La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1190)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1190) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1190)
Kate au Château (Nouvelle saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) –

Un sourire éclairait le visage du père fier de son fils…

Bientôt au Château :
Au même moment au château voisin, celui de la Duchesse de Saint Ymer, la vieille Mathilde revient accompagnée de Kate. Mathilde lui fait prendre place dans un fauteuil au salon et va prévenir la Duchesse et Antonin de son arrivée.

- Bien Mathilde, merci nous arrivons.

Ils rejoignent Kate au salon, celle-ci se lève et immédiatement salue la Duchesse avec une révérence parfaite. Antonin la prend rapidement par la taille et l'embrasse passionnément.

- J'ai fait au plus vite, d'après Mathilde c'était très important, dit Kate intriguée mais heureuse de retrouver son bien-aimé.
- En effet, asseyez-vous, lui répondit Antonin. Je vous ai déjà parlé de mon meilleur ami le Seigneur d'Evans ? Nous avons des Terres voisines…
- Oui plusieurs fois.
- Bien, vous allez le rencontrer car vous allez m'accompagner à une soirée donnée ce soir en Son Château.
- Mais enfin, je ne peux pas, je ne puis me présenter devants le Seigneur ainsi vêtue, ce serait un manque de respect face à Son rang de Seigneur et de Maître absolu en son fief.
- Ne vous tracassez pas ma chère, lui dit la grand-mère, Antonin et moi-même avons tout prévu. Je vous ai trouvé une robe du plus bel effet bleu ciel et argent qui sera parfait avec votre teint et vos cheveux noirs que notre brave Mathilde va vous arranger.
- Merci Madame la Duchesse c'est très aimable de votre part, répondit Kate tout en effectuant une courbette.
- C'est tout à fait normal, vous êtes digne d'accompagner mon petit-fils à cette soirée vêtue comme une Dame de bonne Noblesse… Allons maintenant, mes enfants, il est temps de dîner car après nous vous apprêterons et pendant ce temps, Antonin vous préviendrez votre ami de votre présence et celle de votre belle petite chienne de Kate …

Une fois le repas terminé, Antonin se retire afin de faire prévenir son ami de sa présence et fais sceller son cheval car aller galoper un peu le calmera tellement il est impatient. Pendant ce temps la Duchesse accompagnée de Mathilde s'occupe de Kate. La vieille servante lui a préparé un bain chaud avec des huiles parfumées et lui lave les cheveux. Ensuite, la Duchesse lui montre la robe prévue pour la soirée. Elles l'aident à s'habiller puis Mathilde lui dit maintenant qu’elle va la coiffer. Antonin rentre de sa balade et s'est tout juste s’il reconnait sa bien-aimée. En effet celle-ci est vraiment ravissante et désirable et s’ils ne devaient pas prendre rapidement la route, il la prendrait sur l'heure au vu de son début d’érection ressentie sous ses chausses… Il se contient et la salue en lui disant avec appétit dans son regard :

- Vous êtes ravissante ce soir, vous serez le centre de l'attention. Tous les hommes ne regarderont que vous et les femmes en seront jalouses. Bien, allons-y, je tiens à ne pas être en retard car nous allons rencontrer le Seigneur d’Evans avant l'arrivée des autres invités et il tient à faire votre connaissance avant la soirée… (Kate regarde Antonin d'un regard interrogateur) … Mais ne t'inquiète pas, tu m'accompagnes en temps qu'amie, pas en tant que soumise, mon adorable petite chienne que j’aime !…

Ils montent tous les deux dans le carrosse attelé qui les attend au seuil des marches et la Duchesse leur souhaite une bonne soirée. Le temps pour les chevaux de parcourir les Terres de la Duchesse, ils arrivent environ 30 minutes plus tard devant le Château du Seigneur Charles d'Evans qui les attend lui-même sur le perron. Ils descendent et Antonin prend la main de son amie visiblement très tendue et montent les marches.

- Antonin, mon ami, quelle plaisir de vous revoir !
- Mon cher ami Charles, permettez-moi de vous présenter, mon amie et soumise Kate … mais ce soir, elle est uniquement mon amie
- Bien sûr, bien sûr, mon ami, il ne saurait en être autrement, sachant vos sentiments sincères pour votre amie d'enfance.
- Venez ma chère, je vais vous présenter mes deux fils qui se trouvent dans le petit salon de musique… Ronan, Enguerrand, venez. Vous vous souvenez bien sûr de mon ami Antonin.

Ronan salue poliment alors qu’Enguerrand plus jeune imite son frère.
- Je vous présente son amie Kate que j'ai invité à ma réception. Ronan, je compte sur vous, vous êtes suffisamment grand pour participer à nos soirées, alors tâchez de ne pas me décevoir.
- Oui père. Ravi de faire votre connaissance, lui dit-il en s'inclinant poliment.
- C'est pour moi un honneur de faire votre connaissance, répond-elle avec un merveilleux sourire, celui qui plait tant à Antonin.
- Bien, dit le Seigneur d'Evans, suivez-moi, allons dans une autre pièce, nous y seront plus tranquilles

Le Seigneur d’Evans les amène alors dans un petit salon confortable et privé :

- Je vous en prie, prenez place leur dit-il en leur désignant une sorte de divan d’époque constitué d’un plateau de planches sur lequel une multitude de moelleux coussins offre une bonne assise.
- Merci mon ami, dit Antonin en prenant place avec Kate.
- Souhaitez-vous boire quelque chose ?
- Volontiers et vous ma chère?
- Avec plaisir.
- Bien je vais faire apporter quelque chose pour nous rafraichir (il appelle alors) – Manon, ici tout de suite.

Une jeune fille d'environ 18 ans se présente totalement nue à 4 pattes devant le Seigneur d'Evans et se tient à genoux tête baissée. Elle porte un épais collier de métal autour du cou, collier qui visiblement ne peut s’enlever sans une clé, telle une ceinture de chasteté

- Va nous chercher quelque chose à boire puis rejoint ton poste.
- Oui Seigneur et Maître, tout de suite. (puis elle sort toujours à 4 pattes exhibant une magnifique croupe arrondie et un sexe parfaitement épilé et dans un déplacement félin)
- Elle m'a l'air bien docile, sourit Antonin
- Elle l'est encore jeune mais très bien élevée, facile à dresser et de bonne volonté, sourit le Seigneur d'Evans (Voyant Kate un peu intimidée, il lui dit en souriant) - Dite moi, ma chère, comment avez-vous réussi à plaire à mon ami qui est un éternel insatisfait et difficile ?
- Je ne saurais le dire Messire, en réalité je crois qu'au fond de moi, j'ai toujours su que c'était lui le Maître et j'aurais tout fait pour qu'il me remarque mais une fille de ma condition comparée à un Duc, je ne pouvais l'espérer.
- Voyons Kate, me prendriez-vous pour un idiot par hasard ? Nous jouions ensemble étant enfant et je vous ai toujours aimé, ne me dite pas que vous n'aviez jamais rien remarqué ?
- Hé bien j'avoue qu’avant que vous ne m'avouiez vos sentiments, non je n'avais pas remarqué.

Cela amusait le Seigneur d'Evans. Le retour de Manon en bipédie apportant à boire mit fin à leur discussion. L’esclave déposa les coupes sur la table basse et quitta la pièce en quadrupédie. Ils continuent à discuter et à faire connaissance avec bonne humeur…

La soirée au Château :
L'heure arrive ou les autres invités doivent arriver et le Seigneur d'Evans leur propose alors d'entrer dans la grande salle pendant que Lui et son fils Ronan seraient à la porte pour accueillir les autres convives. Kate et Antonin ce retrouve seuls dans la grande salle et Kate est impressionnée par la beauté du lieu. Une immense table en bois massive avec une nappe de tissu parfaitement blanche et brodées est dressée avec des assiettes et couverts en argent scintillant à la lueur des multiples chandelles et bougies disposées dans la salle. Tout d’un coup, deux superbes jeunes filles parfaitement identiques, certainement des sœurs jumelles, font leur entrée en compagnie d'un jeune homme

- Enfin s'exclame Antonin, mes cousines et mon cousin. Ca fait bien longtemps que je ne les avais vu depuis le décès de leur père en réalité… Venez, je vais vous les présenter : Alix, Clémence, Louis-Etienne, je vous présente Kate, la jeune fille que je fréquente
- Et bien mon cousin, répliqua la belle Alix, il était temps ! Nous nous demandions depuis le temps qu'il nous parle de vous, si vous existiez vraiment dit-elle avec un sourire amical
- Alix, s'il vous plait, tenez-vous un peu, nous avons un rang à tenir, gronde Louis-Etienne
- Excusez la belle ! Elle est un peu, comment dire, impulsive ! Ravi de vous connaitre mademoiselle et de vous revoir mon cher cousin

La salle se rempli rapidement et le Seigneur d'Evans et Ronan rejoignent la grande salle. Antonin s'approche de son vieil ami :

- Pourrais-je vous parler en privé, mon ami?
- Bien sûr, suivez-moi (ils se mettent à l'écart des oreilles indiscrètes) Qu'avez-vous donc de si important à me dire ? Vous semblez bien soucieux depuis tout à l'heure !
- Oui voila, vous êtes mon meilleur ami depuis toujours mais aussi le Seigneur de ces Terres et de ces habitants et je me dois de vous demander la permission d'épouser Kate
- Toutes mes félicitations mon ami, je vous l'accorde avec plaisir, mais qu'en pense la principale intéressée ?
- En fait, je comptais lui faire ma demande ce soir après le dessert et avant le bal !
- Excellente idée en attendant allons rejoindre les autres …

Le repas commence et l Seigneur d'Evans est assis en bout de table et préside avec son meilleur ami à Ses côté, Kate est assise près des jumelles et Louis-Etienne de l'autre côté du Maître des lieux. Les entrées sont apportées par des esclaves nues qui déposent salades et autres légumes devant les convives, s'en suive alors viandes, poissons en abondance et enfin le dessert arrive de magnifique plateau garnis de dessert succulents. A la fin du repas le Seigneur d'Evans se lève et toute la salle fait silence

- Mes amis, il y a deux évènements d'importance que nous fêtons ce soir : L'acception de mon fils ainé Ronan dans notre cercle de Domination/soumission que j’ai créé voici quelques décennies … (Tout le monde applaudit) … Et la seconde, je vais laisser mon ami Antonin, ici présent, vous l’annoncer
- Merci Messire d’Evans, répliqua Antonin (il se lève met un genou à terre devant Kate et la regarde dans les yeux pour lui déclamer ceci) - Devant tous ici présent, je vous déclare mon amour, acceptez-vous de m'épouser et de devenir à mes côtés la Duchesse de Saint Ymer ?

Kate est sous le choc et ne pensant plus au lieu où elle se trouve et elle se jette au cou d'Antonin et le serre dans ses bras

- Cela veut-il dire oui ? demande t'il le souffle court
- Heu oui, excusez moi, OUI de tout mon cœur !

Toute la salle au grand complet applaudit et des félicitations se font entendre de partout. Le Seigneur d’Evans demande le silence :

- Mon ami m'a demandé la main de cette jeune personne tout à l'heure et j'ai bien entendu accepté cette union… Antonin mon ami, que promettez-vous après cette demande à cette assemblé ici présente
- Je jure d'aimer Kate toute ma vie et de protéger et de ne jamais arrêter nos pratiques D/s
- Bien, je vous adresse mes plus sincères félicitations et maintenant que l’orgie commencent selon vos envies ! Mes esclaves sont à vous !

Sitôt dit, sitôt fait ! Les convives ne se font pas prier et la soirée se poursuit dans une extraordinaire orgie. Les tables sont poussées, ou servent à positionner quelques esclaves dessus pour les prendre dans leurs orifices offerts aux convives en rut. On baise, on encule, on se fait sucer à tout va. Sur un côté de la pièce, près d’une table poussée contre un mur, un Dominant d’un certain âge donne une tape sèche sur la croupe d’une esclave femelle et celle-ci monte sur la table où elle s'installe à quatre pattes, la croupe tournée vers l'extérieur. L’homme commence à lui attacher les membres en les reliant aux pieds de la table. Il manie les cordes avec une agilité, une rapidité et une précision qui soulignent une grande pratique. En quelques minutes, la femelle est totalement bondagée sur la table, les membres liés, les cuisses largement écartées, le visage et le torse plaqués contre le bois du plateau de la table, mais les reins cambrés et la croupe bien relevée. Immobilisée, elle devient une parfaite offrande pour les hommes qui tournent autour en la contemplant ainsi totalement ouverte...

L'un d'eux se détache du groupe et s'approche de la femelle visiblement excitée par son cul qui se déhanche comme un appel à la bite, à la copulation. Il prend place derrière elle et sans préliminaire ou hésitation dégage sa queue déjà gorgée de sang, bien raide et l'enfonce dans l'anus de la soumise, qui espérait peut-être être prise d’abord par la chatte... Bien éduquée, elle n'émet aucun son, aucune plainte, aucun gémissement... L'homme s'applique à l'enculer profondément. Il donne de violents coups de reins et ahane sous l'effort. On aurait cru qu'il voulait parvenir à faire bouger la table par la seule force de ses coups de boutoir dans le trou du cul de la femelle. Mais la table est parfaitement lourde pour ne pas bouger et c'est la chienne qui reçoit toute la puissance mise par l'homme dans son déhanchement profond de sodomite. Cela dure de longues minutes, jusqu'à ce que l'homme lâche un long râle rauque se vidant les couilles dans les entrailles de la belle en un ultime et puissant coup de reins... La fille n'a toujours pas émis le moindre son... seul flotte dans l'air des rires gras des hommes qui assistent à la scène en attendant leur tour. Celui qui vient de se soulager s'approche d’un esclave mâle tout juste sortit d’une saillie ‘sodominatrice’ par un autre dominant, le sperme sortant et coulant encore entre ses fesses. Le sexe toujours sorti du Dominant, poisseux de son sperme et des sécrétions anales de la soumise femelle vient tout près du mâle esclave et enfonce sa queue dans sa bouche que le mors métallique maintient largement ouverte.

Le sexe de l'homme va et vient, s'enfonce dans sa bouche, jusqu'au fond de la gorge. L’esclave sent son jus qui se dépose sur sa langue, partout à l'intérieur de sa cavité buccale... tandis qu'il nettoie ainsi son sexe, un autre Dominant en rut a déjà entreprit d'enculer la femme à son tour, toujours solidement attachée à la table. L'homme qui prend le cul de la femelle est bruyant et il prononce des mots crus... Ensuite l’esclave mâle sert de trous à bites pour nettoyer chaque sexe d'hommes qui venaient d'enculer la femelle ! La séquence dure, dure, dure longtemps... Les hommes se succèdent ainsi, d'abord dans le cul de la femelle, ensuite dans la bouche du mâle, y déversant leur jus épais et leur plaisir nocturne.... Alors que tout autour des scènes similaires ou encore plus perverses se déroulent dans une soirée orgiaque extraordinaire…

Pendant cette orgie, le Seigneur d'Evans propose à celles et ceux qui sont restés pour le moment spectateurs, un peu à l’écart, ceux n’osant bouger sans un geste d’encouragement du Seigneur, c’est-à-dire Antonin et Kate ainsi que Clémence, Alix, Louis-Etienne et son fils de continuer la soirée dans une pièce plus adaptée à la discussion (le petit salon privé).

- Bien volontiers Messire d’Evans, répondirent-ils

Ils se dirigent alors vers le salon privé. Une fois arrivés, ils prennent place mais Alix reste figée, elle est certes une invitée mais elle s'est toujours conduite en soumise dans ce lieu et ne sais comment se comporter. Louis-Etienne s'en aperçoit et lui fit en souriant :

- Et bien Alix que vous arrive t'il ?

Elle croise de regard du Seigneur qui lui sourit également, elle comprend que ce soir elle ne sera pas soumise et répond poliment à son frère

- Tout va bien, merci j'admirais la beauté du lieu…

Les conversations vont bon train durant de longues heures alors que dans la grande salle du Château, les convives s’en donnent à cœur joie dans la débauche et la luxure sexuelle. Quand, se faisant tard, Louis-Etienne décide de ne pas participer à l’orgie qui lui est proposée, il est fatigué et décide de prendre congé et de rentrer avec ses deux sœurs à qui il impose le retour. Le Seigneur d’Evans les raccompagne jusqu'à la porte mais au moment de partir, il dit à Louis-Etienne :

- Je sais que cela n'était pas prévu mais pouvez-vous prévenir Madame votre mère que je garde Alix au Château ce soir …
- Bien sûr, Sire cela sera fait selon Votre volonté…

(A suivre…)

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