La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 380)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 380)
L’arrivée de l'esclave e73700MDE au Château - Histoire écrite par un de mes soumis (pascal) -
Je suis sur internet où je consulte le lien ''sciences, la physique quantique des champs''. Le sujet n'est pas facile. J'en suis au chapitre "Equations d'Euler-Lagrange des champs. Je bute sur le fait qu'il est postulé des champs d'opérateurs de Heisenberg... Mon esprit vagabonde alors et se disperse un peu. Mon attention est attirée sur le fait que dans le bandeau des commandes un des voyants est allumé. Tiens, c'est Skype ! Il s'agit de Monsieur le Marquis Edouard d'Evans lequel je suis en contact virtuel depuis déjà quelques semaines pour devenir son esclave-soumis... Ce n'est pas habituel à cette heure-là. Alors, j'ouvre Skype et je découvre un texte bref, mais ferme et catégorique: Il est adressé à soumis chien MDE (futur e73700MDE). C'est un ordre sans préambule: "Demain tu te rendras dans le lieu que je vais t'indiquer plus loin. Au bord de la route, tu verras une voiture, une Rolls-Royce immatriculée 69. Tu iras vers la portière et tu feras ce qu'on te demande, puis tu viendras m'en rendre compte. C'est tout Exécution !" Je suis un peu abasourdi et maintenant totalement éveillé. Mon imagination se met à travailler et à envisager tous les scénarios.
Je ne peux m'empêcher de penser à ce qui va m'attendre et cela crée une confusion de sentiments contradictoires en moi-même, d’abords la joie d’être soumis, mélangée par le sentiment d'humiliation, mais aussi désir croissant, peur, refus, envie... Je me laisse aller à toutes les émotions, mais je me sens fier, ravi et excité d'avoir à exécuter un ordre du Maître Vénéré. Puis je reviens sur terre et médite sur le lieu du rendez-vous que je connais bien. Il est sur les hauteurs, isolé et sur un chemin peu fréquenté en retrait de la route à quelques lieues de son fameux Château. Je crois même que cet endroit est sur les Terres de la Famille des Evans. Bref, un endroit idéal hors de la légendaire Demeure ancestrale, pour qu'un homme puisse imposer sa volonté à un soumis sans être dérangé...
Le lendemain, à l'heure dite, je m'approche du lieu de rendez-vous avec un petit serrement au coeur. Je le sens qui palpite de plus en plus. Une peur incontrôlable me gagne, la peur ou plutôt le stress de l'acteur qui entre en scène. J'arrive près de la voiture et je fais des efforts pour ne pas m'enfuir. Un homme, l'air sévère, en costume-cravate sombre est assis avec la main posée nonchalamment sur le volant. Je luis donne la cinquantaine. Lorsque j'arrive au niveau du rétroviseur, j'entends un ordre sec:
- Monte sur le siège avant et assieds-toi.
Craintif comme un animal apeuré, je m'exécute en silence. Je n'ose pas bouger ni regarder l'homme, qui me fait attendre pour faire durer mon angoisse. S'il y avait de l'excitation auparavant, je ne suis plus excité, mais attentif aux ordres avec la peur de mal faire. Finalement, j'entends:
- Mets-toi nu, il ne fait pas trop froid. (Je note que l'homme est respectueux de mon corps.) - Tu vois, sur le siège arrière, il y a une ceinture de chasteté. Prend-la, je vais la fermer à clé, tu n'auras aucune activité sexuelle et donc forcément interdit d'éjaculer ! Maintenant, à Mes pieds, à genoux…
Je m'agenouille sur le sol de la luxueuse voiture entre le siège et la boite à gants. La position est difficile. J’installe, non sans mal, la cage de chasteté que l’homme ferme à clé sans prononcer un seul mot. Je distingue une bosse qui se forme dans le pantalon de l'homme.
- Maintenant suce-moi.
La position est difficile je m'avance autant que je peux, je me contorsionne et j'arrive à avoir la tête au niveau de son ventre. Je me souviens alors d'une situation qui m'avait choqué et excité quand j'étais adolescent : Je revenais au pensionnat et je comptais sur un copain qui devait me ramener alors que je m'étais déplacé dans sa ville en train pour qu'il m'amène. Malheureusement, son père m'avait dit qu'il était déjà parti. Je suis revenu à la gare et je m'apprêtais à prendre le prochain train. J'attendais dans la rue de la gare, lorsqu'un homme qui était garé près de la gare et attendait dans sa voiture a vu que j'étais embêté. Il m'avait demandé si je voulais qu'il m'amène à destination. Alors, je ne sais pas ce qui m'avait pris, je suis monté. Je me suis assis, pris d'une excitation subite et j'ai attendu. Il avait mis sa main sur mon genou. J'étais pétrifie, je l'avais laissé faire. Il avait sorti ma queue et a commencé à me masturber. J'étais tellement excité que j'avais éjaculé très rapidement. C'est alors que j'ai eu un sentiment de faute et de dégoût et que je me suis précipité hors de la voiture et je me suis enfui. En repensant à cet épisode, j'ai maintenant ce même sentiment de dégoût (et aussi d’excitation qui m’incite à rester).
Mais il me tient à coeur d'exécuter l'ordre du Maître. Je commence à caresser à travers le pantalon le sexe de l’homme pour le moment encore mou. J'ai déjà sucé un homme dans un sauna, mais c'est plus facile, il suffit de fermer les yeux, il n'y a pas à le préparer. Les hommes ne m'ont jamais attiré, je trouve plutôt dépravant de caresser un homme à travers le pantalon. Mais je continue en pensant que c'est un ordre et mon désir de soumission prend le dessus et cela m’excite de me sentir enfin soumis. Alors, je déboutonne sa chemise et je caresse un ventre velu mais ferme. Je débraguette l'homme et sort sa queue encore flasque mais qui commence à prendre du volume. L'homme résiste-t-il pour que j'aie des difficultés ? Je sens des odeurs masculines, on dirait de l'urine ce qui me donne un haut le coeur. Je sens le regard de l'homme et je me sens humilié dans cette position. Mais le Maître crie sans préambule :
- Alors tu me suces?
Je prends résolument la queue qui grossit maintenant franchement. Je caresse doucement la hampe et je commence à masturber l'homme. La queue est maintenant très grosse et ma main a presque du mal à l'enserrer. le Maître se cale mieux sur son siège en cuir et se détend, je sens que je lui donne du plaisir. Je la prends alors dans ma bouche tout en continuant de la branler. Je sens des palpitations, elle devient de plus en plus dure. Je salive sur le gland en le massant légèrement avec le doigt et la main. Je sens que l'homme se tend un peu. Je rajoute de la salive et je suce le membre en faisant aller et venir ma bouche et en branlant le sexe par de petits mouvements très rapides mais de petite amplitude. Je commence à être fier de mon oeuvre en voyant les réactions de l'homme. Au début il me regardait faire en prononçant des mots grossiers comme
- Vas-y chienne, tu es une salope et une pute...
Maintenant je sens qu'il prend du plaisir et cherche à jouir, il halète un peu. Je ne sais plus trop où j'en suis mais je fais consciencieusement ma fellation.
C'est alors que le Maître prend ma tête avec ses deux mains en s'enfonce dans ma bouche plus profondément avec des gestes brutaux. Je sens les mouvements de ses reins pour s'enfoncer de plus en plus loin dans ma bouche. Ce n'est plus moi qui le suce, mais lui qui prend ma bouche pour un vagin. Les mots deviennent de plus en plus orduriers. J'en ai plein la bouche, celle-ci se distant pour enserrer cet organe qui devient démesuré. Je me sens prisonnier, je suffoque, je vais étouffer, mais je ne peux rien faire. Je sens une envie de vomir, mais dans un dernier râle, l'homme libère son sperme par cinq jets saccadés qui inondent ma bouche. C'est juteux, laiteux, mais amer et un peu écoeurant.
- Avale tout me dit-il, tu es une bonne soumise et une bonne pute. (Il se retire de ma bouche) - Maintenant on va passer à la suite....
Je suis toujours à genoux, sur le plancher moquetté de la voiture, le Maître à qui je viens de faire une fellation ne me maintient plus la tête. J'ai dans la bouche le sperme chaud que j'ai du mal à déglutir. Je me sens honteux et humilié pour avoir assouvi les désirs d'un homme mais je sens monter en moi comme une espèce de fièvre. Je n'ose le regarder et je garde les yeux baissés dans ma position de soumis à genoux. Il a l'air assouvi mais je sens qu'il retrouve son autorité et son pouvoir de Domination lorsqu'il me répète d’un ton autoritaire :
- Oui, maintenant on va passer à la suite.... (Je lève les yeux et je sens son regard impérieux qui m'impressionne) - Tu as un bon point pour être une bonne suceuse. Mais maintenant debout et suis-moi.
Toujours nu et habillé de la cage de chasteté, je sors de la voiture. J'ai froid, mais est-ce dû à la fraîcheur de l'air, à l'appréhension ou à la peur? Peut-être aux trois. Je me ressaisis et me dirige vers le Maître en essayant de cacher mon sexe encagé avec mes mains par pudeur et par honte. D'un geste brusque et adroit, il ajuste un collier à mon cou et lui joint une laisse de chien. Il apporte avec lui divers ustensiles et des fouets et une cravache. Là, j'ai franchement peur, je n'ai pas encore été fouetté et je m'imagine les morsures de la cravache.
- A genou, m'ordonne-t-il sèchement.
Alors, il tire brutalement sur la laisse et je le suis à quatre pattes difficilement et maladroitement dans le chemin. Je me sens vraiment humilié pris pour un chien. La pensée de mon désir de soumission et la présence de l’homme que je suppose être le Maître me réconfortent alors. J'ai mal aux genoux car le sol est caillouteux mais vite l'herbe adoucit le contact. Heureusement l'endroit est désert, mais je suis tout de même inquiet. Et si on rencontrait quelqu'un ? Mais tout se passe bien et on arrive dans un genre de grotte que je ne connaissais pas, à l'abri des regards éventuels. L'homme, Lui, connaît bien les lieux ! Il me menotte les mains et me dit :
- Lève les bras !
Le Maître me pousse vers un genre de pilier en pierre de la taille d'un arbre d'une trentaine de centimètres de diamètre. Je sens la rugosité de la pierre contre mon ventre. L'homme lie mes poignets menottés à une saillie du pilier. Je suis là, impuissant, craintif et soumis docile. Heureusement, le Maître, qui m'a ordonné le rendez-vous est là, et ça me rassure, car je sais que s'Il ordonne que je sois soumis, c’est un ordre sacré et qu’Il est respectueux de Ses soumis et soumises. Je pense à mon désir de soumission qui se réalise enfin, je suis Ô en mâle. Mais malgré tout, l'appréhension avoisine la peur.
Tout à coup, je sens une main sur mon ventre, une caresse jusqu'au pubis, la main contourne les fesses et deux doigts s'insinuent dans mon anus, le fouillent et l'ouvrent. Une douleur fulgurante me déchire, mais l'homme dit:
- Ce sera pour tout à l'heure.
Alors une claque violent et bruyante retentit sur mes fesses, puis une autre puis d'autres encore. C'est violent, et douloureux. Les fesses commencent à me brûler. Alors, impuissant et prisonnier, je me crispe pour éviter les coups.
- Tu hurles trop, s'écrie le Maître, un peu énervé.
Il pose alors un bâillon bouche ouverte qui me bloque la bouche et m'empêche de crier. Je suis très gêné par cet ustensile et ma bouche est à la merci de ceux qui voudraient l'utiliser. C'est très humiliant, mais je pense moins à la douleur.
- Ca te calmera … (le Maître semble être satisfait:) … Tes fesses sont rouges à point, je vais prendre une photo
J'ai mal, je suis une immense brûlure. Puis rien ne se passe, j'ai quelques instants de répit. Mais brusquement, j'entends un sifflement et je sens un déchirement cinglant sur mon épaule. C'est un fouet à lanière unique qui commence à me cingler. Alors les coups commencent à pleuvoir. J'ai de plus en plus mal. Les coups zèbrent mon dos, puis mon dos, puis à nouveau mes fesses. Je voudrais crier grâce et arrêter ces morsures, mais l'homme est inflexible. Un coup porté entre la raie des fesses en entourant le ventre me fait tressauter. Je ne sais combien de temps le calvaire continue, ni si je m'évanouis, mais je n'entends plus rien et les coups ont cessé. Je suis un corps douloureux. Mais finalement, j'ai résisté et je suis entier. Je me sens soumis vraiment et fier de supporter. Les coups de fouet ont cessé, mais mon supplice est-il terminé ? Quand le Maître me dit:
- Tu es presque soumis maintenant pour avoir le droit d’entrer dans le Château, mais il te reste une dernière épreuve
Je suis pris de panique, que peut-il m'arriver de pire ? Je n'ai pas le temps de méditer quand je sens l'homme s'approcher de moi par derrière. J'ai toujours les poignets en l'air et le ventre contre le pilier froid et rugueux. Mon corps est douloureux et aurait besoin de douceur. Il est nu et il se plaque contre moi tout doucement, ça me fait un bien énorme. Il me caresse les couilles et ses mains sont sur mon bas-ventre. Il attend quelques instants et je sens son gland toucher mon anus. Je n'ai encore pas eu d'expérience avec un homme, mais le contact de son corps chaud me fait du bien. Mais le répit est de courte durée. Je sens bientôt une douleur fulgurante au creux de mes reins, mon anus doit être écartelé. Puis dans un soupir le Maître savoure sa prise reste immobile un instant. Mon bâillon m'a empêché de crier, je le sens qui m'enserre la bouche. Maintenant la queue déjà énorme s'enfonce lentement et emplit mon cul que je sens possédé par cet intrus mais que mon anus voudrait bien expulser. Le sexe s'enfonce jusqu'au bout, jusqu'aux couilles, écartant mes entrailles. J'en ressens une jouissance malgré la douleur. Alors un mouvement de va et viens m'arrache des cris que je ne peux faire sortir de ma bouche et je suis pénétré à fond, fouillé, besogné et je me sens comme une soumise impuissante, avec des émotions et des sentiments complexes et contradictoires. Au bout de longues minutes, je sens le sexe pénétrer entièrement d'un seul coup et dans un râle, l'homme se répand dans mon ventre qui reçoit des jets de liquide chaud... Puis le Maître se retire brusquement et je l'entends dire:
- Maintenant tu es soumis ! Mais pas un soumis banal ! Non, tu es en réalité beaucoup plus que ça ! Tu es désormais Mon soumis-esclave MDE, oui Mon esclave appartenant à Moi, Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans ...
(A suivre …)
Je suis sur internet où je consulte le lien ''sciences, la physique quantique des champs''. Le sujet n'est pas facile. J'en suis au chapitre "Equations d'Euler-Lagrange des champs. Je bute sur le fait qu'il est postulé des champs d'opérateurs de Heisenberg... Mon esprit vagabonde alors et se disperse un peu. Mon attention est attirée sur le fait que dans le bandeau des commandes un des voyants est allumé. Tiens, c'est Skype ! Il s'agit de Monsieur le Marquis Edouard d'Evans lequel je suis en contact virtuel depuis déjà quelques semaines pour devenir son esclave-soumis... Ce n'est pas habituel à cette heure-là. Alors, j'ouvre Skype et je découvre un texte bref, mais ferme et catégorique: Il est adressé à soumis chien MDE (futur e73700MDE). C'est un ordre sans préambule: "Demain tu te rendras dans le lieu que je vais t'indiquer plus loin. Au bord de la route, tu verras une voiture, une Rolls-Royce immatriculée 69. Tu iras vers la portière et tu feras ce qu'on te demande, puis tu viendras m'en rendre compte. C'est tout Exécution !" Je suis un peu abasourdi et maintenant totalement éveillé. Mon imagination se met à travailler et à envisager tous les scénarios.
Je ne peux m'empêcher de penser à ce qui va m'attendre et cela crée une confusion de sentiments contradictoires en moi-même, d’abords la joie d’être soumis, mélangée par le sentiment d'humiliation, mais aussi désir croissant, peur, refus, envie... Je me laisse aller à toutes les émotions, mais je me sens fier, ravi et excité d'avoir à exécuter un ordre du Maître Vénéré. Puis je reviens sur terre et médite sur le lieu du rendez-vous que je connais bien. Il est sur les hauteurs, isolé et sur un chemin peu fréquenté en retrait de la route à quelques lieues de son fameux Château. Je crois même que cet endroit est sur les Terres de la Famille des Evans. Bref, un endroit idéal hors de la légendaire Demeure ancestrale, pour qu'un homme puisse imposer sa volonté à un soumis sans être dérangé...
Le lendemain, à l'heure dite, je m'approche du lieu de rendez-vous avec un petit serrement au coeur. Je le sens qui palpite de plus en plus. Une peur incontrôlable me gagne, la peur ou plutôt le stress de l'acteur qui entre en scène. J'arrive près de la voiture et je fais des efforts pour ne pas m'enfuir. Un homme, l'air sévère, en costume-cravate sombre est assis avec la main posée nonchalamment sur le volant. Je luis donne la cinquantaine. Lorsque j'arrive au niveau du rétroviseur, j'entends un ordre sec:
- Monte sur le siège avant et assieds-toi.
Craintif comme un animal apeuré, je m'exécute en silence. Je n'ose pas bouger ni regarder l'homme, qui me fait attendre pour faire durer mon angoisse. S'il y avait de l'excitation auparavant, je ne suis plus excité, mais attentif aux ordres avec la peur de mal faire. Finalement, j'entends:
- Mets-toi nu, il ne fait pas trop froid. (Je note que l'homme est respectueux de mon corps.) - Tu vois, sur le siège arrière, il y a une ceinture de chasteté. Prend-la, je vais la fermer à clé, tu n'auras aucune activité sexuelle et donc forcément interdit d'éjaculer ! Maintenant, à Mes pieds, à genoux…
Je m'agenouille sur le sol de la luxueuse voiture entre le siège et la boite à gants. La position est difficile. J’installe, non sans mal, la cage de chasteté que l’homme ferme à clé sans prononcer un seul mot. Je distingue une bosse qui se forme dans le pantalon de l'homme.
- Maintenant suce-moi.
La position est difficile je m'avance autant que je peux, je me contorsionne et j'arrive à avoir la tête au niveau de son ventre. Je me souviens alors d'une situation qui m'avait choqué et excité quand j'étais adolescent : Je revenais au pensionnat et je comptais sur un copain qui devait me ramener alors que je m'étais déplacé dans sa ville en train pour qu'il m'amène. Malheureusement, son père m'avait dit qu'il était déjà parti. Je suis revenu à la gare et je m'apprêtais à prendre le prochain train. J'attendais dans la rue de la gare, lorsqu'un homme qui était garé près de la gare et attendait dans sa voiture a vu que j'étais embêté. Il m'avait demandé si je voulais qu'il m'amène à destination. Alors, je ne sais pas ce qui m'avait pris, je suis monté. Je me suis assis, pris d'une excitation subite et j'ai attendu. Il avait mis sa main sur mon genou. J'étais pétrifie, je l'avais laissé faire. Il avait sorti ma queue et a commencé à me masturber. J'étais tellement excité que j'avais éjaculé très rapidement. C'est alors que j'ai eu un sentiment de faute et de dégoût et que je me suis précipité hors de la voiture et je me suis enfui. En repensant à cet épisode, j'ai maintenant ce même sentiment de dégoût (et aussi d’excitation qui m’incite à rester).
Mais il me tient à coeur d'exécuter l'ordre du Maître. Je commence à caresser à travers le pantalon le sexe de l’homme pour le moment encore mou. J'ai déjà sucé un homme dans un sauna, mais c'est plus facile, il suffit de fermer les yeux, il n'y a pas à le préparer. Les hommes ne m'ont jamais attiré, je trouve plutôt dépravant de caresser un homme à travers le pantalon. Mais je continue en pensant que c'est un ordre et mon désir de soumission prend le dessus et cela m’excite de me sentir enfin soumis. Alors, je déboutonne sa chemise et je caresse un ventre velu mais ferme. Je débraguette l'homme et sort sa queue encore flasque mais qui commence à prendre du volume. L'homme résiste-t-il pour que j'aie des difficultés ? Je sens des odeurs masculines, on dirait de l'urine ce qui me donne un haut le coeur. Je sens le regard de l'homme et je me sens humilié dans cette position. Mais le Maître crie sans préambule :
- Alors tu me suces?
Je prends résolument la queue qui grossit maintenant franchement. Je caresse doucement la hampe et je commence à masturber l'homme. La queue est maintenant très grosse et ma main a presque du mal à l'enserrer. le Maître se cale mieux sur son siège en cuir et se détend, je sens que je lui donne du plaisir. Je la prends alors dans ma bouche tout en continuant de la branler. Je sens des palpitations, elle devient de plus en plus dure. Je salive sur le gland en le massant légèrement avec le doigt et la main. Je sens que l'homme se tend un peu. Je rajoute de la salive et je suce le membre en faisant aller et venir ma bouche et en branlant le sexe par de petits mouvements très rapides mais de petite amplitude. Je commence à être fier de mon oeuvre en voyant les réactions de l'homme. Au début il me regardait faire en prononçant des mots grossiers comme
- Vas-y chienne, tu es une salope et une pute...
Maintenant je sens qu'il prend du plaisir et cherche à jouir, il halète un peu. Je ne sais plus trop où j'en suis mais je fais consciencieusement ma fellation.
C'est alors que le Maître prend ma tête avec ses deux mains en s'enfonce dans ma bouche plus profondément avec des gestes brutaux. Je sens les mouvements de ses reins pour s'enfoncer de plus en plus loin dans ma bouche. Ce n'est plus moi qui le suce, mais lui qui prend ma bouche pour un vagin. Les mots deviennent de plus en plus orduriers. J'en ai plein la bouche, celle-ci se distant pour enserrer cet organe qui devient démesuré. Je me sens prisonnier, je suffoque, je vais étouffer, mais je ne peux rien faire. Je sens une envie de vomir, mais dans un dernier râle, l'homme libère son sperme par cinq jets saccadés qui inondent ma bouche. C'est juteux, laiteux, mais amer et un peu écoeurant.
- Avale tout me dit-il, tu es une bonne soumise et une bonne pute. (Il se retire de ma bouche) - Maintenant on va passer à la suite....
Je suis toujours à genoux, sur le plancher moquetté de la voiture, le Maître à qui je viens de faire une fellation ne me maintient plus la tête. J'ai dans la bouche le sperme chaud que j'ai du mal à déglutir. Je me sens honteux et humilié pour avoir assouvi les désirs d'un homme mais je sens monter en moi comme une espèce de fièvre. Je n'ose le regarder et je garde les yeux baissés dans ma position de soumis à genoux. Il a l'air assouvi mais je sens qu'il retrouve son autorité et son pouvoir de Domination lorsqu'il me répète d’un ton autoritaire :
- Oui, maintenant on va passer à la suite.... (Je lève les yeux et je sens son regard impérieux qui m'impressionne) - Tu as un bon point pour être une bonne suceuse. Mais maintenant debout et suis-moi.
Toujours nu et habillé de la cage de chasteté, je sors de la voiture. J'ai froid, mais est-ce dû à la fraîcheur de l'air, à l'appréhension ou à la peur? Peut-être aux trois. Je me ressaisis et me dirige vers le Maître en essayant de cacher mon sexe encagé avec mes mains par pudeur et par honte. D'un geste brusque et adroit, il ajuste un collier à mon cou et lui joint une laisse de chien. Il apporte avec lui divers ustensiles et des fouets et une cravache. Là, j'ai franchement peur, je n'ai pas encore été fouetté et je m'imagine les morsures de la cravache.
- A genou, m'ordonne-t-il sèchement.
Alors, il tire brutalement sur la laisse et je le suis à quatre pattes difficilement et maladroitement dans le chemin. Je me sens vraiment humilié pris pour un chien. La pensée de mon désir de soumission et la présence de l’homme que je suppose être le Maître me réconfortent alors. J'ai mal aux genoux car le sol est caillouteux mais vite l'herbe adoucit le contact. Heureusement l'endroit est désert, mais je suis tout de même inquiet. Et si on rencontrait quelqu'un ? Mais tout se passe bien et on arrive dans un genre de grotte que je ne connaissais pas, à l'abri des regards éventuels. L'homme, Lui, connaît bien les lieux ! Il me menotte les mains et me dit :
- Lève les bras !
Le Maître me pousse vers un genre de pilier en pierre de la taille d'un arbre d'une trentaine de centimètres de diamètre. Je sens la rugosité de la pierre contre mon ventre. L'homme lie mes poignets menottés à une saillie du pilier. Je suis là, impuissant, craintif et soumis docile. Heureusement, le Maître, qui m'a ordonné le rendez-vous est là, et ça me rassure, car je sais que s'Il ordonne que je sois soumis, c’est un ordre sacré et qu’Il est respectueux de Ses soumis et soumises. Je pense à mon désir de soumission qui se réalise enfin, je suis Ô en mâle. Mais malgré tout, l'appréhension avoisine la peur.
Tout à coup, je sens une main sur mon ventre, une caresse jusqu'au pubis, la main contourne les fesses et deux doigts s'insinuent dans mon anus, le fouillent et l'ouvrent. Une douleur fulgurante me déchire, mais l'homme dit:
- Ce sera pour tout à l'heure.
Alors une claque violent et bruyante retentit sur mes fesses, puis une autre puis d'autres encore. C'est violent, et douloureux. Les fesses commencent à me brûler. Alors, impuissant et prisonnier, je me crispe pour éviter les coups.
- Tu hurles trop, s'écrie le Maître, un peu énervé.
Il pose alors un bâillon bouche ouverte qui me bloque la bouche et m'empêche de crier. Je suis très gêné par cet ustensile et ma bouche est à la merci de ceux qui voudraient l'utiliser. C'est très humiliant, mais je pense moins à la douleur.
- Ca te calmera … (le Maître semble être satisfait:) … Tes fesses sont rouges à point, je vais prendre une photo
J'ai mal, je suis une immense brûlure. Puis rien ne se passe, j'ai quelques instants de répit. Mais brusquement, j'entends un sifflement et je sens un déchirement cinglant sur mon épaule. C'est un fouet à lanière unique qui commence à me cingler. Alors les coups commencent à pleuvoir. J'ai de plus en plus mal. Les coups zèbrent mon dos, puis mon dos, puis à nouveau mes fesses. Je voudrais crier grâce et arrêter ces morsures, mais l'homme est inflexible. Un coup porté entre la raie des fesses en entourant le ventre me fait tressauter. Je ne sais combien de temps le calvaire continue, ni si je m'évanouis, mais je n'entends plus rien et les coups ont cessé. Je suis un corps douloureux. Mais finalement, j'ai résisté et je suis entier. Je me sens soumis vraiment et fier de supporter. Les coups de fouet ont cessé, mais mon supplice est-il terminé ? Quand le Maître me dit:
- Tu es presque soumis maintenant pour avoir le droit d’entrer dans le Château, mais il te reste une dernière épreuve
Je suis pris de panique, que peut-il m'arriver de pire ? Je n'ai pas le temps de méditer quand je sens l'homme s'approcher de moi par derrière. J'ai toujours les poignets en l'air et le ventre contre le pilier froid et rugueux. Mon corps est douloureux et aurait besoin de douceur. Il est nu et il se plaque contre moi tout doucement, ça me fait un bien énorme. Il me caresse les couilles et ses mains sont sur mon bas-ventre. Il attend quelques instants et je sens son gland toucher mon anus. Je n'ai encore pas eu d'expérience avec un homme, mais le contact de son corps chaud me fait du bien. Mais le répit est de courte durée. Je sens bientôt une douleur fulgurante au creux de mes reins, mon anus doit être écartelé. Puis dans un soupir le Maître savoure sa prise reste immobile un instant. Mon bâillon m'a empêché de crier, je le sens qui m'enserre la bouche. Maintenant la queue déjà énorme s'enfonce lentement et emplit mon cul que je sens possédé par cet intrus mais que mon anus voudrait bien expulser. Le sexe s'enfonce jusqu'au bout, jusqu'aux couilles, écartant mes entrailles. J'en ressens une jouissance malgré la douleur. Alors un mouvement de va et viens m'arrache des cris que je ne peux faire sortir de ma bouche et je suis pénétré à fond, fouillé, besogné et je me sens comme une soumise impuissante, avec des émotions et des sentiments complexes et contradictoires. Au bout de longues minutes, je sens le sexe pénétrer entièrement d'un seul coup et dans un râle, l'homme se répand dans mon ventre qui reçoit des jets de liquide chaud... Puis le Maître se retire brusquement et je l'entends dire:
- Maintenant tu es soumis ! Mais pas un soumis banal ! Non, tu es en réalité beaucoup plus que ça ! Tu es désormais Mon soumis-esclave MDE, oui Mon esclave appartenant à Moi, Le Maître, Monsieur le Marquis d’Evans ...
(A suivre …)
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