La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 389)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-02-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 389)
L'esclave e73700MDE au Château - (suite de l’épisode N°386) Ma rencontre avec Marie la cuisinière –
Cette pièce exigüe est en réalité le cachot retenu par le Maître pour la nuit qui semble être plutôt une cave aux murs constitués de pierres froides et non polies. Ce cachot en terre battue possède plusieurs anneaux métalliques scellés aux murs ci et là et à part la lourde porte d'entrée en chêne massif et aux gonds grinçants, il n'y a ni ouverture ni fenêtres. Je ne vois pas d'éclairage, mais l’ensemble baigne dans une lumière tamisée qui semble venir de l'au-delà. Il doit y avoir un air conditionné, car je n'ai pas froid, en revanche une peur panique me prend. Le silence est total et, quoiqu'il m'arrive, je ne peux espérer de l'aide, car je ne risque pas d’être entendu de l'extérieur vu l'épaisseur des murs. Mais je n'ai pas le temps de réfléchir à ce qui va se passer, la voix de la cuisinière résonne à nouveau. Je n'avais pas été encore confronté à elle, mais j'ai entendu dire qu'elle était une fidèle complice de Monsieur Le Marquis et qu'elle apportait une aide appréciée pour "l'éducation" des soumises et des soumis avec un zèle dans lequel elle exprimait sa perversion naturelle. On dit d’elle-même qu’elle serait parfois sadique, j’espère que ce n’est que rumeur ? … En revanche, ce qui est certain, c’est qu’elle a une voix puissante résonnant fortement car simplement l’entendre me donne la chair de poule lors de son entrée dans le cachot …
- Alors Walter, pendant que je trime à la cuisine, il se passe des choses sans ma participation? … Je vois que ce petit cabot à dresser ou plutôt cette chienne en chaleur a déjà amplement servi. Mais regarde, il faut nettoyer cette petite souillon. Cela coule encore de ses trous... Hum, je vais y remédier…
Je mets instinctivement en position soumise, tête penchée en avant, dos légèrement courbé, les mains derrière le dos, jointes au niveau des fesses. Je m’efforce de rester le plus immobile possible quand je sens alors une bouche s'emparer de la mienne, une langue charnelle s'insérer et s'enfoncer fermement entre mes dents ce qui m'oblige à ouvrir ma bouche. Je m'abandonne volontiers à cette force animale mais voluptueuse qui m'explore avec rage comme si on voulait me violer la bouche et je ressens avec passion cette possessive intrusion de ma cavité buccale. Lorsqu'elle est rassasiée, la perverse cuisinière se recule un peu et regarde d'un air satisfait mon visage d'où dégoulinent encore un ruisselet de sperme du Majordome. Alors elle m’ordonne d'ouvrir toute grande ma bouche et m’envoie un dense crachat qui entre directement au fond de ma gorge. Quelle humiliation, je déglutis son crachat et l'avale avec avidité malgré (ou à cause de) l'humiliation. La cuisinière prend mes joues entre deux doigts et les secoue alternativement pour bien me montrer que je suis son objet et sa possession, puis elle me donne une retentissante claque sur la joue qui me fait rosir le visage.
- Baisse les yeux chienne crie-t-elle, en me donnant des gifles alternativement sur chaque joue.
Je suis humilié, mais je subis avec fierté en pensant qu'elle est "la main agissante Du Maître" alors que je sens mes joues rougir et s'enflammer ce qui me donne un certain plaisir de réagir ainsi sous des gifles données par une femme.
- A genoux maintenant, les mains croisées derrière le dos et en position de prostration prête à une saillie, en levrette fesses relevée genoux écartés, anus offert et plus vite que ça ! crie-t-elle sur un ton autoritaire.
J'ai maintenant l'habitude de me présenter ainsi, aussi j'obtempère et me place rapidement en cette humiliante position, mains reposant à plat sur le sol le plus loin possible. Je m'attends à me faire pénétrer par un phallus gode-ceinture, à me faire défoncer le cul par cette perverse femme. Mais elle me caresse le dos puis les fesses et je sens ses palpations qui m'estiment comme si j'étais un animal sur le marché. Elle inspecte alors ma croupe et déclare soudain avec une vicieuse ironie :
- Mais c'est que cette souillon s'est salie par là aussi, en voyant dégouliner du sperme de la corolle béante.
L’humiliation est à son comble je resserre instinctivement les fesses pour me dérober au regard inquisiteur, mais sans possibilité de me cacher vu ma position. Et le Majordome renchérit en jubilant :
- Oui, Monsieur le Marquis a dû le remarquer lorsqu'il m'a dit : "Occupe-toi de nettoyer cette femelle’’ … et c'est ce que nous allons donc faire, ma chère Marie !
En voyant mon inutile réflexe de protection, la cuisinière claque plus violemment mes fesses :
- Ouvre-toi et montre-toi chienne, que je vois à quoi ressemble ton trou de lopette, petite catin juste bonne à se faire saillir…
J'écarte encore plus mes jambes et je m'offre plus impudiquement à la vue des deux acolytes qui ont un rire narquois en proférant des injures. Alors Marie s'agenouille pour mieux m’ausculter et me re palpe les fesses en les écartant de ses larges mains. Elle passe vicieusement un doigt sur toute la longueur de ma raie en appuyant fortement de haut en bas. Arrivé sur mon anus qui me fait presque mal, elle écarte encore plus celui-ci. Je sens une douleur jusqu'à l'intérieur due à tous ces sexes raides et objets qui ont forcé la chair sensible et ont dû la distendre pour se frayer un passage sur l'étroit goulot qui maintenant est béant. C’est donc offert aux regards des deux complices que Marie s’exclame vicieusement :
- Allons-y, arrosons cette rosette de pute !
Un crachat bruyant aboutit sur la chair endolorie, je sens sa douceur gluante sur ma rosette en feu comme une humiliation supplémentaire. Je n'avais ressenti cette impression qu'une fois quand, alors que je faisais du stop loin de chez moi dans mon adolescence, un espagnol qui m'avait pris s'était arrêté au bord de la route et m'avait demandé si j'avais déjà fait l'amour. Un peu inconscient à l’époque, de ce qui m'arrivait, je m’étais fait laisser baisser mon pantalon par cet inconnu et il avait craché dans mon anus qui était très serré. J'avais été très excité par cet acte interdit qui en même temps m'avais fortement humilié et pris de panique, je m’étais enfui avant que son gland turgescent puisse me pénétrer. Pendant plusieurs heures, j'avais senti ce crachat gluant dans mes chairs, il me culpabilisait et m'excitait en même temps, produisant en moi, une drôle d'impression que je comprends mieux maintenant, je ressentais un besoin de soumission sans le savoir…
Mais maintenant ici, je suis livré, impuissant et soumis au Maître par désir, de mon plein gré et avec confiance. Je sens alors un doigt prendre possession de ma chair endolorie de mon trou anal et la calmer par ce fait, puis deux doigts, puis trois. Ils explorent et massent ma chair sensible qui s'apaise et se laisse aller à ce malaxage. Les doigts inquisiteurs se mettent à leur aise et écartent les parois de mon anus en ouvrant encore plus le passage. Puis ils s'enfoncent sans ménagement et pénètrent de plus en plus profondément. Je sens alors les quatre doigts de Marie me posséder, puis après plusieurs vas et viens, un cinquième doigt et une douleur fulgurante me fait tressaillir. Je pousse un cri de douleur que je ne peux retenir alors Monsieur Walter me fixe alors un bâillon-boule en s’exclamant sèchement :
- Silence la pute de chienne, on ne veut pas t’entendre…
Je me laisse faire, vraiment impuissant. Maintenant, et après un long travail de dilatation, ce fist anal devient encore plus pervers car je sens désormais un poignet pénétrant jusqu’à un avant-bras prendre possession de mon cul bien rempli. Je vais certainement m'évanouir lorsque dans un mouvement de pitié, la cuisinière immobilise son bras et me laisse reprendre mes esprits. C'est un fist en règle que je viens de subir, je n'aurais jamais cru que ce soit possible ni que je puisse le supporter. Après quelques mouvements de va et vient qui me déchirent et me font lancer des cris inaudibles sous la boule du bâillon, je sens le poignet se retirer, écartant de façon ultime l'anus maintenant béant comme un large cercle attendant d'être rempli. Madame Marie semble satisfaite de son oeuvre quand elle déclare avec contentement :
- Ca y est, cette petite putain est rafraîchie et présentable.
L'humiliation monte encore d'un cran d'avoir ainsi été possédé par une femme fût-elle mandatée par la Maître. Mais c'est avec soulagement que j'entends Monsieur Walter prononcer :
- Allez, à quatre pattes maintenant.
Il m'enlève le bâillon et je me mets en position, toutes mes chairs meurtries physiquement et mentalement par ce que je viens de subir. Je pense que je vais maintenant pouvoir prendre un repos que semble mérité mon corps endolori, mais…
(A suivre...)
Cette pièce exigüe est en réalité le cachot retenu par le Maître pour la nuit qui semble être plutôt une cave aux murs constitués de pierres froides et non polies. Ce cachot en terre battue possède plusieurs anneaux métalliques scellés aux murs ci et là et à part la lourde porte d'entrée en chêne massif et aux gonds grinçants, il n'y a ni ouverture ni fenêtres. Je ne vois pas d'éclairage, mais l’ensemble baigne dans une lumière tamisée qui semble venir de l'au-delà. Il doit y avoir un air conditionné, car je n'ai pas froid, en revanche une peur panique me prend. Le silence est total et, quoiqu'il m'arrive, je ne peux espérer de l'aide, car je ne risque pas d’être entendu de l'extérieur vu l'épaisseur des murs. Mais je n'ai pas le temps de réfléchir à ce qui va se passer, la voix de la cuisinière résonne à nouveau. Je n'avais pas été encore confronté à elle, mais j'ai entendu dire qu'elle était une fidèle complice de Monsieur Le Marquis et qu'elle apportait une aide appréciée pour "l'éducation" des soumises et des soumis avec un zèle dans lequel elle exprimait sa perversion naturelle. On dit d’elle-même qu’elle serait parfois sadique, j’espère que ce n’est que rumeur ? … En revanche, ce qui est certain, c’est qu’elle a une voix puissante résonnant fortement car simplement l’entendre me donne la chair de poule lors de son entrée dans le cachot …
- Alors Walter, pendant que je trime à la cuisine, il se passe des choses sans ma participation? … Je vois que ce petit cabot à dresser ou plutôt cette chienne en chaleur a déjà amplement servi. Mais regarde, il faut nettoyer cette petite souillon. Cela coule encore de ses trous... Hum, je vais y remédier…
Je mets instinctivement en position soumise, tête penchée en avant, dos légèrement courbé, les mains derrière le dos, jointes au niveau des fesses. Je m’efforce de rester le plus immobile possible quand je sens alors une bouche s'emparer de la mienne, une langue charnelle s'insérer et s'enfoncer fermement entre mes dents ce qui m'oblige à ouvrir ma bouche. Je m'abandonne volontiers à cette force animale mais voluptueuse qui m'explore avec rage comme si on voulait me violer la bouche et je ressens avec passion cette possessive intrusion de ma cavité buccale. Lorsqu'elle est rassasiée, la perverse cuisinière se recule un peu et regarde d'un air satisfait mon visage d'où dégoulinent encore un ruisselet de sperme du Majordome. Alors elle m’ordonne d'ouvrir toute grande ma bouche et m’envoie un dense crachat qui entre directement au fond de ma gorge. Quelle humiliation, je déglutis son crachat et l'avale avec avidité malgré (ou à cause de) l'humiliation. La cuisinière prend mes joues entre deux doigts et les secoue alternativement pour bien me montrer que je suis son objet et sa possession, puis elle me donne une retentissante claque sur la joue qui me fait rosir le visage.
- Baisse les yeux chienne crie-t-elle, en me donnant des gifles alternativement sur chaque joue.
Je suis humilié, mais je subis avec fierté en pensant qu'elle est "la main agissante Du Maître" alors que je sens mes joues rougir et s'enflammer ce qui me donne un certain plaisir de réagir ainsi sous des gifles données par une femme.
- A genoux maintenant, les mains croisées derrière le dos et en position de prostration prête à une saillie, en levrette fesses relevée genoux écartés, anus offert et plus vite que ça ! crie-t-elle sur un ton autoritaire.
J'ai maintenant l'habitude de me présenter ainsi, aussi j'obtempère et me place rapidement en cette humiliante position, mains reposant à plat sur le sol le plus loin possible. Je m'attends à me faire pénétrer par un phallus gode-ceinture, à me faire défoncer le cul par cette perverse femme. Mais elle me caresse le dos puis les fesses et je sens ses palpations qui m'estiment comme si j'étais un animal sur le marché. Elle inspecte alors ma croupe et déclare soudain avec une vicieuse ironie :
- Mais c'est que cette souillon s'est salie par là aussi, en voyant dégouliner du sperme de la corolle béante.
L’humiliation est à son comble je resserre instinctivement les fesses pour me dérober au regard inquisiteur, mais sans possibilité de me cacher vu ma position. Et le Majordome renchérit en jubilant :
- Oui, Monsieur le Marquis a dû le remarquer lorsqu'il m'a dit : "Occupe-toi de nettoyer cette femelle’’ … et c'est ce que nous allons donc faire, ma chère Marie !
En voyant mon inutile réflexe de protection, la cuisinière claque plus violemment mes fesses :
- Ouvre-toi et montre-toi chienne, que je vois à quoi ressemble ton trou de lopette, petite catin juste bonne à se faire saillir…
J'écarte encore plus mes jambes et je m'offre plus impudiquement à la vue des deux acolytes qui ont un rire narquois en proférant des injures. Alors Marie s'agenouille pour mieux m’ausculter et me re palpe les fesses en les écartant de ses larges mains. Elle passe vicieusement un doigt sur toute la longueur de ma raie en appuyant fortement de haut en bas. Arrivé sur mon anus qui me fait presque mal, elle écarte encore plus celui-ci. Je sens une douleur jusqu'à l'intérieur due à tous ces sexes raides et objets qui ont forcé la chair sensible et ont dû la distendre pour se frayer un passage sur l'étroit goulot qui maintenant est béant. C’est donc offert aux regards des deux complices que Marie s’exclame vicieusement :
- Allons-y, arrosons cette rosette de pute !
Un crachat bruyant aboutit sur la chair endolorie, je sens sa douceur gluante sur ma rosette en feu comme une humiliation supplémentaire. Je n'avais ressenti cette impression qu'une fois quand, alors que je faisais du stop loin de chez moi dans mon adolescence, un espagnol qui m'avait pris s'était arrêté au bord de la route et m'avait demandé si j'avais déjà fait l'amour. Un peu inconscient à l’époque, de ce qui m'arrivait, je m’étais fait laisser baisser mon pantalon par cet inconnu et il avait craché dans mon anus qui était très serré. J'avais été très excité par cet acte interdit qui en même temps m'avais fortement humilié et pris de panique, je m’étais enfui avant que son gland turgescent puisse me pénétrer. Pendant plusieurs heures, j'avais senti ce crachat gluant dans mes chairs, il me culpabilisait et m'excitait en même temps, produisant en moi, une drôle d'impression que je comprends mieux maintenant, je ressentais un besoin de soumission sans le savoir…
Mais maintenant ici, je suis livré, impuissant et soumis au Maître par désir, de mon plein gré et avec confiance. Je sens alors un doigt prendre possession de ma chair endolorie de mon trou anal et la calmer par ce fait, puis deux doigts, puis trois. Ils explorent et massent ma chair sensible qui s'apaise et se laisse aller à ce malaxage. Les doigts inquisiteurs se mettent à leur aise et écartent les parois de mon anus en ouvrant encore plus le passage. Puis ils s'enfoncent sans ménagement et pénètrent de plus en plus profondément. Je sens alors les quatre doigts de Marie me posséder, puis après plusieurs vas et viens, un cinquième doigt et une douleur fulgurante me fait tressaillir. Je pousse un cri de douleur que je ne peux retenir alors Monsieur Walter me fixe alors un bâillon-boule en s’exclamant sèchement :
- Silence la pute de chienne, on ne veut pas t’entendre…
Je me laisse faire, vraiment impuissant. Maintenant, et après un long travail de dilatation, ce fist anal devient encore plus pervers car je sens désormais un poignet pénétrant jusqu’à un avant-bras prendre possession de mon cul bien rempli. Je vais certainement m'évanouir lorsque dans un mouvement de pitié, la cuisinière immobilise son bras et me laisse reprendre mes esprits. C'est un fist en règle que je viens de subir, je n'aurais jamais cru que ce soit possible ni que je puisse le supporter. Après quelques mouvements de va et vient qui me déchirent et me font lancer des cris inaudibles sous la boule du bâillon, je sens le poignet se retirer, écartant de façon ultime l'anus maintenant béant comme un large cercle attendant d'être rempli. Madame Marie semble satisfaite de son oeuvre quand elle déclare avec contentement :
- Ca y est, cette petite putain est rafraîchie et présentable.
L'humiliation monte encore d'un cran d'avoir ainsi été possédé par une femme fût-elle mandatée par la Maître. Mais c'est avec soulagement que j'entends Monsieur Walter prononcer :
- Allez, à quatre pattes maintenant.
Il m'enlève le bâillon et je me mets en position, toutes mes chairs meurtries physiquement et mentalement par ce que je viens de subir. Je pense que je vais maintenant pouvoir prendre un repos que semble mérité mon corps endolori, mais…
(A suivre...)
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