La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 38)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 38) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-03-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 38)
ATTENTION CET EPISODE DE PAR SON COTE BESTIAL EST DECONSEILLE AUX AMES SENSIBLES S'ABSTENIR -
6- La stabulation à esclaves -
A peine remise de ses puissants orgasmes ayant fait vibrer toutes les parties de son corps, fanny apprécia que le Marquis l’aide à se relever tellement elle était avachie dans son siège.

Une fois debout, nue comme le jour de sa naissance, Fanny se trouva assez petite face à son Maître qui devait dépasser le mètre quatre vingt dix et ses larges épaules donnaient à sa corpulence athlétique une stature d’envergure. Le Noble se pencha pour l’embrasser à pleine bouche tout en passant passionnément ses grosses mains dans sa belle chevelure. L’étreinte qui suivit était d’une vision très érotique, elle nue enlacée par lui tout vêtu de noir. Ils devaient s’embrasser fougueusement, amoureusement de longues minutes sous les yeux des esclaves attachés qui enviaient de plus en plus cette nouvelle venue sans le cheptel.

Quand ces baisers à la fois tendres et passionnés cessèrent, le Marquis regarda sans un mot fanny qui baissa les yeux comme une bonne soumise se doit d’avoir cette attitude naturelle dans ce genre de relation. Le Noble lui dit simplement, calmement : ‘’A 4 pattes chienne’’ et fanny obtempéra comme hypnotisée par le charme et l’assurance du Maître. Tombée sous la coupe de celui-ci, elle sentait en elle-même, désormais, plus qu’une évidence à lui obéir jusqu’aux moindres caprices de son Maître.
Elle savait que dorénavant, il pourrait user et abuser sans modération de ses orifices, de tout son corps, qu’elle pouvait être offerte à n’importe qui, pourvu que son Maître l’ordonna. Par amour pour celui-ci, elle était maintenant prête à tout faire pour agir en soumise exemplaire.

- Il faut vidanger tous les soumis, regarde-les, les mâles n’ont pas éjaculé depuis près d’un mois, regarde comme ils sont excités. Les femelles idem, elles n’ont pas eu d’orgasme depuis la même période. Alors, je vais les détacher et les emmener dans la pièce d’à-côté. Tu nous suivras à 4 pattes comme eux d’ailleurs, car ils savent qu’ils doivent se déplacer ainsi. Tu vois derrière cette porte au fond, il y a une pièce un peu spéciale appelée ‘la stabulation à esclave’. Vois-tu, l’été les esclaves ont droit à 2 à 3 heures de promenade dans le parc du château par jour mais nous sommes en février, alors tout l’hiver, ils restent au chaud dans cette pièce chauffé, chaque jour pendant 2 ou 3 heures également. Ils peuvent se parler, discuter, échanger et évoluer librement à la condition de rester à 4 pattes, couchés ou assis mais interdit debout. Il y a des mangeoires au fond avec de la nourriture à volonté, de l’eau dans des gamelles et par mesure d’hygiène, ils peuvent sonner pour sortir s’ils désirent aller aux toilettes. D’habitude, ils ont leur cage ou ceinture de chasteté mais aujourd’hui, tu vois Walter leur les a ôté… Mais allons dans la stabulation et je t’expliquerai ce que j’attends de toi.

Fanny suivit à 4 pattes alors docilement son Maître qui s’approcha de l’esclave le plus proche. Serf69 et le détacha. Celui-ci sitôt libéré de la croix St-André, se prosterna devant le Maître et osa lui toucher le bas du pantalon pour embrasser les chaussures de celui-ci.

- O mon Seigneur et Maître accordez-moi le bonheur de lécher vos chaussuresLe Marquis posa le pied sur l’épaule de l’esclave et poussa fort de la jambe, ce qui fit renverser l’esclave serf69.
- Arrière vermine, et suis-moi, espèce de chien.

Le soumis se releva en grimaçant et repris vite la position du quadripède, tête baisséeLe même scénario à peu près similaire se reproduisit avec les 7 autres esclaves. Fanny mesura alors l’énorme avilissement total, l’obéissance absolue et la vénération suprême des esclaves envers son Maître.
Et c’est en file indienne que le cortège entrèrent dans la stabulation avec devant le Marquis debout, suivi de fanny et des 8 esclaves tous à 4 pattes. On aurait cri un troupeau de bétail ; les esclaves étant quasi obligé de sentir le postérieur de celui qui était devant dans cette queue leu leu perverse.
Quand tous étaient entrés, le Marquis referma la porte. Certain esclaves assoiffés, allèrent vite laper l’eau bienfaitrice dans les gamelles appropriées. Certains allèrent s’allonger, sur les paillasses, d’autres évoluèrent toujours à 4 pattes dans la stabulation.

- Tu vas te déplacer à 4 pattes, dit le Marquis à fanny, et désigner des groupes de deux esclaves à la fois, en les touchant de la main. Il faut choisir à chaque fois, un mâle et une femelle. Le mâle choisi devra s’accoupler en levrette et se soulager dans la femelle. Au bout d’un mois d’abstinence absolue, ils savent tous le cadeau que je leur fais à l’occasion de ta venue. Il y a seulement une femelle en moins car e968 est … disons … indisposée depuis hier, si tu remarques bien, elle porte une culotte ultra-transparente et moulante que tu n’as certainement pas remarqué. Regarde cette chienne est allée se prostrer dans un coin là-bas. Donc tu vas faire la quatrième femelle. Je te laisse aussi choisir parmi ces 4 mâles celui avec qui tu t’accoupleras. Allez petite chienne fait tes choix, désigne les couples et réserve-toi celui qui te parait le plus intéressant …
Fanny comme subjuguée, par la scène ne se fit pas prier. Elle s’approcha du centre de la pièce, telle une panthère en chasse, se déplaçant doucement en dodelinant de la croupe. Elle tourna d’abord, près des mâles qui savaient ce qu’elle venait faire.
Chaque mâle la regardaient, ils n’avaient pas le droit de parler pour l’occasion mais leur yeux envieux avaient l’air de dire ‘’choisis-moi comme partenaire’’. Fanny hésita tout d’abord puis il fallait bien ce décider et elle toucha e735 puis s’approcha d’une femelle répondant au matricule e897 qui lapait dans une gamelle, une bien belle blonde au cheveux long. Fanny la toucha sur l’épaule. e735 se dirigea alors derrière e987 et déjà en forte érection, il sentit la croupe de cette dernière qui émoustillée après sa longue abstinence, écartait les jambes et le mâle enfonça sa queue raidie dans la chatte humide de la femelle en levrette.

Puis elle choisit le mâle e722, quelle fit accoupler avec la femelle e155. Puis le mâle e541 avec la femelle e46. Et elle choisit donc pour elle, serf69. Pourquoi lui ?
Parce qu’elle le trouvait plus mignon que les autres et dans ce cas de figure seul le physique pouvait faire la différence. L’aspect de l’intelligence étant exclus. Et puis fanny avait laissé parler son intuition, ce serf69 avait quelques chose qui lui plaisait, elle ne pouvait pas dire ce que c’était mais elle se sentait attirée par lui. Serf69 n’osait approcher, malgré son érection. Alors sous les yeux de son Maître, elle se positionna derrière lui et lui enserra les couilles tout en les malaxant.
L’esclave gémit et sa réaction ne se fit pas attendre, l’instinct naturel prit le dessus. Il fit un demi-tour rapide à 4 pattes, contourna la belle et monta la belle fanny par derrière. Les coups de reins étaient vifs tant il avait besoin de se vider les bourses. Fanny gémit aussi et excitée d’être ainsi possédée mais aussi par le fait d’être prise sous les yeux de son Maître qui ne perdait rien de la scène obscène qui se déroulait dans cette stabulation. Et c’est dans des jouissances pratiquement toutes en même temps que tous les esclaves explosèrent en concerts de râles, de cris…
On aurai cru être dans une porcherie tellement la scène était bestiale. La décadence humaine était-elle arrivée à ce point. Il est bon de rappeler le bon vouloir des esclaves, que le Marquis n’a jamais forcé personne à devenir des animaux mais c’était l’instinct primitif, ce désir puissant d’être traité ainsi, d’être des esclaves qui avaient provoqué ce qu’ils étaient devenus. Le Noble était simplement celui qui leur permettait de vivre cette avilissement total qu’ils avaient tous souhaité. C’est pour cela qu’ils vouaient tous un véritable culte à leur Maître vénéré…
(A suivre …)

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