La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1404)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-11-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1404)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1399) -
Exécution salope ! … Quelques jours plus tard, Louise devait revenir de son séjour au Manoir de Maisondieu, elle voulait absolument être de retour car c’était bientôt l’anniversaire du Seigneur d’Evans et pour que tout soit parfait il y aurait beaucoup de travail et voulait être là pour aider. Cette année, en concertation avec Angélique, il fut décidé que toutes les soumises, même les plus novices, participeraient car elles avaient eu l’idée qu’elles pourraient elles-mêmes servir de plateaux alors que les plus expérimentées s’occuperaient du service et de l’éventuel plaisir des Invités Dominants… Le Château était donc en effervescence telle une ruche pleine d’abeilles affairées. Même si le soir de l’anniversaire, elles seraient invitées, Chloris, Clémence et leurs filles (Félicienne et Blanche) décidèrent de s’occuper de la composition florale et du décor. Tandis que les hommes, chargés par leurs épouses, de trouver le cadeau le plus parfait pour l’occasion… Un soir, Chloris en parlait avec Antonin.
- Alors ce cadeau, vous avez trouvez ?
- Evidemment ! Mais ça n’a pas été simple. Le Seigneur d’Evans a déjà tout. Et c’est notre fils qui a eu l’idée, Ronan et moi-même, avons fait faire le nécessaire.
- Et qu’est-ce donc?
- Ça, tu ne le sauras pas avant Sa soirée d’anniversaire.
- Tout cela est bien mystérieux, mais j’ai confiance en Adrien, il a toujours d’excellentes idées et il tient cela de sa mère évidemment, dit-elle d’un air espiègle.
- Par ailleurs, aurais-tu une idée géniale en ce moment précis?
Chloris se mit nue et s’agenouilla devant son mari et Maître.
- Celle-ci vous convient-elle, Maître ?
- Oui certes mais pas tout à fait, va me chercher ton collier et ta laisse, j’ai bien envie d’une promenade avec ma chienne.
- Bien Maître, tout de suite.
Chloris revient avec son collier et sa laisse qu’elle présenta agenouillée à Antonin. Ce dernier installa le collier autour du cou et y accrocha la laisse. Puis ils quittèrent leur chambre pour se rendre dans le vaste parc du Château. Chloris telle une vraie chienne animale se tenait à quatre pattes aux pieds d’Antonin. Leurs pas les menèrent du côté de la chapelle au fond du parc. Là, près du mur de pierres, exposé toute la journée en plein soleil, il faisait très agréable. Antonin décida de s’y arrêter et dit à Chloris.
- Ce soir dans ce parc, tu es ma soumise. Tout à l’heure, quand nous serons de retour au Château et pour le reste de la nuit, tu seras ma femme.
- Bien Maître, tout ce qu’il vous plaira.
La situation les excitait tous les deux, être là dans le parc. Et quiconque passerait par-là, les verraient, mais cela leur était bien égal, car rien de plus banal en ce Château qu’un Maître prenne sa soumise.
- Ne vois- tu pas, que je suis à l’étroit sous mes chausses ?
Chloris se hâta de libérer cette queue déjà en semi érection. En théorie, Chloris savait comment agir mais Antonin lui ayant bien précisé qu’elle était, en ce moment, sa soumise, alors elle préféra attendre ses ordres.
- Fait-moi bander, sans tes mains je ne veux que ta bouche.
La belle Chloris s’exécuta en le léchant de bas en haut passent la langue sur ses bourses puis remontait jusqu'à titiller son méat urinaire, embrassant toute cette bite tendue et surtout le gland si bien, qu’elle l’a senti se raidir et se durcir de plus en plus sous ses délicieux et savants coups de langue et baisers. Ensuite elle la prit totalement en bouche alternant la pression de ses lèvres buccales et la vitesse parfois très lentement, centimètre par centimètre, en enroulant sa langue tout autour et parfois plus rapidement avec toujours un coup de langue sur le gland de plus en plus violacé et gonflé de désir… Soudain, Antonin la stoppa.
- Tu es toujours aussi bonne, mais je ne veux pas jouir, pas tout de suite. Met-toi en levrette, salope !
- Oui Maître.
Antonin lui baisa la chatte, après avoir vérifié de sa main son niveau d’humidité plus que satisfaisant, d’un coup de reins puissant et précis puis il se retira et recommença mais très lentement cette fois, voulant faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Chloris gémissait de plaisir et d’envie de jouissance mais elle savait qu’elle pouvait encore tenir bien plus longtemps et ne demanda rien. Tout en la besognant, à présent, à grand coups rapides ou lents il dilatait son anus, dont il adorait prendre possession, en vue d’une sodomie proche, Chloris coulait littéralement.
- Je vais te prendre par le cul et surtout ne jouit pas, compris chienne ?
- Bien Maître, répondit elle légèrement frustrée.
Antonin enfonça sa queue dure, raide et tendue à l’extrême doucement dans le cul de sa belle soumise adorée qui gémissait de plus belle. Antonin n’y tenant plus accéléra la cadence quand le passage fut fait par des va-et-vient lents et profonds
- Ahhhhhhh … Maî… Maître …puis je jou… jouir, s’il vous … plait ?
- Non je te l’interdis, suis-je claire ?
- Ouiiiiiii Maître, c’est très ….clai…claire.
Au bout de quelques coups de reins menant sa grosse bite de nouveau bien profond, Antonin jouit au fond du cul de Chloris et resta planté en elle plusieurs secondes en un bestial coït animal. Ensuite, la belle soumise nettoya le Maître, qu’elle aimant plus que tout, avec application et amour même si elle était terriblement frustrée et sur le point d’exploser. Après avoir repris leur souffle, Antonin repris la laisse et ils repartirent. Puis arrivé, près d’un gros arbre, il lui ordonna :
- On ne va pas tarder à rentrer, tu vas pisser ici.
Chloris se mit plus ou moins accroupie pour uriner dans la position d’une chienne, même si elle n’eut aucune difficulté à le faire car il commençait à faire frais en cette nuit d’été, elle eut toutes les peines du monde à ne pas jouir car la situation l’excitait énormément. Ensuite, ils continuèrent leur promenade pour rentrer au Château. Une fois de retour, dans leur chambre, Antonin lui enleva son collier et sa laisse et lui murmura amoureusement.
- Je sais que tu es frustrée mais je le voulais ainsi, car tout le reste de cette nuit tu pourras jouir à volonté quand tu le souhaiteras et donc sans me demander l’autorisation. Tu m’as entièrement satisfait car si tu avais fauté, je ne t’accorderais pas ce privilège.
Pour toute réponse, Chloris lui sourit amoureusement et l’embrassa. Et la nuit se passa ainsi entre ébats torrides et amoureux et câlins tendres jusqu’à ce qu’ils s’endorment épuisés mais heureux et enlacés, Chloris blottie dans les bras rassurants d’Antonin, la tête reposant sur son torse... Trois jours plus tard, la soirée d’anniversaire du Seigneur d’Evans arriva. Tous Ses amis et connaissances étaient présents et pour l’occasion même les enfants devenus adultes, ayant passé leur initiation, étaient présents. Après avoir tous bu (on appellerait cela aujourd’hui l’apéritif) divers alcool, les convives passèrent à table. Des jeunes femmes et hommes entièrement nus à l’exception de leur collier et pour les hommes de cage de chasteté, servaient les boissons. Les entrées et plat furent servis à foison, la nourriture disposée sur les plus novices soumises servant de plateaux et il n’était pas rare qu’un petit coup de fourchette se perdent, sans jamais blesser, cela va de soi. Si les soumises mouillaient abondement, les Dominants convives pouvaient récolter la cyprine pour faire lécher par leur soumis ou soumises respectifs.
Ceux servant à table pouvaient servir d’essuie-tout avec leur cheveux ou d’urinoir dans leur bouche par qui voulait sauf celle ou ceux portant une chaine rouge à la cheville ou au poignet. Car ceux-là étaient exclusivement réservés au Seigneur d’Evans Lui-Même ou Sa famille et amis très proches. Enfin, chacun connaissait les règles et les limites du Château, il y avait notamment Marion Sa favorite mais aussi Louise et Emilie fraichement dépucelées du cul qui portaient ces marques distinctives… Juste avant le dessert, ce fut le moment d’offrir les cadeaux au Seigneur d’Evans. Il faut avouer que la plupart étaient des choses sans grand importances, il y avait aussi certains accessoires D/s dernier cri ou venant d’un lointain pays d’orient tel par exemple un lot d’olisbos à 2 ‘têtes pour pénétrer le sexe et l’anus à la fois d’une soumise). Le plus surprenant, pour l’instant fut assurément celui de Son vieil ami, le Compte de Forez (père d’Ignabelle, voir épisodes précédents) qui lui offrit une jeune esclave soumise acquise à l’étranger, qu’il avait éduquée et préparée, à ce qu’elle se donne corps et âme au Seigneur d’Evans, Elle savait depuis le début qu’elle Lui serait offerte car elle avait été achetée dans ce but d’être offerte un jour au Seigneur d’Evans. Ce dernier le remercia chaleureusement. Le père d’Ignabelle lui répondit :
- Mon ami, c’est bien le moins que je puisse faire après tout ce que Vous avez fait pour moi et pour nous.
- Messire Léon, je veux que vous vous en occuper, ordonna le Seigneur.
- Bien volontiers, Sire.
Messire Léon emmena la jeune femme dans la pièce dite des soumises où elle serait, plus tard, préparée et apprêtée pour être présentée officiellement comme nouvelle soumise du Maître. Ensuite en dernier, ce fut le tour de Ronan qui lança à son père :.
- Père, Antonin, Enguerrand et moi-même ainsi que nos fils, avons un seul et même cadeau, celui-ci étant assez… imposant, il est dehors et nous Vous proposons de le découvrir après le dessert ?
- Pourquoi pas ! j’accepte s’exclama le Seigneur d’Evans, enjoué...
(A suivre…)
Exécution salope ! … Quelques jours plus tard, Louise devait revenir de son séjour au Manoir de Maisondieu, elle voulait absolument être de retour car c’était bientôt l’anniversaire du Seigneur d’Evans et pour que tout soit parfait il y aurait beaucoup de travail et voulait être là pour aider. Cette année, en concertation avec Angélique, il fut décidé que toutes les soumises, même les plus novices, participeraient car elles avaient eu l’idée qu’elles pourraient elles-mêmes servir de plateaux alors que les plus expérimentées s’occuperaient du service et de l’éventuel plaisir des Invités Dominants… Le Château était donc en effervescence telle une ruche pleine d’abeilles affairées. Même si le soir de l’anniversaire, elles seraient invitées, Chloris, Clémence et leurs filles (Félicienne et Blanche) décidèrent de s’occuper de la composition florale et du décor. Tandis que les hommes, chargés par leurs épouses, de trouver le cadeau le plus parfait pour l’occasion… Un soir, Chloris en parlait avec Antonin.
- Alors ce cadeau, vous avez trouvez ?
- Evidemment ! Mais ça n’a pas été simple. Le Seigneur d’Evans a déjà tout. Et c’est notre fils qui a eu l’idée, Ronan et moi-même, avons fait faire le nécessaire.
- Et qu’est-ce donc?
- Ça, tu ne le sauras pas avant Sa soirée d’anniversaire.
- Tout cela est bien mystérieux, mais j’ai confiance en Adrien, il a toujours d’excellentes idées et il tient cela de sa mère évidemment, dit-elle d’un air espiègle.
- Par ailleurs, aurais-tu une idée géniale en ce moment précis?
Chloris se mit nue et s’agenouilla devant son mari et Maître.
- Celle-ci vous convient-elle, Maître ?
- Oui certes mais pas tout à fait, va me chercher ton collier et ta laisse, j’ai bien envie d’une promenade avec ma chienne.
- Bien Maître, tout de suite.
Chloris revient avec son collier et sa laisse qu’elle présenta agenouillée à Antonin. Ce dernier installa le collier autour du cou et y accrocha la laisse. Puis ils quittèrent leur chambre pour se rendre dans le vaste parc du Château. Chloris telle une vraie chienne animale se tenait à quatre pattes aux pieds d’Antonin. Leurs pas les menèrent du côté de la chapelle au fond du parc. Là, près du mur de pierres, exposé toute la journée en plein soleil, il faisait très agréable. Antonin décida de s’y arrêter et dit à Chloris.
- Ce soir dans ce parc, tu es ma soumise. Tout à l’heure, quand nous serons de retour au Château et pour le reste de la nuit, tu seras ma femme.
- Bien Maître, tout ce qu’il vous plaira.
La situation les excitait tous les deux, être là dans le parc. Et quiconque passerait par-là, les verraient, mais cela leur était bien égal, car rien de plus banal en ce Château qu’un Maître prenne sa soumise.
- Ne vois- tu pas, que je suis à l’étroit sous mes chausses ?
Chloris se hâta de libérer cette queue déjà en semi érection. En théorie, Chloris savait comment agir mais Antonin lui ayant bien précisé qu’elle était, en ce moment, sa soumise, alors elle préféra attendre ses ordres.
- Fait-moi bander, sans tes mains je ne veux que ta bouche.
La belle Chloris s’exécuta en le léchant de bas en haut passent la langue sur ses bourses puis remontait jusqu'à titiller son méat urinaire, embrassant toute cette bite tendue et surtout le gland si bien, qu’elle l’a senti se raidir et se durcir de plus en plus sous ses délicieux et savants coups de langue et baisers. Ensuite elle la prit totalement en bouche alternant la pression de ses lèvres buccales et la vitesse parfois très lentement, centimètre par centimètre, en enroulant sa langue tout autour et parfois plus rapidement avec toujours un coup de langue sur le gland de plus en plus violacé et gonflé de désir… Soudain, Antonin la stoppa.
- Tu es toujours aussi bonne, mais je ne veux pas jouir, pas tout de suite. Met-toi en levrette, salope !
- Oui Maître.
Antonin lui baisa la chatte, après avoir vérifié de sa main son niveau d’humidité plus que satisfaisant, d’un coup de reins puissant et précis puis il se retira et recommença mais très lentement cette fois, voulant faire durer le plaisir le plus longtemps possible. Chloris gémissait de plaisir et d’envie de jouissance mais elle savait qu’elle pouvait encore tenir bien plus longtemps et ne demanda rien. Tout en la besognant, à présent, à grand coups rapides ou lents il dilatait son anus, dont il adorait prendre possession, en vue d’une sodomie proche, Chloris coulait littéralement.
- Je vais te prendre par le cul et surtout ne jouit pas, compris chienne ?
- Bien Maître, répondit elle légèrement frustrée.
Antonin enfonça sa queue dure, raide et tendue à l’extrême doucement dans le cul de sa belle soumise adorée qui gémissait de plus belle. Antonin n’y tenant plus accéléra la cadence quand le passage fut fait par des va-et-vient lents et profonds
- Ahhhhhhh … Maî… Maître …puis je jou… jouir, s’il vous … plait ?
- Non je te l’interdis, suis-je claire ?
- Ouiiiiiii Maître, c’est très ….clai…claire.
Au bout de quelques coups de reins menant sa grosse bite de nouveau bien profond, Antonin jouit au fond du cul de Chloris et resta planté en elle plusieurs secondes en un bestial coït animal. Ensuite, la belle soumise nettoya le Maître, qu’elle aimant plus que tout, avec application et amour même si elle était terriblement frustrée et sur le point d’exploser. Après avoir repris leur souffle, Antonin repris la laisse et ils repartirent. Puis arrivé, près d’un gros arbre, il lui ordonna :
- On ne va pas tarder à rentrer, tu vas pisser ici.
Chloris se mit plus ou moins accroupie pour uriner dans la position d’une chienne, même si elle n’eut aucune difficulté à le faire car il commençait à faire frais en cette nuit d’été, elle eut toutes les peines du monde à ne pas jouir car la situation l’excitait énormément. Ensuite, ils continuèrent leur promenade pour rentrer au Château. Une fois de retour, dans leur chambre, Antonin lui enleva son collier et sa laisse et lui murmura amoureusement.
- Je sais que tu es frustrée mais je le voulais ainsi, car tout le reste de cette nuit tu pourras jouir à volonté quand tu le souhaiteras et donc sans me demander l’autorisation. Tu m’as entièrement satisfait car si tu avais fauté, je ne t’accorderais pas ce privilège.
Pour toute réponse, Chloris lui sourit amoureusement et l’embrassa. Et la nuit se passa ainsi entre ébats torrides et amoureux et câlins tendres jusqu’à ce qu’ils s’endorment épuisés mais heureux et enlacés, Chloris blottie dans les bras rassurants d’Antonin, la tête reposant sur son torse... Trois jours plus tard, la soirée d’anniversaire du Seigneur d’Evans arriva. Tous Ses amis et connaissances étaient présents et pour l’occasion même les enfants devenus adultes, ayant passé leur initiation, étaient présents. Après avoir tous bu (on appellerait cela aujourd’hui l’apéritif) divers alcool, les convives passèrent à table. Des jeunes femmes et hommes entièrement nus à l’exception de leur collier et pour les hommes de cage de chasteté, servaient les boissons. Les entrées et plat furent servis à foison, la nourriture disposée sur les plus novices soumises servant de plateaux et il n’était pas rare qu’un petit coup de fourchette se perdent, sans jamais blesser, cela va de soi. Si les soumises mouillaient abondement, les Dominants convives pouvaient récolter la cyprine pour faire lécher par leur soumis ou soumises respectifs.
Ceux servant à table pouvaient servir d’essuie-tout avec leur cheveux ou d’urinoir dans leur bouche par qui voulait sauf celle ou ceux portant une chaine rouge à la cheville ou au poignet. Car ceux-là étaient exclusivement réservés au Seigneur d’Evans Lui-Même ou Sa famille et amis très proches. Enfin, chacun connaissait les règles et les limites du Château, il y avait notamment Marion Sa favorite mais aussi Louise et Emilie fraichement dépucelées du cul qui portaient ces marques distinctives… Juste avant le dessert, ce fut le moment d’offrir les cadeaux au Seigneur d’Evans. Il faut avouer que la plupart étaient des choses sans grand importances, il y avait aussi certains accessoires D/s dernier cri ou venant d’un lointain pays d’orient tel par exemple un lot d’olisbos à 2 ‘têtes pour pénétrer le sexe et l’anus à la fois d’une soumise). Le plus surprenant, pour l’instant fut assurément celui de Son vieil ami, le Compte de Forez (père d’Ignabelle, voir épisodes précédents) qui lui offrit une jeune esclave soumise acquise à l’étranger, qu’il avait éduquée et préparée, à ce qu’elle se donne corps et âme au Seigneur d’Evans, Elle savait depuis le début qu’elle Lui serait offerte car elle avait été achetée dans ce but d’être offerte un jour au Seigneur d’Evans. Ce dernier le remercia chaleureusement. Le père d’Ignabelle lui répondit :
- Mon ami, c’est bien le moins que je puisse faire après tout ce que Vous avez fait pour moi et pour nous.
- Messire Léon, je veux que vous vous en occuper, ordonna le Seigneur.
- Bien volontiers, Sire.
Messire Léon emmena la jeune femme dans la pièce dite des soumises où elle serait, plus tard, préparée et apprêtée pour être présentée officiellement comme nouvelle soumise du Maître. Ensuite en dernier, ce fut le tour de Ronan qui lança à son père :.
- Père, Antonin, Enguerrand et moi-même ainsi que nos fils, avons un seul et même cadeau, celui-ci étant assez… imposant, il est dehors et nous Vous proposons de le découvrir après le dessert ?
- Pourquoi pas ! j’accepte s’exclama le Seigneur d’Evans, enjoué...
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