La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1400)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1400) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-11-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1400)
L’esclave salope au Château – (Suite de l'épisode N°1398) -
Son gros sexe se frottant déjà contre mes lèvres intimes … Ma chatte est déjà bien mouillée d’excitation que je ressens à toutes ces humiliations vécues depuis mon arrivée au Château. Ainsi le Maitre n’a pas besoin de me lubrifier mon minou avant de me prendre. Il enfonce donc Sa grosse bite dressée dans ma chatte de salope, et commence à me baiser tout en me fessant durement et fermement mon gros cul arrondi. Il me fesse en alternant parfois avec des caresses sur mon cul rougi avant de recommencer à le fesser, ce qui me fait donc comprendre que c’est une volée de fessées de plaisir et non une punition.

Depuis mon arrivée au Château, je n’ai toujours pas joui, et toutes ces humiliations, tout ce que je subis depuis mon arrivée rend le manque d’orgasme, et le fait de devoir se retenir, encore plus difficile. A chaque fessée et chaque puissant coup de reins de Monsieur le Marquis dans ma chatte de salope, j’ai l’impression que je vais exploser en jouissances. Et je ne sais pas comment je peux me retenir. C’est quand je n’en peux vraiment plus, que je supplie le Noble d’être magnanime envers moi et de m’accorder enfin un orgasme, pour ne pas fauter... C’est après un long silence tout en continuant à me pilonner profondément à grands coups de boutoirs que le Châtelain m’offre enfin un orgasme. Un orgasme libérateur, salvateur, un orgasme atomique, explosif qui me fait tellement de bien après ces deux semaines d'abstinence. Et c’est à ce moment-là que je comprends, sans le vouloir, pourquoi le Maitre m’a laisser pendant autant de temps sans jouir : Tout simplement pour rendre cette orgasme, par tant d’abstinence, encore meilleur, puissant et qui me remonte toute mon échine. Monsieur le Marquis continue de me pilonner la chatte à une cadence soutenue, me maintenant fermement par les hanches. Malgré le fait que je viens de jouir, l’envie est encore bien forte, due au plaisir d’être prise par le Noble. Mais je me retiens le plus possible, dans l’espoir cette fois, de jouir sur ordre du Maitre seulement sans avoir à demander l’autorisation avant.

Soudain le Châtelain se retire de ma chatte, et pénètre mon cul, dans des va-et-vient rapides, Ses couilles claque contre mon cul, je me sens être juste un simple trou à baiser, à enculer, un trou pour le Maitre, je me sens juste être Son objet à plaisir, pour qu’Il se vide les couilles tout à loisir et selon Son envie à se vider en moi. Et cette pensée, me fait encore plus mouiller de plaisirs et m’excite encore plus. Et comme si Monsieur le Marquis avait lu dans mes pensées, j’entends Sa voix calme, sans élévation du ton et pourtant paradoxalement si autoritaire :
- Oui Ma putain, oui Ma chienne esclave salope, tu n’es qu’une sale chienne, bonne à baiser, tu n’es là que pour Mon plaisir, tu n’es qu’une catin, juste trois trous que j’utilise comme bon me semble quand je le veux, et où je le veux. Ton corps m’appartient tout autant que ta chatte, ton cul, et ta bouche de salope. Tu es à Moi, Ma chienne salope esclave, ma propriété la plus absolue…
Entendre ces mots de la bouche du Maitre pendant qu’il m’encule, ces mots que je pensais quelques secondes avant qu’il ne les dise me fait grimper l’excitation encore plus fortement. Surtout que tout en commençant à parler le Noble a fait glisser Sa main vers ma chatte et à commencer à me branler, à me doigter énergiquement avec Ses doigts. En plus d’avoir Sa grosse verge dans mon cul, je sens, là, que je ne vais pas tarder à de nouveau perdre pied... Le Châtelain augmente la puissance de Ses va-et-vient dans mon cul dans cette saillie qui devient maintenant bestiale, animale, car il me prend sauvagement, à grands coups virils et profond, mon fondement. Et c’est après l’avoir supplié un nouvel orgasme, qu’Il me l’accorde. Je jouis alors dans un orgasme explosif en même temps que le Maitre se vide en moi dans un concert de râles, de plaisirs, de cris gutturaux, orgasmiques … Il me faut du temps pour me remettre, m’écroulant au sol, mes jambes ne me tenant plus, mon corps tremblant de la tête aux pieds, des spasmes qui me secouent, mes cuisses pleines de ma cyprine abondante …
A peine remise de mon orgasme, le Maitre écroulé sur moi au sol, sort de mon cul et m’attrape par les cheveux pour me retourner face à lui et m’enfonce Son noble Vit, dans ma bouche.

- Nettoie Ma grosse et noble Queue de ta langue la chienne, je veux qu’elle soit aussi propre que si je sortais de la douche, et applique toi, Ma putain en chaleurs
Les mots du Maitre, me faire insulter et rabaisser m’excitent toujours autant. A chaque fois que je suis avec Lui, je suis étonnée par ma capacité à être encore excitée même après plusieurs orgasmes. Comme Monsieur le Marquis me le dit souvent, je suis une chienne en chaleurs et Ses mots deviennent encore plus réels quand je suis en Sa présence... Ma langue s’active le plus possible à nettoyer comme il le faut le noble Joyau du Maitre, et pendant que je m’active à ma tâche, Il pose Sa main sur ma tête et finit par la caresser délicatement, puis Il descend petit à petit, sur mon cou, ma nuque jusqu’à finir par arriver sur mes seins, et mes tétons qu’il commence à travailler de délicates caresses avant me les pincer. Une fois la queue du Châtelain propre, ma langue lui a procuré un début d’érection à nouveau. Le Maitre attrape alors ma laisse qu’il m’attache à mon collier. D’un claquement de doigts, je comprends l’ordre silencieux et je me mets à quatre pattes par terre, prête à Le suivre… Apres quelques secondes d’attente dans cette position à sentir Son regard Dominant sur moi, à le sentir m’observer, Il commence à avancer tout en tirant sur ma laisse pour que je le suive. Le Maitre sort dans la cour du Château, avec moi derrière qui le suit. Nous traversons l’immense cour puis nous enfonçons dans la forêt du Château. Malgré le fait d’être dans la forêt, le Noble a fait carrosser un chemin avec une douce moquette synthétique d’extérieur pour pouvoir évoluer à quatre pattes en toute sécurité, sans se blesser les genoux ou les mains.

Le Maitre s’arrête proche de deux immenses marronniers à l’évidence multi-centenaires. Je vois proche, de ces hauts et majestueux arbres, des cordes, un bâillon écarteur, une chaine, ainsi qu’un martinet posés dans une sorte de cabane de jardin sans porte. Plusieurs flaques de boue se trouvent dans la forêt causées par la pluie de la nuit précédente. Le Châtelain me fait relever et me dirige entre les deux arbres en me tirant par mon collier. Il attrape d'abord ma main droite qu’il m’attache en hauteur à un arbre avant de faire la même chose avec ma 2e main sur l’autre arbre. Le Noble fait pareil avec mes jambes, qu’il écarte le plus possible avant de les attacher aux troncs des arbres. Il prend ensuite la chaine qu’il attache à mon collier avant de l'attacher à un anneau scellé à même le sol, la chaine étant assez courte le Maitre me tire vers le bas ce qui fait que je suis obligé de me baisser pour qu’il puisse l'attacher. Je suis donc nue, entre les deux arbres, attachée par les jambes bien écartées, les mains tirées en arrière écartées aussi en hauteur et mon buste baissé de façon à ce que je regarde le sol. Pour finir le Maitre attrape le bâillon écarteur qui m’enfonce dans la bouche et me l’attache derrière la tête. Ainsi ce bâillon me maintient ma cavité buccale grande ouverte.

Monsieur le Marquis commence à tourner autour de moi, à scruter attentivement mon entre-jambes ainsi bien exposé à Son regard. Je ne sais depuis combien de temps je suis comme ça, mais je commence à avoir mal aux bras tendus en l’air, ainsi qu’à la mâchoire car ma bouche est contrainte de rester grande ouverte. Ne pouvant fermer ma bouche pour avaler ma salive, je commence aussi à baver, sur mon menton, salive coulante jusqu’au sol. Le Maitre finit par s'arrête derrière moi, il fouille d'abord mon sexe qui sans surprise et bien humide, il me titille un peu le clitoris aussi et commence à me branler, je gémis et j’essaie de bouger mais étant bien attachée, je n’y arrive pas. J’ai envie de jouir et je ne sais pas comment le faire savoir au Maitre, comment lui demande la permission. Après ce qui me parait des heures à torturer mon sexe de plaisir sans pouvoir jouir, et à gémir de plaisir comme une chienne, le Châtelain m’attrape par ma chevelure et me tire la tête en arrière, il me tient fermement par les cheveux bien fort pour ne pas que ma tête retombe par la courte chaine, avant d’approcher Sa bouche de mon oreille pour me dire :
- Oui petite putain, petite chienne en chaleurs, c’est bon quand les mains du Maitre te touchent, te donnent du plaisir. Je sais que tu souhaites jouir Ma chienne esclave, que tu en rêves, mais pour l’instant, la seule jouissance que tu auras, c’est la jouissance mentale de donner du plaisir au Maitre, d'être l’objet, le jouet du Maitre. De savoir que j’use de toi comme bon me semble et qu’entre Mes mains, tu es en sécurité. Oh oui, quand j’en aurais fini avec toi, tu seras tellement excitée par l’humiliation que tu auras subit que tu me supplieras de te baiser et de t’offrir un orgasme voir même des orgasmes… et d’ici-là, on verra si je serais assez magnanime envers toi pour te les offrir, ou juste pour t’offrir l’honneur de te faire défoncer par Ma grosse queue.

Sur ces mots, le Châtelain relâche ma tête qui retombe en avant. Et Il commence à me fesser le cul, et à jouer avec mes seins. De sentir les mains du Maitre sur moi qui me fessent, qui me touchent, ça m’excite tellement que je sens ma mouille couler de nouveau le long de mes cuisses…Tout d’un coup, je ne sens plus les mains du Noble sur moi, je ne sens même plus Sa présence derrière moi, la chaine attachée à mon collier ne me laisse pas la possibilité de tourner assez ma tête pour l’apercevoir. C’est après quelques secondes que j’entends des pas derrière moi, et que je revois les pieds de Monsieur le Marquis devant moi. A Ses pieds, il pose un gros seau plein. Et c’est seulement quand il commence à m'étaler, avec un gant sur Sa main, le contenu du seau sur mon corps que je comprends qu’il s'agit de boue. Le Maitre démarre par un de mes seins, une bonne quantité, quand Il décide de prendre le seau et de juste me jeter le contenu au-dessus de ma tête. Alors, ça tombe sur mes cheveux, mon visage, et sur mon corps aussi car il en jette aussi sur mes épaules, puis Il repart chercher un deuxième seau et le verse sur tout mon corps cette fois. Je me sens tellement humiliée, souillée, sale, que j’ai l’impression de n'être rien, d'être une moins que rien, et cette humiliation, cette réalité tout comme tout ce que je viens de subir depuis mon arrivée au Château m’excite tellement. Le Châtelain ayant sûrement remarqué ma mouille le long de mes cuisses, me relève à nouveau la tête en tirant bien fort sur mes cheveux boueux, ce qui me fait gémir de douleur, puis Il me retourne une claque, et prend la parole :
- Silence grosse chienne, je fais de toi ce que je veux, tu es Mon esclave, Ma propriété la plus absolue, et il est normal que je fasse ce que je veux de ce qui m’appartient. Regarde-toi grosse souillonne, cochonne, tu mouilles comme une chienne en chaleurs. Tu aimes ça, te faire humilier, te sentir comme une merde. Eh bien sache-le, tu as raison de te sentir comme une merde car c’est ce que tu es, une petite merde qui a donné sa vie au plaisir du Maitre, et qui prend plaisir à se faire humilier ainsi. Moi aussi, je prends plaisir à t’humilier, salope, j’en bande même, sale chienne en chaleurs, j’ai besoin de t’humilier autant que tu as besoin de que je le fasse. Maintenant, tu vas gentiment rester ici, et attendre le retour du Maitre, il est l’heure pour moi d’aller déjeuner …
C’est sur Ses mots que le Noble s’en va à me laisser ainsi attachée, à baver et souillée pleine de boue et je l’avoue encore, très excitée de la situation...

(A suivre…)

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