La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 395)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 395)
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°388 -
Walter, le Majordome du Château du Marquis d’Evans vient de quitter son bureau, laissant soumise Océane MDE, l’esclave-femelle du cheptel, qui lui tient lieu de secrétaire pour l’aider dans ses fonctions d’intendant, totalement frustrée n’ayant eu droit à aucun plaisir charnel et même pas aux plaisirs masochistes dont elle est si friande, car même les coups de canne que lui avait fait miroiter le Majordome pervers ont été supprimés pour cause de punition supplémentaire, la laissant retourner à ses tâches quotidiennes, en n’ayant pour seuls compagnons de sa condition servile que des papiers administratifs à traiter et son matériel bureautique, bien peu érotiques en soi… A peine, Walter est-il sorti dans le couloir que son téléphone portable qu’il garde accroché à la ceinture se met à sonner. C’est un appel qui vient de retentir en provenance de la salle de surveillance du Château. Le Majordome s’inquiète d’être dérangé de la sorte à cette heure de la journée, se disant qu’il a déjà eu fort à faire avec le premier incident de la matinée. Commençant à tempêter tout seul en tapant du pied par terre, c’est relativement tendu qu’il décroche son portable.
- Bonjour Monsieur Walter, Pardonnez-moi de devoir vous déranger, c’est Didier, le surveillant en fonction de la salle des gardes.
- Bonjour Didier, que se passe-t-il encore que vous soyez obligé de m’appeler sur mon téléphone en urgence par le canal interne? Je pense que j’ai déjà eu mon lot de soucis pour la journée. Mais il y a des jours où je me dis que tout doit aller mal ! Alors quelle est la mauvaise nouvelle ?
- Rien de grave, Monsieur Walter, rassurez-vous. C’est juste qu’un certain Monsieur Deschamps de la société « FrancePianos » se trouve à l’entrée extérieure du Château et il prétend qu’il avait rendez-vous cet après-midi. Or, il n’y a aucune intervention marquée sur mon planning et de plus cette société n’est pas référencée dans les fournisseurs du Château que je suis autorisé à laisser pénétrer dans l’enceinte pour les livraisons. Est-ce que, du coup, je dois lui ouvrir les grilles ? Je lui ai demandé de patienter pour l’instant…
- Oui, Didier, sans souci. Vous pouvez laisser entrer le véhicule et demandez-lui également d’approcher jusqu’aux bas des marches du grand escalier du perron. Il y a au moins deux ans que l’on n’a pas eu besoin de faire appel aux services de ce prestataire, c’est peut-être pour cela qu’il ne figure pas dans vos fichiers qui ont été épurés et remis à jour récemment. Par contre, je suis étonné et chagriné d’apprendre que l’information n’est pas arrivée jusqu’à vous, car cela est programmé depuis plusieurs semaines, ce me semble. C’est l’esclave-mâle « fadiese MDE » notre mélomane-instrumentiste de service qui s’est chargé d’appeler lui-même le réparateur et qui devait vous tenir informé du jour de son intervention… (Puis fulminant à voix haute) … Je crois bien qu’il va m’entendre celui-là et que la punition de ma composition que je vais lui jouer va lui siffler dans les oreilles une mélodie en totale cacophonie.
Le Majordome prend en main dans un geste instinctif sa cravache, comme s’il était déjà prêt à s’en servir sur la couenne de l’esclave fautif qui est de fait responsable de son dérangement puisque rien ne semble avoir été organisé pour l’accueil de Monsieur Deschamps qui a fait le déplacement depuis Lyon en personne, ce qui de plus va l’obliger une fois de plus à modifier son planning pour aller recevoir lui-même le dépanneur.
- Monsieur Walter, pardonnez-moi d’insister, mais comme rien n’a été programmé, je ne suis pas certain qu’il n’y ait pas des esclaves nus qui vont se trouver dans l’allée centrale, aux abords du Château, et dans les pièces du Rez-de-chaussée. Dois-je prendre les mesures nécessaires pour les faire évacuer au préalable, car vous savez combien Monsieur le Marquis d’Evans tient à ce que toutes les personnes extérieures qui ne font pas partie de Ses amis personnels et aussi de la communauté BDSM ne soient jamais en contact avec les chiens et chiennes du cheptel, pour des raisons de discrétion d’une part, et pour ne pas offenser ceux qui ne comprendraient pas nécessairement ce qui se passe à l’intérieur des murs du Domaine et ne seraient pas en mesure d’approuver les pratiques D/s ou d’imaginer la très grande magnanimité de Monsieur le Marquis qui accepte de prendre sous Son Joug les esclaves librement asservis qui ne désirent que de pouvoir être autorisé à ramper à Ses pieds.
- Didier, ne vous tourmentez pas. Ce n’est pas la première fois que Monsieur Deschamps est admis en ces Nobles murs. Même s’il ne fait pas partie des amis intimes de Monsieur le Marquis, il officie sur Lyon sous le nom de Maître Domisol. Il n’y a donc pas besoin de prendre quelques mesures préventives que ce soit, car je pense qu’il ne sera nullement offusqué d’apercevoir des esclaves mâles ou femelles vaquer à leurs occupations dans leur « tenue de service » habituelle (nu(e), avec collier et laisse, voire contraintes, plug et cage de chasteté). Sans compter qu’avec le froid qui fait dehors et la neige qui s’est remise à tomber, je doute fort qu’il y ait une seule personne qui traîne dehors en tenue d’Adam et d’Eve.
- Ah, très bien, Monsieur Walter. Je vais donc ouvrir les grilles et lui demander d’approcher avec la voiture. Y a-t-il autre chose à faire pour votre service ?
- Je vais aller moi-même accueillir cet excellent accordeur de piano dans le hall d’entrée. Mais, Didier, pendant ce temps, tâchez de joindre ce stupide chien de fadiese MDE pour qu’il me rejoigne de toute urgence dans le salon bleu. Je pense que cette tête de linotte à la minuscule cervelle de cabot qui a oublié de vous prévenir, a dû également aussi oublié le rendez-vous. Et dites-lui qu’il vaut mieux qu’il se grouille car il va comprendre de quel bois je me chauffe lorsque je suis dérangé à tort.
- Oui, Monsieur Walter, je fais le nécessaire à l’instant…
Quelques minutes plus tard, l’accordeur sonne à l’entrée de la haute et double-porte principale du Château au moment même où le Majordome arrive dans la hall d’entrée et ayant au préalable interpellé une soumise-femelle au passage pour qu’elle débarrasse de son manteau couvert de neige le visiteur, le Majordome le salue avec le meilleur accueil et l’entraîne vers la pièce où se trouve le magnifique piano à queue de collection, une véritable antiquité achetée à prix d’or dans une salle des ventes, tout en marqueterie de la maison Boulle qui est la pièce maîtresse du petit salon bleu, où Monsieur le Marquis aime parfois se retirer au calme pour trouver l’inspiration pour les magnifiques sagas dont il est l’auteur. En effet, Il lui arrive souvent d’écrire sous un air de piano, interprété par l’esclave pianiste chevronné fadiese MDE à ses côtés, ayant une préférence pour la musique de chambre, genre Johann Sebastian Bach ou Haydn, Mozart et Beethoven etc…
- Je suis désolé, Monsieur Deschamps, car nous vous avons fait attendre par ce froid à la grille d’entrée du château. Le chien-esclave fadiese MDE qui vous a contacté aurait dû prévenir de votre arrivée et même être là en personne pour vous accueillir en mes lieux et place, car n’y connaissant pas grand-chose en matière d’instruments de musique, je vais être bien incapable de vous indiquer la raison pour laquelle nous vous avons sollicité. J’ai fait quérir ce stupide cabot qui va m’entendre dès qu’il va montrer son museau.
- Ne vous tourmentez pas, Monsieur Walter. Je sais tout à fait ce que j’ai à faire et j’ai pris soin avant de me déplacer de commander les cordes qui doivent être changées. Je regrette cependant de ne pas avoir sous la main votre chien fadiese MDE, car il m’aurait aidé, enfin disons plus précisément que j’en aurai bien fait bon usage, si vous comprenez ce que je veux dire. C’est tellement un plaisir pour moi d’avoir l’occasion de venir jusqu’au célèbre Château de Monsieur le Marquis d’Evans et de voir de près Ses esclaves toujours aussi bien dressés, obéissant au doigt et à l’œil.
- « Aussi bien dressés » …. Je ne suis pas sûr que ce soit le qualificatif que j’utiliserai pour cette minable lopette à cause de qui je dois perdre mon temps, si ce n’est bien sûr le plaisir de vous tenir compagnie.
Le Majordome arrive devant la porte du salon bleu, l’ouvre pour laisser passer celui qu’il accompagne. Entrant à son tour, il aperçoit juste à côté du piano, le jeune esclave fadiese MDE agenouillé, tête baissée, encagé, les mains jointes dans le dos.
- Monsieur Deschamps, vous pouvez vous installer et commencer votre travail, mais je dois sans attendre corriger ce malappris qui n’a même pas été capable de venir vous accueillir.
Sans prendre le temps de réfléchir et même de l’interroger, Walter s’avance cravache à la main, prêt à fustiger le chien-mâle qui le voyant s’approcher s’est incliné sans même savoir ce qui se passe et pourquoi il est réprimandé, alors même qu’il était dans la salle, à l’heure dite, comme celui avait été imposé en personne par le Majordome, le jour même où ce dernier lui avait donné l’autorisation de contacter la société « FrancePianos » directement depuis le poste de son propre bureau, lui disant qu’il en informerait par la même occasion la salle des gardes. Mais Monsieur Walter qui gère beaucoup de choses dans l’immense Château, n’étant pas infaillible, a complètement oublié ce détail qui remonte à plus d’un mois. C’est donc très courroucé, ayant depuis l’événement tragique du matin les nerfs un peu à fleur de peau, qu’il s’avance pour se positionner juste au-dessus de l’esclave complètement apeuré et tremblant.
- Quant à toi, minable cabot sans cervelle, tu crois que tu es ici pour te prélasser à attendre tranquillement et bien au chaud dans le petit salon bleu. Quand je pense que tu passes une bonne partie de tes journées juste à taper sur des touches noires et blanches pour pouvoir agrémenter les soirées de Monsieur le Marquis lorsqu’il a envie d’entendre quelques airs de piano et qu’IL daigne réclamer ta présence quand il se met à l’écriture. Et si par malheur je ne me retenais pas, tu aurais la peau des fesses si rouges, que tu ne pourrais pas t’asseoir sur le petit banc devant le piano avant plusieurs jours. Et pour l’instant je n’ai aucune idée si je vais me retenir, espèce de cabot stupide… Met toi en levrette, cul bien relevé et plus vite que ça ….
Le Majordome commence à dispenser de sérieux coups de cravache sur la croupe du chien-esclave à la peau naturellement blafarde qui prend aussi sec une couleur bien plus rouge. Monsieur Deschamps le regarde faire avec un petit sourire malicieux, pas mécontent de pouvoir assister à cette petite scène D/s qui commence à l’exciter sérieusement et qui a eu pour conséquence de faire naître une bosse visible dans son pantalon à peine les premiers coups de cravache dispensés.
- Piteux chiot que tu fais ! Tu n’as même pas pensé à prévenir la salle des gardes, je me demande bien comment un chien avec une minuscule cervelle de moineau peut arriver à retenir un air de musique.
- Mais Monsieur Walter …. (une petite voix timide presque efféminée essaye de se faire entendre ….), je ….
La voix lourde et forte du Majordome coupe court à cette phrase à peine entamée, en redoublant d’intensité dans ses gestes et en augmentant la rapidité des coups qui pleuvent maintenant à un rythme effréné sur les fesses qui rougissent à vue d’oeil.
- Et en plus, tu oserais répliquer …. Et bien voilà pour t’apprendre à accepter ta punition sans répondre et qui plus est en ayant à cœur de songer à la fin à remercier la main qui prend la peine de te frapper et te permet de t’amender sur ta faute qui reste inacceptable.
Le Majordome s’interrompt tout d’un coup, commençant à avoir mal à la main à force de frapper et songeant aussi qu’il doit poursuivre sa tournée d’inspection.
- Debout, vermine ! Nous reprendrons cela plus tard car je vais devoir partir. Tu viendras me remercier dans mon bureau à 19h05 précises. Tâche de ne pas oublier cette fois, car deux fois serait une fois de trop…
Le Majordome se retourne vers l’accordeur qui, subjugué et excité par les coups de cravache, a à peine posé à ses pieds sa valise de travail avec tous ses instruments, préférant profiter sans bouger du spectacle cinglant et excitant.
- Voilà, Monsieur Deschamps, je vais devoir vous laisser en compagnie de cet esclave dont le dressage est vraiment à parfaire. Je pense que vous n’avez plus besoin de moi pour la suite de votre intervention. Vous sembliez intéressé par ce chien, je devrais plutôt dire cette « minable chienne » car à la voir et à l’entendre on se demande où est partie se cacher son chromosome Y, peut-être a-t-il été dévoré par ce minuscule ver de terre qui lui tient lieu d’appendice rabougri ? Alors, je vous la laisse à disposition, un petit plaisir à titre de gratification supplémentaire pour le déplacement que vous avez fait depuis Lyon. N’hésitez pas à utiliser ce vide-couilles comme il vous plaira. Cette lopette ne mérite pas mieux puisqu’elle vous a fait poireauter longuement devant les grilles du Château par le froid qu’il fait. Ce n’est pas au Dominant que vous êtes que je vais apprendre que si elle ne vous donne pas entièrement satisfaction, les punitions sont de rigueur.
- Monsieur Walter, je vous remercie vraiment de votre attention. J’ai un faible pour les petites chiennes « à queue », on peut les enfiler car elles ne demandent pas mieux. Je ne sais pas si son anus a gardé la mémoire de mon passage entre ses reins, mais quand à moi, je n’ai pas oublié l‘étroit orifice du chien-esclave que Monsieur le Marquis lui-même avait eu l’amabilité de mettre à ma disposition lors de ma dernière intervention au Château, cela doit bien remonter à deux ans maintenant.
- Oui, c’est d’ailleurs Monsieur le Marquis lui-même qui par mon entremise m’a chargé de renouveler, dans sa grande générosité, cette libéralité dont il vous permet de profiter. Il n’est pas en ce moment au Château en déplacement d’affaires, sinon, il aurait eu à cœur de venir vous saluer en personne, car il porte un grand intérêt à Son piano qui reste une pièce unique en France.
- Monsieur Walter, vous remercierez de ma part très chaleureusement Monsieur le Marquis d’Evans. J’aurai une faveur supplémentaire à requérir si ce n’est pas trop vous demander, s’il vous plait. Vous serez-t-il possible d’enlever à l’esclave pendant quelques heures sa cage de chasteté, je n’ai pas l’intention de « siffloter dans son pipeau » pour le faire jouir, soyez en certain, ce n’est pas mon genre surtout avec les femmelettes de cette sorte, mais j’aime bien pouvoir palper ces petites choses pendantes pendant que je m’affaire. Cela me permet de m’échauffer les 10 doigts, 11 je pourrai même dire, et de me mettre les mains en condition pour avoir le doigté qu’il faut avant de s’installer au piano au moment de l’accorder.
- Soit, si cela peut vous être agréable, pas de soucis, je vous l’ouvre … Vous pourrez toujours lui remettre à tout moment, si vous le souhaitez, tâchez juste de me rendre l’esclave sans l’abimer juste pour 19h00 car cette chienne devra se présenter à mon bureau pour la suite de sa punition largement méritée.
Le Majordome s’approche de fadiese MDE et sans ménagement trifouille sur sa queue encagée comme s’il s’agissait d’un objet incassable qu’il peut malmener dans tous les sens. Il prend ensuite, attaché à son trousseau de clés à sa ceinture, un passe-partout spécialement conçu pour ouvrir tous les cadenas de toutes les cages de chasteté des esclaves mâles du Château et ouvre le cadenas qui maintenait la nouille minuscule de l’esclave mâle efféminée, qui s’est amoindrie avec les années par l’effet d’une chasteté imposée quasiment en permanence pour cette chienne qui se sent plus femelle que mâle, regrettant juste de ne pas avoir un troisième trou entre les cuisses comme ses sœurs de soumission qu’il envie au plus profond de son âme.
- La bestiole, je te laisse entre les mains de Maître Domisol jusqu’à 19 heures. Tâche de lui obéir en tous points comme s’il s’agissait du Maître Vénéré en personne. Tu m’as bien compris ! Tu es la gratification que le Maître offre, un petit plaisir D/s à titre de remerciement personnel.
En signe d’acquiescement, fadiese MDE incline la tête respectueusement en prenant soin de ne pas ouvrir la bouche. Le Majordome s’éloigne, avec un petit ton ironique dans la voix ayant aperçu le regard pervers et excité qui anime déjà le réparateur de piano, dont il espère juste qu’il aura assez de conscience professionnelle pour s’acquitter au préalable de sa tâche, car c’est à ce titre qu’il a été admis dans l’enceinte du Château, et ce donc bien avant de songer à profiter de la lope-esclave qui est mise à sa disposition pour le reste de l’après-midi.
- Au revoir, Monsieur Deschamps, bon travail, prenez bien soin du piano à queue et de son unicité car Notre bien-aimé Châtelain y tient particulièrement … Et puis au revoir, Maître Domisol, bon après-midi, prenez bien du plaisir avec cette chienne « à queue » car Notre bien aimé Châtelain a tenu à vous l’offrir pour quelques heures…
Il ne s’est pas passé plus de 30 secondes depuis que Walter a fermé la porte du petit salon que Maître Domisol a déjà attrapé la laisse de fadiese MDE, tirant fermement dessus pour lui faire comprendre qu’il avait pris les choses en mains, et qu’il entendait bien agir en Maître ayant tous pouvoirs de Dominant D/s jusqu’à l’heure de son départ.
- A quatre pattes, chienne ! Je vais d’abord songer à m’occuper à soigner du mieux possible ce chef d’œuvre, sublime et rare piano et non du grossier débris qui est là, à terre, à mes pieds. Ton tour viendra ensuite. Mais pour que tu n’oublies pas ce que tu es, tu vas déjà « m’avaler » cela par le trou dont la nature t’a pourvu. Cela te mettra en condition pour la suite… Mais d’abord, j’ai envie de te dite « Flûte alors ! » ou plutôt « Flûte d’abord »… et tu vas vite comprendre pourquoi je te dis cela…
(A suivre …)
Walter, le Majordome du Château du Marquis d’Evans vient de quitter son bureau, laissant soumise Océane MDE, l’esclave-femelle du cheptel, qui lui tient lieu de secrétaire pour l’aider dans ses fonctions d’intendant, totalement frustrée n’ayant eu droit à aucun plaisir charnel et même pas aux plaisirs masochistes dont elle est si friande, car même les coups de canne que lui avait fait miroiter le Majordome pervers ont été supprimés pour cause de punition supplémentaire, la laissant retourner à ses tâches quotidiennes, en n’ayant pour seuls compagnons de sa condition servile que des papiers administratifs à traiter et son matériel bureautique, bien peu érotiques en soi… A peine, Walter est-il sorti dans le couloir que son téléphone portable qu’il garde accroché à la ceinture se met à sonner. C’est un appel qui vient de retentir en provenance de la salle de surveillance du Château. Le Majordome s’inquiète d’être dérangé de la sorte à cette heure de la journée, se disant qu’il a déjà eu fort à faire avec le premier incident de la matinée. Commençant à tempêter tout seul en tapant du pied par terre, c’est relativement tendu qu’il décroche son portable.
- Bonjour Monsieur Walter, Pardonnez-moi de devoir vous déranger, c’est Didier, le surveillant en fonction de la salle des gardes.
- Bonjour Didier, que se passe-t-il encore que vous soyez obligé de m’appeler sur mon téléphone en urgence par le canal interne? Je pense que j’ai déjà eu mon lot de soucis pour la journée. Mais il y a des jours où je me dis que tout doit aller mal ! Alors quelle est la mauvaise nouvelle ?
- Rien de grave, Monsieur Walter, rassurez-vous. C’est juste qu’un certain Monsieur Deschamps de la société « FrancePianos » se trouve à l’entrée extérieure du Château et il prétend qu’il avait rendez-vous cet après-midi. Or, il n’y a aucune intervention marquée sur mon planning et de plus cette société n’est pas référencée dans les fournisseurs du Château que je suis autorisé à laisser pénétrer dans l’enceinte pour les livraisons. Est-ce que, du coup, je dois lui ouvrir les grilles ? Je lui ai demandé de patienter pour l’instant…
- Oui, Didier, sans souci. Vous pouvez laisser entrer le véhicule et demandez-lui également d’approcher jusqu’aux bas des marches du grand escalier du perron. Il y a au moins deux ans que l’on n’a pas eu besoin de faire appel aux services de ce prestataire, c’est peut-être pour cela qu’il ne figure pas dans vos fichiers qui ont été épurés et remis à jour récemment. Par contre, je suis étonné et chagriné d’apprendre que l’information n’est pas arrivée jusqu’à vous, car cela est programmé depuis plusieurs semaines, ce me semble. C’est l’esclave-mâle « fadiese MDE » notre mélomane-instrumentiste de service qui s’est chargé d’appeler lui-même le réparateur et qui devait vous tenir informé du jour de son intervention… (Puis fulminant à voix haute) … Je crois bien qu’il va m’entendre celui-là et que la punition de ma composition que je vais lui jouer va lui siffler dans les oreilles une mélodie en totale cacophonie.
Le Majordome prend en main dans un geste instinctif sa cravache, comme s’il était déjà prêt à s’en servir sur la couenne de l’esclave fautif qui est de fait responsable de son dérangement puisque rien ne semble avoir été organisé pour l’accueil de Monsieur Deschamps qui a fait le déplacement depuis Lyon en personne, ce qui de plus va l’obliger une fois de plus à modifier son planning pour aller recevoir lui-même le dépanneur.
- Monsieur Walter, pardonnez-moi d’insister, mais comme rien n’a été programmé, je ne suis pas certain qu’il n’y ait pas des esclaves nus qui vont se trouver dans l’allée centrale, aux abords du Château, et dans les pièces du Rez-de-chaussée. Dois-je prendre les mesures nécessaires pour les faire évacuer au préalable, car vous savez combien Monsieur le Marquis d’Evans tient à ce que toutes les personnes extérieures qui ne font pas partie de Ses amis personnels et aussi de la communauté BDSM ne soient jamais en contact avec les chiens et chiennes du cheptel, pour des raisons de discrétion d’une part, et pour ne pas offenser ceux qui ne comprendraient pas nécessairement ce qui se passe à l’intérieur des murs du Domaine et ne seraient pas en mesure d’approuver les pratiques D/s ou d’imaginer la très grande magnanimité de Monsieur le Marquis qui accepte de prendre sous Son Joug les esclaves librement asservis qui ne désirent que de pouvoir être autorisé à ramper à Ses pieds.
- Didier, ne vous tourmentez pas. Ce n’est pas la première fois que Monsieur Deschamps est admis en ces Nobles murs. Même s’il ne fait pas partie des amis intimes de Monsieur le Marquis, il officie sur Lyon sous le nom de Maître Domisol. Il n’y a donc pas besoin de prendre quelques mesures préventives que ce soit, car je pense qu’il ne sera nullement offusqué d’apercevoir des esclaves mâles ou femelles vaquer à leurs occupations dans leur « tenue de service » habituelle (nu(e), avec collier et laisse, voire contraintes, plug et cage de chasteté). Sans compter qu’avec le froid qui fait dehors et la neige qui s’est remise à tomber, je doute fort qu’il y ait une seule personne qui traîne dehors en tenue d’Adam et d’Eve.
- Ah, très bien, Monsieur Walter. Je vais donc ouvrir les grilles et lui demander d’approcher avec la voiture. Y a-t-il autre chose à faire pour votre service ?
- Je vais aller moi-même accueillir cet excellent accordeur de piano dans le hall d’entrée. Mais, Didier, pendant ce temps, tâchez de joindre ce stupide chien de fadiese MDE pour qu’il me rejoigne de toute urgence dans le salon bleu. Je pense que cette tête de linotte à la minuscule cervelle de cabot qui a oublié de vous prévenir, a dû également aussi oublié le rendez-vous. Et dites-lui qu’il vaut mieux qu’il se grouille car il va comprendre de quel bois je me chauffe lorsque je suis dérangé à tort.
- Oui, Monsieur Walter, je fais le nécessaire à l’instant…
Quelques minutes plus tard, l’accordeur sonne à l’entrée de la haute et double-porte principale du Château au moment même où le Majordome arrive dans la hall d’entrée et ayant au préalable interpellé une soumise-femelle au passage pour qu’elle débarrasse de son manteau couvert de neige le visiteur, le Majordome le salue avec le meilleur accueil et l’entraîne vers la pièce où se trouve le magnifique piano à queue de collection, une véritable antiquité achetée à prix d’or dans une salle des ventes, tout en marqueterie de la maison Boulle qui est la pièce maîtresse du petit salon bleu, où Monsieur le Marquis aime parfois se retirer au calme pour trouver l’inspiration pour les magnifiques sagas dont il est l’auteur. En effet, Il lui arrive souvent d’écrire sous un air de piano, interprété par l’esclave pianiste chevronné fadiese MDE à ses côtés, ayant une préférence pour la musique de chambre, genre Johann Sebastian Bach ou Haydn, Mozart et Beethoven etc…
- Je suis désolé, Monsieur Deschamps, car nous vous avons fait attendre par ce froid à la grille d’entrée du château. Le chien-esclave fadiese MDE qui vous a contacté aurait dû prévenir de votre arrivée et même être là en personne pour vous accueillir en mes lieux et place, car n’y connaissant pas grand-chose en matière d’instruments de musique, je vais être bien incapable de vous indiquer la raison pour laquelle nous vous avons sollicité. J’ai fait quérir ce stupide cabot qui va m’entendre dès qu’il va montrer son museau.
- Ne vous tourmentez pas, Monsieur Walter. Je sais tout à fait ce que j’ai à faire et j’ai pris soin avant de me déplacer de commander les cordes qui doivent être changées. Je regrette cependant de ne pas avoir sous la main votre chien fadiese MDE, car il m’aurait aidé, enfin disons plus précisément que j’en aurai bien fait bon usage, si vous comprenez ce que je veux dire. C’est tellement un plaisir pour moi d’avoir l’occasion de venir jusqu’au célèbre Château de Monsieur le Marquis d’Evans et de voir de près Ses esclaves toujours aussi bien dressés, obéissant au doigt et à l’œil.
- « Aussi bien dressés » …. Je ne suis pas sûr que ce soit le qualificatif que j’utiliserai pour cette minable lopette à cause de qui je dois perdre mon temps, si ce n’est bien sûr le plaisir de vous tenir compagnie.
Le Majordome arrive devant la porte du salon bleu, l’ouvre pour laisser passer celui qu’il accompagne. Entrant à son tour, il aperçoit juste à côté du piano, le jeune esclave fadiese MDE agenouillé, tête baissée, encagé, les mains jointes dans le dos.
- Monsieur Deschamps, vous pouvez vous installer et commencer votre travail, mais je dois sans attendre corriger ce malappris qui n’a même pas été capable de venir vous accueillir.
Sans prendre le temps de réfléchir et même de l’interroger, Walter s’avance cravache à la main, prêt à fustiger le chien-mâle qui le voyant s’approcher s’est incliné sans même savoir ce qui se passe et pourquoi il est réprimandé, alors même qu’il était dans la salle, à l’heure dite, comme celui avait été imposé en personne par le Majordome, le jour même où ce dernier lui avait donné l’autorisation de contacter la société « FrancePianos » directement depuis le poste de son propre bureau, lui disant qu’il en informerait par la même occasion la salle des gardes. Mais Monsieur Walter qui gère beaucoup de choses dans l’immense Château, n’étant pas infaillible, a complètement oublié ce détail qui remonte à plus d’un mois. C’est donc très courroucé, ayant depuis l’événement tragique du matin les nerfs un peu à fleur de peau, qu’il s’avance pour se positionner juste au-dessus de l’esclave complètement apeuré et tremblant.
- Quant à toi, minable cabot sans cervelle, tu crois que tu es ici pour te prélasser à attendre tranquillement et bien au chaud dans le petit salon bleu. Quand je pense que tu passes une bonne partie de tes journées juste à taper sur des touches noires et blanches pour pouvoir agrémenter les soirées de Monsieur le Marquis lorsqu’il a envie d’entendre quelques airs de piano et qu’IL daigne réclamer ta présence quand il se met à l’écriture. Et si par malheur je ne me retenais pas, tu aurais la peau des fesses si rouges, que tu ne pourrais pas t’asseoir sur le petit banc devant le piano avant plusieurs jours. Et pour l’instant je n’ai aucune idée si je vais me retenir, espèce de cabot stupide… Met toi en levrette, cul bien relevé et plus vite que ça ….
Le Majordome commence à dispenser de sérieux coups de cravache sur la croupe du chien-esclave à la peau naturellement blafarde qui prend aussi sec une couleur bien plus rouge. Monsieur Deschamps le regarde faire avec un petit sourire malicieux, pas mécontent de pouvoir assister à cette petite scène D/s qui commence à l’exciter sérieusement et qui a eu pour conséquence de faire naître une bosse visible dans son pantalon à peine les premiers coups de cravache dispensés.
- Piteux chiot que tu fais ! Tu n’as même pas pensé à prévenir la salle des gardes, je me demande bien comment un chien avec une minuscule cervelle de moineau peut arriver à retenir un air de musique.
- Mais Monsieur Walter …. (une petite voix timide presque efféminée essaye de se faire entendre ….), je ….
La voix lourde et forte du Majordome coupe court à cette phrase à peine entamée, en redoublant d’intensité dans ses gestes et en augmentant la rapidité des coups qui pleuvent maintenant à un rythme effréné sur les fesses qui rougissent à vue d’oeil.
- Et en plus, tu oserais répliquer …. Et bien voilà pour t’apprendre à accepter ta punition sans répondre et qui plus est en ayant à cœur de songer à la fin à remercier la main qui prend la peine de te frapper et te permet de t’amender sur ta faute qui reste inacceptable.
Le Majordome s’interrompt tout d’un coup, commençant à avoir mal à la main à force de frapper et songeant aussi qu’il doit poursuivre sa tournée d’inspection.
- Debout, vermine ! Nous reprendrons cela plus tard car je vais devoir partir. Tu viendras me remercier dans mon bureau à 19h05 précises. Tâche de ne pas oublier cette fois, car deux fois serait une fois de trop…
Le Majordome se retourne vers l’accordeur qui, subjugué et excité par les coups de cravache, a à peine posé à ses pieds sa valise de travail avec tous ses instruments, préférant profiter sans bouger du spectacle cinglant et excitant.
- Voilà, Monsieur Deschamps, je vais devoir vous laisser en compagnie de cet esclave dont le dressage est vraiment à parfaire. Je pense que vous n’avez plus besoin de moi pour la suite de votre intervention. Vous sembliez intéressé par ce chien, je devrais plutôt dire cette « minable chienne » car à la voir et à l’entendre on se demande où est partie se cacher son chromosome Y, peut-être a-t-il été dévoré par ce minuscule ver de terre qui lui tient lieu d’appendice rabougri ? Alors, je vous la laisse à disposition, un petit plaisir à titre de gratification supplémentaire pour le déplacement que vous avez fait depuis Lyon. N’hésitez pas à utiliser ce vide-couilles comme il vous plaira. Cette lopette ne mérite pas mieux puisqu’elle vous a fait poireauter longuement devant les grilles du Château par le froid qu’il fait. Ce n’est pas au Dominant que vous êtes que je vais apprendre que si elle ne vous donne pas entièrement satisfaction, les punitions sont de rigueur.
- Monsieur Walter, je vous remercie vraiment de votre attention. J’ai un faible pour les petites chiennes « à queue », on peut les enfiler car elles ne demandent pas mieux. Je ne sais pas si son anus a gardé la mémoire de mon passage entre ses reins, mais quand à moi, je n’ai pas oublié l‘étroit orifice du chien-esclave que Monsieur le Marquis lui-même avait eu l’amabilité de mettre à ma disposition lors de ma dernière intervention au Château, cela doit bien remonter à deux ans maintenant.
- Oui, c’est d’ailleurs Monsieur le Marquis lui-même qui par mon entremise m’a chargé de renouveler, dans sa grande générosité, cette libéralité dont il vous permet de profiter. Il n’est pas en ce moment au Château en déplacement d’affaires, sinon, il aurait eu à cœur de venir vous saluer en personne, car il porte un grand intérêt à Son piano qui reste une pièce unique en France.
- Monsieur Walter, vous remercierez de ma part très chaleureusement Monsieur le Marquis d’Evans. J’aurai une faveur supplémentaire à requérir si ce n’est pas trop vous demander, s’il vous plait. Vous serez-t-il possible d’enlever à l’esclave pendant quelques heures sa cage de chasteté, je n’ai pas l’intention de « siffloter dans son pipeau » pour le faire jouir, soyez en certain, ce n’est pas mon genre surtout avec les femmelettes de cette sorte, mais j’aime bien pouvoir palper ces petites choses pendantes pendant que je m’affaire. Cela me permet de m’échauffer les 10 doigts, 11 je pourrai même dire, et de me mettre les mains en condition pour avoir le doigté qu’il faut avant de s’installer au piano au moment de l’accorder.
- Soit, si cela peut vous être agréable, pas de soucis, je vous l’ouvre … Vous pourrez toujours lui remettre à tout moment, si vous le souhaitez, tâchez juste de me rendre l’esclave sans l’abimer juste pour 19h00 car cette chienne devra se présenter à mon bureau pour la suite de sa punition largement méritée.
Le Majordome s’approche de fadiese MDE et sans ménagement trifouille sur sa queue encagée comme s’il s’agissait d’un objet incassable qu’il peut malmener dans tous les sens. Il prend ensuite, attaché à son trousseau de clés à sa ceinture, un passe-partout spécialement conçu pour ouvrir tous les cadenas de toutes les cages de chasteté des esclaves mâles du Château et ouvre le cadenas qui maintenait la nouille minuscule de l’esclave mâle efféminée, qui s’est amoindrie avec les années par l’effet d’une chasteté imposée quasiment en permanence pour cette chienne qui se sent plus femelle que mâle, regrettant juste de ne pas avoir un troisième trou entre les cuisses comme ses sœurs de soumission qu’il envie au plus profond de son âme.
- La bestiole, je te laisse entre les mains de Maître Domisol jusqu’à 19 heures. Tâche de lui obéir en tous points comme s’il s’agissait du Maître Vénéré en personne. Tu m’as bien compris ! Tu es la gratification que le Maître offre, un petit plaisir D/s à titre de remerciement personnel.
En signe d’acquiescement, fadiese MDE incline la tête respectueusement en prenant soin de ne pas ouvrir la bouche. Le Majordome s’éloigne, avec un petit ton ironique dans la voix ayant aperçu le regard pervers et excité qui anime déjà le réparateur de piano, dont il espère juste qu’il aura assez de conscience professionnelle pour s’acquitter au préalable de sa tâche, car c’est à ce titre qu’il a été admis dans l’enceinte du Château, et ce donc bien avant de songer à profiter de la lope-esclave qui est mise à sa disposition pour le reste de l’après-midi.
- Au revoir, Monsieur Deschamps, bon travail, prenez bien soin du piano à queue et de son unicité car Notre bien-aimé Châtelain y tient particulièrement … Et puis au revoir, Maître Domisol, bon après-midi, prenez bien du plaisir avec cette chienne « à queue » car Notre bien aimé Châtelain a tenu à vous l’offrir pour quelques heures…
Il ne s’est pas passé plus de 30 secondes depuis que Walter a fermé la porte du petit salon que Maître Domisol a déjà attrapé la laisse de fadiese MDE, tirant fermement dessus pour lui faire comprendre qu’il avait pris les choses en mains, et qu’il entendait bien agir en Maître ayant tous pouvoirs de Dominant D/s jusqu’à l’heure de son départ.
- A quatre pattes, chienne ! Je vais d’abord songer à m’occuper à soigner du mieux possible ce chef d’œuvre, sublime et rare piano et non du grossier débris qui est là, à terre, à mes pieds. Ton tour viendra ensuite. Mais pour que tu n’oublies pas ce que tu es, tu vas déjà « m’avaler » cela par le trou dont la nature t’a pourvu. Cela te mettra en condition pour la suite… Mais d’abord, j’ai envie de te dite « Flûte alors ! » ou plutôt « Flûte d’abord »… et tu vas vite comprendre pourquoi je te dis cela…
(A suivre …)
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