La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1379)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-05-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1379)
soumis Amabalar au Château – Histoire écrite par Amabalar - (textes améliorés par MDE) - (suite de l'épisode précédent N°1378) -
Après la surprise de l’inversion, que va-t-il m’arriver cette fois ci….
- Mon chéri, écoute-bien, voici ta troisième et dernière surprise. J’ai passé un contrat avec Monsieur le Marquis. C’est Lui qui dirigera ton inversion tout ce week-end. Il faut que tu saches que tu as devant toi, le meilleur Dominant qui puisse exister ! C’est un expert en la matière considéré par ses pairs comme un Grand Maître de la Domination/soumission. Je serais toujours présente mais tu devras toujours Lui obéir, en toutes circonstances et en tous lieux. Bon anniversaire, chéri ! Demande maintenant, pour mon plaisir, à Monsieur le Marquis de procéder à ton inversion, et que cela commence immédiatement...
J’ai peur, j’hésite, et en même temps je suis intrigué et excité par cette réalité… Une excitation improbable laquelle je n’aurai jamais pensé avoir en de telles circonstances. Je tremble devant l’Inconnu, mais comme Valérie sera présente, je me sens plutôt rassuré. Alors, je me lance en balbutiant :
- Monsieur le ;;; Marquis, je … je vous demande de … de commencer mon … inversion.., s’il vous plait … - Très bien Claude, désormais, tu m’appelleras Maître et tu ne parleras qu’avec mon autorisation, compris ?
- Oui, maître..
- Et je vais te donner un nom de soumis, tout de suite. J’ai décidé que tu t’appelleras Amabalar. Debout, Amabalar, vas au milieu de la pièce… parfait. Tu vas d’abord être puni d’avoir humilié mon amie, Valérie...
Je me dirige vers le centre du salon d’un pas hésitant, peu assuré.
- Face à moi, baisse les yeux……et je te veux nu, alors à poil !..
J’hésite et je ne sais pas quoi faire, je regarde Valérie qui me sourit et ça me rassure mais tout de même, je ne vais pas me déshabiller devant lui.
- Je ne le dirai pas deux fois, Walter, apprend lui l’obéissance...
Le Majordome s’approche de moi, une cravache à la main. Je regarde Valérie qui me fait un signe affirmatif de la tête. Alors je cède et commence à me déshabiller, enlevant tout, allant même jusqu’au slip.
- Complètement à poil, j’ai dit ! … Walter, emmène tous ses vêtements, il n’en aura plus besoin avant son départ... Toi le chien, reste de face, ce n’est pas la peine cacher ta nouille de chien, alors mains sur la tête ! Écarte les jambes, que l’on voit bien tes attributs..
Je me sens profondément humilié alors je jette un œil vers Valérie, qui semble prendre du plaisir à ce spectacle. Et quand je mets mes mains sur la tête, je ne peux pas cacher mon érection qui trahit clairement ce que je ressens
- Mais c’est que ça l’excite, la lopette !, chien Amabalar, mains derrière le dos et demi-tour… Beau petit cul, ton mari… Penches toi vers l’avant bien cambré et met en valeur ton cul de chien… Avec les mains, tu écartes tes fesses, montre nous ton anus et tes couilles en même temps… Penche toi, plus encore et écarte toi au maximum… Tu vois, Valérie, on lui voit bien son petit trou du cul, sa nouille qui ne peut s’empêcher de se dresser et ses petites couilles tout en même temps, c’est parfait…Tu ne bouges plus, tu attends Mes Exigences...
Durant ce temps, Walter remplit une nouvelle fois nos verres de champagne et ne perd pas une goutte de la situation en bon voyeur qu’il est, ce qui me met encore plus la honte et à la fois augmente mon excitation...
- Qu’en penses-tu, Walter ? interroge Monsieur le Marquis...
- Ce chien a un très beau cul et il semble que sa nouille réagit, tout cela doit plaire à Monsieur le Marquis, mais, si vous le permettez, Monsieur le Marquis, sera-t-il toujours aussi obéissant ?
- Ca vaudra mieux pour lui durant ce weekend… Et toi Valérie, cela te convient ?
- Oui, c’est une bonne humiliation pour commencer, il le mérite, acquiesça Valérie
Ce sont les mots humiliants pour commencer que j’ai surtout retenu comme le fait d’être ainsi exhibé. Mais qu’ont-ils prévu d’autre, ensuite ? Etre nu comme cela en public, mettre en valeur mon anus, appeler mon sexe une nouille de chien, je me sens humilié comme jamais, surtout avec leurs remarques. Mais en tenant la position un certain temps, j’avoue que c’est une sensation bizarre. Mon anus s’ouvre de plus en plus au fur et à mesure que je me détends, comme par plaisir. En réalité, j’y trouve du plaisir et comme déjà dit, mon sexe le démontre aux yeux de tous. Cette excitation parcourt tout mon corps jusqu’à mon sexe qui ne débande pas, bien au contraire....
- Relève-toi et retourne-toi !, exige Monsieur le Marquis… Valérie, ta lopette de mari bande encore bien plus ! Il trouve du plaisir dans l’humiliation, c’est la marque du soumis par excellence...
Monsieur le Marquis se lève et s’approche de moi.
-Petite pute, ta bite dressée montre bien que tu es un soumis, une lopette, un chien. Eh bien soit, je te considère maintenant comme tel. Dis-moi à haute et intelligible voix : ‘’je suis la lopette de Monsieur le Marquis’’ - Je suis la lopette de Monsieur le Marquis’’ dis-je en marmonnant - Plus fort, le chien, je n’entends pas - Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, dis-je un peu plus fort.
- Comme je ne t’entends pas, encore. Donc tu es puni… Walter fait ce que tu sais... dit le Marquis en me regardant dans les yeux de Son regard puissant, transperçant et tétanisant.
Le Majordome s’approche de moi
- Retourne-toi, mains dans le dos, le chien...
J’obéis car je ne résisterai pas à la force physique du Majordome. Deux cordes descendent du plafond que saisit Walter. Il me lie les poignets avec, et les cordes remontent. Je pense que c’est télécommandé par le Maître des lieux. Walter fait de même avec mes chevilles, attachées à des anneaux au sol. Je me retrouve ainsi attaché, nu, en croix, écartelé, en attente de ma punition, la bite dressée.
- Merci Walter, une bonne volée de fessées est de mise. Je pense à 20 fortes claques pour avoir humilié Valérie, qu’en penses-tu, très chère amie ?
- C’est parfait, Edouard… répond Valérie, sa voie enjouée trahit son plaisir.
- À toi Walter, 10 sur chaque fesse.
Je me crispe en attente de la première fessée. J’avais repéré que Walter avait des mains énormes et vue sa force, je pense que je vais bien la sentir
- Un…..
- Aahhh…
Je ne peux m’empêcher de crier, tant par surprise mais aussi et surtout par cette douleur piquante sur ma fesse.
- Tu n’as pas eu l’autorisation de parler, Amabalar la lopette. Tu auras donc dix claques de plus, cela fait donc maintenant trente. Et ce sera 10 de plus à chaque fois que tu l’ouvriras...
- Deux....
Je serre les dents mais je ne dis rien. Il faut que je résiste pour abréger mes souffrances qui ne font qu’augmenter mon érection.
- Trois, quatre,……….neuf, dix..
Je sens mon fessier brûlant qui me fait mal. Il doit être tout rouge, mon cul.
- A chaque fois que tu désobéiras, Amabalar la lopette, tu prendras 20 claques sur les fesses.. dit Monsieur le Marquis… Walter les dix dernières fessées, tu les donneras beaucoup plus fortes, qu’il ne les oublie jamais. Qu’il souffre bien, cela lui ôtera l’envie de désobéir, à ce petit chien...
Onze, douze … La douleur devient insupportable. Des larmes coulent sur mon visage, Walter s’abandonne et exprime toute sa force, c’est une véritable torture qui... je dois bien l’avouer, me fait encore plus bander ! … dix-huit… dix-neuf.... Je serre encore plus les dents…vingt-cinq … vingt-huit … Je n’en peux plus. Pour abréger mes souffrances, je m’écris très fort
- Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, Maître Evans..
- Vingt –neuf. Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, Maître Evans..
- Trente. Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, Maître Evans, criais-je dans un dernier souffle - Parfait, s’exclama le Noble. Je pense qu’il a franchi une étape… Détache-le Walter et installe-le sur la table basse.
Détaché, je m’écroule par terre. Le Majordome me conduit de force vers la table basse. Je ne peux y aller qu’à quatre pattes, tant mon corps et mes fesses surtout me font mal, je me déplace comme un chien. Le Châtelain s’adresse à Valérie :
- Tu apprécies, j’espère, chère amie, la punition qu’il a mérité..
- Oh que oui, c’était même très excitant, répond Valérie.
Et, pendant que Walter installe la lopette que je suis devenu sur la table basse, Monsieur le Marquis s’avance vers elle.
- Très excitant dis-tu ? Alors écartes tes cuisses que je vérifie ton excitation, ce sera comme une validation de mon travail.
Son regard froid d’acier et profondément Dominateur subjugue Valérie qui, sans pouvoir s’y opposer, l’excitation aidant n’a aucun mal à écarter ses cuisses. Monsieur Le marquis y engouffre la main, et trouve une chatte complètement trempée. Ses doigts pénètrent et fouillent puis s’attardent sur le clitoris particulièrement gonflé.
- Toi aussi, tu es en chaleur, ma belle ! Ne t’inquiètes pas, je vais m’occuper de toi aussi...
Pendant ce temps, Walter m’a installé nu sur la table basse à quatre pattes, avec poignets et chevilles attachés aux quatre pieds de la table, la tête basse, un bandeau sur les yeux et la croupe bien rougie, ma nouille toujours aussi dressée…
(A suivre…)
Après la surprise de l’inversion, que va-t-il m’arriver cette fois ci….
- Mon chéri, écoute-bien, voici ta troisième et dernière surprise. J’ai passé un contrat avec Monsieur le Marquis. C’est Lui qui dirigera ton inversion tout ce week-end. Il faut que tu saches que tu as devant toi, le meilleur Dominant qui puisse exister ! C’est un expert en la matière considéré par ses pairs comme un Grand Maître de la Domination/soumission. Je serais toujours présente mais tu devras toujours Lui obéir, en toutes circonstances et en tous lieux. Bon anniversaire, chéri ! Demande maintenant, pour mon plaisir, à Monsieur le Marquis de procéder à ton inversion, et que cela commence immédiatement...
J’ai peur, j’hésite, et en même temps je suis intrigué et excité par cette réalité… Une excitation improbable laquelle je n’aurai jamais pensé avoir en de telles circonstances. Je tremble devant l’Inconnu, mais comme Valérie sera présente, je me sens plutôt rassuré. Alors, je me lance en balbutiant :
- Monsieur le ;;; Marquis, je … je vous demande de … de commencer mon … inversion.., s’il vous plait … - Très bien Claude, désormais, tu m’appelleras Maître et tu ne parleras qu’avec mon autorisation, compris ?
- Oui, maître..
- Et je vais te donner un nom de soumis, tout de suite. J’ai décidé que tu t’appelleras Amabalar. Debout, Amabalar, vas au milieu de la pièce… parfait. Tu vas d’abord être puni d’avoir humilié mon amie, Valérie...
Je me dirige vers le centre du salon d’un pas hésitant, peu assuré.
- Face à moi, baisse les yeux……et je te veux nu, alors à poil !..
J’hésite et je ne sais pas quoi faire, je regarde Valérie qui me sourit et ça me rassure mais tout de même, je ne vais pas me déshabiller devant lui.
- Je ne le dirai pas deux fois, Walter, apprend lui l’obéissance...
Le Majordome s’approche de moi, une cravache à la main. Je regarde Valérie qui me fait un signe affirmatif de la tête. Alors je cède et commence à me déshabiller, enlevant tout, allant même jusqu’au slip.
- Complètement à poil, j’ai dit ! … Walter, emmène tous ses vêtements, il n’en aura plus besoin avant son départ... Toi le chien, reste de face, ce n’est pas la peine cacher ta nouille de chien, alors mains sur la tête ! Écarte les jambes, que l’on voit bien tes attributs..
Je me sens profondément humilié alors je jette un œil vers Valérie, qui semble prendre du plaisir à ce spectacle. Et quand je mets mes mains sur la tête, je ne peux pas cacher mon érection qui trahit clairement ce que je ressens
- Mais c’est que ça l’excite, la lopette !, chien Amabalar, mains derrière le dos et demi-tour… Beau petit cul, ton mari… Penches toi vers l’avant bien cambré et met en valeur ton cul de chien… Avec les mains, tu écartes tes fesses, montre nous ton anus et tes couilles en même temps… Penche toi, plus encore et écarte toi au maximum… Tu vois, Valérie, on lui voit bien son petit trou du cul, sa nouille qui ne peut s’empêcher de se dresser et ses petites couilles tout en même temps, c’est parfait…Tu ne bouges plus, tu attends Mes Exigences...
Durant ce temps, Walter remplit une nouvelle fois nos verres de champagne et ne perd pas une goutte de la situation en bon voyeur qu’il est, ce qui me met encore plus la honte et à la fois augmente mon excitation...
- Qu’en penses-tu, Walter ? interroge Monsieur le Marquis...
- Ce chien a un très beau cul et il semble que sa nouille réagit, tout cela doit plaire à Monsieur le Marquis, mais, si vous le permettez, Monsieur le Marquis, sera-t-il toujours aussi obéissant ?
- Ca vaudra mieux pour lui durant ce weekend… Et toi Valérie, cela te convient ?
- Oui, c’est une bonne humiliation pour commencer, il le mérite, acquiesça Valérie
Ce sont les mots humiliants pour commencer que j’ai surtout retenu comme le fait d’être ainsi exhibé. Mais qu’ont-ils prévu d’autre, ensuite ? Etre nu comme cela en public, mettre en valeur mon anus, appeler mon sexe une nouille de chien, je me sens humilié comme jamais, surtout avec leurs remarques. Mais en tenant la position un certain temps, j’avoue que c’est une sensation bizarre. Mon anus s’ouvre de plus en plus au fur et à mesure que je me détends, comme par plaisir. En réalité, j’y trouve du plaisir et comme déjà dit, mon sexe le démontre aux yeux de tous. Cette excitation parcourt tout mon corps jusqu’à mon sexe qui ne débande pas, bien au contraire....
- Relève-toi et retourne-toi !, exige Monsieur le Marquis… Valérie, ta lopette de mari bande encore bien plus ! Il trouve du plaisir dans l’humiliation, c’est la marque du soumis par excellence...
Monsieur le Marquis se lève et s’approche de moi.
-Petite pute, ta bite dressée montre bien que tu es un soumis, une lopette, un chien. Eh bien soit, je te considère maintenant comme tel. Dis-moi à haute et intelligible voix : ‘’je suis la lopette de Monsieur le Marquis’’ - Je suis la lopette de Monsieur le Marquis’’ dis-je en marmonnant - Plus fort, le chien, je n’entends pas - Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, dis-je un peu plus fort.
- Comme je ne t’entends pas, encore. Donc tu es puni… Walter fait ce que tu sais... dit le Marquis en me regardant dans les yeux de Son regard puissant, transperçant et tétanisant.
Le Majordome s’approche de moi
- Retourne-toi, mains dans le dos, le chien...
J’obéis car je ne résisterai pas à la force physique du Majordome. Deux cordes descendent du plafond que saisit Walter. Il me lie les poignets avec, et les cordes remontent. Je pense que c’est télécommandé par le Maître des lieux. Walter fait de même avec mes chevilles, attachées à des anneaux au sol. Je me retrouve ainsi attaché, nu, en croix, écartelé, en attente de ma punition, la bite dressée.
- Merci Walter, une bonne volée de fessées est de mise. Je pense à 20 fortes claques pour avoir humilié Valérie, qu’en penses-tu, très chère amie ?
- C’est parfait, Edouard… répond Valérie, sa voie enjouée trahit son plaisir.
- À toi Walter, 10 sur chaque fesse.
Je me crispe en attente de la première fessée. J’avais repéré que Walter avait des mains énormes et vue sa force, je pense que je vais bien la sentir
- Un…..
- Aahhh…
Je ne peux m’empêcher de crier, tant par surprise mais aussi et surtout par cette douleur piquante sur ma fesse.
- Tu n’as pas eu l’autorisation de parler, Amabalar la lopette. Tu auras donc dix claques de plus, cela fait donc maintenant trente. Et ce sera 10 de plus à chaque fois que tu l’ouvriras...
- Deux....
Je serre les dents mais je ne dis rien. Il faut que je résiste pour abréger mes souffrances qui ne font qu’augmenter mon érection.
- Trois, quatre,……….neuf, dix..
Je sens mon fessier brûlant qui me fait mal. Il doit être tout rouge, mon cul.
- A chaque fois que tu désobéiras, Amabalar la lopette, tu prendras 20 claques sur les fesses.. dit Monsieur le Marquis… Walter les dix dernières fessées, tu les donneras beaucoup plus fortes, qu’il ne les oublie jamais. Qu’il souffre bien, cela lui ôtera l’envie de désobéir, à ce petit chien...
Onze, douze … La douleur devient insupportable. Des larmes coulent sur mon visage, Walter s’abandonne et exprime toute sa force, c’est une véritable torture qui... je dois bien l’avouer, me fait encore plus bander ! … dix-huit… dix-neuf.... Je serre encore plus les dents…vingt-cinq … vingt-huit … Je n’en peux plus. Pour abréger mes souffrances, je m’écris très fort
- Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, Maître Evans..
- Vingt –neuf. Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, Maître Evans..
- Trente. Je suis la lopette de Monsieur le Marquis, Maître Evans, criais-je dans un dernier souffle - Parfait, s’exclama le Noble. Je pense qu’il a franchi une étape… Détache-le Walter et installe-le sur la table basse.
Détaché, je m’écroule par terre. Le Majordome me conduit de force vers la table basse. Je ne peux y aller qu’à quatre pattes, tant mon corps et mes fesses surtout me font mal, je me déplace comme un chien. Le Châtelain s’adresse à Valérie :
- Tu apprécies, j’espère, chère amie, la punition qu’il a mérité..
- Oh que oui, c’était même très excitant, répond Valérie.
Et, pendant que Walter installe la lopette que je suis devenu sur la table basse, Monsieur le Marquis s’avance vers elle.
- Très excitant dis-tu ? Alors écartes tes cuisses que je vérifie ton excitation, ce sera comme une validation de mon travail.
Son regard froid d’acier et profondément Dominateur subjugue Valérie qui, sans pouvoir s’y opposer, l’excitation aidant n’a aucun mal à écarter ses cuisses. Monsieur Le marquis y engouffre la main, et trouve une chatte complètement trempée. Ses doigts pénètrent et fouillent puis s’attardent sur le clitoris particulièrement gonflé.
- Toi aussi, tu es en chaleur, ma belle ! Ne t’inquiètes pas, je vais m’occuper de toi aussi...
Pendant ce temps, Walter m’a installé nu sur la table basse à quatre pattes, avec poignets et chevilles attachés aux quatre pieds de la table, la tête basse, un bandeau sur les yeux et la croupe bien rougie, ma nouille toujours aussi dressée…
(A suivre…)
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