La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1417) - histoire érotique

chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1416) –
- Présente-Moi, ton cul de salope de chienne ! …
Je Lui présente alors mon cul bien tendu, arrondissant mes fesses le mieux possible en bonne femelle en chaleurs et insatiable de sexe. Alors, comme mon cul est déjà bien dilaté par l’orgie anale des soumis qui m’ont bien enculé, Ses va-et-vient sont de suite virils et profonds dans ma cavité anale et il me laboure ainsi le cul par de puissants coups de reins qui me font gémir de milles plaisirs. Je sens encore un orgasme monter puissamment que je refoule n’ayant pas l’accord de jouir du Maitre. Ce dernier pose Sa main sur mes cheveux et empoigne ma queue de cheval en continuant à me culbuter, à me défoncer le cul tout en tirant mes cheveux en arrière, ce qui me fait relever la tête et bomber un peu en avant ma poitrine de femelle. En même temps, Il me traite de milles insultes délicieusement excitantes telles que ‘sale truie’, sac à foutre, et j’en passe … ce qui a le don de m’exciter encore plus à être comme ça rabaissée et humiliée, comme Seul le Maitre sait le faire. Puis Il rajouta
- Eh bien Ma chienne de pute, tu n’es pas encore rassasiée, après tous les coups de queue que tu as eu salope ! Tu en veux encore à ce que je vois, une vraie chienne nympho en chaleur, une bonne putain de bas quartiers, dit-il en sortant de mon cul pour s’enfoncer dans ma chatte dégoulinante de cyprine et ensuite en me pilonnant ma cavité tellement humide de désirs pour le Maitre. Je vais bientôt jouir, Ma grosse truie, tu seras autorisée à jouir, mais seulement en même temps que Moi. Je Me suis bien fais comprendre, Ma chienne en chaleur, réponds-moi, Ma sale trainée de pute !
- Ouiiiiiiiiiiiiii Mai… Maître…
Monsieur le Marquis continue et accélère Ses mouvements et me fesse le cul en même temps avec Ses mains pour accentuer mon excitation juste avant d’exploser de Sa semence dans ma chatte de salope et dans une jouissance éjaculatrice. Ce qui me permit de jouir en même temps que Lui, dans un orgasme puissant et intense. Une fois la copulation anale, la saillie bestiale plus exactement, finie, le Maitre sort Sa Verge et se dirige vers la salle de bain avec moi qui le suit à quatre pattes afin d’obéir à Son Exigence de le suivre en quadrupédie.

- Tu rentres dans la douche pour te laver et pas question que tu salisses Mon parquet multi-centenaire par tout ce foutre que tu as sur toi, sale chienne puante. Mais avant, tu va me boire encore, j’ai envie de pisser et tu me nettoieras Ma queue après. Exécution, sac à pisse, urinoir puant, salope !

Je m’agenouille alors dans la douche du Maitre et ouvre en grand la bouche et Il se met à y pisser dedans ainsi que sur mon corps de chienne puante de foutre des chiens du Maitre... Une fois fini, Monsieur le Marquis ouvre l’eau et me tends la paume de douche. L’eau est froide, le Maître apparemment ne m’autorise pas l’eau chaude ayant ouvert le robinet d’eau froide et donc je tremble de froid et je me dépêche sous Ses yeux Dominants. Ensuite, frissonnante, je me sèche au plus vite faisant attention de ne pas mettre de l’eau sur le parquet multi-centenaire. Quand j’eu fini, Il déposa un baiser sur ma bouche tendre et passionné avant de me montrer où j’allais passer la nuit, c’est-à-dire sur le paillasson devant la porte. Je me mis en boule en silence, le Maître daigne me mettre une couverture sur mon corps nu et m’endormis sans demander mon reste, épuisée par la journée passée… Au petit matin, ce fut une soumise, la belle Keira MDE qui me réveilla et suite aux consignes que le Noble lui avait donné la veille, toutes les deux avons pour obligation de monter sur le lit du Maitre pour le réveiller par une fellation à deux bouches en y mettant tout notre savoir-faire. Une fois le Maitre réveillé, soumise Keira MDE réussit, avec sa bouche d’experte, à faire éjaculer le Maître sur mon visage, comme cela avait été exigé la veille. Le Châtelain exigea que je reste ainsi toute la journée avec Sa semence séchée sur le visage. Je me sentais à la fois humiliée et aussi très honorée de cette réalité. On descendit du lit, pour nous mettre à genoux et attendre les directives de Monsieur le Marquis.

- Bonjour Mes belles chiennes, vous allez prendre votre petit déjeuner avec Moi et après soumise Keira MDE, tu retourneras à tes occupations. Et toi, chienne Cataleya, tu as du travail qui t’attend dans le petit château de tes parents. L’architecte est de mon Cercle et donc il ne sera pas étonné s’il te voit avec Ma semence séchée sur ton visage de pute. Après, tu aideras Marie, la cuisinière, à préparer le repas. Est-ce bien clair, Mes chiennes ?, questionna le Noble- Oui Maitre, répondit-on en même temps
Un des esclaves du Maitre, nu et encagé apporta le petit déjeuner au Maitre et déposa également deux gamelles remplies d’une bouillie nourrissante. Nous attendons l’ordre de manger à genoux, immobiles et silencieuses
- Vous pouvez manger Mes deux belles chiennes dociles et obéissantes, vous y êtes autorisées, nous autorisa-t-il en claquant des doigts…- Merci Maitre…
Une fois fini de manger, nous rapportons le petit déjeuner de Maitre et nos gamelles dans les cuisines et c’est un des esclaves du Maitre qui récupère le tout. soumise Keira MDE retourne à ses occupations, pendant que moi, je me dirige habillée vers mon château. En effet, il y a un l’architecte qui m’attend pour faire le point sur l’avancement de la rénovation. L’extérieur du château est terminé, me dit l’architecte, mais il reste du travail dans l’intérieur pour qu’il soit entièrement rénové. Il y a la dorure à refaire et toutes les cuisines à détruire et reconstruire ce qui va prendre énormément de temps et d’argent. Je fais faire les devis à l’architecte et lui demanda de les faire parvenir au Maitre car c’est Lui seul qui pouvait décider d’accorder le financement ou pas en fonction du devis… Ensuite comme il me restait du temps, j’en profitai donc pour aller dans mon entreprise de traiteur gastronomique pour assister à une réunion où Maitre ne pouvait pas se rendre. La réunion terminée, je tape sur mon pc portable, le compte-rendu pour le transmettre à Monsieur le Marquis.

Une fois la réunion terminée, je me dépêchais de transmettre le compte rendu à Maitre pour qu’il puisse valider le budget prévisionnel des prochains mois et des rendez-vous des prochaines semaines afin de coordonner nos emplois du temps. Dès le mail envoyé, je retournais au Château du Maitre et me déshabillais pour me diriger vers les cuisines, avec 5 bonnes minutes d’avance, ne voulant pas être en retard car il m’en cuirait, connaissant la dure sévérité et la perversité de Marie la cuisinière.

- Ah, te voilà la chienne, et en avance, je vois que le dressage du Maitre, celui de Walter et le mien te sied à merveille et que tu as retenu les leçons pour avoir été punie et sanctionnée de tes retards, petite salope…- Oui Madame Marie. Maitre m’a exigé de venir dès que j’aurais fini mon travail de femme d’affaires. Et je sais que je ne dois jamais vous faire attendre surtout quand il s’agit de préparer le repas pour Maitre.
- Femme d’affaires ? Et puis quoi encore ? Je t’en fournirais moi des femmes d’affaires ! Mais pour qui elle se prend cette petite salope ! Les seules affaires que tu as à faire ici, c’est faire la pute et obéir, la chienne, répliqua Marie sur un ton extrêmement autoritaire et froid avec la tête haute tout en me brandissant une cravache- Mais je suis une femme d’aff…- Silence la chienne ! A genoux, j’ai dit. Tu vas voir comme je traite les femmes d’affaires, moi. Approche à quatre pattes … la salope d’affaires ! … ou plutôt à faire la salope ! … Et tu vas venir sous ma jupe, me lécher mon clitoris et tu as intérêt à me faire jouir et dépêche-toi, nous avons du travail à faire .Et le temps que tu resteras en cuisines, tu porteras ce plug pour dilater ton cul de salope de chienne.

Craintive de la sévérité de Marie, j’obtempère en silence et je me mets alors à quatre pattes. Je prends le plug que la cuisinière me tend à bout de bras et je me l’enfonce dans mon anus. Ce plug est d’une taille assez grosse pour me sentir amplement remplie pour un bon moment. Je galérai un peu pour l’enfiler car mon cul n’était pas dilater à la seconde, il me fallut donc forcer en poussant, tout en réprimant la douleur du passage dans mon fondement. Ce plug enfin mis en place, la douleur se transforma en plaisir par le fait de se sentir bien encombrée, bien prise du cul. Je me glissais ensuite sous la jupe de la cuisinière et commença à la branler avec ma langue et mes doigts comme elle me l’avait sévèrement appris. Et je me dépêchai de la faire jouir, pour cela je m’appliquais du mieux possible, passant ma langue sur ses lèvres intimes, léchant ensuite son clito avec avidité, revenant sur ses lèvres pour ensuite passer l’intérieur de son vagin où ma langue baladeuse s’activait à lui procurer du plaisir. Quand au bout de quelques minutes, elle plaqua énergiquement ma tête contre son pubis et se mit à jouir d’un orgasme bruyant et abondant de mouille qui inonda mon visage et se mélangea au sperme séché du Maître… Je dus rester ainsi sans bouger contre son sexe trempée au moins 5 bonnes minutes, immobilisée.

Ensuite, Marie me repoussa d’un vif coup de sa main sur mon épaule et me retrouvant ainsi à terre, elle chauffa un peu mon cul de chienne au martinet, non pas parce que je mis suis mal prise mais simplement par envie sadique de sa part. Après cette volée de coups, la cuisinière me donna ses directives pour la préparation du repas et retourna à ses occupation, jusqu'à qu’un des nouveaux soumis de Maitre ne fasse tomber un plat par terre. Marie le sanctionna avec une grande sévérité comme elle sait si bien le faire…
(A suivre …)