La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1409)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1409)
L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1401) -
De ma vie, je n’ai jamais été autant humiliée … C’est repliée dans un coin de l’enclos, assise, mes jambes contre mon buste que j’attends dans cette puanteur, entourer des porcs, qui eux, ne font pas attention à ma présence. Je ne sais quelle heure il est, mais je commence à avoir soif et faim. Et pourtant, je ne vais pas boire ou manger dans les mangeoires et abreuvoirs qui se trouvent juste derrière les barreaux de l’enclos, où je n’aurais qu’à passer la tête entre ceux-ci pour me sustenter. Je me persuade tout de même et malgré les paroles de ce Felix, qu’il me ramènera, une gamelle de manger et une gamelle d’eau claire, comme quand je suis au Château entre les mains du Maitre. Malgré tout, et sans réussir à le comprendre vraiment, cette situation m’excite, je ne peux pas le nier de me faire humilier de la sorte. Je suis nue, toute puante, toute sale, et je rêve que d’une seule chose, me doucher… Mais aussi et paradoxalement de me faire prendre comme une chienne (ou plus exactement comme une grosse truie) à même le sol, de me faire utiliser et défoncer dans mes trous de salope en chaleur par le Maitre. Et c’est soudain en pensant à Lui et à toutes les humiliations qu’il pourrait me fait subir que je réalise que ce soir, cette nuit je n’aurai pas la chance et l’honneur de dormir à Ses pieds, comme je l'espérai. Je suis à la fois très excitée de cette humiliation que je subis, et heureuse car je savoure chaque chose qui vient du Maitre tant Vénéré, et à la fois triste de ne pouvoir être à Ses côtés. Tristesse qui ne m'empêche pas d’être excitée telle une truie en chaleur.
Apres un bon moment, l’envie d’uriner arrive... ne souhaitant pas me lever ne sachant pas comment les cochons vont réagir et ne souhaitant pas non plus me pisser dessus, je décide de me retenir le plus possible, voulant me persuader que je ne resterai pas ici la toute la nuit, qu’on me nourrira et qu’on m’emmènera faire mes besoins comme une chienne. Je passe donc ainsi des heures à me retenir et à attendre. Et c’est seulement quand je vois à travers les hautes vitres du hangar que les lumières de l’étage de la maison de Félix s’éteindre, que je comprends que je passerai vraiment la nuit dans cet enclos, enfermée comme une sale truie. Eclairée par la pleine lune dont sa lumière est filtrée à l’intérieur du hangar par les hautes vitres, c’est résignée que je me lève doucement et que je m’accroupis pour uriner, pour ensuite me diriger vers les barreaux de l’enclos où je passe ma tête entre ceux-ci et que je commence difficilement à laper l’eau ainsi que la nourriture des cochons. Si quand j’ai été jetée dans l’enclos, je me suis senti humiliée comme jamais, ce n’est rien comparé à cette sensation d’humiliation totale que je ressens maintenant à devoir manger et boire comme les cochons... Je me sens totalement déshumanisée, animalisée à l’extrême, je ressens entièrement et pleinement mon état d’objet présent juste pour servir le Maitre, et c’est cette pensée qui me réconforte, dans l’épreuve difficile que je suis en train de subir. Le comble de cette incroyable situation est que pendant que je lape l’eau dans l’abreuvoir, je ressens mon bas-ventre s’humidifier grandement et que cette excitation improbable et incompréhensible monter en mon sexe inexorablement.
Et puis tout d’un coup, je réalise ce qu’il se passe réellement, par deux faits bien concrets. Le premier est que je ressens de nouveau l’œuf vibrant qui est resté dans mon vagin, je l’avais presque oublié et je réalise qu’il n’a pas été retiré après l’épisode du bain de boue (voir épisode précédent) et tandis que je me désaltère en quadrupédie, qu’il se remet en marche bougeant et excitant d’avantage ma chatte si réceptive et déjà préalablement excitée. Le deuxième fait, est que je n’avais pas tout remarqué sur l’instant une petite lumière rouge clignotante juste au-dessus de l’enclos avec un petit appareil monté sur un support scellé au plafond et pivotant à 360 degrés. Je comprends de quoi il s’agit quand j’entends la voix du Maître, oui je dis bien la voix du Maître ! Mais d’où vient-elle ? Je me retourne et aperçois une enceinte acoustique stéréo fixée contre le poteau du hangar, le plus proche de l’enclos.
- Mon esclave salope, tu ne peux pas me voir, mais juste m’entendre par cette enceinte stéréo. Moi je te vois par la caméra à infra-rouge fixée au plafond, juste au-dessus de toi, tu dois l’apercevoir par une petite lumière rouge clignotante. Et puis sache que par un système de wi-fi, je peux activer à distance l’œuf vibrant toujours placée dans ta chatte de salope…
Quel bonheur, tout d’un coup je ne me sens plus du tout seule et abandonnée dans cette porcherie. Le Maître est là !
- … Tu croyais que j’allais te laisser ainsi toute la nuit sans surveillance ? Tu vas m’obéir et faire tout ce que je vais exiger. Pour commencer, je veux que tu t’alimentes comme une sale truie que tu es, alors va manger leur bouillie dans un des mangeoires. Et si l’envie de jouir te prenait, je t’interdis la jouissance tant que tu en n’auras pas reçu l’autorisation… Exécution, esclave …
Excitée, c’est avec beaucoup de difficulté que je remets donc à manger cette infâme bouillie nourrissante des cochons. Je n’ai pas beaucoup manger mais je suis bien vite rassasiée. Pendant tout le temps où je mange, l’œuf vibrant se met en marche et en diverses vitesses d’où cette difficulté à me sustenter sans jouir. Une fois rassasiée, je recule ma tête d’entre les barreaux de l’enclos et reste en quadrupédie sans bouger, la tête baissée, les jambes écartées quand la voix du Maître retentit de nouveau :
- Reste en cette position à quatre pattes qui te va si bien et branle-toi ton clitoris, salope …
Je m’exécute et le Maître actionne en même temps et à distance l’œuf vibrant. Il exige clairement que j’accélère ma masturbation sur mon clitoris qui se dresse, il exige que je le décalotte avec mes doigts, que je le tapote, que je le pince, que je le branle frénétiquement tandis qu’il m’humilie sans modération avec mille insultes me rabaissant telle que :
- Sale cochonne, grosse truie en chaleur, puante souillonne, petite merde, paillasson à marcher dessus, sac à foutre, garage à bites, chienne à prendre en pleine rue en levrette, putain de bas quartier, vide-couilles, grosse merde bonne à écraser…
A me branler frénétiquement, plus l’œuf vibrant à son maximum, plus les insultes qui fusent pire que jamais, j’avoue n’avoir pas pu me retenir très longtemps ma jouissance, malgré tous mes efforts pour me retenir et c’est malgré moi que je me mets à éclater mon orgasme en me roulant dans la paille souillée tout en continuant à me masturber. Ma cyprine coulant abondamment sur mes cuisses, mes cris jouissifs d’un puissant orgasme explosif que je ne peux pas contrôler résonnant dans tout le hangar, des violents spasmes remontant sur toute mon échine alors que l’œuf et les insultes continuent sans aucun moment d’interruption… Au bout d’un moment, l’œuf s’arrête de fonctionner, la voix du Maître se tait après avoir dit fortement un dernier mot « STOP’… Puis le silence complet, dans lequel il me faut un certain temps pour reprendre mes esprits, pour réaliser que j’ai désobéi en jouissant malgré moi. Je ne sais que faire, je suis désemparée, alors je ne bouge pas et j’attends la sanction avec tristesse d’avoir pas pu me retenir de jouir… Il se passe au moins 10 minutes avant que la voix du Maître retentisse de nouveau…
- Mon esclave, tu as joui sans en être autorisée, tu vas donc être punie et tu imploreras de te faire pardonner. Cependant, je dois avouer clairement que je t’ai poussé volontairement à la faute, accentuant les vibrations de l’œuf, augmentant mes insultes humiliantes, exigeant que tu te branles avec plus de vigueur. Donc je Me dois d’être juste et je prendrais en considération tout cela demain matin lors de l’énoncé de la punition qui sera donc moins sévère de ce que tu aurais mérité si je ne t’avais pas pousser à la faute… Bien, il est très tard, maintenant je vais me coucher. Je te conseille de vite trouver le sommeil… Demain, je te veux sans trop de fatigue … Bonne nuit, Ma sale truie …
Ce sont les derniers mots du Maître. Triste d’avoir désobéi, mais comprenant que c’est le Maître qui a voulu très volontairement me faire jouir en me poussant à la faute, je vais donc dans un coin de l’enclos où je me couche en chien de fusil pour essayer de dormir un peu, malgré la puanteur qui m’entoure et la mienne… C’est le matin et je ne sais quelle heure il est, mais je sens des petits coups de pieds sur mes fesses m’exigeant de me réveiller. C’est en ouvrant les yeux que je vois que le soleil commence à peine à se lever et qu’il est donc bien tôt. Felix me regarde au-dessus de mon corps recroquevillé par terre. Et il perd patience bien rapidement à attendre et à me laisser malgré tout quelques secondes pour émerger, il décide donc de se baisser à ma hauteur et il m’attrape par mes cheveux qui sont plutôt longs, et ainsi il commence à me trainer par terre dans l’enclos à cochons, et sur le chemin toujours les cheveux empoignés, c’est à quatre pattes que l’on se dirige jusqu’à sa bétaillère, où comme à l’aller la veille, il me fait voyager à l'arrière avec des cochons. Malgré mes conditions de voyage, l’odeur dérangeante des porcs, et de moi-même, je suis heureuse de retourner enfin au Château aux pieds du Maitre, dont je me suis beaucoup languis, même si je sais que je vais être punie.
Ma joie redescend bien vite quand je comprends par le fait que le véhicule ne bouge pas que nous ne partons pas maintenant. Felix va donc vaquer à ses occupations et me laisse dans le véhicule toujours entourée des cochons. Apres, ce qui me parait des heures d’attente, j’entends enfin le moteur démarrer et la bétaillère commencer à avancer. La route me parait beaucoup plus longue, et j’ai l’impression que je ne retrouverai pas les pieds du Maitre avant longtemps, et quand enfin j’aperçois par les barreaux de la parois du véhicule, la grille du Château, c’est tout heureuse que je me dirige donc vers la portière arrière attendant que l’on vienne m’ouvrir, même si le véhicule et encore en marche. Une fois arrêté Felix sort, mais il ne vient toujours pas m’ouvrir. Puis j’entends la voix du Noble, il est tout proche, et pourtant j’ai l’impression que nous sommes si loin par mon impossibilité d'être prosternée à Ses pieds, à ma place. La voix du Châtelain et de Felix s'éloignent, je comprends donc que le Maitre met ma patience à l'épreuve. Je sais qu’il me sait pressée et excitée de Le retrouver, mais il me fait comprendre et me rappelle que je suis à Sa disposition, et que le Maitre s’occupe de moi uniquement, quand il le veut.
Je décide donc de m’asseoir à même la paille, je repose ma tête contre le côté de la bétaillère, le temps me parait long, et je ne peux rien faire, j’aimerai tellement me dégager de cette puanteur, prendre une bonne douche salvatrice et retrouver les pieds du Maitre. Je me mets à re penser à ces dernières heures, je n’ai jamais autant été humiliée et pourtant rarement autant excitée, et même à en jouir malgré moi... je sais que le Maitre sait ce qui est bon pour moi, et de quoi j’ai besoin. Et si au début j’ai eu du mal à le réaliser, j’ai comme pris du plaisir, via cette puissante humiliation. Perdue dans mes pensées, je n’entends pas le Maitre et Félix revenir, c’est seulement quand je me fais tirer par les cheveux pour sortir de la bétaillère que je comprends, c’est Felix qui les tire, et il finit par me jeter par terre comme une merde, aux pieds du Maitre …
(A suivre…)
De ma vie, je n’ai jamais été autant humiliée … C’est repliée dans un coin de l’enclos, assise, mes jambes contre mon buste que j’attends dans cette puanteur, entourer des porcs, qui eux, ne font pas attention à ma présence. Je ne sais quelle heure il est, mais je commence à avoir soif et faim. Et pourtant, je ne vais pas boire ou manger dans les mangeoires et abreuvoirs qui se trouvent juste derrière les barreaux de l’enclos, où je n’aurais qu’à passer la tête entre ceux-ci pour me sustenter. Je me persuade tout de même et malgré les paroles de ce Felix, qu’il me ramènera, une gamelle de manger et une gamelle d’eau claire, comme quand je suis au Château entre les mains du Maitre. Malgré tout, et sans réussir à le comprendre vraiment, cette situation m’excite, je ne peux pas le nier de me faire humilier de la sorte. Je suis nue, toute puante, toute sale, et je rêve que d’une seule chose, me doucher… Mais aussi et paradoxalement de me faire prendre comme une chienne (ou plus exactement comme une grosse truie) à même le sol, de me faire utiliser et défoncer dans mes trous de salope en chaleur par le Maitre. Et c’est soudain en pensant à Lui et à toutes les humiliations qu’il pourrait me fait subir que je réalise que ce soir, cette nuit je n’aurai pas la chance et l’honneur de dormir à Ses pieds, comme je l'espérai. Je suis à la fois très excitée de cette humiliation que je subis, et heureuse car je savoure chaque chose qui vient du Maitre tant Vénéré, et à la fois triste de ne pouvoir être à Ses côtés. Tristesse qui ne m'empêche pas d’être excitée telle une truie en chaleur.
Apres un bon moment, l’envie d’uriner arrive... ne souhaitant pas me lever ne sachant pas comment les cochons vont réagir et ne souhaitant pas non plus me pisser dessus, je décide de me retenir le plus possible, voulant me persuader que je ne resterai pas ici la toute la nuit, qu’on me nourrira et qu’on m’emmènera faire mes besoins comme une chienne. Je passe donc ainsi des heures à me retenir et à attendre. Et c’est seulement quand je vois à travers les hautes vitres du hangar que les lumières de l’étage de la maison de Félix s’éteindre, que je comprends que je passerai vraiment la nuit dans cet enclos, enfermée comme une sale truie. Eclairée par la pleine lune dont sa lumière est filtrée à l’intérieur du hangar par les hautes vitres, c’est résignée que je me lève doucement et que je m’accroupis pour uriner, pour ensuite me diriger vers les barreaux de l’enclos où je passe ma tête entre ceux-ci et que je commence difficilement à laper l’eau ainsi que la nourriture des cochons. Si quand j’ai été jetée dans l’enclos, je me suis senti humiliée comme jamais, ce n’est rien comparé à cette sensation d’humiliation totale que je ressens maintenant à devoir manger et boire comme les cochons... Je me sens totalement déshumanisée, animalisée à l’extrême, je ressens entièrement et pleinement mon état d’objet présent juste pour servir le Maitre, et c’est cette pensée qui me réconforte, dans l’épreuve difficile que je suis en train de subir. Le comble de cette incroyable situation est que pendant que je lape l’eau dans l’abreuvoir, je ressens mon bas-ventre s’humidifier grandement et que cette excitation improbable et incompréhensible monter en mon sexe inexorablement.
Et puis tout d’un coup, je réalise ce qu’il se passe réellement, par deux faits bien concrets. Le premier est que je ressens de nouveau l’œuf vibrant qui est resté dans mon vagin, je l’avais presque oublié et je réalise qu’il n’a pas été retiré après l’épisode du bain de boue (voir épisode précédent) et tandis que je me désaltère en quadrupédie, qu’il se remet en marche bougeant et excitant d’avantage ma chatte si réceptive et déjà préalablement excitée. Le deuxième fait, est que je n’avais pas tout remarqué sur l’instant une petite lumière rouge clignotante juste au-dessus de l’enclos avec un petit appareil monté sur un support scellé au plafond et pivotant à 360 degrés. Je comprends de quoi il s’agit quand j’entends la voix du Maître, oui je dis bien la voix du Maître ! Mais d’où vient-elle ? Je me retourne et aperçois une enceinte acoustique stéréo fixée contre le poteau du hangar, le plus proche de l’enclos.
- Mon esclave salope, tu ne peux pas me voir, mais juste m’entendre par cette enceinte stéréo. Moi je te vois par la caméra à infra-rouge fixée au plafond, juste au-dessus de toi, tu dois l’apercevoir par une petite lumière rouge clignotante. Et puis sache que par un système de wi-fi, je peux activer à distance l’œuf vibrant toujours placée dans ta chatte de salope…
Quel bonheur, tout d’un coup je ne me sens plus du tout seule et abandonnée dans cette porcherie. Le Maître est là !
- … Tu croyais que j’allais te laisser ainsi toute la nuit sans surveillance ? Tu vas m’obéir et faire tout ce que je vais exiger. Pour commencer, je veux que tu t’alimentes comme une sale truie que tu es, alors va manger leur bouillie dans un des mangeoires. Et si l’envie de jouir te prenait, je t’interdis la jouissance tant que tu en n’auras pas reçu l’autorisation… Exécution, esclave …
Excitée, c’est avec beaucoup de difficulté que je remets donc à manger cette infâme bouillie nourrissante des cochons. Je n’ai pas beaucoup manger mais je suis bien vite rassasiée. Pendant tout le temps où je mange, l’œuf vibrant se met en marche et en diverses vitesses d’où cette difficulté à me sustenter sans jouir. Une fois rassasiée, je recule ma tête d’entre les barreaux de l’enclos et reste en quadrupédie sans bouger, la tête baissée, les jambes écartées quand la voix du Maître retentit de nouveau :
- Reste en cette position à quatre pattes qui te va si bien et branle-toi ton clitoris, salope …
Je m’exécute et le Maître actionne en même temps et à distance l’œuf vibrant. Il exige clairement que j’accélère ma masturbation sur mon clitoris qui se dresse, il exige que je le décalotte avec mes doigts, que je le tapote, que je le pince, que je le branle frénétiquement tandis qu’il m’humilie sans modération avec mille insultes me rabaissant telle que :
- Sale cochonne, grosse truie en chaleur, puante souillonne, petite merde, paillasson à marcher dessus, sac à foutre, garage à bites, chienne à prendre en pleine rue en levrette, putain de bas quartier, vide-couilles, grosse merde bonne à écraser…
A me branler frénétiquement, plus l’œuf vibrant à son maximum, plus les insultes qui fusent pire que jamais, j’avoue n’avoir pas pu me retenir très longtemps ma jouissance, malgré tous mes efforts pour me retenir et c’est malgré moi que je me mets à éclater mon orgasme en me roulant dans la paille souillée tout en continuant à me masturber. Ma cyprine coulant abondamment sur mes cuisses, mes cris jouissifs d’un puissant orgasme explosif que je ne peux pas contrôler résonnant dans tout le hangar, des violents spasmes remontant sur toute mon échine alors que l’œuf et les insultes continuent sans aucun moment d’interruption… Au bout d’un moment, l’œuf s’arrête de fonctionner, la voix du Maître se tait après avoir dit fortement un dernier mot « STOP’… Puis le silence complet, dans lequel il me faut un certain temps pour reprendre mes esprits, pour réaliser que j’ai désobéi en jouissant malgré moi. Je ne sais que faire, je suis désemparée, alors je ne bouge pas et j’attends la sanction avec tristesse d’avoir pas pu me retenir de jouir… Il se passe au moins 10 minutes avant que la voix du Maître retentisse de nouveau…
- Mon esclave, tu as joui sans en être autorisée, tu vas donc être punie et tu imploreras de te faire pardonner. Cependant, je dois avouer clairement que je t’ai poussé volontairement à la faute, accentuant les vibrations de l’œuf, augmentant mes insultes humiliantes, exigeant que tu te branles avec plus de vigueur. Donc je Me dois d’être juste et je prendrais en considération tout cela demain matin lors de l’énoncé de la punition qui sera donc moins sévère de ce que tu aurais mérité si je ne t’avais pas pousser à la faute… Bien, il est très tard, maintenant je vais me coucher. Je te conseille de vite trouver le sommeil… Demain, je te veux sans trop de fatigue … Bonne nuit, Ma sale truie …
Ce sont les derniers mots du Maître. Triste d’avoir désobéi, mais comprenant que c’est le Maître qui a voulu très volontairement me faire jouir en me poussant à la faute, je vais donc dans un coin de l’enclos où je me couche en chien de fusil pour essayer de dormir un peu, malgré la puanteur qui m’entoure et la mienne… C’est le matin et je ne sais quelle heure il est, mais je sens des petits coups de pieds sur mes fesses m’exigeant de me réveiller. C’est en ouvrant les yeux que je vois que le soleil commence à peine à se lever et qu’il est donc bien tôt. Felix me regarde au-dessus de mon corps recroquevillé par terre. Et il perd patience bien rapidement à attendre et à me laisser malgré tout quelques secondes pour émerger, il décide donc de se baisser à ma hauteur et il m’attrape par mes cheveux qui sont plutôt longs, et ainsi il commence à me trainer par terre dans l’enclos à cochons, et sur le chemin toujours les cheveux empoignés, c’est à quatre pattes que l’on se dirige jusqu’à sa bétaillère, où comme à l’aller la veille, il me fait voyager à l'arrière avec des cochons. Malgré mes conditions de voyage, l’odeur dérangeante des porcs, et de moi-même, je suis heureuse de retourner enfin au Château aux pieds du Maitre, dont je me suis beaucoup languis, même si je sais que je vais être punie.
Ma joie redescend bien vite quand je comprends par le fait que le véhicule ne bouge pas que nous ne partons pas maintenant. Felix va donc vaquer à ses occupations et me laisse dans le véhicule toujours entourée des cochons. Apres, ce qui me parait des heures d’attente, j’entends enfin le moteur démarrer et la bétaillère commencer à avancer. La route me parait beaucoup plus longue, et j’ai l’impression que je ne retrouverai pas les pieds du Maitre avant longtemps, et quand enfin j’aperçois par les barreaux de la parois du véhicule, la grille du Château, c’est tout heureuse que je me dirige donc vers la portière arrière attendant que l’on vienne m’ouvrir, même si le véhicule et encore en marche. Une fois arrêté Felix sort, mais il ne vient toujours pas m’ouvrir. Puis j’entends la voix du Noble, il est tout proche, et pourtant j’ai l’impression que nous sommes si loin par mon impossibilité d'être prosternée à Ses pieds, à ma place. La voix du Châtelain et de Felix s'éloignent, je comprends donc que le Maitre met ma patience à l'épreuve. Je sais qu’il me sait pressée et excitée de Le retrouver, mais il me fait comprendre et me rappelle que je suis à Sa disposition, et que le Maitre s’occupe de moi uniquement, quand il le veut.
Je décide donc de m’asseoir à même la paille, je repose ma tête contre le côté de la bétaillère, le temps me parait long, et je ne peux rien faire, j’aimerai tellement me dégager de cette puanteur, prendre une bonne douche salvatrice et retrouver les pieds du Maitre. Je me mets à re penser à ces dernières heures, je n’ai jamais autant été humiliée et pourtant rarement autant excitée, et même à en jouir malgré moi... je sais que le Maitre sait ce qui est bon pour moi, et de quoi j’ai besoin. Et si au début j’ai eu du mal à le réaliser, j’ai comme pris du plaisir, via cette puissante humiliation. Perdue dans mes pensées, je n’entends pas le Maitre et Félix revenir, c’est seulement quand je me fais tirer par les cheveux pour sortir de la bétaillère que je comprends, c’est Felix qui les tire, et il finit par me jeter par terre comme une merde, aux pieds du Maitre …
(A suivre…)
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