La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1228)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1228)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1186) –
Vanessa est épanouie et heureuse de son état … Les jours passent et le couple reprend un rythme de vie vanille. Vanessa n’en oubliant pas sa condition pour autant puisqu’elle s’applique à écrire chaque soir au Maître, lui relatant ses journées, ses états d’âmes, ses envies même parfois, tout en restant consciente qu’Il y répondra favorablement (ou pas) seulement lorsqu’Il le décidera, même si elle espère avoir de nouveau le droit de jouir prochainement… Un matin à la caserne des pompiers, dès l’aube après une nuit de garde, Vanessa est dans la salle de sport, occupée à faire ses séries d’abdominaux quotidiennes au rythme d’une musique d’Eminem, pendant que ses collègues dorment encore, fatigués d’une nuit bien agitée par diverses interventions. Soudain la musique se coupe, elle tourne la tête vers les enceintes, un air fâché, prête à réprimander un de ses collègues taquin, lorsqu’elle voit le Noble accompagné d’une jeune femme d’environ son âge vêtue d’un chemisier et d’une jupe courte.
- Maître … Heu … Monsieur Le Marquis, bonjour, que nous vaut l’honneur de votre visite, dit la jeune femme en se relevant et en s’inclinant avec respect.
- Bonjour Vanessa, sourit le Châtelain, ce n’est pas la musique que tu as l’habitude d’apprécier lorsque tu me rends visite au Château.
- En effet Monsieur Le Marquis, mais Choplin ou Bethov sont moins entraînants, sourit la jeune femme.
- C’est défendable, mais je viens pour un tout autre sujet : Te présenter Sophie, elle sera en stage ici pendant un mois.
- En stage de… ?
- … de secrétariat, auprès de Carole, sous la directive de Monsieur Le Commandant.
Vanessa sourit, elle comprend quelle est la nature des relations qui lie cette jeune femme au Maître.
- Je vois, c’est donc une de Vos soumises, sourit-elle avec un air complice, s’autorisant cette réflexion, n’étant pas dans un contexte D/s par le fait qu’elle soit à la caserne dans son milieu professionnel comme ce fait avait été autorisé il y a déjà longtemps par le Noble.
A ces mots, Sophie baisse la tête comprenant qu’elle est face à un autre membre de la Communauté D/s. Elle pense avoir la certitude de Vanessa est dominante à l’entendre s’exprimer avec autant d’assurance envers le Maître.
- Comment as-tu deviné ?, sourit le Châtelain sur un ton joueur.
- Voyons Maître, auprès de Carole, sous la directive du Commandant, et Vous venez Vous donner la peine de me la présenter, en personne, il va de soi qu’elle fait partie de notre cercle et, à son attitude effacée, elle n’est certainement pas dominante.
- Belle déduction soumise Keira MDE, sourit Le Noble.
Sophie écoute la conversation, surprise de réaliser que la jeune femme en face d’eux est une de ses sœurs de soumission.
- Souhaitez-Vous que nous continuions la discussion dans le bureau du Commandant, nous serions plus à l’aise pour parler de certaines choses, propose Vanessa qui comprends que son milieu professionnel devra vite se transformer pour un instant en milieu D/s, si tel est l’exigence du Maître.
- Nous te suivons, accepte Le Noble.
Vanessa les précède dans les couloirs de la caserne, jusqu’au bureau du Commandant. Carole et Laurent, n’étant pas encore arrivés, elle va directement dans le bureau de son compagnon, l’ouvre avec la clé qu’il lui a confiée et ferme derrière eux. Elle propose un siège au Noble qui s’assoit, Sophie s’agenouillant à ses côtés, Vanessa s’apprête à faire de même, mais Il la stoppe.
- Non, prends un siège, je viens parler au sergent et à la femme de mon ami, pas à la soumise.
- Ah ?, répond Vanessa un peu déçue car elle pensait déjà se mettre au plus vite en mode de soumission … Bien Maître... Donc si Vous venez en personne Vous donner la peine de me la présenter, c’est que Vous attendez quelque chose de moi, n’est-ce pas, s’autorise-t-elle à interroger, d’un ton respectueux en s’asseyant en face de Lui.
- Effectivement. Sophie est à Mes pieds depuis bien plus longtemps que toi, et tout comme toi elle a une vie vanille, donc je ne la sollicite pas tous les jours. Hier j’ai décidé de lui faire la surprise de venir, en personne, chez elle, après plus de deux mois sans la voir. Cette visite aurait dû être une surprise agréable pour elle, si elle ne s’était pas relâchée autant… gronde Monsieur Le Marquis pour accentuer le sentiment de culpabilité de Sophie.
- Relâchée ?
- soumise, explique donc ! ordonne Le Noble à Sophie.
- Je…je suis indigne de porter la marque du Maître…sanglote-t-elle... J’ai…je … je n’étais pas parfaitement… lisse…balbutie-t-elle, je me suis laissée allée, oubliant que même en l’absence du Maître, je me dois d’être apprêtée comme le Maître le désir…
Vanessa sourit, ne pouvant s’empêcher de penser qu’à ses débuts, elle aussi a fait cette erreur, elle se rappelle qu’au lieu de la sanctionner Le Maître lui avait offert un rosebud marqué de Ses trois lettres, pour lui rappeler qu’elle Lui appartient en toutes circonstances. Mais cette jeune femme est une soumise MDE, elle porte la marque, elle ne devrait plus faire ce genre de faute.
- Et ?, questionne Vanessa sachant que ce n’est pas pour cette raison qu’elle est ici.
- Et…je l’ai accueilli dans une maison en désordre…
- En désordre ?, gronde Monsieur Le Marquis.
- Pas très propre, se reprend la jeune femme.
- Mes écuries sont plus propres ! souligne Le Noble.
- On pourrait manger sur le sol de Vos écuries, Maître, sourit Vanessa pour dédramatiser la situation.
- C’est un fait, mais pas sur celui de sa maison !
Disant ceci, Le Noble tend son téléphone à Vanessa pour illustrer ses propos par les photos de la maison de Sophie. La jeune femme découvre une maison sans dessus-dessous, dans la chambre un lit défait et des vêtements qui jonchent le sol, dans le salon un tas de linge phénoménal qui s’entasse sur une table à repasser, mais c’est la cuisine qui retient le plus son attention. Vanessa ne peut s’empêcher de penser à Marie, la cuisinière du Château, elle entrerait dans une fureur noire en découvrant un plan de travail et une table de cuisson aussi encrassé, un tas de vaisselle sales aux assiettes empilées... Elle rend le téléphone au Maître.
- Donc si j’ai bien compris Vous Vous êtes dit que la rigueur d’une caserne aiderait Votre soumise à apprendre l’ordre et la propreté… Maître, si Vous me permettez cette question, pourquoi ici ? Elle aurait appris aussi bien si ce n’est mieux, auprès de Madame Marie dans Vos cuisines, elle n’a pas son pareil pour inculquer le rangement et la propreté, c’est une grande éducatrice dans ce domaine aussi.
- Je suis heureux de constater que tu apprécies la qualité de Mes employés. Tout simplement parce que ce n’est pas la raison principale pour laquelle elle se trouve ici.
- Ah ?
- soumise, explique le réel relâchement que je ne peux pas tolérer !
- Je…j’ai…j’ai grossit…dit-elle d’une faible voix.
- De combien ? interroge Vanessa.
- 9 kilos, répond-t-elle timidement.
- En seulement deux mois ?
- Oui… Je … je n’ai fait que grignoter devant la télévision et je reconnais m’êtres goinfrer de pizzas et soda …
- En effet, c’est un sacré relâchement… souligne Vanessa accentuant le sentiment de honte de la jeune femme.
Vanessa comprend que Le Maître veut qu’elle entraîne la jeune femme avec elle dans ses entraînements quotidiens, mais elle ne comprend pas en quoi le poids de Sophie est gênant, Il a des esclaves bien plus enveloppés qu’elle. Le Noble qui la connait bien, voit à son expression qu’elle a des interrogations.
- Un souci Vanessa ?, interroge-t-Il.
- Non, Maître, aucun.
- Je vois bien que tu es interpellée par quelque chose, insiste-t-Il.
- Je n’avais pas remarqué que le poids de Vos soumis était un souci, Vous avez des esclaves bien plus enrobés qu’elle.
- Effectivement, mais je les ai connus ainsi, ils n’ont pas pris presque 10 kg sous Mon joug. Ce que je ne tolère pas, n’est pas son poids, mais son relâchement, c’est indigne d’une soumise MDE.
- Je comprends, donc vous comptez sur moi pour l’entraîner ici même ?
- Oui, ce stage est un prétexte pour qu’elle te suive ici, je te la confie un mois 24h/24, elle te suivra partout, chez toi lors de tes périodes de repos, à la caserne lors de tes entraînements, et lorsque tu seras en intervention Carole s’en chargera. Je compte sur toi pour lui apprendre la rigueur d’une vie saine et ordonnée et, comme tu ne m’as jamais déçu dans les missions que je t’ai confiées, je sais que tu y parviendras.
- En seulement un mois Maître ?, c’est très court.
- Pour toute autre femme peut-être, mais c’est une soumise MDE, et Le Commandant pourra sanctionner chacun de ses écarts ou laissé-allés. De ton côté, tu devras lui faire part immédiatement de toutes ses fautes sans en omettre une seule, mais je pense que maintenant tu n’es plus tentée de protéger un esclave en taisant ses fautes, sourit Le Noble.
- Effectivement Maître, répond la jeune femme ayant le souvenir cuisant de la sanction appliquée par son compagnon pour avoir fait silence sur la faute d’un soumis, encore présent dans son esprit.
- Bien évidemment, elle se comportera en soumise en dehors de la caserne, elle va habiter la demeure d’un Maître, elle n’est pas une invitée mais une soumise en stage de rééducation.
- Bien Maître.
- Donc voici les règles, soumise Sophie MDE : en ces lieux tu nommeras mon ami Commandant, et sa femme Sergent, en leur demeure, ce sera Monsieur et Madame, c’est un des meilleurs éducateurs de notre Cercle, je puis t’assurer qu’il sanctionnera sans état d’âme tous tes écarts. Est-ce clair ?
- Oui Maître.
- Maintenant la chienne à rééduquer, vas patienter à genoux au coin là-bas, face au mur, les mains derrière la tête…
(A suivre…)
Vanessa est épanouie et heureuse de son état … Les jours passent et le couple reprend un rythme de vie vanille. Vanessa n’en oubliant pas sa condition pour autant puisqu’elle s’applique à écrire chaque soir au Maître, lui relatant ses journées, ses états d’âmes, ses envies même parfois, tout en restant consciente qu’Il y répondra favorablement (ou pas) seulement lorsqu’Il le décidera, même si elle espère avoir de nouveau le droit de jouir prochainement… Un matin à la caserne des pompiers, dès l’aube après une nuit de garde, Vanessa est dans la salle de sport, occupée à faire ses séries d’abdominaux quotidiennes au rythme d’une musique d’Eminem, pendant que ses collègues dorment encore, fatigués d’une nuit bien agitée par diverses interventions. Soudain la musique se coupe, elle tourne la tête vers les enceintes, un air fâché, prête à réprimander un de ses collègues taquin, lorsqu’elle voit le Noble accompagné d’une jeune femme d’environ son âge vêtue d’un chemisier et d’une jupe courte.
- Maître … Heu … Monsieur Le Marquis, bonjour, que nous vaut l’honneur de votre visite, dit la jeune femme en se relevant et en s’inclinant avec respect.
- Bonjour Vanessa, sourit le Châtelain, ce n’est pas la musique que tu as l’habitude d’apprécier lorsque tu me rends visite au Château.
- En effet Monsieur Le Marquis, mais Choplin ou Bethov sont moins entraînants, sourit la jeune femme.
- C’est défendable, mais je viens pour un tout autre sujet : Te présenter Sophie, elle sera en stage ici pendant un mois.
- En stage de… ?
- … de secrétariat, auprès de Carole, sous la directive de Monsieur Le Commandant.
Vanessa sourit, elle comprend quelle est la nature des relations qui lie cette jeune femme au Maître.
- Je vois, c’est donc une de Vos soumises, sourit-elle avec un air complice, s’autorisant cette réflexion, n’étant pas dans un contexte D/s par le fait qu’elle soit à la caserne dans son milieu professionnel comme ce fait avait été autorisé il y a déjà longtemps par le Noble.
A ces mots, Sophie baisse la tête comprenant qu’elle est face à un autre membre de la Communauté D/s. Elle pense avoir la certitude de Vanessa est dominante à l’entendre s’exprimer avec autant d’assurance envers le Maître.
- Comment as-tu deviné ?, sourit le Châtelain sur un ton joueur.
- Voyons Maître, auprès de Carole, sous la directive du Commandant, et Vous venez Vous donner la peine de me la présenter, en personne, il va de soi qu’elle fait partie de notre cercle et, à son attitude effacée, elle n’est certainement pas dominante.
- Belle déduction soumise Keira MDE, sourit Le Noble.
Sophie écoute la conversation, surprise de réaliser que la jeune femme en face d’eux est une de ses sœurs de soumission.
- Souhaitez-Vous que nous continuions la discussion dans le bureau du Commandant, nous serions plus à l’aise pour parler de certaines choses, propose Vanessa qui comprends que son milieu professionnel devra vite se transformer pour un instant en milieu D/s, si tel est l’exigence du Maître.
- Nous te suivons, accepte Le Noble.
Vanessa les précède dans les couloirs de la caserne, jusqu’au bureau du Commandant. Carole et Laurent, n’étant pas encore arrivés, elle va directement dans le bureau de son compagnon, l’ouvre avec la clé qu’il lui a confiée et ferme derrière eux. Elle propose un siège au Noble qui s’assoit, Sophie s’agenouillant à ses côtés, Vanessa s’apprête à faire de même, mais Il la stoppe.
- Non, prends un siège, je viens parler au sergent et à la femme de mon ami, pas à la soumise.
- Ah ?, répond Vanessa un peu déçue car elle pensait déjà se mettre au plus vite en mode de soumission … Bien Maître... Donc si Vous venez en personne Vous donner la peine de me la présenter, c’est que Vous attendez quelque chose de moi, n’est-ce pas, s’autorise-t-elle à interroger, d’un ton respectueux en s’asseyant en face de Lui.
- Effectivement. Sophie est à Mes pieds depuis bien plus longtemps que toi, et tout comme toi elle a une vie vanille, donc je ne la sollicite pas tous les jours. Hier j’ai décidé de lui faire la surprise de venir, en personne, chez elle, après plus de deux mois sans la voir. Cette visite aurait dû être une surprise agréable pour elle, si elle ne s’était pas relâchée autant… gronde Monsieur Le Marquis pour accentuer le sentiment de culpabilité de Sophie.
- Relâchée ?
- soumise, explique donc ! ordonne Le Noble à Sophie.
- Je…je suis indigne de porter la marque du Maître…sanglote-t-elle... J’ai…je … je n’étais pas parfaitement… lisse…balbutie-t-elle, je me suis laissée allée, oubliant que même en l’absence du Maître, je me dois d’être apprêtée comme le Maître le désir…
Vanessa sourit, ne pouvant s’empêcher de penser qu’à ses débuts, elle aussi a fait cette erreur, elle se rappelle qu’au lieu de la sanctionner Le Maître lui avait offert un rosebud marqué de Ses trois lettres, pour lui rappeler qu’elle Lui appartient en toutes circonstances. Mais cette jeune femme est une soumise MDE, elle porte la marque, elle ne devrait plus faire ce genre de faute.
- Et ?, questionne Vanessa sachant que ce n’est pas pour cette raison qu’elle est ici.
- Et…je l’ai accueilli dans une maison en désordre…
- En désordre ?, gronde Monsieur Le Marquis.
- Pas très propre, se reprend la jeune femme.
- Mes écuries sont plus propres ! souligne Le Noble.
- On pourrait manger sur le sol de Vos écuries, Maître, sourit Vanessa pour dédramatiser la situation.
- C’est un fait, mais pas sur celui de sa maison !
Disant ceci, Le Noble tend son téléphone à Vanessa pour illustrer ses propos par les photos de la maison de Sophie. La jeune femme découvre une maison sans dessus-dessous, dans la chambre un lit défait et des vêtements qui jonchent le sol, dans le salon un tas de linge phénoménal qui s’entasse sur une table à repasser, mais c’est la cuisine qui retient le plus son attention. Vanessa ne peut s’empêcher de penser à Marie, la cuisinière du Château, elle entrerait dans une fureur noire en découvrant un plan de travail et une table de cuisson aussi encrassé, un tas de vaisselle sales aux assiettes empilées... Elle rend le téléphone au Maître.
- Donc si j’ai bien compris Vous Vous êtes dit que la rigueur d’une caserne aiderait Votre soumise à apprendre l’ordre et la propreté… Maître, si Vous me permettez cette question, pourquoi ici ? Elle aurait appris aussi bien si ce n’est mieux, auprès de Madame Marie dans Vos cuisines, elle n’a pas son pareil pour inculquer le rangement et la propreté, c’est une grande éducatrice dans ce domaine aussi.
- Je suis heureux de constater que tu apprécies la qualité de Mes employés. Tout simplement parce que ce n’est pas la raison principale pour laquelle elle se trouve ici.
- Ah ?
- soumise, explique le réel relâchement que je ne peux pas tolérer !
- Je…j’ai…j’ai grossit…dit-elle d’une faible voix.
- De combien ? interroge Vanessa.
- 9 kilos, répond-t-elle timidement.
- En seulement deux mois ?
- Oui… Je … je n’ai fait que grignoter devant la télévision et je reconnais m’êtres goinfrer de pizzas et soda …
- En effet, c’est un sacré relâchement… souligne Vanessa accentuant le sentiment de honte de la jeune femme.
Vanessa comprend que Le Maître veut qu’elle entraîne la jeune femme avec elle dans ses entraînements quotidiens, mais elle ne comprend pas en quoi le poids de Sophie est gênant, Il a des esclaves bien plus enveloppés qu’elle. Le Noble qui la connait bien, voit à son expression qu’elle a des interrogations.
- Un souci Vanessa ?, interroge-t-Il.
- Non, Maître, aucun.
- Je vois bien que tu es interpellée par quelque chose, insiste-t-Il.
- Je n’avais pas remarqué que le poids de Vos soumis était un souci, Vous avez des esclaves bien plus enrobés qu’elle.
- Effectivement, mais je les ai connus ainsi, ils n’ont pas pris presque 10 kg sous Mon joug. Ce que je ne tolère pas, n’est pas son poids, mais son relâchement, c’est indigne d’une soumise MDE.
- Je comprends, donc vous comptez sur moi pour l’entraîner ici même ?
- Oui, ce stage est un prétexte pour qu’elle te suive ici, je te la confie un mois 24h/24, elle te suivra partout, chez toi lors de tes périodes de repos, à la caserne lors de tes entraînements, et lorsque tu seras en intervention Carole s’en chargera. Je compte sur toi pour lui apprendre la rigueur d’une vie saine et ordonnée et, comme tu ne m’as jamais déçu dans les missions que je t’ai confiées, je sais que tu y parviendras.
- En seulement un mois Maître ?, c’est très court.
- Pour toute autre femme peut-être, mais c’est une soumise MDE, et Le Commandant pourra sanctionner chacun de ses écarts ou laissé-allés. De ton côté, tu devras lui faire part immédiatement de toutes ses fautes sans en omettre une seule, mais je pense que maintenant tu n’es plus tentée de protéger un esclave en taisant ses fautes, sourit Le Noble.
- Effectivement Maître, répond la jeune femme ayant le souvenir cuisant de la sanction appliquée par son compagnon pour avoir fait silence sur la faute d’un soumis, encore présent dans son esprit.
- Bien évidemment, elle se comportera en soumise en dehors de la caserne, elle va habiter la demeure d’un Maître, elle n’est pas une invitée mais une soumise en stage de rééducation.
- Bien Maître.
- Donc voici les règles, soumise Sophie MDE : en ces lieux tu nommeras mon ami Commandant, et sa femme Sergent, en leur demeure, ce sera Monsieur et Madame, c’est un des meilleurs éducateurs de notre Cercle, je puis t’assurer qu’il sanctionnera sans état d’âme tous tes écarts. Est-ce clair ?
- Oui Maître.
- Maintenant la chienne à rééduquer, vas patienter à genoux au coin là-bas, face au mur, les mains derrière la tête…
(A suivre…)
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