La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 379)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 379) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 379)
Suite de l'épisode précédent N°378 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré –

N’ayant pas beaucoup d’échappatoire, Mûriana MDE s’empresse avant de manquer d’air de mordre dans la partie haute en élastique du boxer et de tirer dessus, sentant aussi sec la main de Walter qui s’est éloignée pour accompagner son geste. Mordant à pleines dents le tissu, elle l’écarte prenant bien soin de ne le relâcher qu’une fois le pénis extirpé de son fourreau. Le phallus turgescent se redresse aussi sec, bien plus raide que jamais et vient carrément heurter le visage de l’infirmière à plusieurs reprises car le Majordome s’amuse maintenant à le promener sur le visage et les joues de l’infirmière, lui donnant de multiples petits coups ininterrompus. Mûriana MDE sent son bas-ventre en feu et ses lèvres gonflées et humides écrasées contre la ceinture de chasteté qui la gêne terriblement à cet instant, alors qu’elle la supporte sans rien dire presque toute la journée.

- Ah, voilà, la bosse a disparu ! Je me sens mieux, et tu as vu comme par magie, j’ai un appendice qui a poussé et qui pointe vers le ciel comme un paratonnerre. Il n’y avait donc rien de bien grave « Docteur ! ». Mais c’est d’une salope coquine, une vraie putain entrainée, dont j’aurai besoin, pas d’une infirmière coincée qui ne peut même pas ouvrir les cuisses et qui ne doit guère mouiller, car tu manques d’entrainement et de savoir-faire depuis que tu es occupée à plein temps à guérir d’autres genres de bobos beaucoup moins phalliques et primitifs.

Mûriana MDE voudrait tant en son for intérieur pouvoir s’empaler sur le sexe qui l’excite terriblement, car elle est vraiment en manque de jouissance et les propos du Majordome ne font qu’éveiller ses désirs et son besoin d’orgasme. Il est vrai qu’elle manque d’entrainement depuis qu’elle assume les tâches d’infirmière, elle se demande si parfois tous, Le Maître y compris, ne pensent pas qu’elle est devenue bonne sœur ayant fait vœu de chasteté en enfilant une blouse blanche qui ne ressemble pourtant pas à une soutane. Sa servilité exemplaire fait qu’elle accepte tout par docilité, et même la frustration de ces besoins naturels primaires de femme qui cherche à être remplie, pénétrée et possédée. Elle voudrait bien au moins pouvoir se jeter la bouche grande ouverte sur le phallus qui darde devant ses yeux avec une telle insolence virile, mais le Majordome lui a attrapé la crinière à pleine mains la laissant juste à une distance de quelques centimètres de son gland, faisant encore plus monter le désir chez celle qui serait prête à n’importe quoi pour un sexe d’homme entre ses cuisses, mais qui tient encore plus à respecter le vœu d’allégeance fait au Maître à qui elle appartient pour accepter de se contenter de ce qui lui sera imposé. Mûriana MDE ne comprend pas bien ce qu’attend Walter qui est si excité qu’il ne devrait avoir qu’une envie de Mâle jouissif de pouvoir vider ses couilles, mais elle préfère éluder dans sa tête réflexions et interrogations qui ne servent encore plus qu’à la déstabiliser. Docile, elle attend de savoir ce qui sera exigé d’elle.

- Grimpe sur le lit, à quatre pattes autour de mes jambes, ton cul tourné vers moi. Comme tu as mis beaucoup trop de temps à défaire mon boxer, tu vas devoir lécher mes grosses bottes et en défaire les lacets. Tu ne crois pas que je vais te fourrer en gardant mon pantalon à mi-cuisses car cela m’empêche d’écarter les jambes et de bouger à mon aise et comme j’en ai envie. Exécution !

Mûriana MDE s’exécute sans attendre. Elle enjambe le corps de Walter et remet immédiatement ses mains derrière la nuque une fois grimpée. Elle se penche tête vers l’avant vers les grosses mi-bottes noires du Majordome, sortant sa langue et se mettant à lécher comme une vraie chienne, un sentiment animal qu’elle n’avait pas ressenti aussi profondément depuis pas mal de temps. Elle s’applique sentant son bas ventre enflammé sous la ceinture de chasteté et ses tétons qui se durcissent de plus en plus, surtout lorsque les mamelons viennent frôler le tissu du pantalon, car sans l’aide de ses mains, elle a beaucoup de mal à maintenir la position courbée et tombe régulièrement tête la première pour venir s’écraser sur les grosses chaussures. Pendant ce temps-là, le Majordome s’est mis à lui assener une bonne fessée très chauffante et excitante, tandis qu’elle officie dans un savant léchage sur le cuir lisse pour en enlever toute trace de la poussière quotidienne et le faire briller avec un peu de salive. Walter qui commence de plus en plus à avoir envie de passer à la phase suivante interrompt sans protocole la petite chienne à l’ouvrage. Sans toutefois changer de ton et avec des propos toujours aussi rustres et sarcastiques, il ajoute.

- Stoooop ! C’est bon ! Tu peux retirer tes mains croisées derrière ta nuque et arrêter de me « cirer les pompes » ! Il m’en faut plus pour mériter mes faveurs et obtenir quelques privilèges. Et crois-tu que tu aurais eu en ce jour une attitude exemplaire qui te permettrait de briguer une toute petite récompense ? … Tu défaits sans tarder mes chaussures, mon pantalon et mon boxer qui me gênent. Exécution, bonne à rien ! Je n’ai pas de temps à perdre ! Moi, j’ai du travail à faire dans cette demeure, ce n’est pas comme la faignante que tu es qui se la coule douce à l’infirmerie les trois-quarts du temps et qui a eu la chance de partir en promenade en ville ce matin.

Mûriana MDE ne réplique pas, elle est habituée à voir le Majordome malmener verbalement et physiquement si souvent les esclaves, mais au fond d’elle-même, elle se sent humiliée par les propos blessants de Walter, alors qu’elle fait tout son possible, avec le dévouement sans bornes que l’on trouve souvent chez les infirmières et tout le personnel médical en général. D’un autre côté, elle est particulièrement excitée de sentir ce Mâle bandant si proche dont elle se doute bien qu’à un moment où un autre, même si elle ignore sous quelle forme, il aura envie de décharger sur ou en elle, et qu’elle sera heureuse, malgré tout ce que le Majordome a pu lui sortir, de pouvoir lui accorder ce plaisir de femme coquine et sensuelle qu’elle est restée au fond d’elle, d’autant plus qu’il lui avait demandé dès le départ de le « soigner » et de s’occuper de la bosse qu’il avait dans le pantalon. Walter, qui se trouve maintenant sans caleçon ni pantalon, se redresse sur le lit et invective toujours, jouant encore plus de son pouvoir dans cette circonstance.

- Bon la bécasse ! Tu crois que je vais pouvoir te fourrer comment si les deux orifices que tu mets à ma portée sont cadenassés et si le troisième est de l’autre côté ? …. Allez ! Oups …. Tu te tournes vite fait ! Face à moi et à mes attributs de mâle que tu ne mérites pas, mais tu es celle que j’ai sous la main pour me vider les couilles, donc je vais faire avec à défaut de mieux.

Mûriana MDE ne relève pas plus la pointe acérée des propos de Walter, se disant au fond d’elle que le Majordome a à sa disposition toutes les femelles ou presque du cheptel et que s’il est ici à présent, c’est bien qu’il l’a voulu ainsi. Elle passe ses jambes au-dessus de celle du Majordome pour faire demi-tour et se retrouver à genoux face à lui. Elle incline la tête et garde le regard baissé par humilité, mais aussi pour le plaisir du spectacle qui lui fait face, de voir cet homme habillée pour le haut et dénudé pour le bas, avec un vit qui pointe droit vers le ciel et deux grosses couilles qui ne demandent qu’à décharger.

- Tu es une vraie putain en chaleur qui n’arrête pas de reluquer ma très belle queue d’Homme viril…. Hein ! Ose me dire que tu n’en aurais pas une folle envie, n’importe où je pourrai te la mettre. Je la glisserai bien entre tes deux seins pour me branler avec, mais ce ne sont que de petits monts qui ne me serviraient pas à grand-chose. J’aime les femmes à la poitrine généreuse où il fait bon se perdre à l’intérieur de leur vallon.

L’infirmière vire au rouge écarlate, ne pouvant rien répondre, même si elle aurait aimé pouvoir hurler un « oui » tonitruant en empalant sa chatte onctueuse sur le pieu qui la nargue de tant de virilité. Mais sa qualité de soumise ne lui permet pas d’espérer de pouvoir prendre en charge la suite des opérations charnelles et bien peu « médicales » en somme, ce qui la fait sourire en repensant aux propos du Majordome lorsqu’il avait commencé à s’allonger sur le lit de malade. Instinctivement, elle ouvre la bouche comme un appel à la fellation qu’elle imagine, mais à sa grande surprise, Walter qui aime bien toujours garder les commandes avec fermeté et l’effet de surprise se redresse encore plus et se lève du lit comme s’il s’apprêtait à partir la laissant là avec une jouissance désirée mais non accordée, ajoutant à la confusion dans l’esprit de l’infirmière qui n’aura que sa profonde abnégation pour s’en remettre. Une fois debout, il se met à ricaner tout seul, fier d’avoir provoqué ce sentiment de stupeur et de déception chez celle qui est entre ses mains, comme s’il s’agissait d’un simple jeu du chat et de la souris, d’un chat pervers et sournois titillant et poussant à bout une souris inoffensive à sa merci la plus totale.

- Redresse-toi, tout en restant à genoux sur le lit ! Je n’en ai pas fini avec toi ! Qu’est-ce que tu crois ? Que tu vas t’en tirer à si bon compte. Et tu mets les mains sur la tête en cambrant tes reins, que j’examine ta poitrine. Moi aussi, je sais jouer au médecin qui fait une bonne palpation des seins de femme, des mamelles de femelles je devrais dire, car ici entre ces murs, Vous n’êtes tous que des chiennes-femelles bonne à fourrer et à bouffer du sperme, sauf Madame Marie, bien entendu, qui est d’un tout autre acabit et qui sait bien d’ailleurs vous mâter tous lorsque vous n’exécutez pas ses ordres. Et pas le moindre cri, ni soupir de plaisirs, ni ronronnement car tu n’es toi aussi comme toutes les autres qu’une chienne en chaleur, pas une chatte qui ronronne, même si ton autre chatte coule, ce que j’espère bien.

Le Majordome attrape à pleines mains les deux seins fermes et pointus de Mûriana MDE, les presse comme s’ils s’agissait de citrons, les soupèse en les prenant à pleine mains comme s’il s’agissait de melons, puis pince fortement les deux mamelons tendus et excités jusqu’à voir l’infirmière se mordre les lèvres pour ne pas crier, il les étire fortement comme s’il espérait les allonger et commencent à les tapoter pour les rendre encore plus sensibles et les faire légèrement rougir, tapant de ses deux mains à plat sur le dessus des deux seins qui rosissent, et alternant ensuite avec de petites baffes pour les faire bringuebaler de droite à gauche. Puis, il s’arrête net laissant une fois plus Mûriana MDE dans une expectative inattendue totalement immobile. Le « chat » (Walter) regarde sa « proie », sa petite souris excitée, celle qui n’attend plus que d’être enfin prise dans tous les sens du terme. Le Majordome se penche vers le clavier à code de la ceinture de chasteté qui se trouve juste au-dessus du pubis et compose les 4 chiffres magiques qui servent de « sésame, ouvre-toi » à cette caverne qui, si elle n’en est pas celle du conte d’Ali Baba et des 40 voleurs des Mille et une nuits de l’histoire de Shéhérazade, n’en reste pas moins une caverne accueillante, onctueuse et humide à souhait, qui ne renferme pas des caisses de trésors en or, mais qui est un vrai trésor en soi. Walter détache la ceinture de chasteté et Mûriana MDE frissonne déjà de plaisirs en le sentant attraper à pleine mains son pubis et ses lèvres vaginales qui sont maintenant à l’air libre.

- Et bien, la femelle, il te faudra laver avec soin ta ceinture de chasteté avant de pouvoir la remettre, elle dégouline de ta mouille en abondance. En tout cas, pour l’heure, tu n’en as pas besoin. Tu es sous ma protection et en ma possession.

Le Majordome passe sa main dans la chatte accueillante et chaude, rentrant un doigt puis tous comme s’il voulait s’approprier l’ensemble des plis et replis, venant caresser le bouton qu’il décalotte avant de le pincer entre deux doigts jusqu’à arracher un petit rictus de Mûriana MDE qui est à la fois secouée oscillant entre plaisirs et déplaisir du pincement poussé à l’extrême. Sans plus de ménagement qu’il n’en aurait pour un mouchoir en papier que l’on jette à la poubelle, il attrape par la taille l’infirmière la tire vers la tête du lit et la projette vers l’avant. Instinctivement, celle-ci a juste le temps d’envoyer les mains vers les barreaux du lit avant de s’écraser la face contre le matelas. Walter grimpe sur le lit, se positionnant derrière l’esclave en levrette, ayant juste pris le temps d’enfiler un préservatif pour pouvoir pénétrer sans risque pour les deux celle dont il avait envie depuis de longues minutes, et même plusieurs heures. Il passe son pénis très excité entre les lèvres de la femelle pour l’imprégner de ce lubrifiant si naturel qu’est la cyprine que le désir fait naître chez une femme excitée, beaucoup plus efficace lorsqu’elle est en quantité abondante que tous ces produits chimiques dont sont garnis les condoms ou tous ces autres gels destinés à faciliter la pénétration et la dilatation anale. Une fois son trempage effectué, il approche son gland près de la rosette de Mûriana MDE qui relâche ses muscles et écarte au maximum les jambes pour favoriser l’intromission dans son petit trou, si heureuse d’être saillie ce qui ne lui était pas arrivée depuis des lustres. Et tout aussi heureuse d’être prise par derrière, ce qu’elle aime tout autant qu’une pénétration vaginale et une stimulation clitoridienne, car une fois la douleur de la dilatation et de la pénétration passée, son anus reste pour elle une zone érogène naturellement très sensible qui lui permet tout autant d’atteindre la jouissance si cela lui est permis. Walter s’approche de l’oreille de l’infirmière et dans un murmure qui contraste fortement avec la voix sarcastique qu’il avait jusqu’alors, il lui glisse.

- Pour toi ma belle infirmière dévouée. Il n’y a pas que notre « blessé de guerre » qui aura droit aujourd’hui à sa petite récompense. Tu as bien mérité après les tourments de ce matin, auxquels tu as su faire face avec le professionnalisme qui te caractérise et beaucoup de dévouement, et pour moi tout autant, un peu secoué après cet incident déplorable et ayant besoin de me remettre et de ces « soins médicaux » que tu vas me dispenser. Je pense que cela me donne tout latitude pour pouvoir nous accorder quelque chose que je ne consens pas à beaucoup, soit-en certaine, me contentant le plus souvent des bouches à baiser que du bon cul d’une petite chienne bien dressée prise en levrette. Tu pourras jouir autant que tu veux, mais tâche de ne pas trop hurler pour ne pas alerter de tes cris le poste de surveillance qui se demanderait ce qui peut bien encore se passer à l’infirmerie. Tout le monde est un peu sur les dents depuis l’incident de ce matin.

Le Majordome ayant pris le temps de laisser le rectum de Mûriana MDE se faire à la dilatation imposée pour qu’elle trouve tout autant que lui un vrai plaisir à être enculée, il commence à la pilonner sans ménagement, s’enfonçant jusqu’à la garde, ses couilles venant en butée heurter la chatte excitée de l’infirmière qui vient d’attraper à pleine dents l’oreiller pour mordre dedans et tenter d’assourdir ses bruits lorsqu’une première jouissance la prend, la secouant dans tous les sens en spasmes profonds. L’infirmière déjà en nage, sent encore la queue qui continue de la pourfendre sauvagement, comme si La Majordome avait besoin d’évacuer toute la tension accumulée le matin même en découvrant un esclave ensanglanté et le nez cassé, ne devant pas céder à la colère déraisonnée mais contrôlée en attendant le retour du Châtelain qui lui seul serait à même de prendre la juste décision qui s’impose face à un tel écart de conduite inadmissible. Walter accélère le mouvement de ses va-et-vient virils dans l’orifice maintenant totalement ouvert et accueillant qu’il pilonne sans s’arrêter et même en accélérant la cadence. Il attrape à pleine mains les deux fesses rondes de l’infirmière pour pouvoir imprimer maintenant lui-même le rythme du bassin de celle qu’il pénètre et possède et c’est dans un grand râle que l’un et l’autre jouissent en même temps avant de s’affaler d’épuisement sur le lit.

(A suivre…)

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