La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1169)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-03-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1169)
La Marquise esclave – (suite de l'épisode N°1156) -
Et après la longue soirée que je venais de vivre, je ne tardais pas à m’endormir, en chien de fusil, sous les mains du Maître de ma vie et de mon cœur, qui me caressait comme Il l’aurait fait avec une vraie chienne animale… Plusieurs jours plus tard, alors que j’allais m’installer sur ma chaise godante, je vis sur le clavier de mon ordinateur un petit carton crème frappé des Armoiries de la Famille des Evans. Je me mis à genoux pour le lire. Une seule phrase :
« Va dans la salle d’habillement ».
Je supposais que j’allais avoir un rdv à l’extérieur. Tout en me rendant rapidement dans la pièce indiquée, je me demandais sans m’y attarder, ce que j’aurai à faire, s’il s’agissait juste d’une mission pour la secrétaire particulière de Monsieur le Marquis, ou si c’était l’esclave MDE qui devrait obéir. A moins que ce ne soit un mélange des deux ?, pensais-je en souriant… Il n’y avait personne, seulement une robe noire et blanche, courte, se fermant au niveau du cou par deux longs pans de tissu partant d’un gros anneau entre les deux seins au-dessus d’un haut bustier, sans sous-vêtements évidemment, avec une paire d’escarpins noirs. Alors que je me tournai vers une psyché, j’aperçus un nouveau carton :
« Laisse tes cheveux libres. Rejoins le perron debout. ».
Comme toujours sauf contrordre, je portais mes cheveux noués en une queue de cheval, ainsi toujours prête à me faire saillir de la manière que préférait le Maître qui adorait empoigner de cette façon mes cheveux. J’éprouvais toujours autant de gêne à me déplacer en bipédie et habillée dans les couloirs du Château, surtout lorsque je croisais un frère ou une sœur de soumission. Je croisais aussi Marie, la cuisinière perverse, et je baissais autant que possible la tête. Je n’entendis qu’un ricanement carnassier, accompagné d’un ironique :
- Tiens, cette salope de chienne est de sortie, on dirait !
Je supposais qu’elle avait dû me dévisager, avec son air hautain, de la tête au pied, me voyant me déplacer en bipédie. Puis, elle continua son chemin, tirant derrière elle, le tenant par l’oreille, un soumis grimaçant qui avait certainement dû faire une chose qui lui avait déplu… Arrivée sur le perron, je vis la Rolls du Maître garée devant et Walter qui attendait à côté de la porte arrière. Je descendis les marches et il m’ouvrit la porte avec un sourire chaleureux. C’était un fait rare ! On aurait dit qu’il était tout heureux à ce moment-là, et pour la première fois, je me demandais sérieusement ce qui m’attendait. Quand je baissais la tête pour entrer dans la voiture, je vis la main du Maître se tendre vers moi pour m’aider. Aussitôt je baissais les yeux, et j’allais m’agenouiller entre la banquette arrière et les sièges avant, quand Il m’arrêta :
- Ma chérie, c’est ma future femme que je veux voir près de Moi, pour le moment ! Oh ne t’inquiète pas, le Maître n’est pas loin, et tu retrouveras vite ta place que tu affectionnes tant ! Mais maintenant, viens donc t’asseoir près de Moi. Et tu es autorisée à me regarder autant que tu le souhaites, alors profites-en, tant que tu le peux.
Sa voix était douce, et quand je relevais la tête, Son sourire m’éblouit autant que son regard ! Quand je m’installais sur la banquette, Il ouvrit Son bras et m’attira contre Lui, avant de m’embrasser doucement. Je me blottis donc contre Lui avec un bonheur infini, et regardais les arbres défilaient rapidement par la fenêtre. La voiture roula pendant environ une demi-heure avant de s’arrêter devant une boutique de reprographie. Walter commença par ouvrir la portière du Maître, puis la mienne, mais ce fut le Châtelain qui me tendit de nouveau Sa main pour m’aider. Lorsque je fus debout, Il me baisa la main, avant de la poser sur Son bras et nous entrâmes ainsi dans la boutique.
- Ah Cher Edouard ! Il y avait longtemps que nous ne Vous avions pas vu ! Que nous vaut le plaisir de Votre visite ?
- Bonjour cher ami, nous voudrions, Ma fiancée et Moi-même, choisir des faire-part pour notre futur mariage !
- Oh ! Toutes mes félicitations à vous deux !
Il nous serra à chacun une chaleureuse main, déposant un baiser sur la mienne au passage, puis alla chercher une tablette numérique pour nous montrer ses différents et nombreux modèles. Le Châtelain prenait soin de m’inclure dans la conversation, d’écouter mes réponses. On aurait pu croire que nous étions un couple d’amoureux tout à fait « normal » ! Une fois le papier, les couleurs et la calligraphie choisis, vint le choix du motif.
- Pourriez-vous nous montrer le classeur que vous qualifiez de spécial et que vous réservez uniquement pour ceux de notre monde, s’il vous plait ?
L’homme, qui était le propriétaire de la boutique, le regarda alors avec un regain d’intérêt, ce à quoi le Noble répondit par un sourire entendu.
- Et à quoi pensez-Vous, Edouard ? Avez-Vous une idée de ce que Vous voulez ?
- Mais bien sûr ! Qu’avez-Vous qui pourrait ressembler à un mariage d’un Dominant et d’une chienne ?
Et le Maître se tourna vers moi. Son regard changea soudain. De chaleureux, il devint distant, neutre, presque froid et Il claqua des doigts. Nous étions assis sur un petit canapé, d’où je descendis immédiatement, me mettant à genoux, mains dans le dos et tête baissée. Lorsque nous sortions habillés, nous, chiens et chiennes appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans, ne devions pas nous prosterner pour ne pas abîmer nos vêtements, sauf si cela nous était expressément ordonné. Le regard du propriétaire, qui se prénommait Fabien, changea également, une lueur lubrique s’allumant dans ses yeux, et sur un sourire d’assentiment du Maître, il me détailla sans me toucher, pourtant je me sentais totalement déshabillée, mise à nue. Pendant une demi-heure, sans jamais me lâcher du regard plus que quelques secondes, il Lui présenta plusieurs modèles. Le Châtelain m’autorisa à lever les yeux.
-Tu es Ma chienne, mais tu restes ma fiancée, et tu as tout de même ton mot à dire sur notre mariage !
Et là-dessus, Il me sourit en me caressant le sommet du crâne, me faisant fondre sur place ! Comme toujours, nos esprits et nos cœurs étaient liés, et notre choix fut le même. La photo d’un couple D/s venant de se marier et redescendant l’allée entre les invités, le Dominant en costume noir, tenant par la laisse l’épouse, la soumise dénudée, anneaux aux tétons, collier et juste ornée d’un voile, évoluant à quatre pattes, un sourire radieux sur leurs lèvres.
- Je peux Vous proposer de prendre une photo de l’allée de Votre Château, et Vous mettre cette photo en filigrane dessus. Quelle couleur de fond voulez-Vous ?
Nous nous regardâmes, et comprenant Son regard, je m’exprimais en même temps que Lui, pour affirmer que nous voulions du bleu ! (la couleur préférée du Maître) Le Château prenait le tiers du milieu de la carte. Les deux autres tiers étaient bleu-roy, le texte écrit en lettre d’or « Monsieur le Marquis d’Evans et esclave Aphrodite MDE vous invitent à partager leur bonheur en venant célébrer leur mariage » et en dessous le Château « Celui-ci aura lieu en la Mairie de XXXX pour la partie civile et en la Chapelle du Château des Evans pour la cérémonie religieuse, le 3 juillet 2018 à 15h. Vous êtes également cordialement convié au vin d’honneur qui aura lieu dans les jardins du Château ». Aux quatre coins de l’image du Château, il y aurait une colombe s’envolant. Symbole de liberté, la liberté d’être ce que l’on est, la liberté d’être heureux… Lorsque l’on refermerait le carton, on verrait une photo de nous, en vêtements d’époque de Marquis et de Marquise annonçant une grande nouvelle, et au dos les coordonnées auxquelles répondre.
- Bien, je vous remercie Fabien ! Nous aurons bien avancé grâce à vous ! Pour le paiement, nous faisons comme d’habitude ?
- Comme d’habitude ? Ah, mais avec grand plaisir, mon Cher Edouard, dit-il en me regardant avec des yeux gourmands…Vous me ferez le virement à la réception des faire-part. Et donc pour faire comme d’habitude, ce sera… la facture diminuée de moitié ? rajouta-t-il alors que j’apercevais une bosse se former au niveau du haut de son pantalon
- Très bien, et la première moitié immédiatement, comme d’habitude !, surenchérit le Noble
Le Maître se leva alors et claqua des doigts, tout en se dirigeant vers la porte. Je le suivais, d’un pas derrière Lui, comme à chaque fois que je ne portais pas mon collier, faisant attention de calquer mon rythme sur le sien. Alors que je m’attendais à recevoir l’ordre de me lever pour sortir du bâtiment, je Le sentis attraper mes cheveux et tirer vers le haut, jusqu’à ce que je me retrouve à genoux.
- Ma chienne, c’est toi qui va servir de paiement pour moitié ! Rends-moi honneur, ainsi qu’à ton éducation ! Ne me déçois pas ! Petite salope de chienne en chaleur !
Il ouvrit la porte qui se referma rapidement derrière Lui. Immédiatement, je me tournais pour me mettre en position prosternée, attendant que Fabien ne m’ordonne quelque chose. Mais il resta un moment silencieux, jusqu’à ce qu’une volée de fessées ne s’abatte sur mon fessier.
- Est-ce une tenue pour une chienne MDE ? Il me semblait que celles-ci étaient mieux éduquées !
Immédiatement, je me redressais et me dévêtis aussi vite que possible. Puis je me prosternais de nouveau, cul face à lui, le priant de bien vouloir m’excuser et de bien vouloir me sanctionner. Il me jeta alors un élastique, en ordonnant que je m’attache les cheveux en queue de cheval, queue qu’il saisit pour me faire avancer à genoux jusqu’à une arrière salle de la boutique où le sol était constitué d’une simple dalle bétonnée et froide. Aussi surprenant que cela pouvait paraitre, il s’y trouvait une grande croix de St-André en bois, sur laquelle il m’attacha, mon dos lui étant présenté. Il décida de me sanctionner par 50 coups de fouet, m’affirma-t’il… Ces cinquante coups furent cinglants, il ne ménageait pas son bras, et malgré mon entraînement, la sueur finit par couler le long de mon échine sous les efforts que je faisais pour ne pas crier et compter les coups à haute et intelligible voix. Il devait être un expert au fouet car les coups étaient placés de manière à ne pas trop m’abimer, juste quelques perles de sang sans plus … Lorsqu’il eut fini, il me laissa de longues minutes attachée ainsi, tandis qu’il était reparti dans le magasin accueillir des clients… Quand il revint, il me détacha et me passa un onguent sur le dos, soulageant les brûlures des lanières du fouet. Il m’amena dans son bureau, à quatre pattes, tenue par la laisse. Il attrapa mes cheveux afin que je me redresse, et il me plaqua sur le meuble en bois sombre. Il était large. Des attaches se trouvaient à chaque pied. Il m’étira les bras d’un côté de manière à ce que mes poignets se retrouvent le plus bas possible. Et il m’écarta les jambes pour liés également mes chevilles…
(A suivre …)
Et après la longue soirée que je venais de vivre, je ne tardais pas à m’endormir, en chien de fusil, sous les mains du Maître de ma vie et de mon cœur, qui me caressait comme Il l’aurait fait avec une vraie chienne animale… Plusieurs jours plus tard, alors que j’allais m’installer sur ma chaise godante, je vis sur le clavier de mon ordinateur un petit carton crème frappé des Armoiries de la Famille des Evans. Je me mis à genoux pour le lire. Une seule phrase :
« Va dans la salle d’habillement ».
Je supposais que j’allais avoir un rdv à l’extérieur. Tout en me rendant rapidement dans la pièce indiquée, je me demandais sans m’y attarder, ce que j’aurai à faire, s’il s’agissait juste d’une mission pour la secrétaire particulière de Monsieur le Marquis, ou si c’était l’esclave MDE qui devrait obéir. A moins que ce ne soit un mélange des deux ?, pensais-je en souriant… Il n’y avait personne, seulement une robe noire et blanche, courte, se fermant au niveau du cou par deux longs pans de tissu partant d’un gros anneau entre les deux seins au-dessus d’un haut bustier, sans sous-vêtements évidemment, avec une paire d’escarpins noirs. Alors que je me tournai vers une psyché, j’aperçus un nouveau carton :
« Laisse tes cheveux libres. Rejoins le perron debout. ».
Comme toujours sauf contrordre, je portais mes cheveux noués en une queue de cheval, ainsi toujours prête à me faire saillir de la manière que préférait le Maître qui adorait empoigner de cette façon mes cheveux. J’éprouvais toujours autant de gêne à me déplacer en bipédie et habillée dans les couloirs du Château, surtout lorsque je croisais un frère ou une sœur de soumission. Je croisais aussi Marie, la cuisinière perverse, et je baissais autant que possible la tête. Je n’entendis qu’un ricanement carnassier, accompagné d’un ironique :
- Tiens, cette salope de chienne est de sortie, on dirait !
Je supposais qu’elle avait dû me dévisager, avec son air hautain, de la tête au pied, me voyant me déplacer en bipédie. Puis, elle continua son chemin, tirant derrière elle, le tenant par l’oreille, un soumis grimaçant qui avait certainement dû faire une chose qui lui avait déplu… Arrivée sur le perron, je vis la Rolls du Maître garée devant et Walter qui attendait à côté de la porte arrière. Je descendis les marches et il m’ouvrit la porte avec un sourire chaleureux. C’était un fait rare ! On aurait dit qu’il était tout heureux à ce moment-là, et pour la première fois, je me demandais sérieusement ce qui m’attendait. Quand je baissais la tête pour entrer dans la voiture, je vis la main du Maître se tendre vers moi pour m’aider. Aussitôt je baissais les yeux, et j’allais m’agenouiller entre la banquette arrière et les sièges avant, quand Il m’arrêta :
- Ma chérie, c’est ma future femme que je veux voir près de Moi, pour le moment ! Oh ne t’inquiète pas, le Maître n’est pas loin, et tu retrouveras vite ta place que tu affectionnes tant ! Mais maintenant, viens donc t’asseoir près de Moi. Et tu es autorisée à me regarder autant que tu le souhaites, alors profites-en, tant que tu le peux.
Sa voix était douce, et quand je relevais la tête, Son sourire m’éblouit autant que son regard ! Quand je m’installais sur la banquette, Il ouvrit Son bras et m’attira contre Lui, avant de m’embrasser doucement. Je me blottis donc contre Lui avec un bonheur infini, et regardais les arbres défilaient rapidement par la fenêtre. La voiture roula pendant environ une demi-heure avant de s’arrêter devant une boutique de reprographie. Walter commença par ouvrir la portière du Maître, puis la mienne, mais ce fut le Châtelain qui me tendit de nouveau Sa main pour m’aider. Lorsque je fus debout, Il me baisa la main, avant de la poser sur Son bras et nous entrâmes ainsi dans la boutique.
- Ah Cher Edouard ! Il y avait longtemps que nous ne Vous avions pas vu ! Que nous vaut le plaisir de Votre visite ?
- Bonjour cher ami, nous voudrions, Ma fiancée et Moi-même, choisir des faire-part pour notre futur mariage !
- Oh ! Toutes mes félicitations à vous deux !
Il nous serra à chacun une chaleureuse main, déposant un baiser sur la mienne au passage, puis alla chercher une tablette numérique pour nous montrer ses différents et nombreux modèles. Le Châtelain prenait soin de m’inclure dans la conversation, d’écouter mes réponses. On aurait pu croire que nous étions un couple d’amoureux tout à fait « normal » ! Une fois le papier, les couleurs et la calligraphie choisis, vint le choix du motif.
- Pourriez-vous nous montrer le classeur que vous qualifiez de spécial et que vous réservez uniquement pour ceux de notre monde, s’il vous plait ?
L’homme, qui était le propriétaire de la boutique, le regarda alors avec un regain d’intérêt, ce à quoi le Noble répondit par un sourire entendu.
- Et à quoi pensez-Vous, Edouard ? Avez-Vous une idée de ce que Vous voulez ?
- Mais bien sûr ! Qu’avez-Vous qui pourrait ressembler à un mariage d’un Dominant et d’une chienne ?
Et le Maître se tourna vers moi. Son regard changea soudain. De chaleureux, il devint distant, neutre, presque froid et Il claqua des doigts. Nous étions assis sur un petit canapé, d’où je descendis immédiatement, me mettant à genoux, mains dans le dos et tête baissée. Lorsque nous sortions habillés, nous, chiens et chiennes appartenant à Monsieur le Marquis d’Evans, ne devions pas nous prosterner pour ne pas abîmer nos vêtements, sauf si cela nous était expressément ordonné. Le regard du propriétaire, qui se prénommait Fabien, changea également, une lueur lubrique s’allumant dans ses yeux, et sur un sourire d’assentiment du Maître, il me détailla sans me toucher, pourtant je me sentais totalement déshabillée, mise à nue. Pendant une demi-heure, sans jamais me lâcher du regard plus que quelques secondes, il Lui présenta plusieurs modèles. Le Châtelain m’autorisa à lever les yeux.
-Tu es Ma chienne, mais tu restes ma fiancée, et tu as tout de même ton mot à dire sur notre mariage !
Et là-dessus, Il me sourit en me caressant le sommet du crâne, me faisant fondre sur place ! Comme toujours, nos esprits et nos cœurs étaient liés, et notre choix fut le même. La photo d’un couple D/s venant de se marier et redescendant l’allée entre les invités, le Dominant en costume noir, tenant par la laisse l’épouse, la soumise dénudée, anneaux aux tétons, collier et juste ornée d’un voile, évoluant à quatre pattes, un sourire radieux sur leurs lèvres.
- Je peux Vous proposer de prendre une photo de l’allée de Votre Château, et Vous mettre cette photo en filigrane dessus. Quelle couleur de fond voulez-Vous ?
Nous nous regardâmes, et comprenant Son regard, je m’exprimais en même temps que Lui, pour affirmer que nous voulions du bleu ! (la couleur préférée du Maître) Le Château prenait le tiers du milieu de la carte. Les deux autres tiers étaient bleu-roy, le texte écrit en lettre d’or « Monsieur le Marquis d’Evans et esclave Aphrodite MDE vous invitent à partager leur bonheur en venant célébrer leur mariage » et en dessous le Château « Celui-ci aura lieu en la Mairie de XXXX pour la partie civile et en la Chapelle du Château des Evans pour la cérémonie religieuse, le 3 juillet 2018 à 15h. Vous êtes également cordialement convié au vin d’honneur qui aura lieu dans les jardins du Château ». Aux quatre coins de l’image du Château, il y aurait une colombe s’envolant. Symbole de liberté, la liberté d’être ce que l’on est, la liberté d’être heureux… Lorsque l’on refermerait le carton, on verrait une photo de nous, en vêtements d’époque de Marquis et de Marquise annonçant une grande nouvelle, et au dos les coordonnées auxquelles répondre.
- Bien, je vous remercie Fabien ! Nous aurons bien avancé grâce à vous ! Pour le paiement, nous faisons comme d’habitude ?
- Comme d’habitude ? Ah, mais avec grand plaisir, mon Cher Edouard, dit-il en me regardant avec des yeux gourmands…Vous me ferez le virement à la réception des faire-part. Et donc pour faire comme d’habitude, ce sera… la facture diminuée de moitié ? rajouta-t-il alors que j’apercevais une bosse se former au niveau du haut de son pantalon
- Très bien, et la première moitié immédiatement, comme d’habitude !, surenchérit le Noble
Le Maître se leva alors et claqua des doigts, tout en se dirigeant vers la porte. Je le suivais, d’un pas derrière Lui, comme à chaque fois que je ne portais pas mon collier, faisant attention de calquer mon rythme sur le sien. Alors que je m’attendais à recevoir l’ordre de me lever pour sortir du bâtiment, je Le sentis attraper mes cheveux et tirer vers le haut, jusqu’à ce que je me retrouve à genoux.
- Ma chienne, c’est toi qui va servir de paiement pour moitié ! Rends-moi honneur, ainsi qu’à ton éducation ! Ne me déçois pas ! Petite salope de chienne en chaleur !
Il ouvrit la porte qui se referma rapidement derrière Lui. Immédiatement, je me tournais pour me mettre en position prosternée, attendant que Fabien ne m’ordonne quelque chose. Mais il resta un moment silencieux, jusqu’à ce qu’une volée de fessées ne s’abatte sur mon fessier.
- Est-ce une tenue pour une chienne MDE ? Il me semblait que celles-ci étaient mieux éduquées !
Immédiatement, je me redressais et me dévêtis aussi vite que possible. Puis je me prosternais de nouveau, cul face à lui, le priant de bien vouloir m’excuser et de bien vouloir me sanctionner. Il me jeta alors un élastique, en ordonnant que je m’attache les cheveux en queue de cheval, queue qu’il saisit pour me faire avancer à genoux jusqu’à une arrière salle de la boutique où le sol était constitué d’une simple dalle bétonnée et froide. Aussi surprenant que cela pouvait paraitre, il s’y trouvait une grande croix de St-André en bois, sur laquelle il m’attacha, mon dos lui étant présenté. Il décida de me sanctionner par 50 coups de fouet, m’affirma-t’il… Ces cinquante coups furent cinglants, il ne ménageait pas son bras, et malgré mon entraînement, la sueur finit par couler le long de mon échine sous les efforts que je faisais pour ne pas crier et compter les coups à haute et intelligible voix. Il devait être un expert au fouet car les coups étaient placés de manière à ne pas trop m’abimer, juste quelques perles de sang sans plus … Lorsqu’il eut fini, il me laissa de longues minutes attachée ainsi, tandis qu’il était reparti dans le magasin accueillir des clients… Quand il revint, il me détacha et me passa un onguent sur le dos, soulageant les brûlures des lanières du fouet. Il m’amena dans son bureau, à quatre pattes, tenue par la laisse. Il attrapa mes cheveux afin que je me redresse, et il me plaqua sur le meuble en bois sombre. Il était large. Des attaches se trouvaient à chaque pied. Il m’étira les bras d’un côté de manière à ce que mes poignets se retrouvent le plus bas possible. Et il m’écarta les jambes pour liés également mes chevilles…
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