La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1420)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1420)
chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1419) –
- Tu iras remercier leur travail, avec ton cul et ta bouche, espèce de chienne en chaleur…
La journée fut à 100% vanille entre RDV sur RDV avec le Maitre et les associés. Vanille donc, sauf le soir venu, juste pour aller dormir avec mes sœurs et frères de soumission au Chenil du Château. Le lendemain matin, je fus réveillée par Walter pour que je parte, comme ordonné par Maitre, après avoir avalé ma pâtée dans ma gamelle et douchée au jet d’eau froide, que je parte donc, afin de remercier les ouvriers, qui, à mon arrivée étaient en pose. Une fois arrivés sur le chantier, le Majordome s’adressa à eux :
- Mes chers amis, comme promis par Monsieur le Marquis, voilà la chienne qu’Il vous offre ! Profitez bien d’elle sans modération mais sans mettre sa vie et santé en danger. Bien, je vous laisse, je reviendrai la chercher vers la mi-journée …dit Walter en quittant les lieux- Ah, voilà cette salope ! Nous savions qu’on devait t’amener ici ce matin et nous en sommes déjà tous excités car nous t’attendions avec impatience… Entre dans la grande salle et met-toi à genoux, chienne de rue, tu vas nous servir de vide-couilles, tu seras jusqu’au retour de ce brave Walter notre sac à foutre, pour bien tous nous faire jouir… Mais toi, tu as interdiction de jouir …
Je me mets donc à genoux et cet ouvrier, que je devine être le chef de chantier, tourne autour de moi, suivi par ses acolytes tels des vautours autour de leur proie. Des rires de moquerie, des insultes humiliantes fusent, des crachats aussi sur mon visage, dans mes cheveux, sur mes seins. Je me sens simplement être inférieur, juste un morceau de viande, un simple objet à utiliser sans modération et lequel je le sais, ces ouvriers vont user et abuser amplement. Je sais à ce moment-là que je vais subir un pervers gang-band et cette perspective m’excite au plus haut point, il me faut bien l’avouer. Le premier sort alors sa bite demi-molle, sans aucune gêne et me pisse dessus en me tirant la tête en arrière par ma queue de cheval. Les autres sortent leur chibre de leur pantalon et se branlent comme des porcs en rut…
Oui, comme des porcs, pour venir à leur tour se faire sucer un par un, les uns derrière les autres et se vider dans ma bouche après avoir utilisé ma cavité buccale comme un simple trou à baiser. Puis certains me mettent à quatre pattes et me prennent la chatte, d’autres le cul et souvent les deux à la fois pendant que j’en suce un autre, prise donc par me trois orifices. Dès qu’un jouit, il sort d’un de mes trous et est remplacé par un autre. Ceux qui attendent leur tour se branlent ou me caressent vicieusement. Ceux qui m’enculent, je sens leurs couilles claquant contre mon cul étant sodomisée sauvagement pendant que les autres se déversent dans ma bouche ou dans ma chatte trempée de femelle en chaleur... Cette méga orgie sur mon corps, ce bang band démesuré durant toute la matinée, jusqu’à que le ouvriers soient tous vidés de leur foutre après plusieurs éjaculations pour chacun d’eux. Ce n’est que vers midi que Walter réapparu et me ramena au Château du Maître.
- Ca, c’est une bonne chienne, tu iras remercier Monsieur le Marquis de t’avoir offert à nous. Tu peux aller te doucher pour ne pas salir le Château du Maitre qui te soumet... Merci Walter de la ramener après sa douche, dit le chef du chantier en réajustant son pantalon.
Sur ses mots, je me dirigeais donc vers ma salle de bain. Mais ne sachant pas si j’avais droit à l’eau chaude, je pris rapidement une douche froide et retourna au Château du Maitre avec le Majordome… Me voilà donc revenue au Château, l’endroit où je peux être moi-même une esclave possédée par le Maitre auquel qu’appartiens pour le reste de ma vie. Il est vrai que ce n’est pas tout les jours facile mais si j’obéis sans réfléchir, c’est plus simple et Maitre a toujours été bienveillant, strict mais juste et bon. Une fois rentrée, je m’installe dans ma chambre vanille pour travailler à mon entreprise, sur le dernier événement qui doit avoir lieu à l’étranger en Chine. Je travaille une bonne partie de la soirée sous le regard de la camera du Maitre. Je pris le temps quand même pour aller nue en quadrupédie dans les cuisines de Marie vers 19h pour manger ma bouillie et où il me fallut lui donner du plaisir avec ma langue sur son sexe tout en me cravachant le cul, pour me punir d’avoir mis un peu de bouillie sur le sol en mangeant dans ma gamelle. Puis, je retournais travailler avec un mot du Maître trouvé sur mon bureau :
« Ma chienne, j’ai vu que tu es bien occupée avec ton travail à faire, mais je veux que dès maintenant, tu empales ton cul de chienne sur ton gode XL, le temps que tu travailles et une fois finie, tu viendras dormir avec Moi, dans ton panier car demain j’exige de passer la journée avec toi, très tôt car nous partirons pour la Chine pour le mariage D/s que tu organises pour ton travail. Le Maitre »
Une fois lu le mot, je sors donc le gode XL et m’empale dessus doucement en écartant largement mes cuisses et mes fesses. Je le sens coulisser en mon fondement et je ressens de suite cette sensation d’emplissage qui me stimule l’excitation de mon sexe instantanément à le lubrifier naturellement avec abondance pour continuer à travailler, excitée, jusqu'à 23h45. Une fois le dossier bouclé, je me dirige doucement vers la Chambre du Maitre qui dort déjà avec une soumise nue et roulée en boule à Ses pieds, sa laisse attachée de son cou à un pied du lit. Je fais le moins de bruit possible, et me couche dans mon panier et m’endors assez vite… A 5h du matin, le réveil du Maitre sonne et je me réveille au même moment et constate que la soumise est partie. Je me mets de suite à genoux et attends docilement Son réveil.
- Monte Ma salope de chienne, vient me sucer et ne tarde pas à me faire jouir, nous devons partir dans une heure, alors grimpe et viens soulager mon érection matinale…
Je m’exécute au plus vite et monte sur le lit et je me glisse sous les draps de soie de Monsieur le Marquis. Je prends en bouche la Verge du Maitre, je Le lèche avec gourmandise, aspire avec force, suce avec envie et pour donner le maximum de plaisir au Noble, sans pour autant prendre mon temps, j’accélère mes mouvements cadencés et en 5 minutes, je reçois enfin la noble Semence du Châtelain dans ma bouche. Je Le nettoie avidement après avoir avalé Son sperme sous un claquement de doigts m’autorisant à le faire. Une fois finie, Il me dirige vers la douche pour en premier se laver et que je prenne ma douche, pour une fois, chaude. Quand on eut terminé, Il alla prendre Son petit-déjeuner et moi ma pâtée matinale, puis Walter nous conduisit à l’aéroport de Lyon-St-Exupéry pour un vol jusqu’à Shanghai dans Son jet privé. Durant le trajet, je pus lui servir son repas et lui servir de vide-couilles mais aussi je pris du temps pour finaliser plusieurs dossiers en attente complexe avec l’aide de Maitre, car n’étant qu’une soumise, les négociations étaient impossibles avec certains Dominants…
Quelques heures avant notre arrivée en Chine, le Maitre alla se coucher. Je fis de même, pour une fois, à Ses pieds sur le lit... J’étais consciente du privilège que j’avais, mais je n’en oubliais pas ma place de salope. 30 minutes avant notre arrivée, j’avais ordre de le réveiller par une fellation, ce que je fis et comme petit encas, j’eus droit à Son sperme chaud dans ma bouche. Arrivée à l’aéroport de Pékin, un chauffeur chinois nous attentait pour nous conduire jusqu’au lieu de réception. Durant le trajet, nous discutions de la tournure des événements et que je passerais la journée vanille pour préparer la cérémonie du mariage de l’ami du Noble et faire en sorte que tout se passe pour le mieux. Et il y avait du travail pour tout coordonner afin de correspondre aux directives du client, que j’eu juste le temps de voir avant son mariage. Le mariage se passa comme les clients le voulaient, j’étais épuisée par la journée de travail intense. J’ai croisé Monsieur le Marquis à plusieurs reprises mais sans pour autant pouvoir prendre du temps pour Lui malheureusement… Ce fut après le mariage que je pus rejoindre la suite privée de Maitre.
- Entre Crystal, je te félicite, tu as très bien travaillé, je suis fier de toi, mes amis sont très heureux du boulot que tu as abattu. Mais maintenant, je veux voir Ma propriété absolue alors à genoux, Ma salope de chienne. Bien parfait. Maintenant debout contre le mur, dos face à moi, que je m’occupe de ton dos et de ton cul de salope soumise.
- Oui Maitre
Je m’approchais alors du mur et me mis en position et le Maitre attrapa le martinet en cuir doux pour fouetter mon cul pendant de longue minutes, chauffant ma peau bien trop pâle pour Lui. Ensuite, Il prit en main Sa cravache et commença à donner de petits coups puis intensifia pour me faire danser avec la cravache, pour me faire gémir de douleurs et plaisirs à la fois. Puis Le Noble changea d’instrument pour prendre le fouet et le faire claquer sur mon cul et à chaque claquement, Il monta en intensité. Les morsures étaient vives et cuisantes, mais si excitante également, ma cyprine coulant sur mes cuisses en témoignaient. Je les sentis impacter ma peau et je dansais sous Son fouet. C’était divin sur mon cul, de dos, de face, aucune partie de mon corps n’échappa au fouet de Maitre et cela durant une bonne trentaine de minutes de ce divin supplice. Puis Le Maitre me mit à quatre pattes pour me sodomiser à me prendre le cul à même le sol, mon plaisir était déjà bien haut avec la séance de fouet, alors quand Il entra dans mon fondement, ce fut très dur de ne pas jouir, même sans lubrification… Une véritable saillie bestiale et à sec, mais tellement jouissive...
(A suivre …)
- Tu iras remercier leur travail, avec ton cul et ta bouche, espèce de chienne en chaleur…
La journée fut à 100% vanille entre RDV sur RDV avec le Maitre et les associés. Vanille donc, sauf le soir venu, juste pour aller dormir avec mes sœurs et frères de soumission au Chenil du Château. Le lendemain matin, je fus réveillée par Walter pour que je parte, comme ordonné par Maitre, après avoir avalé ma pâtée dans ma gamelle et douchée au jet d’eau froide, que je parte donc, afin de remercier les ouvriers, qui, à mon arrivée étaient en pose. Une fois arrivés sur le chantier, le Majordome s’adressa à eux :
- Mes chers amis, comme promis par Monsieur le Marquis, voilà la chienne qu’Il vous offre ! Profitez bien d’elle sans modération mais sans mettre sa vie et santé en danger. Bien, je vous laisse, je reviendrai la chercher vers la mi-journée …dit Walter en quittant les lieux- Ah, voilà cette salope ! Nous savions qu’on devait t’amener ici ce matin et nous en sommes déjà tous excités car nous t’attendions avec impatience… Entre dans la grande salle et met-toi à genoux, chienne de rue, tu vas nous servir de vide-couilles, tu seras jusqu’au retour de ce brave Walter notre sac à foutre, pour bien tous nous faire jouir… Mais toi, tu as interdiction de jouir …
Je me mets donc à genoux et cet ouvrier, que je devine être le chef de chantier, tourne autour de moi, suivi par ses acolytes tels des vautours autour de leur proie. Des rires de moquerie, des insultes humiliantes fusent, des crachats aussi sur mon visage, dans mes cheveux, sur mes seins. Je me sens simplement être inférieur, juste un morceau de viande, un simple objet à utiliser sans modération et lequel je le sais, ces ouvriers vont user et abuser amplement. Je sais à ce moment-là que je vais subir un pervers gang-band et cette perspective m’excite au plus haut point, il me faut bien l’avouer. Le premier sort alors sa bite demi-molle, sans aucune gêne et me pisse dessus en me tirant la tête en arrière par ma queue de cheval. Les autres sortent leur chibre de leur pantalon et se branlent comme des porcs en rut…
Oui, comme des porcs, pour venir à leur tour se faire sucer un par un, les uns derrière les autres et se vider dans ma bouche après avoir utilisé ma cavité buccale comme un simple trou à baiser. Puis certains me mettent à quatre pattes et me prennent la chatte, d’autres le cul et souvent les deux à la fois pendant que j’en suce un autre, prise donc par me trois orifices. Dès qu’un jouit, il sort d’un de mes trous et est remplacé par un autre. Ceux qui attendent leur tour se branlent ou me caressent vicieusement. Ceux qui m’enculent, je sens leurs couilles claquant contre mon cul étant sodomisée sauvagement pendant que les autres se déversent dans ma bouche ou dans ma chatte trempée de femelle en chaleur... Cette méga orgie sur mon corps, ce bang band démesuré durant toute la matinée, jusqu’à que le ouvriers soient tous vidés de leur foutre après plusieurs éjaculations pour chacun d’eux. Ce n’est que vers midi que Walter réapparu et me ramena au Château du Maître.
- Ca, c’est une bonne chienne, tu iras remercier Monsieur le Marquis de t’avoir offert à nous. Tu peux aller te doucher pour ne pas salir le Château du Maitre qui te soumet... Merci Walter de la ramener après sa douche, dit le chef du chantier en réajustant son pantalon.
Sur ses mots, je me dirigeais donc vers ma salle de bain. Mais ne sachant pas si j’avais droit à l’eau chaude, je pris rapidement une douche froide et retourna au Château du Maitre avec le Majordome… Me voilà donc revenue au Château, l’endroit où je peux être moi-même une esclave possédée par le Maitre auquel qu’appartiens pour le reste de ma vie. Il est vrai que ce n’est pas tout les jours facile mais si j’obéis sans réfléchir, c’est plus simple et Maitre a toujours été bienveillant, strict mais juste et bon. Une fois rentrée, je m’installe dans ma chambre vanille pour travailler à mon entreprise, sur le dernier événement qui doit avoir lieu à l’étranger en Chine. Je travaille une bonne partie de la soirée sous le regard de la camera du Maitre. Je pris le temps quand même pour aller nue en quadrupédie dans les cuisines de Marie vers 19h pour manger ma bouillie et où il me fallut lui donner du plaisir avec ma langue sur son sexe tout en me cravachant le cul, pour me punir d’avoir mis un peu de bouillie sur le sol en mangeant dans ma gamelle. Puis, je retournais travailler avec un mot du Maître trouvé sur mon bureau :
« Ma chienne, j’ai vu que tu es bien occupée avec ton travail à faire, mais je veux que dès maintenant, tu empales ton cul de chienne sur ton gode XL, le temps que tu travailles et une fois finie, tu viendras dormir avec Moi, dans ton panier car demain j’exige de passer la journée avec toi, très tôt car nous partirons pour la Chine pour le mariage D/s que tu organises pour ton travail. Le Maitre »
Une fois lu le mot, je sors donc le gode XL et m’empale dessus doucement en écartant largement mes cuisses et mes fesses. Je le sens coulisser en mon fondement et je ressens de suite cette sensation d’emplissage qui me stimule l’excitation de mon sexe instantanément à le lubrifier naturellement avec abondance pour continuer à travailler, excitée, jusqu'à 23h45. Une fois le dossier bouclé, je me dirige doucement vers la Chambre du Maitre qui dort déjà avec une soumise nue et roulée en boule à Ses pieds, sa laisse attachée de son cou à un pied du lit. Je fais le moins de bruit possible, et me couche dans mon panier et m’endors assez vite… A 5h du matin, le réveil du Maitre sonne et je me réveille au même moment et constate que la soumise est partie. Je me mets de suite à genoux et attends docilement Son réveil.
- Monte Ma salope de chienne, vient me sucer et ne tarde pas à me faire jouir, nous devons partir dans une heure, alors grimpe et viens soulager mon érection matinale…
Je m’exécute au plus vite et monte sur le lit et je me glisse sous les draps de soie de Monsieur le Marquis. Je prends en bouche la Verge du Maitre, je Le lèche avec gourmandise, aspire avec force, suce avec envie et pour donner le maximum de plaisir au Noble, sans pour autant prendre mon temps, j’accélère mes mouvements cadencés et en 5 minutes, je reçois enfin la noble Semence du Châtelain dans ma bouche. Je Le nettoie avidement après avoir avalé Son sperme sous un claquement de doigts m’autorisant à le faire. Une fois finie, Il me dirige vers la douche pour en premier se laver et que je prenne ma douche, pour une fois, chaude. Quand on eut terminé, Il alla prendre Son petit-déjeuner et moi ma pâtée matinale, puis Walter nous conduisit à l’aéroport de Lyon-St-Exupéry pour un vol jusqu’à Shanghai dans Son jet privé. Durant le trajet, je pus lui servir son repas et lui servir de vide-couilles mais aussi je pris du temps pour finaliser plusieurs dossiers en attente complexe avec l’aide de Maitre, car n’étant qu’une soumise, les négociations étaient impossibles avec certains Dominants…
Quelques heures avant notre arrivée en Chine, le Maitre alla se coucher. Je fis de même, pour une fois, à Ses pieds sur le lit... J’étais consciente du privilège que j’avais, mais je n’en oubliais pas ma place de salope. 30 minutes avant notre arrivée, j’avais ordre de le réveiller par une fellation, ce que je fis et comme petit encas, j’eus droit à Son sperme chaud dans ma bouche. Arrivée à l’aéroport de Pékin, un chauffeur chinois nous attentait pour nous conduire jusqu’au lieu de réception. Durant le trajet, nous discutions de la tournure des événements et que je passerais la journée vanille pour préparer la cérémonie du mariage de l’ami du Noble et faire en sorte que tout se passe pour le mieux. Et il y avait du travail pour tout coordonner afin de correspondre aux directives du client, que j’eu juste le temps de voir avant son mariage. Le mariage se passa comme les clients le voulaient, j’étais épuisée par la journée de travail intense. J’ai croisé Monsieur le Marquis à plusieurs reprises mais sans pour autant pouvoir prendre du temps pour Lui malheureusement… Ce fut après le mariage que je pus rejoindre la suite privée de Maitre.
- Entre Crystal, je te félicite, tu as très bien travaillé, je suis fier de toi, mes amis sont très heureux du boulot que tu as abattu. Mais maintenant, je veux voir Ma propriété absolue alors à genoux, Ma salope de chienne. Bien parfait. Maintenant debout contre le mur, dos face à moi, que je m’occupe de ton dos et de ton cul de salope soumise.
- Oui Maitre
Je m’approchais alors du mur et me mis en position et le Maitre attrapa le martinet en cuir doux pour fouetter mon cul pendant de longue minutes, chauffant ma peau bien trop pâle pour Lui. Ensuite, Il prit en main Sa cravache et commença à donner de petits coups puis intensifia pour me faire danser avec la cravache, pour me faire gémir de douleurs et plaisirs à la fois. Puis Le Noble changea d’instrument pour prendre le fouet et le faire claquer sur mon cul et à chaque claquement, Il monta en intensité. Les morsures étaient vives et cuisantes, mais si excitante également, ma cyprine coulant sur mes cuisses en témoignaient. Je les sentis impacter ma peau et je dansais sous Son fouet. C’était divin sur mon cul, de dos, de face, aucune partie de mon corps n’échappa au fouet de Maitre et cela durant une bonne trentaine de minutes de ce divin supplice. Puis Le Maitre me mit à quatre pattes pour me sodomiser à me prendre le cul à même le sol, mon plaisir était déjà bien haut avec la séance de fouet, alors quand Il entra dans mon fondement, ce fut très dur de ne pas jouir, même sans lubrification… Une véritable saillie bestiale et à sec, mais tellement jouissive...
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