La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 83)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode 83)
(Histoire de sissy suite de l'épisode 81)
Dans le Petit Bureau, Sissy sentit monter une brève nausée, sans doute était-ce le diffuseur du docteur Charles-Antoine. Elle savait bien que tout ce qui allait suivre s'accompagnerait de moments difficiles mais depuis plusieurs années déjà elle remerciait intérieurement sa Vénérée Cathy d'avoir compris sa vraie nature et d'accompagner son "chemin" par sa douce et subtile détermination.
Sir Édouard s'était emparé d'un petit pot posé sur son bureau, il enfila rapidement un gant de latex puis revint vers Sissy :
-"Cambre-toi petite putain, épaules contre terre".
Sissy s'exécuta, enfouissant son visage dans la douceur du cachemire. Elle sentit le Marquis lui retirer le plug d'apparat puis, immédiatement des doigts qui s'insinuaient en elle. A la sensation de fraîcheur qu'accompagnait la pénétration elle devina que Sir Édouard lui appliquait quelque crème ou onguent. Très vite elle sentit le plug revenir en elle. Le Marquis retourna à son bureau, posa le pot, repris sa cravache et revint vers Sissy.
-"Debout chienne !"
Sissy, engourdie et endolorie, se leva gauchement. Sir Édouard pris l'extrémité de la laisse.
-"Ouvres la bouche", Il mit la laisse entre les dents de Sissy. "Refermes, et ne la laisse pas tomber ! Tu ne croyais tout de même pas que j'allais te faire l'honneur de te tenir moi-même en laisse. Le moment viendra, lorsque je serai fier de toi et que ta Maîtresse viendra te reprendre. Pour l'instant, à chaque fois que nous aurons à être ensemble je te veux deux pas derrière moi, laisse en bouche. Si je m'arrête tu te couches, si je repars tu me suis. As-tu compris petite putain de chienne ?"-"Oui Monsieur le Marquis, j'ai compris"-"Suis moi, tu vas être présentée à quelque uns de mes proches et à mes gens"
Sans se retourner Sir Édouard Evans se dirigea vers la porte et sortit. Sissy, deux pas derrière, suivait laisse en bouche. Elle sentait le doux effleurement de la tresse blonde du plug qui au rythme de ses pas balayait le bas de ses cuisses. Ses pensées volèrent vers sa Douce Cathy, étrangement c'était des pensées de gratitude …
Le Marquis d’Evans longeait un long couloir dans lequel étaient accrochés de nombreux tableaux familiaux : Tous les Marquis d'Evans étaient là. Ils avaient tous pris la pose devant les plus grands peintres de leur époque respective, de l'origine de la lignée dès 1625 jusqu'à feu Monsieur le père de Sir Édouard. Quant au tableau du Maître des lieux actuel, il sera exposé dans ce même couloir à la suite des autres toiles à la mort de celui-ci. Le tableau de Sir Edouard étant déjà réalisé voici déjà quelques années. Mais le Noble, évidemment, espérait qu’on sorte ce tableau entreposé au grenier le plus tard possible. Le Marquis d’Evans songea alors une nouvelle fois à la promesse faite à son père : Il devrait prendre femme et assurer la descendance avant d'avoir la cinquantaine ... Le temps filait. Il pensa au Bal Masqué … tout ce que la Noblesse de la région comptait de belles femmes en âge de convoler serait là...
Ils arrivèrent à un palier donnant sur un vaste escalier de pierres descendant vers un immense hall baigné de la lumière du jour. Sissy, toujours curieuse, mais surtout impressionnée par la beauté des lieux remarqua la très élégante petite table Bouillotte, en merisier et plateau de marbre Carrare sur laquelle était posée une pendule en marbre blanc surmonté d'un sujet en bronze, une femme alanguie. Les aiguilles indiquaient 8 h 30 …
Sir Édouard Evans commençait à descendre les marches. Sissy remarqua pour la première fois l'élégance de sa tenue et l'aisance naturelle qui se dégageait du charisme du Marquis. Chaussé de hautes bottes de cuir fauve, il portait une culotte d'équitation brun-chameau et une veste cintrée noire. Tapotant négligemment sa jambe gauche avec le bout de la cravache qui avait marqué les épaules et les fesses de Sissy, Le Marquis d’Evans posait ses pieds sans le moindre bruit sur chaque marche, très droit, altier.
La démarche d’un grand Seigneur, démarche noble sans à-coup. Sissy appréciait à ce moment-là toute le fort charisme du personnage.
Traversant l'immense hall carrelé, il accéda au perron, Sissy toujours à deux pas derrière lui. C'était un double perron bordé de balustres en forme de goutte d'huile.
Sir Édouard avança jusqu'aux balustres, Sissy se trouva alors au centre, en pleine lumière. Elle découvrit alors la scène et ne pu s'empêcher de baisser les yeux. La honte l'enveloppait et la faisait frissonner … tous ces yeux tournés vers elle, Sissy quasiment nue simplement harnachée du dispositif de chasteté et munie du plug portant la jolie tresse de crins blonds...
Comme s'il avait des yeux dans le dos, le Marquis dit alors :
-"Relèves la tête Sissy que mes gens voient tes yeux ! Et dis leur qui tu es !
La gorge nouée, le regard perdu Sissy n'arrivait pas à prononcer le moindre mot.
-"Eh bien petite traînée, est-ce si difficile d'affronter sa condition ?
Le coup de cravache atteint Sissy sur le haut de la cuisse la faisant se plier de douleur.
-" Me feras-tu attendre encore longtemps petite putain ?
Sissy rouvrit les yeux qu'elle avait fermés sous la brûlure du coup de cravache.
Il y avait devant elle, deux mètres plus bas, bien alignés sur les graviers de l'esplanade, au moins trente personnes. A droite le groupe des hommes en pantalons et vestes noirs, à gauche le groupe des femmes, en robe noire et tablier blanc. Au milieu, entres les deux groupes de domestiques, un homme en tenue de chasse avec, à ses pieds une magnifique femme rousse et à ses côtés une espèce de géant beau comme un Apollon. Un grand tapis qui lui sembla être un Tabriz était disposé là. A sa gauche, en haut de la volée de marche se tenaient trois personnes qu'elle n'avait jamais vu.
Un homme, jeune et bien mis, une belle femme d'une quarantaine d'année aux pommettes hautes et fermes qui adoucissaient à peine un regard dur et froid et une autre belle femme mais celle-ci était nue, une tresse d'un blanc immaculé pendant entre ses cuisses fuselées. A la droite du perron, elle avait reconnu Rose qui, lui avait-il semblé, lui avait adressé un petit sourire d'encouragement. Walter le majordome était là aussi sévère, une autre femme nue, très belle, elle aussi se tenait à ses côtés, la tresse qui pendait entre ses cuisses était d'un noir de jais.
Péniblement Sissy ouvrit la bouche laissant échapper la laisse.
-"Je … je suis...je suis Sissy, la putain de Monsieur le Marquis... de...de Sir...de Sir Édouard Marquis d'Evans"-"Eh bien dit le Marquis il te reste encore un peu de dignité pour concevoir de la honte … nous arrangerons cela. C'est sur ce perron que tu accueilleras ta Maîtresse pour les fêtes de ta renaissance… Mes amis, reprit-il en s'adressant à ses gens, "Voici Sissy, elle sera parmi nous pour quarante jours. Elle appartient à une chère amie qui nous demande de la façonner. Vous la considérerez comme l'un de mes esclaves et comme l'un des plus précieux objets du domaine car ce qui appartient à mes amis sont biens plus précieux que les miens…"Walter ?"-"Oui Monsieur le Marquis ?"-"Menez cette chienne à Raymond"-"Oui, tout de suite, Monsieur le Marquis"
Se saisissant alors de la laisse, Walter entraîna Sissy vers les marches. Passant devant David et Marie (Sissy ignorait encore leur nom et fonctions), elle entendit l'homme lui dire, un sourire carnassier aux lèvres
- "Bienvenu chez nous ma toute belle".
A la suite de Walter elle descendit les marches et le suivit jusqu'au centre, aux côtés de l'homme qui tenait en laisse la belle esclave rousse. Un silence de cathédrale régnait sur l'esplanade, tous les domestiques regardaient Sissy.
-Mets toi sur le tapis, à quatre pattes, face au perron !" lui dit sévèrement Walter
Sissy s'exécuta. Moins de 24 heures après avoir quitté Nantes et sa Douce Cathy elle était là, nue, en levrette, au milieu d'une trentaine de personnes, une tresse de crins blonds pendant entre ses cuisses. Elle avait été saillie et remplie de foutre à huit reprises lors de la nuit. Elle eu la force de lever les yeux : là-haut, sur le perron, Le Marquis d’Evans contemplait la scène avec un sourire de satisfaction.
A sa droite l'homme qui avait murmuré à son passage souriait aussi, à sa gauche la grande et belle femme ne souriait pas, son regard sondait Sissy. Rose était à ses côtés, rayonnante dans son corset rouge. Les deux femmes nues étaient là aussi et regardaient. Dans leurs yeux, Sissy crut lire comme un signe de solidarité, comme si elles partageaient un peu son sort … Cela lui fit monter les larmes aux yeux, pas de douleur, pas de peur... mais de l’émotion pure. Elle ferma à nouveau les yeux cherchant dans sa tête le doux visage de son aimée.
Le Marquis frappa dans ses mains...
Raymond plaça la belle esclave rousse à côté de Sissy, elle aussi, en levrette, face au perron. L'esclave feulait comme une femelle en rut. Elle lui chuchota "Je n'en peux plus d'attendre à cause de toi salope…"
La volumineuse érection du beau géant semblait avoir encore augmenté. Raymond le fit placer à genoux derrière la croupe de la rousse :"Tu attends mon ordre" dit-il. Excité par les effluves de la préparation du docteur Charles-Antoine, l'esclave sentait son sexe devenir dure comme de l'ébène.
Enfin Raymond alla chercher e44 et e45 et les plaça derrière Sissy et lui retira son plug. Instantanément les phéromones que Sissy émettait aussi agirent sur les deux esclaves reproducteurs …
Le Marquis frappa une nouvelle fois dans ses mains.
De nulle par et de partout s'éleva le son d'un orchestre de chambre. L'esplanade et une grande partie des jardins disposaient d'une sonorisation discrètement implantée dans les massifs.
Sissy reconnu immédiatement Vivaldi, l'ouverture des Quatre Saisons … tous ses sens lui disaient la rareté et l'exception du moment ... Décidément Le Marquis d’Evans n’omettait aucun détail.
Elle sentit son anus s'ouvrir et se dilater … son corps réclamait...
(à suivre ...)
Dans le Petit Bureau, Sissy sentit monter une brève nausée, sans doute était-ce le diffuseur du docteur Charles-Antoine. Elle savait bien que tout ce qui allait suivre s'accompagnerait de moments difficiles mais depuis plusieurs années déjà elle remerciait intérieurement sa Vénérée Cathy d'avoir compris sa vraie nature et d'accompagner son "chemin" par sa douce et subtile détermination.
Sir Édouard s'était emparé d'un petit pot posé sur son bureau, il enfila rapidement un gant de latex puis revint vers Sissy :
-"Cambre-toi petite putain, épaules contre terre".
Sissy s'exécuta, enfouissant son visage dans la douceur du cachemire. Elle sentit le Marquis lui retirer le plug d'apparat puis, immédiatement des doigts qui s'insinuaient en elle. A la sensation de fraîcheur qu'accompagnait la pénétration elle devina que Sir Édouard lui appliquait quelque crème ou onguent. Très vite elle sentit le plug revenir en elle. Le Marquis retourna à son bureau, posa le pot, repris sa cravache et revint vers Sissy.
-"Debout chienne !"
Sissy, engourdie et endolorie, se leva gauchement. Sir Édouard pris l'extrémité de la laisse.
-"Ouvres la bouche", Il mit la laisse entre les dents de Sissy. "Refermes, et ne la laisse pas tomber ! Tu ne croyais tout de même pas que j'allais te faire l'honneur de te tenir moi-même en laisse. Le moment viendra, lorsque je serai fier de toi et que ta Maîtresse viendra te reprendre. Pour l'instant, à chaque fois que nous aurons à être ensemble je te veux deux pas derrière moi, laisse en bouche. Si je m'arrête tu te couches, si je repars tu me suis. As-tu compris petite putain de chienne ?"-"Oui Monsieur le Marquis, j'ai compris"-"Suis moi, tu vas être présentée à quelque uns de mes proches et à mes gens"
Sans se retourner Sir Édouard Evans se dirigea vers la porte et sortit. Sissy, deux pas derrière, suivait laisse en bouche. Elle sentait le doux effleurement de la tresse blonde du plug qui au rythme de ses pas balayait le bas de ses cuisses. Ses pensées volèrent vers sa Douce Cathy, étrangement c'était des pensées de gratitude …
Le Marquis d’Evans longeait un long couloir dans lequel étaient accrochés de nombreux tableaux familiaux : Tous les Marquis d'Evans étaient là. Ils avaient tous pris la pose devant les plus grands peintres de leur époque respective, de l'origine de la lignée dès 1625 jusqu'à feu Monsieur le père de Sir Édouard. Quant au tableau du Maître des lieux actuel, il sera exposé dans ce même couloir à la suite des autres toiles à la mort de celui-ci. Le tableau de Sir Edouard étant déjà réalisé voici déjà quelques années. Mais le Noble, évidemment, espérait qu’on sorte ce tableau entreposé au grenier le plus tard possible. Le Marquis d’Evans songea alors une nouvelle fois à la promesse faite à son père : Il devrait prendre femme et assurer la descendance avant d'avoir la cinquantaine ... Le temps filait. Il pensa au Bal Masqué … tout ce que la Noblesse de la région comptait de belles femmes en âge de convoler serait là...
Ils arrivèrent à un palier donnant sur un vaste escalier de pierres descendant vers un immense hall baigné de la lumière du jour. Sissy, toujours curieuse, mais surtout impressionnée par la beauté des lieux remarqua la très élégante petite table Bouillotte, en merisier et plateau de marbre Carrare sur laquelle était posée une pendule en marbre blanc surmonté d'un sujet en bronze, une femme alanguie. Les aiguilles indiquaient 8 h 30 …
Sir Édouard Evans commençait à descendre les marches. Sissy remarqua pour la première fois l'élégance de sa tenue et l'aisance naturelle qui se dégageait du charisme du Marquis. Chaussé de hautes bottes de cuir fauve, il portait une culotte d'équitation brun-chameau et une veste cintrée noire. Tapotant négligemment sa jambe gauche avec le bout de la cravache qui avait marqué les épaules et les fesses de Sissy, Le Marquis d’Evans posait ses pieds sans le moindre bruit sur chaque marche, très droit, altier.
La démarche d’un grand Seigneur, démarche noble sans à-coup. Sissy appréciait à ce moment-là toute le fort charisme du personnage.
Traversant l'immense hall carrelé, il accéda au perron, Sissy toujours à deux pas derrière lui. C'était un double perron bordé de balustres en forme de goutte d'huile.
Sir Édouard avança jusqu'aux balustres, Sissy se trouva alors au centre, en pleine lumière. Elle découvrit alors la scène et ne pu s'empêcher de baisser les yeux. La honte l'enveloppait et la faisait frissonner … tous ces yeux tournés vers elle, Sissy quasiment nue simplement harnachée du dispositif de chasteté et munie du plug portant la jolie tresse de crins blonds...
Comme s'il avait des yeux dans le dos, le Marquis dit alors :
-"Relèves la tête Sissy que mes gens voient tes yeux ! Et dis leur qui tu es !
La gorge nouée, le regard perdu Sissy n'arrivait pas à prononcer le moindre mot.
-"Eh bien petite traînée, est-ce si difficile d'affronter sa condition ?
Le coup de cravache atteint Sissy sur le haut de la cuisse la faisant se plier de douleur.
-" Me feras-tu attendre encore longtemps petite putain ?
Sissy rouvrit les yeux qu'elle avait fermés sous la brûlure du coup de cravache.
Il y avait devant elle, deux mètres plus bas, bien alignés sur les graviers de l'esplanade, au moins trente personnes. A droite le groupe des hommes en pantalons et vestes noirs, à gauche le groupe des femmes, en robe noire et tablier blanc. Au milieu, entres les deux groupes de domestiques, un homme en tenue de chasse avec, à ses pieds une magnifique femme rousse et à ses côtés une espèce de géant beau comme un Apollon. Un grand tapis qui lui sembla être un Tabriz était disposé là. A sa gauche, en haut de la volée de marche se tenaient trois personnes qu'elle n'avait jamais vu.
Un homme, jeune et bien mis, une belle femme d'une quarantaine d'année aux pommettes hautes et fermes qui adoucissaient à peine un regard dur et froid et une autre belle femme mais celle-ci était nue, une tresse d'un blanc immaculé pendant entre ses cuisses fuselées. A la droite du perron, elle avait reconnu Rose qui, lui avait-il semblé, lui avait adressé un petit sourire d'encouragement. Walter le majordome était là aussi sévère, une autre femme nue, très belle, elle aussi se tenait à ses côtés, la tresse qui pendait entre ses cuisses était d'un noir de jais.
Péniblement Sissy ouvrit la bouche laissant échapper la laisse.
-"Je … je suis...je suis Sissy, la putain de Monsieur le Marquis... de...de Sir...de Sir Édouard Marquis d'Evans"-"Eh bien dit le Marquis il te reste encore un peu de dignité pour concevoir de la honte … nous arrangerons cela. C'est sur ce perron que tu accueilleras ta Maîtresse pour les fêtes de ta renaissance… Mes amis, reprit-il en s'adressant à ses gens, "Voici Sissy, elle sera parmi nous pour quarante jours. Elle appartient à une chère amie qui nous demande de la façonner. Vous la considérerez comme l'un de mes esclaves et comme l'un des plus précieux objets du domaine car ce qui appartient à mes amis sont biens plus précieux que les miens…"Walter ?"-"Oui Monsieur le Marquis ?"-"Menez cette chienne à Raymond"-"Oui, tout de suite, Monsieur le Marquis"
Se saisissant alors de la laisse, Walter entraîna Sissy vers les marches. Passant devant David et Marie (Sissy ignorait encore leur nom et fonctions), elle entendit l'homme lui dire, un sourire carnassier aux lèvres
- "Bienvenu chez nous ma toute belle".
A la suite de Walter elle descendit les marches et le suivit jusqu'au centre, aux côtés de l'homme qui tenait en laisse la belle esclave rousse. Un silence de cathédrale régnait sur l'esplanade, tous les domestiques regardaient Sissy.
-Mets toi sur le tapis, à quatre pattes, face au perron !" lui dit sévèrement Walter
Sissy s'exécuta. Moins de 24 heures après avoir quitté Nantes et sa Douce Cathy elle était là, nue, en levrette, au milieu d'une trentaine de personnes, une tresse de crins blonds pendant entre ses cuisses. Elle avait été saillie et remplie de foutre à huit reprises lors de la nuit. Elle eu la force de lever les yeux : là-haut, sur le perron, Le Marquis d’Evans contemplait la scène avec un sourire de satisfaction.
A sa droite l'homme qui avait murmuré à son passage souriait aussi, à sa gauche la grande et belle femme ne souriait pas, son regard sondait Sissy. Rose était à ses côtés, rayonnante dans son corset rouge. Les deux femmes nues étaient là aussi et regardaient. Dans leurs yeux, Sissy crut lire comme un signe de solidarité, comme si elles partageaient un peu son sort … Cela lui fit monter les larmes aux yeux, pas de douleur, pas de peur... mais de l’émotion pure. Elle ferma à nouveau les yeux cherchant dans sa tête le doux visage de son aimée.
Le Marquis frappa dans ses mains...
Raymond plaça la belle esclave rousse à côté de Sissy, elle aussi, en levrette, face au perron. L'esclave feulait comme une femelle en rut. Elle lui chuchota "Je n'en peux plus d'attendre à cause de toi salope…"
La volumineuse érection du beau géant semblait avoir encore augmenté. Raymond le fit placer à genoux derrière la croupe de la rousse :"Tu attends mon ordre" dit-il. Excité par les effluves de la préparation du docteur Charles-Antoine, l'esclave sentait son sexe devenir dure comme de l'ébène.
Enfin Raymond alla chercher e44 et e45 et les plaça derrière Sissy et lui retira son plug. Instantanément les phéromones que Sissy émettait aussi agirent sur les deux esclaves reproducteurs …
Le Marquis frappa une nouvelle fois dans ses mains.
De nulle par et de partout s'éleva le son d'un orchestre de chambre. L'esplanade et une grande partie des jardins disposaient d'une sonorisation discrètement implantée dans les massifs.
Sissy reconnu immédiatement Vivaldi, l'ouverture des Quatre Saisons … tous ses sens lui disaient la rareté et l'exception du moment ... Décidément Le Marquis d’Evans n’omettait aucun détail.
Elle sentit son anus s'ouvrir et se dilater … son corps réclamait...
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une tres belle histoire qui donne a reflegir comment devenir sissy sa doitetre un olaissir