La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 735)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-08-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 735)
Mary au château – Suite de l'épisode N°735 -
Monsieur Le Marquis pris congé de la conversation avec Walter où il fut question d'une mise au point sur l'avancée de la mission qu'il avait confié au Majordome. Ce dernier (même s'il avait beaucoup de respect pour son patron), n'était pas mécontent que la conversation se finisse. Il avait hâte de rejoindre Marie qui, s'il ne se trompait point, avait l'intention de s'amuser un peu avec soumise Mary qui se regardait dans la glace discrètement et était comme hypnotisée par son image de soumise. De plus, il savait que Monsieur le Marquis et le mari de la soumise allaient aussi pouvoir se délecter du spectacle qui va suivre.
En effet, tous les deux se trouvaient dans le bureau devant la glace sans tain qui leur permettait de profiter de la vue que leur offrait la belle soumise Mary. Ils pourront ainsi voir mais aussi entendre tout ce qui se dira grâce au micro caché. Seul Walter connaissait les intentions du Marquis d'Evans et se garda bien de le dire aux deux femmes pour ne pas rompre le charme de la scène. (soumise Mary n'avait pas décroché son regard de la glace et était partie une nouvelle fois dans ses rêveries, ne se sachant pas observée à la loupe). Pour le Majordome, il lui semblait que le temps fut suspendu car rien n'avait bougé depuis la conversation avec son patron. Walter rejoignit son duo féminin et d'une humeur un peu bougonne dit en s'adressant à Marie la cuisinière du Château :
- Excuse-moi, ma chère Marie, c'était Monsieur Le Marquis qui voulait savoir où j'en étais avec cette chienne. Je lui ai dit que tu m'aidais et lui ai avoué que nous nous sommes permis quelques plaisirs avec elle. Il est mécontent car le temps commence à devenir long pour lui. N'ayant pas un week-end trop chargé, il tient absolument à prendre le plus possible les rênes pour parfaire l'éducation de sa nouvelle petite chienne-soumise. Mais il comprend toutefois que nous ne soyons pas indifférents à cette femelle et que ses charmes nous fassent tourner la tête, comme il se plait à dire. Il nous permet donc de continuer à en profiter. Le retard occasionné lui permet de mettre à jour quelques papiers professionnels et de discuter de sujets divers avec Hervé, l'époux de soumise Mary.
Marie, la cuisinière, lui répondit :
- Ce n'est pas grave Walter, j'ai à peine remarqué ton absence tellement j'étais accaparée à regarder cette belle chienne en chaleur s'admirer dans la glace. Un moment d'inattention de notre part et elle est repartie dans ses rêveries. Et comme sa chatte luisante en témoigne, ce n'est surement pas pour songer à sa maison et aux montagnes de Savoie enneigées. Regarde comme elle remue le popotin et s'admire comme Narcisse s'admirait dans le reflet de l'eau…
En effet, soumise Mary entendait à peine ce que disaient les deux compères. Elle avait bien, quelques minutes avant, perçu la sonnerie du téléphone et vu furtivement Walter qui s'éloignait. Mais elle ne s'en formalisa pas pour autant, tellement occupée par son image de chienne-soumise et heureuse ce que la glace lui renvoyait. Cette pause lui permit de reposer ses genoux pas encore habitués à être autant sollicités depuis son arrivée au Château du Maître, Le Marquis d'Evans, mais aussi de relâcher un peu sa concentration. Elle tenait toujours la cravache de Marie la cuisinière, mais moins fermement pour soulager un peu ses mâchoires.
soumise Mary continua donc à se mirer et onduler de sa croupe rougie qui trahissait une excitation qui montait en elle. Elle ignorait que derrière le miroir deux admirateurs, et de plus est, Dominants, contemplaient le spectacle. D'une part, Le Marquis d'Evans, Le Maître de cette ancestrale demeure, Le Maître à qui elle a choisi d'appartenir corps et âme et de lui obéir avec humilité tout comme d'autres hommes et femmes qui vivent librement leur statut d'esclaves sous ce toit. Et d'autre part son époux Hervé qu'elle continue à aimer malgré son choix d'être soumise. Maintenant que son mari commence à accepter sa nouvelle condition, soumise Mary est persuadée que leur amour en sera plus renforcé et qu'il pourra l'aider à grandir dans la soumission (même si elle ne sait pas trop comment encore). Monsieur Le Marquis Edouard d'Evans et Hervé se régalaient de l'image que leur offrait la belle brune, en les narguant inconsciemment avec ses formes harmonieuses. Tous les deux ressentaient un trouble significatif à la vue de cette femelle si désireuse de vivre sa soumission presque au grand jour et ne demandait qu'à être aimée. Son regard parlait pour elle. Les deux hommes attendaient avec impatience de voir la suite surtout Hervé dont Le Marquis lui a fait comprendre qu'il n'allait pas être déçu et il sera encore plus convaincu que son épouse-soumise est vraiment heureuse dans sa condition et qu’il est salutaire pour elle, de lui laisser vivre sa vie de soumise autant que sa vie d’épouse ...
Tout à coup, la cuisinière perverse retira brusquement la cravache de la bouche de Mary qui eut à peine le temps de réaliser ce qui se passait alors qu'elle sentit aussitôt un coup sec sur chaque rondeur de ses fesses et la fit légèrement gémir et éveilla en même temps une certaine excitation. Instinctivement, sans savoir si c'était la bonne attitude à adopter, elle se mit en levrette, la croupe bien relevée et offerte, la tête sur le côté. Elle vit Marie à côté d'elle et aperçut son pied gauche chaussé d’une cuissarde et elle sentit son autre pied se plaquer sur sa joue et appuyer fermement tout en tirant sur la laisse pour la maintenir dans cette position... Marie lança à la cantonade comme si elle s'exprimait devant un public fictif devant une pièce de théâtre, quoique pas si fictif puisque Le Marquis d'Evans et l'époux de Mary assis dans le bureau, mais aussi Walter étaient témoin
- Quelle femelle réactive ! Deux coups de cravache et la voilà déjà descendue sur terre aussi vite que si j'aurais sifflé ma chienne pour qu'elle revienne à mes pieds. Et en plus, tu es encore plus chienne qu'elle avec ton cul levé. Cela signifierait-il que tu en demandes encore ?
Mary n'étais pas habituée réellement d'être comparée réellement à un animal. Pourtant le Maître, le lui disait qu'elle était Sa chienne, et il utilisait d'autres termes "crus" lors de leurs moments ensemble virtuels et cela quelque soit le ton employé, et qui montrait l'affection et /ou l'autorité qu'il avait sur elle, Sa propriété. Ces mots humiliants se répercutaient, s'imprégnaient dans son corps qui les acceptait comme il accepterait un vaccin. Elle ressentait, en même temps, une excitation, et aussi un bien-être mental qui lui apportait un réconfort car c'est ce qu'elle veut être : Une chienne soumise, obéissante et heureuse aux pieds du Maître Vénéré. En réel, sans écran, la belle brune voulait encore plus le prouver.
....
(A suivre …)
Monsieur Le Marquis pris congé de la conversation avec Walter où il fut question d'une mise au point sur l'avancée de la mission qu'il avait confié au Majordome. Ce dernier (même s'il avait beaucoup de respect pour son patron), n'était pas mécontent que la conversation se finisse. Il avait hâte de rejoindre Marie qui, s'il ne se trompait point, avait l'intention de s'amuser un peu avec soumise Mary qui se regardait dans la glace discrètement et était comme hypnotisée par son image de soumise. De plus, il savait que Monsieur le Marquis et le mari de la soumise allaient aussi pouvoir se délecter du spectacle qui va suivre.
En effet, tous les deux se trouvaient dans le bureau devant la glace sans tain qui leur permettait de profiter de la vue que leur offrait la belle soumise Mary. Ils pourront ainsi voir mais aussi entendre tout ce qui se dira grâce au micro caché. Seul Walter connaissait les intentions du Marquis d'Evans et se garda bien de le dire aux deux femmes pour ne pas rompre le charme de la scène. (soumise Mary n'avait pas décroché son regard de la glace et était partie une nouvelle fois dans ses rêveries, ne se sachant pas observée à la loupe). Pour le Majordome, il lui semblait que le temps fut suspendu car rien n'avait bougé depuis la conversation avec son patron. Walter rejoignit son duo féminin et d'une humeur un peu bougonne dit en s'adressant à Marie la cuisinière du Château :
- Excuse-moi, ma chère Marie, c'était Monsieur Le Marquis qui voulait savoir où j'en étais avec cette chienne. Je lui ai dit que tu m'aidais et lui ai avoué que nous nous sommes permis quelques plaisirs avec elle. Il est mécontent car le temps commence à devenir long pour lui. N'ayant pas un week-end trop chargé, il tient absolument à prendre le plus possible les rênes pour parfaire l'éducation de sa nouvelle petite chienne-soumise. Mais il comprend toutefois que nous ne soyons pas indifférents à cette femelle et que ses charmes nous fassent tourner la tête, comme il se plait à dire. Il nous permet donc de continuer à en profiter. Le retard occasionné lui permet de mettre à jour quelques papiers professionnels et de discuter de sujets divers avec Hervé, l'époux de soumise Mary.
Marie, la cuisinière, lui répondit :
- Ce n'est pas grave Walter, j'ai à peine remarqué ton absence tellement j'étais accaparée à regarder cette belle chienne en chaleur s'admirer dans la glace. Un moment d'inattention de notre part et elle est repartie dans ses rêveries. Et comme sa chatte luisante en témoigne, ce n'est surement pas pour songer à sa maison et aux montagnes de Savoie enneigées. Regarde comme elle remue le popotin et s'admire comme Narcisse s'admirait dans le reflet de l'eau…
En effet, soumise Mary entendait à peine ce que disaient les deux compères. Elle avait bien, quelques minutes avant, perçu la sonnerie du téléphone et vu furtivement Walter qui s'éloignait. Mais elle ne s'en formalisa pas pour autant, tellement occupée par son image de chienne-soumise et heureuse ce que la glace lui renvoyait. Cette pause lui permit de reposer ses genoux pas encore habitués à être autant sollicités depuis son arrivée au Château du Maître, Le Marquis d'Evans, mais aussi de relâcher un peu sa concentration. Elle tenait toujours la cravache de Marie la cuisinière, mais moins fermement pour soulager un peu ses mâchoires.
soumise Mary continua donc à se mirer et onduler de sa croupe rougie qui trahissait une excitation qui montait en elle. Elle ignorait que derrière le miroir deux admirateurs, et de plus est, Dominants, contemplaient le spectacle. D'une part, Le Marquis d'Evans, Le Maître de cette ancestrale demeure, Le Maître à qui elle a choisi d'appartenir corps et âme et de lui obéir avec humilité tout comme d'autres hommes et femmes qui vivent librement leur statut d'esclaves sous ce toit. Et d'autre part son époux Hervé qu'elle continue à aimer malgré son choix d'être soumise. Maintenant que son mari commence à accepter sa nouvelle condition, soumise Mary est persuadée que leur amour en sera plus renforcé et qu'il pourra l'aider à grandir dans la soumission (même si elle ne sait pas trop comment encore). Monsieur Le Marquis Edouard d'Evans et Hervé se régalaient de l'image que leur offrait la belle brune, en les narguant inconsciemment avec ses formes harmonieuses. Tous les deux ressentaient un trouble significatif à la vue de cette femelle si désireuse de vivre sa soumission presque au grand jour et ne demandait qu'à être aimée. Son regard parlait pour elle. Les deux hommes attendaient avec impatience de voir la suite surtout Hervé dont Le Marquis lui a fait comprendre qu'il n'allait pas être déçu et il sera encore plus convaincu que son épouse-soumise est vraiment heureuse dans sa condition et qu’il est salutaire pour elle, de lui laisser vivre sa vie de soumise autant que sa vie d’épouse ...
Tout à coup, la cuisinière perverse retira brusquement la cravache de la bouche de Mary qui eut à peine le temps de réaliser ce qui se passait alors qu'elle sentit aussitôt un coup sec sur chaque rondeur de ses fesses et la fit légèrement gémir et éveilla en même temps une certaine excitation. Instinctivement, sans savoir si c'était la bonne attitude à adopter, elle se mit en levrette, la croupe bien relevée et offerte, la tête sur le côté. Elle vit Marie à côté d'elle et aperçut son pied gauche chaussé d’une cuissarde et elle sentit son autre pied se plaquer sur sa joue et appuyer fermement tout en tirant sur la laisse pour la maintenir dans cette position... Marie lança à la cantonade comme si elle s'exprimait devant un public fictif devant une pièce de théâtre, quoique pas si fictif puisque Le Marquis d'Evans et l'époux de Mary assis dans le bureau, mais aussi Walter étaient témoin
- Quelle femelle réactive ! Deux coups de cravache et la voilà déjà descendue sur terre aussi vite que si j'aurais sifflé ma chienne pour qu'elle revienne à mes pieds. Et en plus, tu es encore plus chienne qu'elle avec ton cul levé. Cela signifierait-il que tu en demandes encore ?
Mary n'étais pas habituée réellement d'être comparée réellement à un animal. Pourtant le Maître, le lui disait qu'elle était Sa chienne, et il utilisait d'autres termes "crus" lors de leurs moments ensemble virtuels et cela quelque soit le ton employé, et qui montrait l'affection et /ou l'autorité qu'il avait sur elle, Sa propriété. Ces mots humiliants se répercutaient, s'imprégnaient dans son corps qui les acceptait comme il accepterait un vaccin. Elle ressentait, en même temps, une excitation, et aussi un bien-être mental qui lui apportait un réconfort car c'est ce qu'elle veut être : Une chienne soumise, obéissante et heureuse aux pieds du Maître Vénéré. En réel, sans écran, la belle brune voulait encore plus le prouver.
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(A suivre …)
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