La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1317)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-10-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1317)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode N°1306) -(suite se passant 20 ans plus tard) –
20 ans plus tard :
La Grande Duchesse de Saint-Ymer, la grand-mère d’Antonin, était décédée depuis déjà de nombreuses années. Enguerrand et Alix vivaient au Château de Saint-Ymer et avaient deux enfants, une fille prénommée Blanche et un fils, Eloi. Quant à Clémence et Ronan, étaient nés de leur union, deux fils Édouard et Arthur. Tous ces enfants étaient donc devenus désormais de jeunes adultes. Le Seigneur Charles d’Evans, quant à lui, était devenu un dynamique senior encore fort vert sexuellement et dirigeait toujours le Château avec justice et droiture. Adrien et Félicienne, les jumeaux, avaient déjà passé leur initiation ainsi qu’Edouard et Blanche à 19 ans. Et ce jour-là, c’était le tour d’Eloi et d’Arthur âgés de 18 ans. Tout se passa comme pour les autres, les traditions n’ayant pas changé… Quelques jours plus tard, le Seigneur d’Evans avait organisé une grande soirée ravit que tous ses petits-enfants, y compris Adrien et Félicienne, soient enfin admis dans Son cercle D/s. Céline étant fort âgée ne s’occupait plu beaucoup de la cuisine et c’était donc sa fille, Angélique, qui avait pris la suite de sa mère et elle avait le don de mélanger des saveurs qui surprenaient et régalaient le Seigneur d’Evans, sa famille et ses invités. À la fin du repas Il prit la parole :
- Mes chers amis, Mes chers invités, nous fêtons ce soir l’entrée dans notre cercle des derniers de mes petits-enfants Arthur et Eloi. Toute la salle applaudit. Pour fêter cela profiter de Mes soumises est soumis.
Les enfants hésitaient à y aller restant avec leurs parents, Antonin leur dit :
- Allez les jeunes en piste c’est votre soirée, votre grand-père et moi, nous avons plus 20 ans, alors montrez-nous ce que vous avez appris.
La soirée fut des plus orgiaques, emplie de D/s formatrice pour Arthur et Eloi sous les conseils avisés des plus anciens… En fin de soirée, lorsque les soumis et soumises avaient été retirés des lieux, le Seigneur d’Evans Antonin, Chloris, Ronan, Clémence, Alix et Enguerrand se retrouvèrent dans le salon privé quand Antonin prit la parole :
- Je suis fier de nos enfants surtout de Félicienne, elle a vraiment l’âme Dominante. Vous vous souvenez quand ils étaient enfants, c’est elle et Blanche qui décidaient de tous leurs jeux et je la soupçonne de leurs bêtises aussi !
La soirée se poursuivit ainsi évoquant souvenirs et anecdotes. Le Seigneur d’Evans se retira le premier bientôt suivi par Ronan et Clémence, Chloris et Alix allèrent elles aussi se coucher rejointes peu après par leurs époux respectifs. Ce soir-là, le Maître avait exigé que Marion l’attende dans Sa chambre, en effet, la plupart de Ses soumises s’étaient mariées ainsi Louis-Étienne avait épousé Manon (Étant devenu le Compte de MaisonDieu au décès de sa mère, Manon ne participait que pour les soirées) Sophie avait épousé un chevalier nommé Gauvin, Aline également un autre chevalier Gorlois et Lucie avait pris pour époux Messire Léon (sans surprise). Angélique n’étant ni dominante, ni soumise avait épousé un homme nommé Mordred. Restait Marion qui, elle, n’avait personne et consacrait tout son temps au service du Maître qu’elle aimait en secret et si profondément, le Seigneur d’Evans. Lui-même ne pouvait le nier, ressentait pour elle beaucoup d’affection qui au fil du temps s’était transformé en amour et elle était devenue officieusement Sa favorite. Quand Il entra, Il la trouva en parfaite position d’attente, nue, agenouillée, tête baissée et mains dans le dos. Il la trouva très belle et tellement désirable, mais se sentant un peu fatigué et courbaturé, Il lui dit :
- Marion, fais- moi monter de l’eau chaude et en attendant qu’on me l’apporte, tu me masseras. Exécution !
- Oui Maître, tout de suite.
Après avoir été massé et s’être détendu dans une eau bien chaude, Il se sentit beaucoup mieux. Marion l’avait délicatement séché avec un linge doux et comme à leur habitude, elle prit délicatement dans ses mains la Noble queue du Maître et le masturba par une infinie douceur et un indéniable savoir-faire. Quand Il se jugea suffisamment en érection, pour le moment, il empoigna les cheveux de Marion fermement mais sans violence, Marion, elle, adorait quand le Maître agissait ainsi et Il la mena jusqu’à Son fauteuil et s’assit :
- Continue salope et avec ta bouche maintenant et tache de ne pas me faire gicler trop vite, je veux profiter de ta langue de petite chienne.
Marion prit donc en bouche cette belle et grosse queue qu’elle vénérait autant que le Seigneur d’Evans Lui-même. Elle commença doucement à la lécher afin de bien l’humidifier et la faire glisser plus facilement entre ses lèvres, léchant de la base en haut et de haut en bas, par moment elle suçotait le gland et la couvrant de 1000 baisers sensuels. Ensuite, elle humidifia également ses lèvres passant sa langue dessus. Puis elle prit la verge du Maître et la fit entrée dans sa bouche baveuse centimètre par centimètre avec une extrême lenteur. Elle savait qu’en faisant cela, elle obtenait sur le Seigneur d’Evans deux effets car cela avait le don d’exaspérer le Maître mais aussi de l’exciter. Le Noble se retenait de lui ordonner d’accélérer tant Il adorait cela malgré tout. Quand enfin n’y tenant plus Il prit, des deux mains, la tête de Marion décidant ainsi Lui-même du rythme et de la profondeur. Malgré le rythme de plus en plus rapide Marion continuait de jouer de sa langue donnant toujours de petits coups savants sur le gland tout en caressant de sa main les bourses du Maître qui, au bout d’un long moment savoureux, éjacula en jets saccadés son sperme chaud que Marion avala avec délectation sans en perdre une goutte. Ensuite, elle nettoya consciencieusement la verge mollissante du Maître avec un profond respect mêlé d’amour et quand elle eut terminé :
- Ha Ma chienne à Moi, ta fellation était divine, tu mérites une récompense mais en attendant, j’ai remarqué que ton cul était bien pâle et cela ne me sied guère. Viens en travers de Mes genoux, je vais remédier à cela. Marion ne se fit pas prier. Tant elle aimait quand le Maître lui parlait sur un ton aussi Dominant, cela l’excitait plus que de raison et pour elle dans sa tête, il s’agissait déjà d’une récompense. Le Maître commença par lui faire des caresses avec douceur sur son beau fessier arrondit en passant ses doigts juste sur la raie entre ses fesses. Et quand elle s’y attendait le moins le premier coup tomba, ce qui la fit sursauter de plaisir. Le Maître alternait ainsi caresses et fessées et Marion coulait littéralement. Il allait fouiller aussi de temps à autre, dans le vagin de la belle pour y trouver une forte humidité et cela entre claques rougissantes et caresses baladeuses. Ce traitement les excitaient tous les deux car Marion sentit sous son ventre la verge du Maître qui reprenait de la vigueur ressentant son plaisir monter et l’orgasme proche, elle se permit d’implorer.
- Maître, je ne tiendrais plus longtemps … puis-je jouir, s’il vous plait ?
- Non salope, je te l’interdis, et se disant dans Sa tête «pour l’instant».
Aussi Il stoppa Ses fessés, le cul de Marion étant suffisamment rouge à Son goût.
- À genoux devant-moi la chienne !
- Oui Maître
Marion se mit dans la position d’attente exigée.
- Tu es une vraie salope en chaleurs, regarde ce que tu as fait mes jambes sont pleines de ta mouille de chienne.
- Je vous présente mes excuses Maître Adoré. Je vais aller Vous chercher un linge humide pour Vous nettoyer.
- Tu n’iras nulle part, salope, car c’est ta langue que je veux pour lécher ta propre mouille.
- Oui Maître, comme il vous plaira.
Au fond d’elle-même, Marion espérait qu’Il refuse le linge qu’elle lui proposait et qu’Il lui ordonne de Le lécher.
- Attention, salope, interdiction formelle de toucher Ma Noble queue.
Marion déçue, mit tout de même toute sa bonne volonté à lécher le Maître sur Ses cuisses et entre Ses cuisses prenant garde de ne pas toucher à cette belle queue qu’elle aimait tant. Quand Marion eu terminé, elle se remit à genoux attendant les exigences suivantes du Maître.
- Très bien, tu vas avoir droit à ta récompense.
- Merci Maître, répondit-elle humblement.
Marion aurait voulu Lui dire que certes elle Le remerciait, mais qu’elle n’avait fait que son devoir, tout en sachant que cela était parfaitement inutile car Sa décision était prise.
- Grimpe sur Ma couche et en levrette, la chienne.
Marion s’exécuta instantanément. Le Maître se dirigea vers Son coffre et en sortit Son martinet, Il savait à quel point Marion aimait sentir le cuir sur sa peau mais aussi parce que le Maître savait doser la puissance de Ses coups différemment suivant la raison, soit une sanction, soit pour l’excitation. Et en ce moment précis, Son but était d’exciter Sa soumise, Sa Marion. Il abattit le premier coup et même si Marion ne broncha pas, elle ne put s’empêcher d’avoir un léger sourire de contentement que le Maître ne vit pas, étant derrière elle. Le Maître n’ayant rien exigé, Marion resta silencieuse et aussi immobile que possible mais si elle ne bougeait pas dans son bas-ventre c’était tout le contraire, elle contenait tant bien que mal son excitation grandissante et quand le Maître abandonna Son martinet et la pénétra d’un coup de reins puissant et viril dans sa chatte trempée, Marion gémit sur le moment mais ce fut un gémissement de plaisir et de bonheur. Une fois bien au fond, le Maître, qui ce soir était d’humeur taquine et joueuse, se retira très lentement :
- Tu aimes jouer à cela avec Moi ? Hé bien ce soir, c’est Moi qui vais jouer à t’infliger cette excitante torture.
Tout en continuant Ses va-et-vient le plus lentement possible sous les gémissements de Marion, Il poursuivit :
- A la différence que Moi, je peux exiger que tu accélères et que toi tu n’as rien à dire sauf à Me supplier de mettre fin à ton supplice à retenir ton orgasme, espèce de salope !
- Ho oui Maître, c’est si bon, j’aime quand Vous me torturez ainsi.
- Pas encore, retient toi salope et ne Me déçois pas ou crois-Moi, tu le regretteras.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiii Maître.
Le Maître continua ainsi un long moment, Marion mit toute la force de son caractère et de sa dévotion au Maître pour se retenir de jouir, quand d’un coup Il accéléra le rythme allant de plus en plus vite jusqu’à la pistonner à grands coups de boutoirs rapides, profonds et puissants. Marion hurlait de plaisir et quand elle crut craquer et jouir, elle entendit cette exigence tellement libératrice :
- Jouit salope, maintenant je le veux !
Ce fut un orgasme saisissant, puissant, séismique tellement fort que Marion crut un moment perdre la raison tant son plaisir se ressentait dans chaque cellule de son corps. Le Seigneur jouit Lui aussi à son tour après quelques coups de reins en jets abondant et saccadés de Sa semence chaude…
(A suivre …)
20 ans plus tard :
La Grande Duchesse de Saint-Ymer, la grand-mère d’Antonin, était décédée depuis déjà de nombreuses années. Enguerrand et Alix vivaient au Château de Saint-Ymer et avaient deux enfants, une fille prénommée Blanche et un fils, Eloi. Quant à Clémence et Ronan, étaient nés de leur union, deux fils Édouard et Arthur. Tous ces enfants étaient donc devenus désormais de jeunes adultes. Le Seigneur Charles d’Evans, quant à lui, était devenu un dynamique senior encore fort vert sexuellement et dirigeait toujours le Château avec justice et droiture. Adrien et Félicienne, les jumeaux, avaient déjà passé leur initiation ainsi qu’Edouard et Blanche à 19 ans. Et ce jour-là, c’était le tour d’Eloi et d’Arthur âgés de 18 ans. Tout se passa comme pour les autres, les traditions n’ayant pas changé… Quelques jours plus tard, le Seigneur d’Evans avait organisé une grande soirée ravit que tous ses petits-enfants, y compris Adrien et Félicienne, soient enfin admis dans Son cercle D/s. Céline étant fort âgée ne s’occupait plu beaucoup de la cuisine et c’était donc sa fille, Angélique, qui avait pris la suite de sa mère et elle avait le don de mélanger des saveurs qui surprenaient et régalaient le Seigneur d’Evans, sa famille et ses invités. À la fin du repas Il prit la parole :
- Mes chers amis, Mes chers invités, nous fêtons ce soir l’entrée dans notre cercle des derniers de mes petits-enfants Arthur et Eloi. Toute la salle applaudit. Pour fêter cela profiter de Mes soumises est soumis.
Les enfants hésitaient à y aller restant avec leurs parents, Antonin leur dit :
- Allez les jeunes en piste c’est votre soirée, votre grand-père et moi, nous avons plus 20 ans, alors montrez-nous ce que vous avez appris.
La soirée fut des plus orgiaques, emplie de D/s formatrice pour Arthur et Eloi sous les conseils avisés des plus anciens… En fin de soirée, lorsque les soumis et soumises avaient été retirés des lieux, le Seigneur d’Evans Antonin, Chloris, Ronan, Clémence, Alix et Enguerrand se retrouvèrent dans le salon privé quand Antonin prit la parole :
- Je suis fier de nos enfants surtout de Félicienne, elle a vraiment l’âme Dominante. Vous vous souvenez quand ils étaient enfants, c’est elle et Blanche qui décidaient de tous leurs jeux et je la soupçonne de leurs bêtises aussi !
La soirée se poursuivit ainsi évoquant souvenirs et anecdotes. Le Seigneur d’Evans se retira le premier bientôt suivi par Ronan et Clémence, Chloris et Alix allèrent elles aussi se coucher rejointes peu après par leurs époux respectifs. Ce soir-là, le Maître avait exigé que Marion l’attende dans Sa chambre, en effet, la plupart de Ses soumises s’étaient mariées ainsi Louis-Étienne avait épousé Manon (Étant devenu le Compte de MaisonDieu au décès de sa mère, Manon ne participait que pour les soirées) Sophie avait épousé un chevalier nommé Gauvin, Aline également un autre chevalier Gorlois et Lucie avait pris pour époux Messire Léon (sans surprise). Angélique n’étant ni dominante, ni soumise avait épousé un homme nommé Mordred. Restait Marion qui, elle, n’avait personne et consacrait tout son temps au service du Maître qu’elle aimait en secret et si profondément, le Seigneur d’Evans. Lui-même ne pouvait le nier, ressentait pour elle beaucoup d’affection qui au fil du temps s’était transformé en amour et elle était devenue officieusement Sa favorite. Quand Il entra, Il la trouva en parfaite position d’attente, nue, agenouillée, tête baissée et mains dans le dos. Il la trouva très belle et tellement désirable, mais se sentant un peu fatigué et courbaturé, Il lui dit :
- Marion, fais- moi monter de l’eau chaude et en attendant qu’on me l’apporte, tu me masseras. Exécution !
- Oui Maître, tout de suite.
Après avoir été massé et s’être détendu dans une eau bien chaude, Il se sentit beaucoup mieux. Marion l’avait délicatement séché avec un linge doux et comme à leur habitude, elle prit délicatement dans ses mains la Noble queue du Maître et le masturba par une infinie douceur et un indéniable savoir-faire. Quand Il se jugea suffisamment en érection, pour le moment, il empoigna les cheveux de Marion fermement mais sans violence, Marion, elle, adorait quand le Maître agissait ainsi et Il la mena jusqu’à Son fauteuil et s’assit :
- Continue salope et avec ta bouche maintenant et tache de ne pas me faire gicler trop vite, je veux profiter de ta langue de petite chienne.
Marion prit donc en bouche cette belle et grosse queue qu’elle vénérait autant que le Seigneur d’Evans Lui-même. Elle commença doucement à la lécher afin de bien l’humidifier et la faire glisser plus facilement entre ses lèvres, léchant de la base en haut et de haut en bas, par moment elle suçotait le gland et la couvrant de 1000 baisers sensuels. Ensuite, elle humidifia également ses lèvres passant sa langue dessus. Puis elle prit la verge du Maître et la fit entrée dans sa bouche baveuse centimètre par centimètre avec une extrême lenteur. Elle savait qu’en faisant cela, elle obtenait sur le Seigneur d’Evans deux effets car cela avait le don d’exaspérer le Maître mais aussi de l’exciter. Le Noble se retenait de lui ordonner d’accélérer tant Il adorait cela malgré tout. Quand enfin n’y tenant plus Il prit, des deux mains, la tête de Marion décidant ainsi Lui-même du rythme et de la profondeur. Malgré le rythme de plus en plus rapide Marion continuait de jouer de sa langue donnant toujours de petits coups savants sur le gland tout en caressant de sa main les bourses du Maître qui, au bout d’un long moment savoureux, éjacula en jets saccadés son sperme chaud que Marion avala avec délectation sans en perdre une goutte. Ensuite, elle nettoya consciencieusement la verge mollissante du Maître avec un profond respect mêlé d’amour et quand elle eut terminé :
- Ha Ma chienne à Moi, ta fellation était divine, tu mérites une récompense mais en attendant, j’ai remarqué que ton cul était bien pâle et cela ne me sied guère. Viens en travers de Mes genoux, je vais remédier à cela. Marion ne se fit pas prier. Tant elle aimait quand le Maître lui parlait sur un ton aussi Dominant, cela l’excitait plus que de raison et pour elle dans sa tête, il s’agissait déjà d’une récompense. Le Maître commença par lui faire des caresses avec douceur sur son beau fessier arrondit en passant ses doigts juste sur la raie entre ses fesses. Et quand elle s’y attendait le moins le premier coup tomba, ce qui la fit sursauter de plaisir. Le Maître alternait ainsi caresses et fessées et Marion coulait littéralement. Il allait fouiller aussi de temps à autre, dans le vagin de la belle pour y trouver une forte humidité et cela entre claques rougissantes et caresses baladeuses. Ce traitement les excitaient tous les deux car Marion sentit sous son ventre la verge du Maître qui reprenait de la vigueur ressentant son plaisir monter et l’orgasme proche, elle se permit d’implorer.
- Maître, je ne tiendrais plus longtemps … puis-je jouir, s’il vous plait ?
- Non salope, je te l’interdis, et se disant dans Sa tête «pour l’instant».
Aussi Il stoppa Ses fessés, le cul de Marion étant suffisamment rouge à Son goût.
- À genoux devant-moi la chienne !
- Oui Maître
Marion se mit dans la position d’attente exigée.
- Tu es une vraie salope en chaleurs, regarde ce que tu as fait mes jambes sont pleines de ta mouille de chienne.
- Je vous présente mes excuses Maître Adoré. Je vais aller Vous chercher un linge humide pour Vous nettoyer.
- Tu n’iras nulle part, salope, car c’est ta langue que je veux pour lécher ta propre mouille.
- Oui Maître, comme il vous plaira.
Au fond d’elle-même, Marion espérait qu’Il refuse le linge qu’elle lui proposait et qu’Il lui ordonne de Le lécher.
- Attention, salope, interdiction formelle de toucher Ma Noble queue.
Marion déçue, mit tout de même toute sa bonne volonté à lécher le Maître sur Ses cuisses et entre Ses cuisses prenant garde de ne pas toucher à cette belle queue qu’elle aimait tant. Quand Marion eu terminé, elle se remit à genoux attendant les exigences suivantes du Maître.
- Très bien, tu vas avoir droit à ta récompense.
- Merci Maître, répondit-elle humblement.
Marion aurait voulu Lui dire que certes elle Le remerciait, mais qu’elle n’avait fait que son devoir, tout en sachant que cela était parfaitement inutile car Sa décision était prise.
- Grimpe sur Ma couche et en levrette, la chienne.
Marion s’exécuta instantanément. Le Maître se dirigea vers Son coffre et en sortit Son martinet, Il savait à quel point Marion aimait sentir le cuir sur sa peau mais aussi parce que le Maître savait doser la puissance de Ses coups différemment suivant la raison, soit une sanction, soit pour l’excitation. Et en ce moment précis, Son but était d’exciter Sa soumise, Sa Marion. Il abattit le premier coup et même si Marion ne broncha pas, elle ne put s’empêcher d’avoir un léger sourire de contentement que le Maître ne vit pas, étant derrière elle. Le Maître n’ayant rien exigé, Marion resta silencieuse et aussi immobile que possible mais si elle ne bougeait pas dans son bas-ventre c’était tout le contraire, elle contenait tant bien que mal son excitation grandissante et quand le Maître abandonna Son martinet et la pénétra d’un coup de reins puissant et viril dans sa chatte trempée, Marion gémit sur le moment mais ce fut un gémissement de plaisir et de bonheur. Une fois bien au fond, le Maître, qui ce soir était d’humeur taquine et joueuse, se retira très lentement :
- Tu aimes jouer à cela avec Moi ? Hé bien ce soir, c’est Moi qui vais jouer à t’infliger cette excitante torture.
Tout en continuant Ses va-et-vient le plus lentement possible sous les gémissements de Marion, Il poursuivit :
- A la différence que Moi, je peux exiger que tu accélères et que toi tu n’as rien à dire sauf à Me supplier de mettre fin à ton supplice à retenir ton orgasme, espèce de salope !
- Ho oui Maître, c’est si bon, j’aime quand Vous me torturez ainsi.
- Pas encore, retient toi salope et ne Me déçois pas ou crois-Moi, tu le regretteras.
- Ouiiiiiiiiiiiiiiii Maître.
Le Maître continua ainsi un long moment, Marion mit toute la force de son caractère et de sa dévotion au Maître pour se retenir de jouir, quand d’un coup Il accéléra le rythme allant de plus en plus vite jusqu’à la pistonner à grands coups de boutoirs rapides, profonds et puissants. Marion hurlait de plaisir et quand elle crut craquer et jouir, elle entendit cette exigence tellement libératrice :
- Jouit salope, maintenant je le veux !
Ce fut un orgasme saisissant, puissant, séismique tellement fort que Marion crut un moment perdre la raison tant son plaisir se ressentait dans chaque cellule de son corps. Le Seigneur jouit Lui aussi à son tour après quelques coups de reins en jets abondant et saccadés de Sa semence chaude…
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