La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 396)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 396) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2015 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 396)
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré – Suite de l'épisode précédent N°395 -

Maître Domisol alors sort de sa mallette de travail une flûte à bec en plastique, comme celle dont se servent les jeunes pour apprendre la musique au collège, et il l’enfonce dans l’anus de fadiese MDE qui se tenant à quatre pattes n’a pas vu la forme de l’objet qui lui rentre dans le cul par le gros bout et lui dilate la rondelle sans préparation, ni lubrifiant. L’esclave pourtant habitué à se faire saillir régulièrement ne peut s’empêcher de se mordre les lèvres pour ne pas se contracter et risquer de gémir sous la douleur de la pénétration rapide qu’il se voit contraint de subir. Le Dominant qui tient en main le bec, qu’habituellement on garde en bouche, pousse de toutes ses forces pour pouvoir l’enfourner encore plus profondément.

- Ah te voilà bien garnie …. Une vraie chienne « à vent » ridiculement accoutrée. Cela t’apprendra à ne plus oublier de prévenir de mon arrivée, moi qui m’imaginais à tort que tu aurais eu grand plaisir à me voir en souvenir de ma dernière visite ….. Alors, vulgaire larve ! Tête au sol et creuse les reins pour faire saillir ta croupe de minus. Et tâche de ne pas profiter de ta liberté pour tenter de redresser ton zigouigoui de misère, car c’est une chienne à trous dont je vais avoir besoin, pas d’un trombone à coulisse qui a envie de s’étendre et de se faire entendre.

Même si ses fesses le brulent déjà intensément des suites des coups de cravache donnés sans ménagement par le Majordome, fadiese MDE se dit qu’il est préférable pour lui de ne pas tenter de répondre une fois de plus en cherchant à se justifier, car jamais Monsieur Walter n’aurait été en mesure d’entendre raison et de reconnaître ses propres torts pour ne pas risquer de perdre la face devant un tiers à cause d’un esclave. Et puis surtout au fond de lui, fadiese MDE n’est pas mécontent de la situation étant plutôt porté sur la soumission avec humiliation physique et verbale qui lui permet de ressentir ce qu’il est devenu, et il ne peut qu’apprécier à sa juste valeur l’après-midi qui s’annonce déjà bien excitante pour lui. D’ailleurs, il se souvient avec délice de la perversité et de l’ingéniosité de Maître Domisol à qui il avait déjà eu à faire deux ans auparavant, et il espérait bien, en ce jour aussi, être remis entre ses mains expertes au doigté fort habile de musicien expérimenté. Il rêve d’ailleurs en secret de se voir un jour fisté par une main adroite, qui se perdrait dans ses entrailles, même s’il sait que sa petite taille et sa frêle anatomie ne lui permet pas encore d’être assez élargi pour permettre l’intromission d’une poigne complète, mais il espère bien qu’avec le temps son fantasme d’absolu trouvera à se réaliser.

Sans tarder le réparateur s’attelle consciencieusement à changer les cordes basses du piano qui ont fini par céder avec l’âge, mais il ne manque pas de jeter en permanence un coup d’œil de plus en plus pervers et excité sur la lopette nue qui a toujours le derrière bien dressé, duquel émerge le bout d’une vulgaire flute en plastique fluo jaune, plantée au milieu d’un postérieur rougi qui garde encore les traces des récents coups de cravache. Monsieur Deschamps s’affaire sans perdre de temps pour pouvoir profiter plus longuement de l’esclave efféminé qu’il a envie de culbuter et de malmener rudement pour son plus grand plaisir de Dominant homosexuel de surcroît, appréciant de trouver en ce lieu une lopette prête à satisfaire le moindre de ses désirs, même parmi les plus lubriques et pervers. Ayant terminé l’installation et le réglage des nouvelles cordes vient le temps de l’accordage, Maître Domisol écarte le banc qui est installé devant le clavier et il attrape par les couilles fadiese MDE pour l’installer à la place, le tirant par ses maigres attributs pour le déplacer comme on le ferait d’un vulgaire sac de linge sale muni d’une anse.

- Mets-toi là à quatre pattes, tu vas me servir d’assise et tâche de garder le dos bien droit, je n’aime pas les fauteuils qui s’affalent, encore que je me demande si ta maigre carcasse va arriver à me supporter, car on dirait bien que tu n’as que la peau sur les os, à force de vouloir jouer à la starlette efféminée.

Le Dominant s’installe sur le banc-humain pour pouvoir monter et descendre quelques gammes. Il se redresse et s’active à faire tous les réglages nécessaires, revenant régulièrement s’installer sur le dos de fadiese MDE qui menace chaque fois de s’écrouler ayant du mal à supporter les 90 kilos du Dominant bien en chair. Le temps lui semble pesant dans tous les sens du terme, mais également très excitant, car à chaque fois que Maître Domisol vient s’assoir, il ne manque pas de jouer avec la flûte à bec, lui faisant faire des petits ronds ou des va-et-vient qui viennent détendre encore un peu plus l’anus et le rectum de fadiese MDE. L’esclave qui ne sait toujours pas par quoi il a été enculé craint malgré tout d’être déchiré lorsque l’instrument sera retiré car il sent bien qu’il ne s’agit pas d’un simple gode anal bien lisse, ressentant en son fondement les aspérités de l’engin qui l’écartèle de l’intérieur en profondeur. Ayant terminé ses réglages et rangé tout son attirail, le Dominant se rapproche de fadiese MDE toujours immobile à quatre pattes devant le piano, la tête rentrée entre les bras et la flûte à bec qui lui sort du derrière.

- A nous deux, maintenant ! Je vais me charger de « t’accorder » aussi à ma manière ! Commençons par voir combien tu sonnes faux !

Maître Domisol se penche sur l’esclave et se met à souffler dans la flûte à pleins poumons. Aucun son ne sort hormis le bruit de l’imposante expiration de l’instrumentiste bien peu académique, mais l’esclave ne peut s’empêcher de sursauter en ressentant l’air qui lui pénètre dans les entrailles, autant de surprise que de désagrément, surtout qu’il ne comprend toujours pas ce qui lui arrive.

- C’est bien pire que ce que j’imaginais, tu ne sonnes pas faux, on ne peut tirer aucun son de ce côté-là. Laissons tomber la flûte à bec et voyons voir si tu es plus doué pour les castagnettes !... Debout, les mains sur la nuque, exécution !

Tandis que l’esclave se redresse comme cela lui a été exigé, gardant la tête baissée et regardant au sol, le Dominant s’assoit sur le banc de piano en bois recouvert de cuir, et il attrape par la minuscule queue fadiese MDE pour le faire approcher tout près de lui. L’esclave efféminé, dont les taux de testostérone ont du s’amoindrir avec le peu d’activité phallique qui lui est autorisé (et que lui-même ne désire pas ou plus), a conservé malgré sa vive excitation intellectuelle et physique son sexe au repos, minuscule appendice pendant entre ses cuisses, maintenant qu’il n’est plus enfermé dans sa cage. Maître Domisol tire dessus, s’amusant à pincer fortement le gland même pas décalotté, attrapant à pleine mains les deux petites couilles ayant à peine la taille d’une très grosse noix. Il les malaxe, les presse, les secoue, les faisant se percuter l’une contre l’autre. Ne cessant de tirailler les attributs de la « chienne à queue » dans tous les sens, la petite nouille semble frémir et grossir à force d’être sollicitée. Mais la réponse ne se fait pas attendre, une main s’abat aussi sec sur le tuyau qui voulait tenter de se redresser, pour le faire plonger aussi sec.

- Qui t’a permis de bander, la lope ! Je n’ai nul besoin de voir ton dard sortir, tes trous me suffiront amplement lorsque j’en aurais fini de jouer avec tes breloques vides. J’aime sentir ta honte envahir ton visage lorsque je te rappelle que tu n’es qu’une vulgaire femelle ratée qui n’a même pas la chance d’avoir une chatte humide entre les cuisses. De toute manière, je n’aime pas les cavernes onctueuses spacieuses où l’on se perd, je préfère enfourner ma queue dans un étroit fourreau de pédé juste bon à se faire enculer.

Après de longues minutes de jeu de mains intempestifs sur le sexe et les testicules de celui qui se prête sans broncher à toutes ses manipulations excitantes et accepte les propos les plus humiliants qui lui sont adressés, Maître Domisol s’interrompt brusquement, non sans avoir fortement pincé et malmené sexe et couilles de l’esclave avant de le lâcher, profitant également de ce changement pour extraire la flute à bec qui était toujours enfoncée dans l’anus de fadiese MDE. Il la retire très délicatement, quand même, pour ne pas risquer de blesser les parois internes fragiles de celui qui lui a été gentiment confié par Monsieur le Marquis d’Evans et dont il se doit malgré tout d’être soucieux, quelques soient les jeux D/s auquel il aurait envie de le soumettre.

- Bon assez joué, tu n’es finalement pas meilleur pour les castagnettes, car les tiennes sont tellement creuses qu’elles sonnent faux. Je ne peux même pas envisager de m’en servir comme cymbales car ta baguette molle n’arriverait même à taper dessus. Alors, voyons voir si tu seras plus doué pour jouer du pipeau. Là au moins, c’est un instrument facile à utiliser, il suffit de le mettre en bouche correctement.

Maître Domisol se redresse aussi sec, appuyant fortement sur l’épaule gauche de fadiese MDE pour lui faire comprendre qu’il doit s’agenouiller. Il dégrafe la ceinture en cuir de son pantalon, baisse légèrement son boxer pour en extraire un phallus déjà bien gonflé et attrape les cheveux de l’esclave pour le mettre à la bonne hauteur.

- Ouvre la bouche, putain ! Et enfile moi cela profondément dans ta gorge. Suce bien, catain ! Je me doute que tu en as envie depuis de longues minutes.

L’esclave, qui effectivement ne demande pas mieux, ne se fait pas prier pour ouvrir la bouche, tendre les lèvres et commencer une fellation « à faire rougir les putains de la rade » comme chantait Sardou (parlant de la rade du Port de Toulon, et en particulier du quartier « Chicago » célèbre dans le monde entier, et surtout connu par tous les marins en mal de baise qui sont passés par là, car les putains y étaient amenées par dizaines pour venir tapiner dès que des gros bateaux militaires accostaient après un long séjour en mer). Ces femmes exploitées avaient bien souvent sombré dans la prostitution contre leur gré et n’avaient guère eu le choix de pouvoir se libérer de leur condition sexuelle et se soustraire au pouvoir de leur maquereau simplement intéressé par l’aspect pécuniaire du rendement de leurs bêtes de somme sexuelles. La saine D/s est tout à l’opposé de la prostitution, même si parfois dans le vocabulaire des mots comme « catin » ou « putain » sont parfois utilisés pour désigner soumis et soumises dans le feu de l’action et de l’excitation. Et cela fadiese MDE qui est un esclave-soumis librement asservi le sait très bien, comme l’ensemble des esclaves du cheptel qui sont libres de partir s’ils le souhaitent, car Monsieur le Marquis d’Evans qui est un vrai Dominant de renom n’a jamais retenu personne contre son gré. L’esclave efféminé, qui manifestait un fort désir de soumission dès son arrivée, sait qu’il a trouvé refuge au Château du Marquis d’Evans où Le Maître Vénéré a daigné l’accepter à Ses pieds et l’a pris sous Sa protection pour lui permettre d’assouvir ses fantasmes les plus secrets et de vivre sa soumission masochiste, tout en servant Le Maître à qui il est très reconnaissant de la place qu’il lui a été accordé au sein du cheptel, exprimant d’autant plus sa gratitude qu’il a également la possibilité de pouvoir s’adonner à sa passion musicale relativement souvent, ce qui ne l’empêche pas cependant de devoir comme les autres esclaves participer aux diverses tâches quotidiennes qui lui sont imposées pour la bonne tenue du domaine, dans l’intérêt du Châtelain avant tout, mais aussi de l’ensemble de tous ceux qui y vivent.

La chienne « à queue » fadiese MDE qui vivait mal dans un monde vanille sa masculinité ratée, étant souvent l’objet de moqueries, se sent heureux(ou heureuse) dans le Château, ne vivant plus que pour servir Le Maître Vénéré auquel il(elle) appartient désormais. Il se sent plutôt honoré et heureux de pouvoir faire office de bonne suceuse pour Maître Domisol. Le Dominant lui fourre la queue de plus en plus profondément, lui imprimant un rythme soutenu en poussant sur son crâne et l’arrière de la tête, ne le laissant que de temps en temps reculer pour pouvoir reprendre sa respiration avant de s’étouffer. Il le baise de la bouche avec une bestialité qui n’est pas sans déplaire au jeune esclave qui en retire un plaisir intellectuel d’être ce qu’il apprécie d’être, un simple objet passif utilisé comme un trou à remplir par un mâle phallique. Le Dominant sentant son plaisir monter se retire brusquement pour faire retomber la pression, mais sans laisser à sa queue le temps de débander. Il s’installe à genoux derrière fadiese MDE, décroise les mains que l’esclave gardait toujours derrière la nuque, et le projette vers l’avant en levrette, tête au sol. Bien décidé à profiter du petit trou de celui qui est à sa disposition pour encore de longues minutes, il l’encule avec d’autant plus de plaisirs qu’il sent que la respiration du jeune fadiese MDE s’accélère, ce qui lui donne un sentiment de puissance et de possession grandissant. Il attrape à pleine mains les hanches assez frêles et osseuses de l’esclave qu’il manipule comme on le ferait d’un pantin pour le faire glisser sur sa queue droite et raide comme un pieu coulissant dans le conduit étroit qui s’offre à la sodomie avec un plaisir homosexuel évident.

Sentant à nouveau le plaisir monter et son sperme sur le point de sortir, il se retire à contrecœur du chaud fourreau dans lequel il avait plaisir à s’empaler jusqu’à la garde. Il attrape les cheveux de l’esclave qui telle une marionnette se laisse démantibuler au gré des gestes du Dominant, et qui l’oblige à se remettre à genoux pour pouvoir le retourner et l’avoir de face. Il l’embrasse à pleine bouche, ou plus exactement, il lui fourre la langue profondément entre les lèvres pour le posséder encore et encore, n’hésitant pas à explorer toute la cavité buccale de sa langue inquisitrice. Sans le moindre mot, Maître Domisol s’installe à genoux, sur les talons, courbant alors fadiese MDE tête la première pour qu’il vienne s’embrocher sur le phallus dressé.

- Je t’aurais bien ensemencé le cul avec mon sperme, mais il n’est pas question de salir le parquet légendaire de ce merveilleux château avec ma semence, donc tu vas avoir droit de boire mon nectar parce qu’il faut bien que je fourre mon foutre quelque part. Tâche de ne pas en perdre une goutte, tu m’as fait bien bander avec ton petit trou de chienne, je crois bien que cela va gicler pas mal quand le robinet va s’ouvrir.

Maître Domisol attrape à deux mains maintenant la tête de fadiese MDE pour le faire aller et venir au rythme qu’il lui impose. Ce dernier n’a même plus assez de temps pour respirer et il se demande s’il ne va pas finir par succomber étouffé, tant les coups de butoir sur le fond de sa gorge qui lui soulève presque le cœur sont devenus rapides et puissants. Dans un grand râle de male en rut dont on pourrait se demander avec quel instrument de musique il serait possible d’en reproduire le son guttural et l’intensité poignante, le Dominant éjacule par de longs jets puissants de ce liquide âpre que l’esclave s’empresse de déglutir pour ne pas se trouver étouffé par la quantité de sperme qui lui coule dans la gorge. Maître Domisol, ayant pressé sa queue pour en faire tomber les dernières gouttes sur les lèvres et le menton de l’esclave s’allonge à même le sol pour reprendre ses esprits.

- Tâche de bien tout nettoyer maintenant, que je puisse me rhabiller proprement avant de partir.

Docilement, fadiese MDE s’installe entre les jambes du Dominant et commence à lui lécher la queue qui a fini par baisser de l’aile et s’est affalée sur le côté, toute courbée et encore gluante de sperme.

- C’est bien, tu as une bonne langue de chienne, lèche bien partout autant que tu voudras, autour de ma queue de mâle, mais aussi mon ventre, mes jambes, mes cuisses. Tu es encore à moi pour quelques instants et je veux en profiter jusqu’à la lie.

(A suivre…)

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