La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1272)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1272)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1271) –
Vanessa prenant librement part à la conversation, collée à Laurent, le serrant amoureusement… L’heure du repas approchant, ils se dirigent vers la salle à manger, chacun prenant la place qui leur est réservée. Ils dînent en toute convivialité, parlant surtout de sujets philosophiques et d’Art où le Maître explique une partie de la vie de Rembrandt Harmenszoon van Rijn, habituellement plus connu sou le nom de Rembrandt et comment ce génie de la peinture est rentré à l'École hollandaise du XVIIe siècle. Vanessa très attentive s’enrichissant de l’impressionnante et grande culture générale du Noble en prenant part activement à la conversation posant beaucoup de questions aux réponses instructives du Châtelain. Celui-ci apprécie aussi de la voir parler aussi librement, de pouvoir profiter de sa réflexion à s’instruire sans barrières. Le dîner préparé par Marie est servi par deux esclaves entièrement nus, seulement parés de leurs colliers, un mâle à la nouille encagée et une femelle à la ceinture de chasteté que Vanessa a déjà croisé. Elle se sent mal à l’aise de se faire servir ainsi par ses frères et sœurs de soumission, ce qui n’échappe pas au Noble qui s’en amuse.
- Vanessa tu n’as pas l’air d’apprécier entièrement ce repas. Si tu le désires, je peux faire venir ma cuisinière pour que tu puisses lui faire part de ce qui ne convient pas dans ses plats de ce soir, dit-Il d’un ton humoristique.
- Oh Maître, je suis désolée, je ne voulais pas paraître désagréable, je Vous remercie de Votre hospitalité, c’est simplement qu’il m’est encore parfois difficile d’accepter d’être à cette place.
- Eh bien, j’espère que ce que j’ai prévu avec le dessert t’aidera à te décontracter, sourit-Il.
Sur ces mots, il frappe dans les mains et aussitôt les deux esclaves amènent le dessert, ils sont suivis d’un serviteur qui tient en laisse deux esclaves, un mâle et une femelle. Il les détache devant Le Noble, puis quitte la pièce sans un mot, dans un parfait silence.
- Vanessa, cette femelle est pour toi, elle va rattraper la maladresse du chien novice au Chenil, que tu puisses obtenir la jouissance que je t’ai autorisée. Aux dires des différentes Maîtresses qui ont pu la tester, elle fait partie de mes meilleures lécheuses de chattes et sa langue fait des merveilles.
Le Noble claque des doigts et aussitôt l’esclave passe sous la table, venant se placer entre les jambes de Vanessa, elle passe sa tête sous sa robe, sa langue venant chercher son sexe, Vanessa ne portant pas de culotte.
- Laurent, pendant ce temps, j’aimerais ton avis sur cet esclave mâle, il est à l’essai et pourrait rejoindre Mon Cheptel un jour, s’il parvient à s’en montrer digne.
- Avec plaisir, cher Edouard.
Le Noble claque de nouveau des doigts, et l’esclave mâle passe sous la table se placer entre les jambes du Commandant. Laurent ouvre son pantalon pour en sortir son sexe dressé que l’esclave s’empresse de prendre en bouche, voulant prouver à l’ami du Maître qu’il mérite sa place à Ses pieds. Durant ce temps, Vanessa semble apprécier les caresses buccales de l’esclave femelle, puisqu’elle ne tarde pas à émettre de petits gémissements, ce qui satisfait Monsieur Le Marquis. Elle donne de petits coups de langues autour du clitoris de Vanessa, prenant le temps de lécher ce sexe luisant, introduisant sa langue avec, visiblement, un grand savoir-faire. Elle s’applique pour permettre à l’invitée du Maître de prendre le plaisir autorisé. Après de longues et sublimes minutes, c’est le souffle de Vanessa qui se fait plus haletant, et elle finit par jouir, lâchant son orgasme fort sous les coups de langue de la jeune esclave. Cette dernière nettoie consciencieusement le sexe de Vanessa, avant de se retirer pour se placer aux pieds du Noble.
- Alors Vanessa, qu’en as-tu pensé ?
- Merci Maître pour ce si bon cadeau.
- N’est-elle pas la meilleure pour la caresse buccale ?
- Je n’ai que peu de points de comparaison Maître, mais elle est douée à n’en pas douter, sa langue est divine...
De son côté Laurent a pris la tête du mâle entre ses mains pour imprimer lui-même le rythme, le forçant à le prendre profondément en bouche, imposant une difficile gorge profonde qu’il supporte sans broncher. Après de longues minutes, Laurent se vide dans sa bouche en lâchant de longs râles alors que sa verge dressée éjecte tout un flot saccadé de sperme chaud au fond de la gorge de l’esclave qui avale sans montrer une quelconque gêne.
- Et toi Laurent ?
- Il a encore beaucoup de travail pour mériter d’entrer dans Votre Cheptel, mais pour un esclave à l’essai, il y met de la bonne volonté, de la motivation, c’est une évidence et aussi il y a là du potentiel, dit-il alors que l’esclave termine de nettoyer la verge qui se ramollit.
- Parfait, allons prendre le thé dans mon salon privé.
Ils quittent la salle de réception, laissant là les deux esclaves, qu’un serviteur viendra récupérer après leur départ. Le couple suit le Noble jusqu’au salon où le thé est déjà servi. Ils conversent sur les préparatifs du mariage. Mais Vanessa ne semble pas avoir l’esprit totalement présent, comme si une partie d’elle songeait à autre chose.
- Vanessa, je t’écoute, intervient Le Noble.
- A quel sujet Maître ?
- Au sujet de ce qui te taraude l’esprit au point que l’on puisse penser que ton mariage ne t’intéresse pas, sourit-Il.
- Ce n’est rien Maître.
- Tu ne comptes pas me faire insister pour obtenir la réponse que je veux, accuse-t-Il.
- Je me demandais simplement comment vous définissiez les meilleurs de vos esclaves.
Le Noble sourit, connaissant le côté perfectionniste de la jeune femme et son esprit de compétition, il aurait dû se douter que cette question lui viendrait à l’esprit.
- Eh bien, c’est Moi seul qui définit les meilleurs de Mes esclaves et soumis, avec l’avis parfois de mes plus proches collaborateurs comme Walter et Marie. Mais pour répondre à la véritable question que tu te poses, tu fais partie de Mes meilleures soumises dans bien des domaines, on ne devient pas un de Mes favoris sans raison.
- Je … Je … suis … très touchée … Et merci Maître.
- De ?
- De me donner ces informations que Vous n’êtes pas tenu de me fournir.
- Je ne donne jamais rien, qui ne soit…, commence-t-Il souriant sans terminer sa phrase.
Vanessa sourit à son tour, connaissant la fin de la phrase, heureuse d’appartenir à Monsieur Le Marquis. Ils reprennent la conversation sur les préparatifs du mariage, Vanessa y prenant part désormais plus activement, puis l’heure avançant, le couple décide de prendre congé.
- Edouard, nous te remercions pour ton hospitalité toujours aussi parfaite et tellement appréciée, mais nous allons rentrer, il commence à se faire tard et, nous travaillons tous deux demain.
- Entendu, c’est toujours un plaisir de vous recevoir.
Le Noble raccompagne le couple jusqu’au bas du perron, ils montent dans leur voiture et, quittent le Domaine après avoir salué une dernière fois Monsieur Le Marquis. Avant de passer la grande grille tout au fond du grand parc, Vanessa voit dans une allée de la forêt, le garde forestier qui traîne à sa suite une esclave femelle vers sa demeure, la maison du Garde-Chasse. Elle ne peut s’empêcher de repenser à la fois où elle avait été livrée à cet homme, à sa dureté et quelque chose en elle prend pitié pour sa sœur de soumission qui va y passer la nuit. Elle réalise qu’elle a une place très privilégiée auprès du Maître, en tant que soumise, puisqu’elle fait partie de Ses favorites, mais également en tant que femme comme une proche dans son cercle d’amis, pour les nombreuses fois où Il la reçoit libre au château… Un long moment se passe durant le trajet du retour quand Vanessa songe encore à cette situation un peu particulière, se demandant si elle mérite véritablement cette place et si elle n’en profite pas trop. Laurent qui conduit, peu habitué à l’avoir aussi silencieuse, comprend qu’elle est perdue dans ses pensées.
- Ma chérie, qu’est-ce qui te taraude l’esprit à ce point ?, sourit-il.
- Rien, rien, tout va bien, répond-t-elle d’une voix rassurante.
- Tu es la plus mauvaise menteuse que je n’ai jamais rencontrée, s’amuse-t-il.
- Rien de grave, reprend-t-elle.
- Mais encore, insiste-t-il.
- Je pensais à ma place auprès de Monsieur Le Marquis en tant que femme et auprès du Maître en tant que soumise MDE.
- Ah c’est intéressant, tu me fais partager tes réflexions, demande Laurent.
- Eh bien, Il m’octroie un grand nombre de privilèges, je suis une de Ses favorites, pourtant je n’ai rien fait de particulier pour mériter cet honneur. Je suis la seule de Ses soumises qu’Il invite ainsi en tant que femme, me faisant partager son repas sur un même pied d’égalité, me faisant monter à cheval, me laissant prendre part à Vos activités et conversations de dominants. Il daigne aussi m’enrichir l’esprit de sa grande culture générale, comme par exemple tout à l’heure en nous parlant de la vie de Rembrandt… J’apprécie énormément cette chance, mais parfois je me demande si je n’en profite pas trop et si mon comportement dans ces moments est bien digne d’une soumise MDE.
Laurent sourit à cette réflexion, plus il découvre ses pensées, plus il l’aime, il réalise à quel point il a la chance qu’elle soit sa compagne… Il arrive devant le portail de la maison, se gare, puis se tourne vers elle pour plonger son regard dans le sien.
- C’est justement parce que tu restes consciente de l’honneur qu’il te fait et que tu t’interroges sur ce fait, que je puis t’assurer que tu es bien digne de porter Sa marque. Malgré la place qu’il t’a octroyée aujourd’hui, tu as su rester respectueuse, dans tes gestes, dans tes paroles, dans ta façon de te placer face à lui, ou de lui adresser la parole. On voit à chaque seconde que tu n’oublies pas ta place et, que tu assumes pleinement ce que tu es. Il te le répète assez souvent, il n’offre jamais rien qui ne soit mérité, tu devrais en prendre conscience. Et sache que si un jour, ton comportement même en tant que femme invitée en Sa Demeure, venait à lui déplaire, il saurait te le faire comprendre dans la seconde, sans même avoir à prononcer un seul mot. Ce n’est pas un très Grand Maître pour rien…
Vanessa sourit, oui elle n’en doute pas, un seul regard du Maître suffit pour comprendre son mécontentement. Elle se détend rassurée par les mots lucides de son compagnon, l’accompagnant jusqu’à la chambre pour y passer la nuit…. Quelques jours plus tard, en arrivant au travail, Vanessa se rend compte sur le planning général que ses dates de vacances ont été posées sans qu’elle soit consultée. Elle se rend dans le bureau de l’officier chargé du personnel.
- Mon lieutenant, bonjour.
- Vanessa, que puis-je pour toi ?
- J’ai vu que des vacances avaient été posées en avril me concernant, mais je ne me souviens pas les avoir demandées.
- Effectivement, l’ordre vient de plus haut, sourit Le Lieutenant, faisant comprendre à Vanessa que Laurent n’est pas étranger à l’affaire.
- Je vois, je vous remercie, bonne journée.
La jeune femme quitte le bureau du lieutenant et file dans celui de son compagnon.
- Carole, bonjour, je peux le déranger ?
- Oui, il est seul, je t’en prie.
Vanessa frappe et entre sans attendre de réponse dans le bureau de son Commandant. Il lève la tête surpris de cette irruption, puis sourit en la découvrant.
- Hum, depuis quand entre-t-on sans autorisation dans le bureau de son commandant, s’amuse-t-il.
- Depuis que ce bureau est celui de mon compagnon, répond-t-elle le sourire aux lèvres.
Le Commandant se lève et vient l’embrasser, puis plonge son regard dans ses yeux, y voyant une pointe d’anxiété.
- Ça ne va pas ?, s’inquiète-t-il.
- Si, si.
- Allons pas à moi, qu’elle est la véritable raison de ta venue, s’amuse-t-il.
- Je n’ai rien contre le fait que tu prennes des décisions me concernant ici, mais on était d’accord pour que tu m’en parles avant.
- Oui, et c’est ce que je fais toujours.
- Sauf pour mes vacances, celles qui ont été posées en avril, le lieutenant m’a dit que cela venait d’en haut.
- Effectivement.
- Et tu ne m’en as pas parlé avant.
- Parce que cela vient encore de plus haut que moi, sourit-il.
- Tu vas me faire croire, que notre Colonel s’intéresse à mes vacances ?
- Non, pas notre Colonel.
- Dois-je te rappeler que tu es Commandant, il n’y a pas beaucoup de monde au-dessus de toi, sourit-elle.
- Pas ici non, mais dans un autre de nos mondes oui, sourit Laurent.
- Tu veux dire que…qu’Il a besoin de ma présence au Château durant 15 jours ?, comprend la jeune femme.
- Pas au Château non, il part en vacances dans une de Ses résidences, il veut t’avoir à Ses côtés.
- D’accord, répond Vanessa d’un ton pensif.
- Hum, tu n’as pas l’air enjouée, c’est un sacré privilège qu’Il t’accorde, tu sais tout Son Cheptel ne le suit pas en vacances, même Ses favoris n’ont pas tous cette chance.
- Si, si, je suis heureuse de ce suprême honneur, vraiment, c’est juste que 15 jours sans pouvoir faire mes séances de sport, j’ai peur de perdre la forme.
Laurent sourit, décidément elle le surprendra toujours par ses réactions, il n’avait pas pensé à ça, mais ne doute pas que son ami saura prendre en compte cet impératif.
- Ne t’en fais pas, tu auras des moments pour garder la forme, Edouard pense toujours à tout, sourit Laurent en l’embrassant, je crois même savoir que dans chacune de ses résidences, il y a une salle de sport et une piscine, sans compter les parcs arborés pour faire du footing...
Mais elle n’a pas le temps de répondre, le bip à sa ceinture l’appelant en intervention, elle se contente de quitter son bureau en lui souriant. Laurent décide d’informer Le Noble de cet échange avec sa compagne et de la nécessité pour Vanessa d’avoir des séances de sport régulières, afin qu’Il puisse le prévoir dans le planning de ses vacances. Monsieur Le Marquis sourit en lisant ce mail, Il y avait pensé et compte en informer la jeune femme lors de sa prochaine venue, qu’elle soit rassurée pour cette période à venir qui s’annonce déjà comme magique pour Vanessa afin qu'elle puisse être aux côtés du Maitre et vivre sa soumission laquelle elle a tant besoin ……
(A suivre …)
Vanessa prenant librement part à la conversation, collée à Laurent, le serrant amoureusement… L’heure du repas approchant, ils se dirigent vers la salle à manger, chacun prenant la place qui leur est réservée. Ils dînent en toute convivialité, parlant surtout de sujets philosophiques et d’Art où le Maître explique une partie de la vie de Rembrandt Harmenszoon van Rijn, habituellement plus connu sou le nom de Rembrandt et comment ce génie de la peinture est rentré à l'École hollandaise du XVIIe siècle. Vanessa très attentive s’enrichissant de l’impressionnante et grande culture générale du Noble en prenant part activement à la conversation posant beaucoup de questions aux réponses instructives du Châtelain. Celui-ci apprécie aussi de la voir parler aussi librement, de pouvoir profiter de sa réflexion à s’instruire sans barrières. Le dîner préparé par Marie est servi par deux esclaves entièrement nus, seulement parés de leurs colliers, un mâle à la nouille encagée et une femelle à la ceinture de chasteté que Vanessa a déjà croisé. Elle se sent mal à l’aise de se faire servir ainsi par ses frères et sœurs de soumission, ce qui n’échappe pas au Noble qui s’en amuse.
- Vanessa tu n’as pas l’air d’apprécier entièrement ce repas. Si tu le désires, je peux faire venir ma cuisinière pour que tu puisses lui faire part de ce qui ne convient pas dans ses plats de ce soir, dit-Il d’un ton humoristique.
- Oh Maître, je suis désolée, je ne voulais pas paraître désagréable, je Vous remercie de Votre hospitalité, c’est simplement qu’il m’est encore parfois difficile d’accepter d’être à cette place.
- Eh bien, j’espère que ce que j’ai prévu avec le dessert t’aidera à te décontracter, sourit-Il.
Sur ces mots, il frappe dans les mains et aussitôt les deux esclaves amènent le dessert, ils sont suivis d’un serviteur qui tient en laisse deux esclaves, un mâle et une femelle. Il les détache devant Le Noble, puis quitte la pièce sans un mot, dans un parfait silence.
- Vanessa, cette femelle est pour toi, elle va rattraper la maladresse du chien novice au Chenil, que tu puisses obtenir la jouissance que je t’ai autorisée. Aux dires des différentes Maîtresses qui ont pu la tester, elle fait partie de mes meilleures lécheuses de chattes et sa langue fait des merveilles.
Le Noble claque des doigts et aussitôt l’esclave passe sous la table, venant se placer entre les jambes de Vanessa, elle passe sa tête sous sa robe, sa langue venant chercher son sexe, Vanessa ne portant pas de culotte.
- Laurent, pendant ce temps, j’aimerais ton avis sur cet esclave mâle, il est à l’essai et pourrait rejoindre Mon Cheptel un jour, s’il parvient à s’en montrer digne.
- Avec plaisir, cher Edouard.
Le Noble claque de nouveau des doigts, et l’esclave mâle passe sous la table se placer entre les jambes du Commandant. Laurent ouvre son pantalon pour en sortir son sexe dressé que l’esclave s’empresse de prendre en bouche, voulant prouver à l’ami du Maître qu’il mérite sa place à Ses pieds. Durant ce temps, Vanessa semble apprécier les caresses buccales de l’esclave femelle, puisqu’elle ne tarde pas à émettre de petits gémissements, ce qui satisfait Monsieur Le Marquis. Elle donne de petits coups de langues autour du clitoris de Vanessa, prenant le temps de lécher ce sexe luisant, introduisant sa langue avec, visiblement, un grand savoir-faire. Elle s’applique pour permettre à l’invitée du Maître de prendre le plaisir autorisé. Après de longues et sublimes minutes, c’est le souffle de Vanessa qui se fait plus haletant, et elle finit par jouir, lâchant son orgasme fort sous les coups de langue de la jeune esclave. Cette dernière nettoie consciencieusement le sexe de Vanessa, avant de se retirer pour se placer aux pieds du Noble.
- Alors Vanessa, qu’en as-tu pensé ?
- Merci Maître pour ce si bon cadeau.
- N’est-elle pas la meilleure pour la caresse buccale ?
- Je n’ai que peu de points de comparaison Maître, mais elle est douée à n’en pas douter, sa langue est divine...
De son côté Laurent a pris la tête du mâle entre ses mains pour imprimer lui-même le rythme, le forçant à le prendre profondément en bouche, imposant une difficile gorge profonde qu’il supporte sans broncher. Après de longues minutes, Laurent se vide dans sa bouche en lâchant de longs râles alors que sa verge dressée éjecte tout un flot saccadé de sperme chaud au fond de la gorge de l’esclave qui avale sans montrer une quelconque gêne.
- Et toi Laurent ?
- Il a encore beaucoup de travail pour mériter d’entrer dans Votre Cheptel, mais pour un esclave à l’essai, il y met de la bonne volonté, de la motivation, c’est une évidence et aussi il y a là du potentiel, dit-il alors que l’esclave termine de nettoyer la verge qui se ramollit.
- Parfait, allons prendre le thé dans mon salon privé.
Ils quittent la salle de réception, laissant là les deux esclaves, qu’un serviteur viendra récupérer après leur départ. Le couple suit le Noble jusqu’au salon où le thé est déjà servi. Ils conversent sur les préparatifs du mariage. Mais Vanessa ne semble pas avoir l’esprit totalement présent, comme si une partie d’elle songeait à autre chose.
- Vanessa, je t’écoute, intervient Le Noble.
- A quel sujet Maître ?
- Au sujet de ce qui te taraude l’esprit au point que l’on puisse penser que ton mariage ne t’intéresse pas, sourit-Il.
- Ce n’est rien Maître.
- Tu ne comptes pas me faire insister pour obtenir la réponse que je veux, accuse-t-Il.
- Je me demandais simplement comment vous définissiez les meilleurs de vos esclaves.
Le Noble sourit, connaissant le côté perfectionniste de la jeune femme et son esprit de compétition, il aurait dû se douter que cette question lui viendrait à l’esprit.
- Eh bien, c’est Moi seul qui définit les meilleurs de Mes esclaves et soumis, avec l’avis parfois de mes plus proches collaborateurs comme Walter et Marie. Mais pour répondre à la véritable question que tu te poses, tu fais partie de Mes meilleures soumises dans bien des domaines, on ne devient pas un de Mes favoris sans raison.
- Je … Je … suis … très touchée … Et merci Maître.
- De ?
- De me donner ces informations que Vous n’êtes pas tenu de me fournir.
- Je ne donne jamais rien, qui ne soit…, commence-t-Il souriant sans terminer sa phrase.
Vanessa sourit à son tour, connaissant la fin de la phrase, heureuse d’appartenir à Monsieur Le Marquis. Ils reprennent la conversation sur les préparatifs du mariage, Vanessa y prenant part désormais plus activement, puis l’heure avançant, le couple décide de prendre congé.
- Edouard, nous te remercions pour ton hospitalité toujours aussi parfaite et tellement appréciée, mais nous allons rentrer, il commence à se faire tard et, nous travaillons tous deux demain.
- Entendu, c’est toujours un plaisir de vous recevoir.
Le Noble raccompagne le couple jusqu’au bas du perron, ils montent dans leur voiture et, quittent le Domaine après avoir salué une dernière fois Monsieur Le Marquis. Avant de passer la grande grille tout au fond du grand parc, Vanessa voit dans une allée de la forêt, le garde forestier qui traîne à sa suite une esclave femelle vers sa demeure, la maison du Garde-Chasse. Elle ne peut s’empêcher de repenser à la fois où elle avait été livrée à cet homme, à sa dureté et quelque chose en elle prend pitié pour sa sœur de soumission qui va y passer la nuit. Elle réalise qu’elle a une place très privilégiée auprès du Maître, en tant que soumise, puisqu’elle fait partie de Ses favorites, mais également en tant que femme comme une proche dans son cercle d’amis, pour les nombreuses fois où Il la reçoit libre au château… Un long moment se passe durant le trajet du retour quand Vanessa songe encore à cette situation un peu particulière, se demandant si elle mérite véritablement cette place et si elle n’en profite pas trop. Laurent qui conduit, peu habitué à l’avoir aussi silencieuse, comprend qu’elle est perdue dans ses pensées.
- Ma chérie, qu’est-ce qui te taraude l’esprit à ce point ?, sourit-il.
- Rien, rien, tout va bien, répond-t-elle d’une voix rassurante.
- Tu es la plus mauvaise menteuse que je n’ai jamais rencontrée, s’amuse-t-il.
- Rien de grave, reprend-t-elle.
- Mais encore, insiste-t-il.
- Je pensais à ma place auprès de Monsieur Le Marquis en tant que femme et auprès du Maître en tant que soumise MDE.
- Ah c’est intéressant, tu me fais partager tes réflexions, demande Laurent.
- Eh bien, Il m’octroie un grand nombre de privilèges, je suis une de Ses favorites, pourtant je n’ai rien fait de particulier pour mériter cet honneur. Je suis la seule de Ses soumises qu’Il invite ainsi en tant que femme, me faisant partager son repas sur un même pied d’égalité, me faisant monter à cheval, me laissant prendre part à Vos activités et conversations de dominants. Il daigne aussi m’enrichir l’esprit de sa grande culture générale, comme par exemple tout à l’heure en nous parlant de la vie de Rembrandt… J’apprécie énormément cette chance, mais parfois je me demande si je n’en profite pas trop et si mon comportement dans ces moments est bien digne d’une soumise MDE.
Laurent sourit à cette réflexion, plus il découvre ses pensées, plus il l’aime, il réalise à quel point il a la chance qu’elle soit sa compagne… Il arrive devant le portail de la maison, se gare, puis se tourne vers elle pour plonger son regard dans le sien.
- C’est justement parce que tu restes consciente de l’honneur qu’il te fait et que tu t’interroges sur ce fait, que je puis t’assurer que tu es bien digne de porter Sa marque. Malgré la place qu’il t’a octroyée aujourd’hui, tu as su rester respectueuse, dans tes gestes, dans tes paroles, dans ta façon de te placer face à lui, ou de lui adresser la parole. On voit à chaque seconde que tu n’oublies pas ta place et, que tu assumes pleinement ce que tu es. Il te le répète assez souvent, il n’offre jamais rien qui ne soit mérité, tu devrais en prendre conscience. Et sache que si un jour, ton comportement même en tant que femme invitée en Sa Demeure, venait à lui déplaire, il saurait te le faire comprendre dans la seconde, sans même avoir à prononcer un seul mot. Ce n’est pas un très Grand Maître pour rien…
Vanessa sourit, oui elle n’en doute pas, un seul regard du Maître suffit pour comprendre son mécontentement. Elle se détend rassurée par les mots lucides de son compagnon, l’accompagnant jusqu’à la chambre pour y passer la nuit…. Quelques jours plus tard, en arrivant au travail, Vanessa se rend compte sur le planning général que ses dates de vacances ont été posées sans qu’elle soit consultée. Elle se rend dans le bureau de l’officier chargé du personnel.
- Mon lieutenant, bonjour.
- Vanessa, que puis-je pour toi ?
- J’ai vu que des vacances avaient été posées en avril me concernant, mais je ne me souviens pas les avoir demandées.
- Effectivement, l’ordre vient de plus haut, sourit Le Lieutenant, faisant comprendre à Vanessa que Laurent n’est pas étranger à l’affaire.
- Je vois, je vous remercie, bonne journée.
La jeune femme quitte le bureau du lieutenant et file dans celui de son compagnon.
- Carole, bonjour, je peux le déranger ?
- Oui, il est seul, je t’en prie.
Vanessa frappe et entre sans attendre de réponse dans le bureau de son Commandant. Il lève la tête surpris de cette irruption, puis sourit en la découvrant.
- Hum, depuis quand entre-t-on sans autorisation dans le bureau de son commandant, s’amuse-t-il.
- Depuis que ce bureau est celui de mon compagnon, répond-t-elle le sourire aux lèvres.
Le Commandant se lève et vient l’embrasser, puis plonge son regard dans ses yeux, y voyant une pointe d’anxiété.
- Ça ne va pas ?, s’inquiète-t-il.
- Si, si.
- Allons pas à moi, qu’elle est la véritable raison de ta venue, s’amuse-t-il.
- Je n’ai rien contre le fait que tu prennes des décisions me concernant ici, mais on était d’accord pour que tu m’en parles avant.
- Oui, et c’est ce que je fais toujours.
- Sauf pour mes vacances, celles qui ont été posées en avril, le lieutenant m’a dit que cela venait d’en haut.
- Effectivement.
- Et tu ne m’en as pas parlé avant.
- Parce que cela vient encore de plus haut que moi, sourit-il.
- Tu vas me faire croire, que notre Colonel s’intéresse à mes vacances ?
- Non, pas notre Colonel.
- Dois-je te rappeler que tu es Commandant, il n’y a pas beaucoup de monde au-dessus de toi, sourit-elle.
- Pas ici non, mais dans un autre de nos mondes oui, sourit Laurent.
- Tu veux dire que…qu’Il a besoin de ma présence au Château durant 15 jours ?, comprend la jeune femme.
- Pas au Château non, il part en vacances dans une de Ses résidences, il veut t’avoir à Ses côtés.
- D’accord, répond Vanessa d’un ton pensif.
- Hum, tu n’as pas l’air enjouée, c’est un sacré privilège qu’Il t’accorde, tu sais tout Son Cheptel ne le suit pas en vacances, même Ses favoris n’ont pas tous cette chance.
- Si, si, je suis heureuse de ce suprême honneur, vraiment, c’est juste que 15 jours sans pouvoir faire mes séances de sport, j’ai peur de perdre la forme.
Laurent sourit, décidément elle le surprendra toujours par ses réactions, il n’avait pas pensé à ça, mais ne doute pas que son ami saura prendre en compte cet impératif.
- Ne t’en fais pas, tu auras des moments pour garder la forme, Edouard pense toujours à tout, sourit Laurent en l’embrassant, je crois même savoir que dans chacune de ses résidences, il y a une salle de sport et une piscine, sans compter les parcs arborés pour faire du footing...
Mais elle n’a pas le temps de répondre, le bip à sa ceinture l’appelant en intervention, elle se contente de quitter son bureau en lui souriant. Laurent décide d’informer Le Noble de cet échange avec sa compagne et de la nécessité pour Vanessa d’avoir des séances de sport régulières, afin qu’Il puisse le prévoir dans le planning de ses vacances. Monsieur Le Marquis sourit en lisant ce mail, Il y avait pensé et compte en informer la jeune femme lors de sa prochaine venue, qu’elle soit rassurée pour cette période à venir qui s’annonce déjà comme magique pour Vanessa afin qu'elle puisse être aux côtés du Maitre et vivre sa soumission laquelle elle a tant besoin ……
(A suivre …)
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