La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 43)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-03-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 43)
- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS-
Histoire de l'esclave leeny -
1- Destination la Martinique -
Le jour s’estompait pour laisser place à la fraîche tombée de la nuit à l’aéroport de Fort-de-France. Le climat local fut de suite apprécié par les voyageurs débarquant de l’airbus en provenance de Paris. Parmi les arrivants sur la magnifique Ile française, un groupe de 6 personnes marchaient en direction de 2 voitures attendant sur l’immense parking de transit. Ce fut l’homme en tête du groupe qui montât dans une luxueuse limousine où le chauffeur en ouvrît la porte arrière tout en ôtant sa casquette. Il venait de saluer le Marquis d’Evans. Les 5 autres personnes qui suivaient et marchaient toutes têtes baissées montèrent dans le second véhicule. Celui-ci tranchait par son aspect vétuste par rapport à la belle limousine. C’était une bétaillère.
Pour les passants, ce fût un spectacle peu commun de voir monter à l’arrière de ce fourgon à bestiaux, 2 femmes et 3 hommes, il s’agissaient pour les femelles des esclaveLaétitiaMDE et esclaveLunaMDE et pour les mâles escalve69MDE, esclave541MDE et esclave722MDE. Habillés normalement pour ne pas attirer l’attention dans l’avion, ils avaient été mal à l’aise dans leurs vêtements. Et ce fut pour cette raison qu’à peine enfermés dans la camionnette, qu’ils ôtèrent leur vêtement comme l’avait, aussi, ordonné leur Maître, le Marquis d’Evans, pour ne garder que leur collier et cage de chasteté.
Le chauffeur de la bétaillère, un homme trapu et obèse, suant et crasseux, verrouilla à double tour la porte arrière de son véhicule, puis monta au volant et fit signe au chauffeur endimanché de la limousine. Les deux véhicules démarrèrent alors et prirent la direction de la belle ville de Sainte-Luce, où se tenait le Marché annuel des esclaves de la Communauté Mondiale des Maîtres.
Confortablement installé dans le siège capitonné de la limousine, le Marquis d’Evans relisait les principaux passages de la lettre qu’il avait reçue l’invitant à ce marché peu commun :
« … Très cher Marquis d’Evans, grand Maître de France. … et aussi nous serions extrêmement honorés de votre présence lors de notre marché annuel se tenant du … au … à Sainte-Luce en Martinique …. Nous vous sommes très reconnaissant de bien vouloir venir avec quelques uns de vos esclaves, les plus représentatifs de votre cheptel, soit pour la vente soit pour les exposer afin de rendre ce marché des plus attractifs pour les nombreux acheteurs de la planète…. Veuillez agréer ….signé : Monsieur Jean-Denis de la Patterlière »
- Il faut que l’année prochaine, ce marché se passe dans la Métropole, mon Château pourrait en être le cadre idéal, il faut que j’en parle lors de la prochaine assemblée générale des Maîtres de la Communauté … se pensait le Marquis tout en délectant un somptueux cognac qu’il s’était lui-même servi au petit bar intégré de la limousine
Le trajet fût des plus agréables où le Marquis s’émerveilla de la beauté de la nature traversée, malgré la nuit tombante. Les 2 véhicules s’arrêtèrent dans la campagne luxuriante de Sainte-Luce devant une immense maison datant du siècle de la colonisation espagnole. C’était à n’en pas douter, une ancienne exploitation bananière. Un immense hangar, proche de la bâtisse principale construit dans une géométrie rectiligne ne pouvait être ignoré. Tant par sa grandeur tel un terrain de football que par sa pancarte géante de l’entrée principale : ‘’125 ème Marché d’esclaves de la Communauté Mondiale des Maîtres’’
Le chauffeur de la bétaillère fit descendre les 5 esclaves et armé d’un fouet, il les injuriait de son argot local quais incompréhensible, tout en fouettant les serfs. Ceux-ci comprirent qu’ils devaient s’approcher sans dire mot. Le chauffeur leur mis des chaînes aux pieds et aux poignets et les fit avancer en direction de l’hangar
Quand la porte de la limousine s’ouvrît, la première chose que le Marquis remarqua fut le cul bronzé bien relevé et exposé de la chienne disposée en levrette devant la portière. Immobile, on ne voyait pas sa tête touchant à même le sol mais elle était ainsi offerte au nouveau venu et le Marquis apprécia ce geste d’accueil de la part du Maître des lieux, Monsieur Jean-Denis de la Patterlière. Celui-ci qui jusque là était resté sur le perron de sa terrasse, s’approcha de la voiture pour accueillir son vieil ami et une franche accolade amicale les réunirent dans une joie non dissimulée :
- Mon cher Edouard d’Evans, ta visite est un véritable honneur à notre institution, nous sommes fiers de ta présence, merci d’être venu…
- Cher Jean-Denis, quel bonheur de te retrouver, mais (le Marquis regardait son ami) tu n’as pas pris une ride depuis l’année passée ! … Ah, je suis si enchanté de venir ici mais surtout de te revoir, mon ami … Mais dis-moi, tu as là une bien jolie esclave venue pour m’accueillir là dès ma sortie de la voiture, comment s’appelle cette chienne ?
- leeny, c’est une belle chienne racée mais elle a encore besoin d’être dressée… Elle est à vendre d’ailleurs… Si ça t’intéresse, je te ferai un véritable prix d’ami, pour toi, je te la cèderai pour rien du tout … Mais dis-moi, je vois que tu es venu avec 5 esclaves, tu comptes en vendre combien ?
- Ho ! je veux me séparer de ces deux-ci, ils ne sont pas très assidus … Le Marquis montant l’esclave69MDE et esclave722MDE. Quand aux 2 femelles et au mâle restant, je veux juste les exposer, voire les prêter mais je les garde, hors de question que je les vende
- Bah, on verra ça demain, lors du grand jour du marché… José mon chauffeur et homme à tout faire va s’occuper des tes chiens. Quand à toi, vient vite, un somptueux dîner t’attend.
Puis invitant le Marquis à entrer dans la bâtisse, il donnât une claque sur les fesses de leeny qui ne bougeait toujours pas.
- Mon ami de la Métropole t’a apparemment apprécié, chienne, pour qu’il daigne demander comment tu t’appelles. Alors ce soir et cette nuit, tu feras tout pour le satisfaire. Et pour commencer, tu lui serviras le repas. Aller oust ! files en cuisine, te préparer pour le servir
La belle soumise obtempéra sans rien dire et s’empressa de se lever et tête baissée, elle courût, ses beaux cheveux ondulés au vent, toujours aussi nue, le plus vite possible en direction d’une porte sur le côté menant à l’office. Elle entra et disparût.
La soirée et la nuit furent des plus agréables pour le Marquis d’Evans. En effet, leeny le servit durant tout le repas approchant ainsi souvent ta forte poitrine sous le menton du Noble. Les tétons durcis, ils trahissaient l’excitation de cette chienne à servir ce Maître qu’elle appréciait visiblement. Au dessert et d’un claquement de doigts, elle passât aussi sous la table pour soulager le Noble d’une fellation exquise. Elle fut aussi fouettée et le Marquis décida à l’issue de la soirée de l’emmener dans sa chambre où il usa et abusa de son corps toute la nuit de sa verge épaisse. Quand le Marquis ne bandait plus (il n’avait plus 20 ans) elle fut sodomisée plusieurs fois, attachée, et baisée par un volumineux god taillé dans le plus bel ébène.
C’est une animation extérieure des grands jours qui réveilla le Noble au petit matin. La lumière naturelle filtrant aux travers des volets de bois blanc. Regardant autour de lui, il aperçut la chienne leeny qui dormait sur la descente de lit. Elle était nue, pluguée et ses mains attachées au pied du lit, telle qu’il l’avait laissé quelques heures plus tôt une fois que le Marquis avait décidé de s’endormir. Une soudaine et matinale envie d’uriner le prit, et se levant, il réveilla leeny, l’a détacha et se dirigea vers le cabinet toilette attenant à la belle chambre.
– Allez réveille-toi chienne. Décidément, tu me plais et je crois que je vais accepter l’offre de ton Maître et t’acheter…. Je vais de suite en parler à ton Maître et te ramener avec moi dans mon château en Métropole… Quand dis-tu ?
Visiblement le Marquis avait séduit cette esclave depuis son premier regard sur elle et elle avait servit le repas et passer la nuit avec lui avec excitations et envies tellement elle avait apprécié, du premier coup d’œil discret, le charisme et le charme du Noble
- Oui … Monsieur le Marquis … achetez-moi si telle est votre Volonté … Je … je …. ferai tout ce que vous voudrez … mais emmenez-moi avec vous …
- Pourquoi, tu n’es pas heureuse avec ton Maître ?
- Si… mais … je …
- Mais je … Quoi ?
- Je… je vous aime et …
S’approchant de la cuvette, le Marquis éclatât de rire
- Ha ! Ha ! Ha ! Tu m’aimes … elle est bien bonne celle-là !! Si j’achetais toutes les chiennes qui tombent amoureuses de moi …Ha ! Ha ! Ha !
Puis il sortit sa verge pour uriner quand il entendit et vit derrière lui leeny s’approcher à 4 pattes ondulant les fesses telle une panthère sauvage et se mettre dans la baignoire située à côté de la cuvette de WC. Et ouvrir grand la bouche sans rien dire, juste en regardant d’un air envieux la queue molle du Marquis. Celui-ci compris de suite et se tourna vers la soumise et sans un mot, il se mit à pisser dans la bouche de la chienne. Le jet abondant déborda rapidement pour s’écouler sur ses épaules, son cou et ses seins, descendit sur son sexe et s’évacua par le fond de la baignoire.
- Décidément, répéta-t-il, tu me plais de plus en plus … Tu feras merveille dans mon château …
Après avoir prit son copieux petit déjeuner et s’être préparé élégamment, il se retrouva dans le grand hall d’entrée de la demeure. Il y retrouva de vieilles connaissances et les retrouvailles avec des amis venant de toute la planète furent amicales et chaleureuses. Il y avait entre-autres parmi les Maîtresses et Maîtres qu’il appréciait le plus : Le sultan de Bel-Balkes, l’américain Wislhey Adams, le chinois Youn Chiang po, la Maîtresse russe Porkabof Ellena, l’hindou Hamnibay et la brésilienne Maîtresse Buknam Mariana…
Tous étaient invités pour le marché et chacun se dirigea vers le hangar qui venait d’ouvrir ses portes. Une influence déjà importante animait le lieu. Le marché était réparti en deux zones bien distinctes.
Sur la gauche c’était la partie exposition tel un zoo humain. Et quasi sur toute sa longueur de l’immense hall, il y avait, à l’instar d’une galerie marchande, une succession de vitrines. Derrière les vitres éclairées de belles lumières, des esclaves étaient exposés nus tels des mannequins de plastique de nos commerces de prêt-à-porter. Mais à la différence que ceux exposés ici étaient nu et n’avaient comme tout vêtement que leur collier. Il y avait des vitrines, où seul une soumises était exposés, dans d’autres des couples et encore dans d’autres des ‘’troupeaux’’. Toutes les vitrines comportaient une inscription avec le noms du propriétaire et des esclaves ainsi que leur provenance. Au bout d’une trentaine de mètres, le Marquis s’arrêta devant 1 vitrine. Il reconnut esclaveLaétitiaMDE, esclaveLunaMDE et esclave541MDE. Leurs noms étaient marqués sous ce qui suit :
‘’Esclaves du Marquis d’Evans – FRANCE -’’
Laétitia et Luna étaient couchées contre la vitrine, elles étaient blotties l’une contre l’autre et visiblement très proches l’une de l’autre. Luna avait posé sa tête dans l’entre jambes de laétitia. Elles dégageaient un érotisme puissant tant elles étaient parées d’huile qui brillait d’un plus bel éclat, mais aussi embellis de fleurs multicolores sur leur tête. Quand elles aperçurent leur Maître, elles se redressaient et s’agenouillaient côte à côte, baissant la tête. Quand à e541, il était un peu à l’écart, et accroupi, les mains sur la vitre, il regardait son Maître d’un air de désespoir qu’il venait d’apercevoir. Une expression d’une grande angoisse se lisait sur son visage. Le Marquis lui sourit et l’esclave parut un peu rassuré.
e541 retrouva son angoisse aussitôt que son Maître lui tourna les talon pour traverser la grande allée dans le sens de la largeur pour se diriger vers la deuxième zone du marché. Où une pancarte indiquait simplement « Ventes ». Cette zone ne comportait aucune vitrine et ressemblait fort à un marché de bestiaux. Les stands étaient séparés par des cloisons et chacun pour admirer, toucher, se renseigner et acheter selon les finances et besoins des acheteurs internationaux et nombreux en provenance de tout le globe.. Les esclaves étaient tous présentés debout, immobiles, nus et mains attachées dans le dos, jambes écartées.
Certains acheteurs leur ouvraient la bouche pour scruter la dentition, d’autres palpaient les biceps des mâles ou les seins et sexes des femelles. Tout était fait pour rappeler les marchés d’esclaves d’une autre époque depuis longtemps révolus. Mais ici il y avait une différence de taille par rapport à cette ancienne pratique de l’esclavage d’un autre temps. Il n’y avait aucune ambiguïté avec la loi car, il est bon de rappeler que chaque esclave présent sur le marché était esclave de son plein gré et qu’aucune contrainte ne leur était imposée pour être devenus ce qu’ils étaient. Esclaves ils avaient voulu être, esclaves ils étaient devenus. Et chacun avait accepté la décision de leur Maître respectif à ce qu’il soit vendu si cela avait été la décision du Maître. L’obéissance totale était la raison d’être de leur condition tant espérée et maintenant que chacun la vivait, l’esclave se devait d’en accepter toutes les contraintes telle celle de la possibilité d’être vendu.
Le Marquis regarda le carton qu’on lui avait remis à l’entrée de l’hangar; ou il était marqué entre les lignes de politesses :
… Votre stand de vente de vos esclaves serf69 et e722 est le stand numéro 27 … »
Il regarda et suivit les numéros des stands jusqu’à arriver au N°27. La étaient exposés, l’esclave69MDE et esclave722MDE. Le Marquis remarqua que déjà deux potentiels acheteurs les palpaient, les faisaient plier le dos, tapotaient à l’aide de fines baguettes flexibles les fesses des 2 chiens. Un des 2 acheteurs, un arabe grand et aux yeux méchants, sévère était même en train d’enfoncer son pouce dans l’anus de e69. Il lui criait d’écarter encore mieux les jambes Et c’est debout mains attachées dans le dos que l’esclave obtempéra avec peine. La fouille de l’anus fut profonde et l’arabe prenait plaisir à faire manœuvrer son doigt afin de faire mal. Tout en insultant le chien de tous les noms avilissant
- Hé là l’ami, s’écria le Marquis arrivant sur le stand. Qui vous a autorisé à toucher la marchandise ?
L’arabe se retourna et à la vue du Marquis, retira d’un coup son doigt et dit d’un mauvais français :
- Ah cé vouis lé vaudeur, combien combien les deuuuuuux chiens ?
- 10 000 euros pièce. 15 000 les deux
- Et pourqué tu les vendes, y sont pas drissés ?
- Si ! ils sont dressés mais parfois, ils partent d’eux-mêmes, ils quittent le château sans prévenir mais reviennent toujours d’eux-même. J’ai beau les punir sévèrement, ils recommencent… C’est pour ça que je ne les vends pas chers…. Ils ne méritent pas plus…
- Pes cher, pes cher, … 12 000 les doeux, chest mon dernier prix…
- Mouais… disons 13 000 ! C’est bon que je veux m’en débarrasser. Et pour ce prix, si dans 8 jours vous en n’êtes pas satisfaits, vous pouvez me les renvoyer et je vous rembourserai, plus les frais de retour, ca va ?
- Cha va, taipe-la, dit l’arabe en tendant la main d’un air satisfait au Marquis.
Les modalités furent signées dans l’heure avec les closes convenues concernant l’éventuel retour au château des 2 chiens si l’acheteur souhaitait les rendre. Il avait une semaine pour le faire, après ils les garderait.
Le Marquis continua son marché et arriva devant le stand de son ami Jean-Denis de la Patterlière. Plusieurs chiennes étaient exposées et parmi elles, il y avait leeny. La tête baissée, ses beaux cheveux lui cachait son visage. On la pelotait quelques fois au bon gré des passants pervers. Mais l’ami du Marquis fit bien les choses car il avait réservé cette chienne pour le Noble avec qui il avait tantôt convenu d'un prix plus qu'amical.
Et c’est pour cela que leeny avait une pancarte accrochée autour du cou et pendante sur ses seins, où il était simplement écrit « VENDUE AU MARQUIS D’EVANS »…
Ce n’est qu’une semaine après que le Marquis décida de quitter la Martinique après s’être offert quelques jours de tourisme. Il emmena donc leeny avec lui ainsi que les autres esclaves avec lesquels il était arrivé, à l’exception donc des 2 chiens vendus.
Le voyage fut des plus agréables et c’est Walter venu en rolls qui attendait son patron à l’aéroport, à Paris, et à la descente de l’avion :
- Mon cher Walter, quelle joie de te revoir !
- Bonjour Monsieur le Marquis
- Regarde ce que je ramène, une nouvelle chienne, elle s’appelle leeny, esclaveLennyMDE, désormais !... Rien de neuf au château ?
- Si Monsieur le Marquis, une lettre arrivée ce matin pour vous, marquée ‘’URGENT’’ et j’ai cru bon de vous l’apporter, elle vient d’Arabie Saoudite…
- Merci Walter, tu as bien fait.
Le Noble ouvrit de suite la lettre, où était marqué d’un bon français, (tapée certainement par une secrétaire bilingue) entre les formules de politesses :
« --- je vous renvoie les 2 chiens achetés en Martinique, ils ne sont bons à rien, même pas bons comme reproducteurs… merci de me rembourser conformément au contrat de vente…. »
- Walter, dit calmement le Marquis, je croyais m’être débarrassé de e69 et e722. Mais ils vont nous revenir. Je vais m’en occuper sérieusement cette fois et en faire des esclaves exemplaires qui ne se sauvent pas à leur bon gré. Le Château n'est pas un moulin où on peut sortir et entrer comme ça... Quand à toi (il regarda leeny) tu vas commencer par être installée au château, dans ta niche … et j'aurai plaisir à te punir de m'avoir fait débourser quelques centaines euros pour ton achat...
(à suivre …)
Histoire de l'esclave leeny -
1- Destination la Martinique -
Le jour s’estompait pour laisser place à la fraîche tombée de la nuit à l’aéroport de Fort-de-France. Le climat local fut de suite apprécié par les voyageurs débarquant de l’airbus en provenance de Paris. Parmi les arrivants sur la magnifique Ile française, un groupe de 6 personnes marchaient en direction de 2 voitures attendant sur l’immense parking de transit. Ce fut l’homme en tête du groupe qui montât dans une luxueuse limousine où le chauffeur en ouvrît la porte arrière tout en ôtant sa casquette. Il venait de saluer le Marquis d’Evans. Les 5 autres personnes qui suivaient et marchaient toutes têtes baissées montèrent dans le second véhicule. Celui-ci tranchait par son aspect vétuste par rapport à la belle limousine. C’était une bétaillère.
Pour les passants, ce fût un spectacle peu commun de voir monter à l’arrière de ce fourgon à bestiaux, 2 femmes et 3 hommes, il s’agissaient pour les femelles des esclaveLaétitiaMDE et esclaveLunaMDE et pour les mâles escalve69MDE, esclave541MDE et esclave722MDE. Habillés normalement pour ne pas attirer l’attention dans l’avion, ils avaient été mal à l’aise dans leurs vêtements. Et ce fut pour cette raison qu’à peine enfermés dans la camionnette, qu’ils ôtèrent leur vêtement comme l’avait, aussi, ordonné leur Maître, le Marquis d’Evans, pour ne garder que leur collier et cage de chasteté.
Le chauffeur de la bétaillère, un homme trapu et obèse, suant et crasseux, verrouilla à double tour la porte arrière de son véhicule, puis monta au volant et fit signe au chauffeur endimanché de la limousine. Les deux véhicules démarrèrent alors et prirent la direction de la belle ville de Sainte-Luce, où se tenait le Marché annuel des esclaves de la Communauté Mondiale des Maîtres.
Confortablement installé dans le siège capitonné de la limousine, le Marquis d’Evans relisait les principaux passages de la lettre qu’il avait reçue l’invitant à ce marché peu commun :
« … Très cher Marquis d’Evans, grand Maître de France. … et aussi nous serions extrêmement honorés de votre présence lors de notre marché annuel se tenant du … au … à Sainte-Luce en Martinique …. Nous vous sommes très reconnaissant de bien vouloir venir avec quelques uns de vos esclaves, les plus représentatifs de votre cheptel, soit pour la vente soit pour les exposer afin de rendre ce marché des plus attractifs pour les nombreux acheteurs de la planète…. Veuillez agréer ….signé : Monsieur Jean-Denis de la Patterlière »
- Il faut que l’année prochaine, ce marché se passe dans la Métropole, mon Château pourrait en être le cadre idéal, il faut que j’en parle lors de la prochaine assemblée générale des Maîtres de la Communauté … se pensait le Marquis tout en délectant un somptueux cognac qu’il s’était lui-même servi au petit bar intégré de la limousine
Le trajet fût des plus agréables où le Marquis s’émerveilla de la beauté de la nature traversée, malgré la nuit tombante. Les 2 véhicules s’arrêtèrent dans la campagne luxuriante de Sainte-Luce devant une immense maison datant du siècle de la colonisation espagnole. C’était à n’en pas douter, une ancienne exploitation bananière. Un immense hangar, proche de la bâtisse principale construit dans une géométrie rectiligne ne pouvait être ignoré. Tant par sa grandeur tel un terrain de football que par sa pancarte géante de l’entrée principale : ‘’125 ème Marché d’esclaves de la Communauté Mondiale des Maîtres’’
Le chauffeur de la bétaillère fit descendre les 5 esclaves et armé d’un fouet, il les injuriait de son argot local quais incompréhensible, tout en fouettant les serfs. Ceux-ci comprirent qu’ils devaient s’approcher sans dire mot. Le chauffeur leur mis des chaînes aux pieds et aux poignets et les fit avancer en direction de l’hangar
Quand la porte de la limousine s’ouvrît, la première chose que le Marquis remarqua fut le cul bronzé bien relevé et exposé de la chienne disposée en levrette devant la portière. Immobile, on ne voyait pas sa tête touchant à même le sol mais elle était ainsi offerte au nouveau venu et le Marquis apprécia ce geste d’accueil de la part du Maître des lieux, Monsieur Jean-Denis de la Patterlière. Celui-ci qui jusque là était resté sur le perron de sa terrasse, s’approcha de la voiture pour accueillir son vieil ami et une franche accolade amicale les réunirent dans une joie non dissimulée :
- Mon cher Edouard d’Evans, ta visite est un véritable honneur à notre institution, nous sommes fiers de ta présence, merci d’être venu…
- Cher Jean-Denis, quel bonheur de te retrouver, mais (le Marquis regardait son ami) tu n’as pas pris une ride depuis l’année passée ! … Ah, je suis si enchanté de venir ici mais surtout de te revoir, mon ami … Mais dis-moi, tu as là une bien jolie esclave venue pour m’accueillir là dès ma sortie de la voiture, comment s’appelle cette chienne ?
- leeny, c’est une belle chienne racée mais elle a encore besoin d’être dressée… Elle est à vendre d’ailleurs… Si ça t’intéresse, je te ferai un véritable prix d’ami, pour toi, je te la cèderai pour rien du tout … Mais dis-moi, je vois que tu es venu avec 5 esclaves, tu comptes en vendre combien ?
- Ho ! je veux me séparer de ces deux-ci, ils ne sont pas très assidus … Le Marquis montant l’esclave69MDE et esclave722MDE. Quand aux 2 femelles et au mâle restant, je veux juste les exposer, voire les prêter mais je les garde, hors de question que je les vende
- Bah, on verra ça demain, lors du grand jour du marché… José mon chauffeur et homme à tout faire va s’occuper des tes chiens. Quand à toi, vient vite, un somptueux dîner t’attend.
Puis invitant le Marquis à entrer dans la bâtisse, il donnât une claque sur les fesses de leeny qui ne bougeait toujours pas.
- Mon ami de la Métropole t’a apparemment apprécié, chienne, pour qu’il daigne demander comment tu t’appelles. Alors ce soir et cette nuit, tu feras tout pour le satisfaire. Et pour commencer, tu lui serviras le repas. Aller oust ! files en cuisine, te préparer pour le servir
La belle soumise obtempéra sans rien dire et s’empressa de se lever et tête baissée, elle courût, ses beaux cheveux ondulés au vent, toujours aussi nue, le plus vite possible en direction d’une porte sur le côté menant à l’office. Elle entra et disparût.
La soirée et la nuit furent des plus agréables pour le Marquis d’Evans. En effet, leeny le servit durant tout le repas approchant ainsi souvent ta forte poitrine sous le menton du Noble. Les tétons durcis, ils trahissaient l’excitation de cette chienne à servir ce Maître qu’elle appréciait visiblement. Au dessert et d’un claquement de doigts, elle passât aussi sous la table pour soulager le Noble d’une fellation exquise. Elle fut aussi fouettée et le Marquis décida à l’issue de la soirée de l’emmener dans sa chambre où il usa et abusa de son corps toute la nuit de sa verge épaisse. Quand le Marquis ne bandait plus (il n’avait plus 20 ans) elle fut sodomisée plusieurs fois, attachée, et baisée par un volumineux god taillé dans le plus bel ébène.
C’est une animation extérieure des grands jours qui réveilla le Noble au petit matin. La lumière naturelle filtrant aux travers des volets de bois blanc. Regardant autour de lui, il aperçut la chienne leeny qui dormait sur la descente de lit. Elle était nue, pluguée et ses mains attachées au pied du lit, telle qu’il l’avait laissé quelques heures plus tôt une fois que le Marquis avait décidé de s’endormir. Une soudaine et matinale envie d’uriner le prit, et se levant, il réveilla leeny, l’a détacha et se dirigea vers le cabinet toilette attenant à la belle chambre.
– Allez réveille-toi chienne. Décidément, tu me plais et je crois que je vais accepter l’offre de ton Maître et t’acheter…. Je vais de suite en parler à ton Maître et te ramener avec moi dans mon château en Métropole… Quand dis-tu ?
Visiblement le Marquis avait séduit cette esclave depuis son premier regard sur elle et elle avait servit le repas et passer la nuit avec lui avec excitations et envies tellement elle avait apprécié, du premier coup d’œil discret, le charisme et le charme du Noble
- Oui … Monsieur le Marquis … achetez-moi si telle est votre Volonté … Je … je …. ferai tout ce que vous voudrez … mais emmenez-moi avec vous …
- Pourquoi, tu n’es pas heureuse avec ton Maître ?
- Si… mais … je …
- Mais je … Quoi ?
- Je… je vous aime et …
S’approchant de la cuvette, le Marquis éclatât de rire
- Ha ! Ha ! Ha ! Tu m’aimes … elle est bien bonne celle-là !! Si j’achetais toutes les chiennes qui tombent amoureuses de moi …Ha ! Ha ! Ha !
Puis il sortit sa verge pour uriner quand il entendit et vit derrière lui leeny s’approcher à 4 pattes ondulant les fesses telle une panthère sauvage et se mettre dans la baignoire située à côté de la cuvette de WC. Et ouvrir grand la bouche sans rien dire, juste en regardant d’un air envieux la queue molle du Marquis. Celui-ci compris de suite et se tourna vers la soumise et sans un mot, il se mit à pisser dans la bouche de la chienne. Le jet abondant déborda rapidement pour s’écouler sur ses épaules, son cou et ses seins, descendit sur son sexe et s’évacua par le fond de la baignoire.
- Décidément, répéta-t-il, tu me plais de plus en plus … Tu feras merveille dans mon château …
Après avoir prit son copieux petit déjeuner et s’être préparé élégamment, il se retrouva dans le grand hall d’entrée de la demeure. Il y retrouva de vieilles connaissances et les retrouvailles avec des amis venant de toute la planète furent amicales et chaleureuses. Il y avait entre-autres parmi les Maîtresses et Maîtres qu’il appréciait le plus : Le sultan de Bel-Balkes, l’américain Wislhey Adams, le chinois Youn Chiang po, la Maîtresse russe Porkabof Ellena, l’hindou Hamnibay et la brésilienne Maîtresse Buknam Mariana…
Tous étaient invités pour le marché et chacun se dirigea vers le hangar qui venait d’ouvrir ses portes. Une influence déjà importante animait le lieu. Le marché était réparti en deux zones bien distinctes.
Sur la gauche c’était la partie exposition tel un zoo humain. Et quasi sur toute sa longueur de l’immense hall, il y avait, à l’instar d’une galerie marchande, une succession de vitrines. Derrière les vitres éclairées de belles lumières, des esclaves étaient exposés nus tels des mannequins de plastique de nos commerces de prêt-à-porter. Mais à la différence que ceux exposés ici étaient nu et n’avaient comme tout vêtement que leur collier. Il y avait des vitrines, où seul une soumises était exposés, dans d’autres des couples et encore dans d’autres des ‘’troupeaux’’. Toutes les vitrines comportaient une inscription avec le noms du propriétaire et des esclaves ainsi que leur provenance. Au bout d’une trentaine de mètres, le Marquis s’arrêta devant 1 vitrine. Il reconnut esclaveLaétitiaMDE, esclaveLunaMDE et esclave541MDE. Leurs noms étaient marqués sous ce qui suit :
‘’Esclaves du Marquis d’Evans – FRANCE -’’
Laétitia et Luna étaient couchées contre la vitrine, elles étaient blotties l’une contre l’autre et visiblement très proches l’une de l’autre. Luna avait posé sa tête dans l’entre jambes de laétitia. Elles dégageaient un érotisme puissant tant elles étaient parées d’huile qui brillait d’un plus bel éclat, mais aussi embellis de fleurs multicolores sur leur tête. Quand elles aperçurent leur Maître, elles se redressaient et s’agenouillaient côte à côte, baissant la tête. Quand à e541, il était un peu à l’écart, et accroupi, les mains sur la vitre, il regardait son Maître d’un air de désespoir qu’il venait d’apercevoir. Une expression d’une grande angoisse se lisait sur son visage. Le Marquis lui sourit et l’esclave parut un peu rassuré.
e541 retrouva son angoisse aussitôt que son Maître lui tourna les talon pour traverser la grande allée dans le sens de la largeur pour se diriger vers la deuxième zone du marché. Où une pancarte indiquait simplement « Ventes ». Cette zone ne comportait aucune vitrine et ressemblait fort à un marché de bestiaux. Les stands étaient séparés par des cloisons et chacun pour admirer, toucher, se renseigner et acheter selon les finances et besoins des acheteurs internationaux et nombreux en provenance de tout le globe.. Les esclaves étaient tous présentés debout, immobiles, nus et mains attachées dans le dos, jambes écartées.
Certains acheteurs leur ouvraient la bouche pour scruter la dentition, d’autres palpaient les biceps des mâles ou les seins et sexes des femelles. Tout était fait pour rappeler les marchés d’esclaves d’une autre époque depuis longtemps révolus. Mais ici il y avait une différence de taille par rapport à cette ancienne pratique de l’esclavage d’un autre temps. Il n’y avait aucune ambiguïté avec la loi car, il est bon de rappeler que chaque esclave présent sur le marché était esclave de son plein gré et qu’aucune contrainte ne leur était imposée pour être devenus ce qu’ils étaient. Esclaves ils avaient voulu être, esclaves ils étaient devenus. Et chacun avait accepté la décision de leur Maître respectif à ce qu’il soit vendu si cela avait été la décision du Maître. L’obéissance totale était la raison d’être de leur condition tant espérée et maintenant que chacun la vivait, l’esclave se devait d’en accepter toutes les contraintes telle celle de la possibilité d’être vendu.
Le Marquis regarda le carton qu’on lui avait remis à l’entrée de l’hangar; ou il était marqué entre les lignes de politesses :
… Votre stand de vente de vos esclaves serf69 et e722 est le stand numéro 27 … »
Il regarda et suivit les numéros des stands jusqu’à arriver au N°27. La étaient exposés, l’esclave69MDE et esclave722MDE. Le Marquis remarqua que déjà deux potentiels acheteurs les palpaient, les faisaient plier le dos, tapotaient à l’aide de fines baguettes flexibles les fesses des 2 chiens. Un des 2 acheteurs, un arabe grand et aux yeux méchants, sévère était même en train d’enfoncer son pouce dans l’anus de e69. Il lui criait d’écarter encore mieux les jambes Et c’est debout mains attachées dans le dos que l’esclave obtempéra avec peine. La fouille de l’anus fut profonde et l’arabe prenait plaisir à faire manœuvrer son doigt afin de faire mal. Tout en insultant le chien de tous les noms avilissant
- Hé là l’ami, s’écria le Marquis arrivant sur le stand. Qui vous a autorisé à toucher la marchandise ?
L’arabe se retourna et à la vue du Marquis, retira d’un coup son doigt et dit d’un mauvais français :
- Ah cé vouis lé vaudeur, combien combien les deuuuuuux chiens ?
- 10 000 euros pièce. 15 000 les deux
- Et pourqué tu les vendes, y sont pas drissés ?
- Si ! ils sont dressés mais parfois, ils partent d’eux-mêmes, ils quittent le château sans prévenir mais reviennent toujours d’eux-même. J’ai beau les punir sévèrement, ils recommencent… C’est pour ça que je ne les vends pas chers…. Ils ne méritent pas plus…
- Pes cher, pes cher, … 12 000 les doeux, chest mon dernier prix…
- Mouais… disons 13 000 ! C’est bon que je veux m’en débarrasser. Et pour ce prix, si dans 8 jours vous en n’êtes pas satisfaits, vous pouvez me les renvoyer et je vous rembourserai, plus les frais de retour, ca va ?
- Cha va, taipe-la, dit l’arabe en tendant la main d’un air satisfait au Marquis.
Les modalités furent signées dans l’heure avec les closes convenues concernant l’éventuel retour au château des 2 chiens si l’acheteur souhaitait les rendre. Il avait une semaine pour le faire, après ils les garderait.
Le Marquis continua son marché et arriva devant le stand de son ami Jean-Denis de la Patterlière. Plusieurs chiennes étaient exposées et parmi elles, il y avait leeny. La tête baissée, ses beaux cheveux lui cachait son visage. On la pelotait quelques fois au bon gré des passants pervers. Mais l’ami du Marquis fit bien les choses car il avait réservé cette chienne pour le Noble avec qui il avait tantôt convenu d'un prix plus qu'amical.
Et c’est pour cela que leeny avait une pancarte accrochée autour du cou et pendante sur ses seins, où il était simplement écrit « VENDUE AU MARQUIS D’EVANS »…
Ce n’est qu’une semaine après que le Marquis décida de quitter la Martinique après s’être offert quelques jours de tourisme. Il emmena donc leeny avec lui ainsi que les autres esclaves avec lesquels il était arrivé, à l’exception donc des 2 chiens vendus.
Le voyage fut des plus agréables et c’est Walter venu en rolls qui attendait son patron à l’aéroport, à Paris, et à la descente de l’avion :
- Mon cher Walter, quelle joie de te revoir !
- Bonjour Monsieur le Marquis
- Regarde ce que je ramène, une nouvelle chienne, elle s’appelle leeny, esclaveLennyMDE, désormais !... Rien de neuf au château ?
- Si Monsieur le Marquis, une lettre arrivée ce matin pour vous, marquée ‘’URGENT’’ et j’ai cru bon de vous l’apporter, elle vient d’Arabie Saoudite…
- Merci Walter, tu as bien fait.
Le Noble ouvrit de suite la lettre, où était marqué d’un bon français, (tapée certainement par une secrétaire bilingue) entre les formules de politesses :
« --- je vous renvoie les 2 chiens achetés en Martinique, ils ne sont bons à rien, même pas bons comme reproducteurs… merci de me rembourser conformément au contrat de vente…. »
- Walter, dit calmement le Marquis, je croyais m’être débarrassé de e69 et e722. Mais ils vont nous revenir. Je vais m’en occuper sérieusement cette fois et en faire des esclaves exemplaires qui ne se sauvent pas à leur bon gré. Le Château n'est pas un moulin où on peut sortir et entrer comme ça... Quand à toi (il regarda leeny) tu vas commencer par être installée au château, dans ta niche … et j'aurai plaisir à te punir de m'avoir fait débourser quelques centaines euros pour ton achat...
(à suivre …)
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