/s, cinglantes, chauffantes, contraignantes, sont de même nature que les hormones libérées par le plaisir radieux du désir charnel orgasmique. D’ailleurs, tu dois entendre que les gémissements des soumis et soumises se transforment très vite une fois la première douleur passée et surmontée pour faire place à une vraie douceur excitante, et tu ne peux qu’admettre que ce que tu entends correspond bien plus à de vrais râles de plaisirs jouissifs, surtout lorsqu’ils sont accordés par Le Maître.
Le Marquis d’Evans s’approche de la roue et de la croix de Saint-André sur laquelle, l’esclave N°1 attend toujours patiemment. IL entraine à sa suite en la tenant par la main la soumise en devenir.
- N’aie pas peur, « réka », je pense que Maître MC2 n’a pas envie de te faire tester aujourd’hui cet appareil qui peut te paraître comme venant d’une autre époque plus moyenâgeuse et encore « barbare ». Il y a un temps pour chaque chose et il faut progresser chacun à son allure. Mais je suis persuadée que ma chienne-femelle est sûrement déjà très excitée depuis qu’elle est écartelée sur cette croix en X, sans savoir ce qui va lui arriver, et avec des sensations d’autant plus exacerbées que justement elle ignore tout de ce qui va lui être imposée. Je pense même que, du simple fait de m’avoir entendu approcher, elle mouille énormément.
Le Châtelain s’avance près de l’esclave-femelle N°1, tend le bras vers la chatte glabre qu’IL attrape à pleine mains, serrant fortement le pubis épilé qui est peint en doré pour bien marquer Son emprise et Son pouvoir avant de glisser Sa main largement entre les lèvres vaginales onctueuses de la chienne dont la respiration s’accélère et qui a bien du mal à retenir de vrais soupirs de plaisirs.
- Chutt … Chutt …. Maître MC2 entre les mains de qui tu as été remise pour la soirée ne t’a pas autorisée à ronronner, que je sache, même si je sens ici une chatte qui a l’air de bien apprécier une simple caresse du Maître Vénéré.
Le Noble se retourne vers « réka » en lui montrant la main très poisseuse qu’IL vient de sortir de l’intimité de Son esclave.
- Veux-tu que je demande à Mon esclave, Ma propriété, si elle désire à cet instant que Maître MC2 ou moi-même la détachions pour lui rendre sa liberté parce qu’elle craindrait quelque chose.
- Monsieur le Marquis d’Evans, Il est clair que vous n’avez pas besoin de poser la moindre question. Je Vous demande Pardon, mais il ne faut pas m’en vouloir. Moi aussi, je sens bien que mon bas-ventre est tout excité depuis mon arrivée dans ce lieu où règne une ambiance si envoûtante. Pour autant je suis troublée, intriguée et apeurée en même temps. Je ne comprends plus ce qui m’arrive et je me sens dépassée, ne contrôlant plus grand-chose dans mon esprit et dans mon corps. Je ne pensais pas voir autant de choses se dérouler en vrai, je suis encore naïve et fleur bleue, je l’admets sans détours, mais j’ai envie d’apprendre avec du temps quand je me sentirai plus en confiance.
Le Marquis d’Evans se retourne vers Son esclave N°1 et lui fourre carrément les doigts profondément dans la gorge, montrant encore là l’emprise sur celle qui lui est entièrement dévouée et là pour accepter le moindre de Ses désirs de Maître.
- Lèche femelle ta mouille qui coule. Lave bien la cyprine qui a recouvert mes doigts, car je ne tiens pas à terminer la soirée avec une main droite poisseuse qui laisserait des tâches sur tout ce que je toucherai, surtout que si Maître MC2 me le permettait, j’ai de plus en plus envie de mettre cette roue en mouvement et de m’exercer un peu le poignet avec un bon martinet sur un corps aussi magnifiquement offert qui ne demande qu’à être chauffé un peu pour devenir encore plus humide, même si tu dois pour cela finir par goutter sur le sol, qu’il te faudra par la suite lécher et nettoyer.
- Monsieur le Marquis d’Evans, je serai bien malvenu de Vous refuser quoique ce soit en cette soirée anniversaire. Cette esclave est Vôtre avant tout, même si je sais que j’en ai le plein usage pour tous mes désirs et fantasmes pour la soirée. Par contre, je n’ai pas Votre dextérité pour me hasarder à tester cet appareil en mouvement. Je serai fort aise de Vous voir à l’ouvrage. Je vais vous regarder faire avec curiosité et excitation, ce qui me laissera aussi de la disponibilité pour m’occuper avec ma petite « réka » qui semble enfin décider à s’éveiller un peu plus, et je crois bien que je vais en profiter pour la dérider complètement pendant le spectacle que Vous allez nous offrir.
Le Marquis d’Evans attrape un martinet à lanières souples et courtes sur une des consoles et IL commence à le faire tourner lentement s’approchant au plus près du corps dénudé et offert de l’esclave, la frôlant juste du bout des lanières pour commencer à exciter le corps qui se tend vers les sensations encore douces, surtout lorsque le Châtelain promène les lanières sur la peau frissonnante de la chienne, le long des jambes et des bras, faisant le tour des deux seins fermes et pointus en s’attardant sur les tétons durs, descendant sur le ventre qui se raidit et se rentre à chaque respiration profonde pour ensuite se gonfler et se tendre. Le Châtelain prend plaisir à sentir le corps réceptif de sa chienne-esclave dont IL caresse maintenant l’entrecuisse avec volupté, appréciant de voir qu’elle respire de plus en plus fort d’excitation et de désirs en espérant une suite plus chauffante à laquelle elle aspire et s’offre entièrement, sous les yeux ébahis de « réka » étonnée de voir tant de sensualité et de désirs s’exprimer à travers ce qu’elle imaginait comme un acte beaucoup plus emprunt de douleurs imposées par fantasme pervers, voire à tendance sadique. La soumise en devenir ne quitte pas des yeux le visage de l’esclave N°1 qui s’illumine de plus en plus, même si celle-ci garde toujours le regard baissé devant le Maître qui joue allègrement de son corps et de ses vibrations.
Pendant ce temps là, Maître MC2 qui espérait bien en emmenant sa nouvelle recrue à cette soirée pouvoir lui faire comprendre de visu ce qui s’explique plus mal avec des mots, l’enserre dans ses bras, venant se coller contre son dos. La bosse que forme son pantalon est si grosse qu’elle ne peut que la sentir poindre sur son arrière-train et imaginer le désir phallique de mâle de celui entre les mains de qui elle s’est remise. Le Dominant caresse sa soumise en devenir à pleine mains, suivant presque les gestes du Châtelain qui, quant à lui se sert des lanières du martinet pour exciter Sa femelle en croix, comme si Maître MC2 voulait mettre sa « réka » en symbiose avec le spectacle dont elle ne perd pas une miette, laissant ses deux larges mains d’homme glisser sur le ventre, les bras, la poitrine et l’entrecuisse de celle qui se laisse faire, ayant laissé tomber sa tête dans le creux de l’épaule de Maître MC2 en s’abandonnant enfin avec plus de sérénité et moins de pudeur pour laisser exprimer sa sensualité. « réka » qui n’avait pas encore l’habitude de s’exhiber nue en public, porte toujours sur elle une petite robe noire translucide, qui sans masquer totalement son corps laisse apercevoir par transparence sa poitrine légèrement bombée, qui n’a nul besoin de soutien-gorge. Sous l’effet des caresses, tandis que Maître MC2 malaxe avec plus de fermeté les deux petits monts pointus et fermes, la jeune soumise en devenir sent ses deux mamelons devenir de plus en plus sensibles et elle commence à imaginer le plaisir plus intense qu’elle pourrait ressentir si elle arrivait à surmonter sa peur, d’autant plus rassurée qu’elle voit le visage radieux de l’esclave qui halète de plus en plus fort depuis que le Châtelain a repris un maniement plus ondulant et rapide du martinet.
Le martinet pleut de plus en plus, rythmés ou aléatoires, caressants et chauffants sur la poitrine, le ventre, les jambes, le bas ventre et l’entrecuisse de l’esclave dont la peau prend une légère teinte rouge. Aucune partie du corps n’est épargnée sauf au niveau du cou et du visage, mais la dextérité de maniement de l’instrument par le Noble est d’une telle assurance que les coups sont mesurés en intensité pour qu’aucun ne soit blessants et qu’ils soient tous excitants. Alors que le corps de l’esclave-femelle se trouve bien échauffé, le Marquis d’Evans s’approche de la roue qu’IL met en mouvement dans une rotation qui va s’accélérant, pour reprendre ensuite sa distribution de coups de martinet, ciblés juste sur le centre de la croix au niveau de la poitrine, du ventre, et du bas-ventre, pour éviter de toucher les extrémités et en particulier tout ce qui est à hauteur de la tête en rotation. En fait de « coups », il s’agit presque plus de caresses des lanières légèrement appuyées qui sont là pour maintenir l’excitation à son niveau maximum jusqu’à ce que le Marquis d’Evans n’autorise Sa chienne-femelle à se lâcher et à crier sa jouissance. S’agissant d’une femme-fontaine, ses longs jets sortent de manière saccadés en même temps que ses râles de plaisirs, mais du fait de la rotation de la croix sur laquelle elle est toujours attachée, c’est une vraie gerbe d’eau qui gicle dans tous les sens. Monsieur le Marquis d’Evans, après un certain temps d’un long orgasme jouissif entretenus par des caresses de martinet ciblés sur l’entrecuisse et le bas-ventre, arrête la rotation de la roue et remet son esclave N°1 en position normale verticale, tandis qu’elle est encore prises de longs soubresauts et de spasmes convulsifs. Maître MC2 est resté pendant tout le spectacle ébahi tenant sa soumise en devenir dans ses bras de plus en plus voluptueusement, ayant fini par lui enlever peu à peu sa robe qu’il a fait glisser à ses pieds, promenant sa main dans la petite culotte de celle qui déjà excitée n’a pas pu que se laisser faire et qui s’est même empressée de glisser ses mains dans le dos à la recherche d’une braguette à ouvrir et d’un bâton de joie à faire sortir de sa cachette bombée. Elle caresse à pleine mains le pénis bien gonflé qui darde entre leur deux corps enlacés.
- Très Cher Marquis, c’est un spectacle de très grande qualité que Vous nous avez offert. Je ne peux que Vous en remercier vivement, de cela et de tout le reste aussi, car Vos soirées sont toujours subliment D/s. Votre soumise et sa gerbe-fontaine fut un régal pour les yeux. Mais je pense que cette esclave a bien mérité maintenant de pouvoir reprendre ses esprits et je Vous propose de la détacher si Vous n’y voyez pas d’inconvénient.
- C’est vous qui décidez, mon esclave est à votre service pour toute la soirée. Comme il me semble avec plaisir et une joie non dissimulée que vous me semblez légèrement occupé pour l’heure à des sensations plus phalliques, je vous propose de demander à l’une de mes soubrettes de s’occuper de descendre Ma femelle N°1 de la croix, car malheureusement, je vais devoir vous laisser à vos plaisirs à partager avec votre petite « réka » qui me semble bien partie et beaucoup moins tremblante et recroquevillée que tantôt. J’ai encore tant de Maîtres et Maîtresses que je voudrais pouvoir saluer avant la fin de la nuitée orgiaque.
Le Marquis d’Evans fait signe à la soubrette la plus proche et lui demande de veiller à détacher sa femelle N°1 avec précaution, de lui permettre de s’étendre sur le sol. IL lui intime également l’ordre de la nettoyer en se servant de sa langue et aussi de veiller à lécher toutes les traces de cyprine et d’éjaculat qui ont giclées sur l’équipement D/s recouvert de cuir noir, pour éviter que les tâches ne provoquent des auréoles permanentes. Le Châtelain, fort satisfait de cet intermède plaisant et giclant, s’éloigne aussi sec, laissant Maître MC2 et « réka » qui, tels deux amants qui ne soucient plus du reste du monde qui les entoure, s’embrassent avant de s’allonger à terre pour s’accoupler avec volupté.
(A suivre…)
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