La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 394)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 394)
Agathe au Château - (Histoire écrite par belledevinctum)-
10h13, le train décélère. Jusqu’à présent j’étais dans une bulle irréelle, actrice et non sujet de mes aventures. Dans quelques minutes je plongerai dans le réel, et que sera t’il ? J’ai suivi les consignes à la lettre : Aucun sous-vêtement entravant l’accès à mes orifices ou rondeurs, une silhouette féminine, un soin particulier à ma toilette. Je ne crains aucune remontrance. Mon cœur s’emballe, vais-je oser descendre ? Mes pudeurs seront-elles respectées ? Me laissera-t’il un temps pour entrer dans cette nouvelle vie qui pour l’instant demeure un doux fantasme ? Je défile en quelques images mes hésitations et toutes Ses questions qui me conduisent aujourd’hui dans ce train : Comment peux-tu savoir que tu veux être soumise, si tu ne prends pas le temps d’une expérience ? Ce temps que je t’offre, ne t’engage à rien. Souhaites-tu vraiment confronter tes fantasmes à la réalité ?...
Le train est arrêté, je suis la seule à descendre sur ce quai de la petite gare perdue au milieu d’une campagne désolée. Je comprends pourquoi, il ne souhaitait pas d’échange de photo « pour se reconnaître ». Je remonte le quai presque désert, perdue. Il n’y a personne. L’angoisse me saisit. Et si je me suis trompée de gare ? Et si finalement, il ne venait pas ? Et si je ne voulais pas de ce temps pour voir ? Moi, si forte, au C.V. qui ferait pâlir bon nombre de mes consoeurs, instrumentiste dans un ensemble de musique baroque, sportive de haut niveau et … tant d’autres choses encore … Me voilà face à moi-même, en train de me dérober ? J’inspire profondément et je reprends ma marche vers le bâtiment qui sert de gare. Toujours personne. Le guichet est déserté depuis de nombreuses années. Seul signe de vie, un distributeur trône au milieu de la salle des pas perdus. J’atteins la porte et au moment où ma main allait manœuvrer la poignée, je sursaute par une voix subite, venue de nulle part, ou du moins plutôt de derrière, me semble-t-il :
- Marchez jusqu’à la voiture sans vous retourner. Puis ôterez votre manteau, vous poserez vos mains bien à plat sur le capot avant, remonterez votre robe et cambrerez vos reins pour que je vérifie votre nudité.
Nous y sommes, mon cœur se calme, une voie m’est ouverte. Instinctivement, je baisse la tête et redresse les épaules, déjà fière de devenir une femme offerte. Je me dirige donc vers la seule voiture garée sur le parking de la gare. Une somptueuse Rolls Royce Noire. Toujours personne en vue. Je m’arrête devant la voiture et je laisse glisser mon manteau, écarte mes jambes, cambre mes reins et relève sûrement ma robe. Mes mains bien posées sur le devant du véhicule. Le vent d’automne glisse sur mes lèvres imberbes. Je devrais être effrayée, avoir peur d’un regard indiscret et pourtant, je sens mes chairs s’ouvrir et s’humidifier malgré moi. J’entends alors des pas s’approcher mais je n’ose pas me retourner d’ailleurs la voix disait de ne pas le faire, alors j’obéis comme le ferai une bonne soumise et je ne bouge pas. Figée, mon cœur bat la chamade et je sens mon bas-ventre s’humidifier et des frissons traverser tout le long de mon échine Un souffle chaud caresse ma nuque, et une main empoigne fermement ma fesse. Une onde me parcourt. Je me laisse glisser dans les sensations qui me submergent. Un doigt parcourt rapidement mon sillon et vérifie l’absence de pilosité.
- Chut ! Je vais vous bander les yeux et vous prendrez place robe toujours relevée sur le cuir du siège passager, jambes toujours ouvertes comme il sied à une bonne soumise. »
Ce voyage aveugle achève de me faire perdre tour repère et pourtant je demeure calme, soutenue par cette présence que je ressens au plus profond de moi. La voiture démarre. L’homme qui m’a parlé est installé à mes côtés. Robe relevée, mes cuisses écartées, un bandeau sur les yeux, je sens encore plus sa présence, dans ce silence troublé seulement par le bruit du moteur, quand ses doigts viennent fouiller mon intimité. Il s’attarde sur mon clitoris, le branle doucement avec savoir-faire exquis puis il me caresse mes lèvres intimes. Je me sens largement offerte et me laisse faire et je ne peux retenir des gémissements de plaisir quand ses doigts me pénètrent toujours avec une incroyable lenteur, douceur pour les faire aller et venir en moi. Je suis si humide que ses doigts trempés glissent aisément en mon intimité. Quand il les retire, il les porte à ma bouche et il n’a pas besoin de mots pour me faire comprendre de lécher ma propre mouille sur ses doigts…
15 minutes plus tard environ la Rolls Royce ralentit pour finir par se garer dans ce qui me semble être une cour car j’entends les pneus crisser légèrement dans ce qui doit être des graviers. Parvenue à l’intérieure d’une maison laquelle je suppose grande car la voix résonne comme dans un grand hall au plafond haut. Et cette voix exprime une nouvelle consigne qui tombe :
- Déshabillez-vous, telle sera votre tenue pour le reste de votre séjour. Si vous ne souhaitez pas poursuivre, dites le moi immédiatement afin que je vous raccompagne, car si vous êtes ici, c’est de votre plein gré, personne ne vous retient. Je vous donne une minute de réflexion puis vous obtempérerez si vous décidez de rester.
Nulle échappatoire, nous ne sommes pas ici pour jouer mais réellement vivre une relation de Domination/soumission. J’entreprends alors de dégrafer ma robe sans attendre la fin de la minute. Gênée par le bandeau qui me cache toute vue et rend difficile l’équilibre sur de hauts escarpins, mes gestes manquent d’assurance. Je parviens à faire glisser ma robe à mes pieds et me trouve avec pour seuls remparts face à un inconnu, dont je ne connais pas même le visage, en corset transparent ivoire, porte-jarretelle et bas. Il s’est rapproché, je devine ses déplacements et l’air qu’il déplace autour de moi. Il me contourne, et entreprend de délacer mon corset. Ma poitrine s’épanouit sous ses yeux. Malgré la chaleur de la pièce, mes tétons durcissent et pointent de manière arrogante :
- Oui, présente-toi, fais saillir tes seins, malaxe-les…
O bandeau béni, refuge de mes peurs, faites qu’il ne me rende pas la vue. Je ne parviendrai pas à m’exécuter en étant confrontée à son regard. Mes mains entourent mes seins, les présentent, jouent de leur mouvement. J’étire mes tétons, savourant cette douce douleur qui irradie jusqu’à mon intimité. Le plaisir m’envahit, mon souffle s’accélère.
- Branle-toi !
Le couperet tombe, me faisant redescendre sur terre brutalement. Comment dois-je faire ? Une claque interrompt mon immobilité. Mes doigts commencent leur danse sur mon clitoris, écartent mes lèvres, explorent le moindre recoin de mon sexe. Le plaisir renait, et je me laisse aller à la chaleur diffuse qui sourd de mon entrejambe. Mes doigts pénètrent plus profondément mon intimité, m’ouvrent et m’offrent à celui qui accepte de m’initier à des plaisirs nouveaux. Je vacille sur mes escarpins et me retrouve calée dans ses bras. Le plaisir m’envahit, fermement maintenue, j’explose.
- Très beau spectacle, mademoiselle. Il est maintenant l’heure de vous confronter à vous-même. Donnez-moi votre bandeau…
(A suivre …)
10h13, le train décélère. Jusqu’à présent j’étais dans une bulle irréelle, actrice et non sujet de mes aventures. Dans quelques minutes je plongerai dans le réel, et que sera t’il ? J’ai suivi les consignes à la lettre : Aucun sous-vêtement entravant l’accès à mes orifices ou rondeurs, une silhouette féminine, un soin particulier à ma toilette. Je ne crains aucune remontrance. Mon cœur s’emballe, vais-je oser descendre ? Mes pudeurs seront-elles respectées ? Me laissera-t’il un temps pour entrer dans cette nouvelle vie qui pour l’instant demeure un doux fantasme ? Je défile en quelques images mes hésitations et toutes Ses questions qui me conduisent aujourd’hui dans ce train : Comment peux-tu savoir que tu veux être soumise, si tu ne prends pas le temps d’une expérience ? Ce temps que je t’offre, ne t’engage à rien. Souhaites-tu vraiment confronter tes fantasmes à la réalité ?...
Le train est arrêté, je suis la seule à descendre sur ce quai de la petite gare perdue au milieu d’une campagne désolée. Je comprends pourquoi, il ne souhaitait pas d’échange de photo « pour se reconnaître ». Je remonte le quai presque désert, perdue. Il n’y a personne. L’angoisse me saisit. Et si je me suis trompée de gare ? Et si finalement, il ne venait pas ? Et si je ne voulais pas de ce temps pour voir ? Moi, si forte, au C.V. qui ferait pâlir bon nombre de mes consoeurs, instrumentiste dans un ensemble de musique baroque, sportive de haut niveau et … tant d’autres choses encore … Me voilà face à moi-même, en train de me dérober ? J’inspire profondément et je reprends ma marche vers le bâtiment qui sert de gare. Toujours personne. Le guichet est déserté depuis de nombreuses années. Seul signe de vie, un distributeur trône au milieu de la salle des pas perdus. J’atteins la porte et au moment où ma main allait manœuvrer la poignée, je sursaute par une voix subite, venue de nulle part, ou du moins plutôt de derrière, me semble-t-il :
- Marchez jusqu’à la voiture sans vous retourner. Puis ôterez votre manteau, vous poserez vos mains bien à plat sur le capot avant, remonterez votre robe et cambrerez vos reins pour que je vérifie votre nudité.
Nous y sommes, mon cœur se calme, une voie m’est ouverte. Instinctivement, je baisse la tête et redresse les épaules, déjà fière de devenir une femme offerte. Je me dirige donc vers la seule voiture garée sur le parking de la gare. Une somptueuse Rolls Royce Noire. Toujours personne en vue. Je m’arrête devant la voiture et je laisse glisser mon manteau, écarte mes jambes, cambre mes reins et relève sûrement ma robe. Mes mains bien posées sur le devant du véhicule. Le vent d’automne glisse sur mes lèvres imberbes. Je devrais être effrayée, avoir peur d’un regard indiscret et pourtant, je sens mes chairs s’ouvrir et s’humidifier malgré moi. J’entends alors des pas s’approcher mais je n’ose pas me retourner d’ailleurs la voix disait de ne pas le faire, alors j’obéis comme le ferai une bonne soumise et je ne bouge pas. Figée, mon cœur bat la chamade et je sens mon bas-ventre s’humidifier et des frissons traverser tout le long de mon échine Un souffle chaud caresse ma nuque, et une main empoigne fermement ma fesse. Une onde me parcourt. Je me laisse glisser dans les sensations qui me submergent. Un doigt parcourt rapidement mon sillon et vérifie l’absence de pilosité.
- Chut ! Je vais vous bander les yeux et vous prendrez place robe toujours relevée sur le cuir du siège passager, jambes toujours ouvertes comme il sied à une bonne soumise. »
Ce voyage aveugle achève de me faire perdre tour repère et pourtant je demeure calme, soutenue par cette présence que je ressens au plus profond de moi. La voiture démarre. L’homme qui m’a parlé est installé à mes côtés. Robe relevée, mes cuisses écartées, un bandeau sur les yeux, je sens encore plus sa présence, dans ce silence troublé seulement par le bruit du moteur, quand ses doigts viennent fouiller mon intimité. Il s’attarde sur mon clitoris, le branle doucement avec savoir-faire exquis puis il me caresse mes lèvres intimes. Je me sens largement offerte et me laisse faire et je ne peux retenir des gémissements de plaisir quand ses doigts me pénètrent toujours avec une incroyable lenteur, douceur pour les faire aller et venir en moi. Je suis si humide que ses doigts trempés glissent aisément en mon intimité. Quand il les retire, il les porte à ma bouche et il n’a pas besoin de mots pour me faire comprendre de lécher ma propre mouille sur ses doigts…
15 minutes plus tard environ la Rolls Royce ralentit pour finir par se garer dans ce qui me semble être une cour car j’entends les pneus crisser légèrement dans ce qui doit être des graviers. Parvenue à l’intérieure d’une maison laquelle je suppose grande car la voix résonne comme dans un grand hall au plafond haut. Et cette voix exprime une nouvelle consigne qui tombe :
- Déshabillez-vous, telle sera votre tenue pour le reste de votre séjour. Si vous ne souhaitez pas poursuivre, dites le moi immédiatement afin que je vous raccompagne, car si vous êtes ici, c’est de votre plein gré, personne ne vous retient. Je vous donne une minute de réflexion puis vous obtempérerez si vous décidez de rester.
Nulle échappatoire, nous ne sommes pas ici pour jouer mais réellement vivre une relation de Domination/soumission. J’entreprends alors de dégrafer ma robe sans attendre la fin de la minute. Gênée par le bandeau qui me cache toute vue et rend difficile l’équilibre sur de hauts escarpins, mes gestes manquent d’assurance. Je parviens à faire glisser ma robe à mes pieds et me trouve avec pour seuls remparts face à un inconnu, dont je ne connais pas même le visage, en corset transparent ivoire, porte-jarretelle et bas. Il s’est rapproché, je devine ses déplacements et l’air qu’il déplace autour de moi. Il me contourne, et entreprend de délacer mon corset. Ma poitrine s’épanouit sous ses yeux. Malgré la chaleur de la pièce, mes tétons durcissent et pointent de manière arrogante :
- Oui, présente-toi, fais saillir tes seins, malaxe-les…
O bandeau béni, refuge de mes peurs, faites qu’il ne me rende pas la vue. Je ne parviendrai pas à m’exécuter en étant confrontée à son regard. Mes mains entourent mes seins, les présentent, jouent de leur mouvement. J’étire mes tétons, savourant cette douce douleur qui irradie jusqu’à mon intimité. Le plaisir m’envahit, mon souffle s’accélère.
- Branle-toi !
Le couperet tombe, me faisant redescendre sur terre brutalement. Comment dois-je faire ? Une claque interrompt mon immobilité. Mes doigts commencent leur danse sur mon clitoris, écartent mes lèvres, explorent le moindre recoin de mon sexe. Le plaisir renait, et je me laisse aller à la chaleur diffuse qui sourd de mon entrejambe. Mes doigts pénètrent plus profondément mon intimité, m’ouvrent et m’offrent à celui qui accepte de m’initier à des plaisirs nouveaux. Je vacille sur mes escarpins et me retrouve calée dans ses bras. Le plaisir m’envahit, fermement maintenue, j’explose.
- Très beau spectacle, mademoiselle. Il est maintenant l’heure de vous confronter à vous-même. Donnez-moi votre bandeau…
(A suivre …)
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