La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 80)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-06-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 80)
(Histoire de sissy suite de l'épisode 78)
Sissy, titubante, trouva la force d'aller jusqu'au lit. Epuisée par les deux saillies
consécutives elle s'affala sur les draps noirs. Rose s'était dirigée vers une belle
commode louis XV, ventrue, cossue avec ses pieds courbés, elle aussi en marquéterie de
frène, pour y prendre la ceinture harnais spécialement fabriquée par le sellier du
Marquis pour Sissy. L'objet, par sa fonction, n'avait rien de très banal : Il
s'agissait d'une ceinture verrouillable permettant de maintenir différents types de
plug.
Comme pour ses chevaux, Monsieur le Marquis faisait personnaliser tout le harnachement
de ses esclaves. Comme le boulier, le harnais de Sissy portait inscrit, en cristaux de
Swarovski rose, l'inscription :"Sissy, catin de Me Cathy, Putain du Marquis d’Evans."
Sissy repartirait avec son "trousseau", ce serait là le cadeau de baptême que le
Marquis ferait à sa chère amie Cathy.
S'approchant du lit Rose s'adressa à Sissy :
- "Tends-moi ton joli petit cul, il ne faudrait pas qu'il se rétracte et oublie sa
fonction première".
Presque endormie, comateuse Sissy obéit, soulevant ses fesses. Rose lui passa la
ceinture autour de la taille, puis fit glisser la sangle entre ses cuisses. Comme
l'avait prescrit Marie elle s'était munie du plug N°3, c'est-à-dire de diamètre 3
centimètres à l'anus. Elle le plaça sur son anneau de maintien et l'enfonça dans le
cul de Sissy. Trop fatiguée celle-ci eut à peine un soubressaut.
Rapidement Rose ajusta le dispositif de fermeture et verrouilla le tout. Le cadenas
était en acier brossé rose, il portait sur une face les armoiries de Monsieur le
Marquis et sur l'autre celles de Maîtresse Cathy. Rose alla déposer la clé sur le
guéridon puis quitta la pièce, Sissy dormait déjà …
Sissy était profondément assoupie lorsque, une heure plus tard, Rose, suivit de e46 et
e47 entra dans la pièce. Rose prit place dans le Voltaire alors que les deux esclaves,
transportait Sissy qui se réveillait et l'installait sur le "Prie-Dieu". Ils la
basculèrent en avant, lui passèrent les mains dans les deux orifices du carcan puis
écartèrent ses cuisses afin de lui attacher les chevilles.
Pour la seconde fois déjà depuis son arrivée au château Sissy, en levrette, offrait
son cul.
Rose se leva et, prenant la clé qu'elle avait laissée sur le guéridon, libéra Sissy de
son harnais et de son plug. Un long filet du sperme mélangé de e44 et e45 ruissela le
long des cuisses de Sissy...
Elle revint se placer dans le Voltaire, face à Sissy qui avait maintenant les yeux
ouverts. Elle prit son menton entre ses deux mains, e46 était en place, sexe gonflé,
dressé, dur. D'un battement de paupière Rose indiqua à l'esclave qu'il pouvait
procéder à la saillie.
e46 approcha son gland de la rondelle encore dilatée par le port du plug, il se
positionna, se cala, mit ses mains sur les hanches de la chienne offerte et d'un coup
lui enfila toute la longueur de son sexe.
Une nouvelle fois la pièce qui allait abriter l'éducation de Sissy retentit du son de
son gémissement sourd. Elle sentait son cul à nouveau forcé, rempli à l'excès par un
membre de bonne taille. Impuissante, le souffle presque coupé elle sentit les douces
mains de Rose qui remontait son menton. Leurs yeux se croisèrent, ceux de Rose,
pétillant malgré l'heure avancée de la nuit, et ceux de Sissy, embués de larmes.
- "Sissy" interrogea-t-elle avec une grande douceur "Qui es-tu ? Que dit-on ?"
Sissy respira et dans un souffle réussit à dire :
-"Je suis la putain de Sir Édouard Monsieur le Marquis d'Evans".
e46 s'était retiré en même temps que Sissy parlait. A peine avait-elle finit la
"profession de foi" que le sexe gonflé et raide de e46 s'enfonçait une seconde fois
jusqu'à la garde, butant contre les fesses de Sissy qui gémit.
- "Je suis la putain de Sir Édouard Monsieur le Marquis d'Evans". Prononça Sissy sans
même que Rose n'ait à le demander.
e46 se retire une troisième fois pour mieux revenir et s'enfoncer d'un coup de butoir
dans la croupe exposée sans défense …
- "Je suis la putain de Sir Édouard Monsieur le Marquis d'Evans".réussit à dire Sissy
dans un nouveau souffle.
Rose retourna le sablier. "C'est bien Sissy" dit-elle en indiquant à e46 qu'il pouvait
donner libre cours à sa fougue. Sissy regardait le sablier. Secouée par le rythme
infernal de l'esclave reproducteur, elle essayait de lâcher prise pour que son corps
se détende, pour que son cul s'ouvre et se fasse vagin …
Cinq minutes … cinq minutes d'un ‘’viol’’ méthodique du cul de la chienne, cinq
longues minutes d'une saillie virile, d'un assaut implacable du mâle reproducteur.
Sissy perdait totalement pied. Au delà de la douleur qui finalement était passé au
second plan son esprit réalisait qu'elle avait perdu toute identité, toute dignité
pour ne plus être qu'un objet de luxure.
Le sablier se vida, immédiatement suivit de e46. Rose fit glisser une troisième boule
vers la droite. e47 se mit en position, s'enfonça avec la même ardeur que ses
congénères e44, e45 et e46. Sissy gémit encore, presqu'un râle, elle prononça à
nouveau trois fois "Je suis la putain de Sir Édouard Monsieur le Marquis d'Evans",
Rose retourna le beau sablier d'argent. Par gravité les petits grains de sable du 4°
sablier se faufilèrent les uns après les autres vers le bas.
Cinq minutes plus tard, une nouvelle fois le sablier, l'esclave et Rose témoignèrent à
Sissy la volonté implacable de Monsieur le Marquis : "Putain ta Maîtresse te veut,
putain tu seras, à jamais !". Rose soigna à nouveau le trou de Sissy qui ne disait
plus rien et réagissait à peine. Elle le replugua, l'accompagna jusqu'au lit... A six
heures du matin Rose entra à nouveau "chez" Sissy.
- "Sissy ! Il te faut te laver et te préparer, Monsieur le Marquis te recevra dans
deux heures.
Abrutie par cette première nuit Sissy, aidée de Rose se dirigea vers le cabinet de
toilettes. Elle passa devant le guéridon … 8 petites boules noires étaient passées du
côté droit ...
(à suivre …)
Sissy, titubante, trouva la force d'aller jusqu'au lit. Epuisée par les deux saillies
consécutives elle s'affala sur les draps noirs. Rose s'était dirigée vers une belle
commode louis XV, ventrue, cossue avec ses pieds courbés, elle aussi en marquéterie de
frène, pour y prendre la ceinture harnais spécialement fabriquée par le sellier du
Marquis pour Sissy. L'objet, par sa fonction, n'avait rien de très banal : Il
s'agissait d'une ceinture verrouillable permettant de maintenir différents types de
plug.
Comme pour ses chevaux, Monsieur le Marquis faisait personnaliser tout le harnachement
de ses esclaves. Comme le boulier, le harnais de Sissy portait inscrit, en cristaux de
Swarovski rose, l'inscription :"Sissy, catin de Me Cathy, Putain du Marquis d’Evans."
Sissy repartirait avec son "trousseau", ce serait là le cadeau de baptême que le
Marquis ferait à sa chère amie Cathy.
S'approchant du lit Rose s'adressa à Sissy :
- "Tends-moi ton joli petit cul, il ne faudrait pas qu'il se rétracte et oublie sa
fonction première".
Presque endormie, comateuse Sissy obéit, soulevant ses fesses. Rose lui passa la
ceinture autour de la taille, puis fit glisser la sangle entre ses cuisses. Comme
l'avait prescrit Marie elle s'était munie du plug N°3, c'est-à-dire de diamètre 3
centimètres à l'anus. Elle le plaça sur son anneau de maintien et l'enfonça dans le
cul de Sissy. Trop fatiguée celle-ci eut à peine un soubressaut.
Rapidement Rose ajusta le dispositif de fermeture et verrouilla le tout. Le cadenas
était en acier brossé rose, il portait sur une face les armoiries de Monsieur le
Marquis et sur l'autre celles de Maîtresse Cathy. Rose alla déposer la clé sur le
guéridon puis quitta la pièce, Sissy dormait déjà …
Sissy était profondément assoupie lorsque, une heure plus tard, Rose, suivit de e46 et
e47 entra dans la pièce. Rose prit place dans le Voltaire alors que les deux esclaves,
transportait Sissy qui se réveillait et l'installait sur le "Prie-Dieu". Ils la
basculèrent en avant, lui passèrent les mains dans les deux orifices du carcan puis
écartèrent ses cuisses afin de lui attacher les chevilles.
Pour la seconde fois déjà depuis son arrivée au château Sissy, en levrette, offrait
son cul.
Rose se leva et, prenant la clé qu'elle avait laissée sur le guéridon, libéra Sissy de
son harnais et de son plug. Un long filet du sperme mélangé de e44 et e45 ruissela le
long des cuisses de Sissy...
Elle revint se placer dans le Voltaire, face à Sissy qui avait maintenant les yeux
ouverts. Elle prit son menton entre ses deux mains, e46 était en place, sexe gonflé,
dressé, dur. D'un battement de paupière Rose indiqua à l'esclave qu'il pouvait
procéder à la saillie.
e46 approcha son gland de la rondelle encore dilatée par le port du plug, il se
positionna, se cala, mit ses mains sur les hanches de la chienne offerte et d'un coup
lui enfila toute la longueur de son sexe.
Une nouvelle fois la pièce qui allait abriter l'éducation de Sissy retentit du son de
son gémissement sourd. Elle sentait son cul à nouveau forcé, rempli à l'excès par un
membre de bonne taille. Impuissante, le souffle presque coupé elle sentit les douces
mains de Rose qui remontait son menton. Leurs yeux se croisèrent, ceux de Rose,
pétillant malgré l'heure avancée de la nuit, et ceux de Sissy, embués de larmes.
- "Sissy" interrogea-t-elle avec une grande douceur "Qui es-tu ? Que dit-on ?"
Sissy respira et dans un souffle réussit à dire :
-"Je suis la putain de Sir Édouard Monsieur le Marquis d'Evans".
e46 s'était retiré en même temps que Sissy parlait. A peine avait-elle finit la
"profession de foi" que le sexe gonflé et raide de e46 s'enfonçait une seconde fois
jusqu'à la garde, butant contre les fesses de Sissy qui gémit.
- "Je suis la putain de Sir Édouard Monsieur le Marquis d'Evans". Prononça Sissy sans
même que Rose n'ait à le demander.
e46 se retire une troisième fois pour mieux revenir et s'enfoncer d'un coup de butoir
dans la croupe exposée sans défense …
- "Je suis la putain de Sir Édouard Monsieur le Marquis d'Evans".réussit à dire Sissy
dans un nouveau souffle.
Rose retourna le sablier. "C'est bien Sissy" dit-elle en indiquant à e46 qu'il pouvait
donner libre cours à sa fougue. Sissy regardait le sablier. Secouée par le rythme
infernal de l'esclave reproducteur, elle essayait de lâcher prise pour que son corps
se détende, pour que son cul s'ouvre et se fasse vagin …
Cinq minutes … cinq minutes d'un ‘’viol’’ méthodique du cul de la chienne, cinq
longues minutes d'une saillie virile, d'un assaut implacable du mâle reproducteur.
Sissy perdait totalement pied. Au delà de la douleur qui finalement était passé au
second plan son esprit réalisait qu'elle avait perdu toute identité, toute dignité
pour ne plus être qu'un objet de luxure.
Le sablier se vida, immédiatement suivit de e46. Rose fit glisser une troisième boule
vers la droite. e47 se mit en position, s'enfonça avec la même ardeur que ses
congénères e44, e45 et e46. Sissy gémit encore, presqu'un râle, elle prononça à
nouveau trois fois "Je suis la putain de Sir Édouard Monsieur le Marquis d'Evans",
Rose retourna le beau sablier d'argent. Par gravité les petits grains de sable du 4°
sablier se faufilèrent les uns après les autres vers le bas.
Cinq minutes plus tard, une nouvelle fois le sablier, l'esclave et Rose témoignèrent à
Sissy la volonté implacable de Monsieur le Marquis : "Putain ta Maîtresse te veut,
putain tu seras, à jamais !". Rose soigna à nouveau le trou de Sissy qui ne disait
plus rien et réagissait à peine. Elle le replugua, l'accompagna jusqu'au lit... A six
heures du matin Rose entra à nouveau "chez" Sissy.
- "Sissy ! Il te faut te laver et te préparer, Monsieur le Marquis te recevra dans
deux heures.
Abrutie par cette première nuit Sissy, aidée de Rose se dirigea vers le cabinet de
toilettes. Elle passa devant le guéridon … 8 petites boules noires étaient passées du
côté droit ...
(à suivre …)
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