La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1422)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1422) Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1422)
chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1421) –
Yang Li Hao me culbutait sauvagement la chatte, pendant que sa femme s’activait sur mon clitoris si réceptif alors que je faisais de même sur le sien…
- La chienne, tu pourras jouir uniquement quand ma femme jouira, dit-il dans un français parfait… Compris petite pute ?, exigea Yang Li Hao - Oui Monsieur Yang Li Hao, j’ai compris…
Je m’appliquai donc de plus belle à lui procurer du plaisir pour pouvoir enfin accéder à la jouissance montant de plus en plus après une semaine d’abstinence à l’orgasme tout en ayant été culbutée, baisée des centaines de fois. J’étais devenue une vraie et vulgaire putain bonne qu’à être baisée et démontée par n’importe qui, et cela m’excitait énormément... Je ne ressentais que gémissements de la femme de Yang Li Hao. Elle était au bord de la jouissance et je m’activais encore plus, jusqu’au moment où elle se mit à lâcher un puissant orgasme monstre et lâcha une fontaine de cyprine sur mon visage et surtout dans ma bouche. Je la buvais littéralement, aspirant, avalant et léchant en même temps son sexe coulant ce flot de mouille pour n’en perdre aucune goutte de ce délicieux éjaculat féminin... Une fois qu’elle eut fini, ce fut à moi (et enfin !) de pouvoir jouir, comme une grosse pute en manque. Et ce fut sous les coups de reins puissants et virils de son mari qui me besognait sans vergogne mon fondement anal car il était sorti de ma chatte en feu. Cela au moment de la jouissance de sa femme pour aller plonger profondément dans mon cul de putain salope en chaleur. Je sentis de nouveau un orgasme monter encore et encore donc je suppliai à Yang Li Hao son autorisation afin de pouvoir jouir de nouveau sous ses coups de reins si puissants, après un premier orgasme explosif, hors norme et si salvateur…
- Tu t’es bien comportée, la putain française, donc je t’accorde la jouissance à volonté jusqu'à ce que je jouisse dans ton cul de chienne, alors petite catin, savoure-bien ce cadeau …
Je lâchais donc un deuxième orgasme encore plus puissant que le précédent, parcourue par de violents spasmes orgasmiques quasi atomiques tellement puissants que je me mis à trembler de tout mon corps pour lâcher quelques instants plus tard et sans discontinuité un nouvel orgasme phénoménal traversée par des décharges électriques remontant sur toute mon échine avant que Yang Li Hao jouisse à son tour dans cette saillie animale au plus profond de mon cul de chienne épuisée, par la semaine passée. Le Dominant chinois resta de très longues minutes ainsi tout au fond de mon cul, immobile, sans bouger dans un coït anal profond, savourant sa possession totale sur mon corps de femelle soumise, m’enserrant fermement mes deux seins par ces mains puissantes passées sous mes aisselles. Ensuite, il me mordit l’arrière du cou comme pour me faire un suçon ou marquer son empreinte sur ma nuque avant de se retirer et de m’imposer de nettoyer toutes les souillures restées sur sa queue devenue mollissant... Ce sont sur ces derniers et torrides ébats sexuels que se termina mon périple asiatique de putain soumise…
Pour ce qui est de mon retour en France, au Château, j’eus droit au jet privée du Maitre affrété pour l’occasion. C’est un des hommes de mains de Monsieur le Marquis, pilote d’avion de surcroit, qui est venu me chercher et je passai la majeure partie du voyage à dormir dans mon panier où je pus me reposer un peu… Mais j’en profitais aussi pour faire mon rapport au Maitre de mon séjour passé chez Maitre Yang Li Hao. Un compte-rendu détaillé pour qu’Il sache exactement ce qu’il s’est passé. Je fis attention de ne rien oublier car je savais que dès mon départ de Chine, Yang Li Hao lui aussi en profiterai pour contacter le Châtelain pour lui faire part de la tenue des événements...

Une fois arrivée à Lyon, je fus conduite au bureau de mon entreprise pour y retrouver tout mes collaborateurs et Maitre aussi ce qui me fit très plaisir même si j’aurai bien dormi encore un peu, surtout avec le décalage horaire. La réunion fut interminable durant une bonne partie de la matinée et il me tardait qu’elle se termine. Une fois celle-ci terminée, le Maitre me ramena au Château dans sa Rolls-Royce avec Walter conduisant la luxueuse voiture. Un claquement de doigts m’ordonna de le sucer, moi assise à Ses côtés à l’arrière, je me penchais pour le prendre en bouche. Une fois la Verge du Maître devenue bien raide et dure dans ma cavité buccale, Monsieur le Marquis demanda à son Majordome et chauffeur de s’arrêter dans un sous-bois perdu, pas très loin du Château. Visiblement le Châtelain savait où aller pour être tranquille… Le Noble me prit alors sur la banquette arrière de Sa voiture, en levrette, sous le regard complice de Walter regardant la scène dans son rétroviseur intérieur.

Le Maitre me fessa, m’encula, et me laboura la chatte sans ménager ses coups de reins. Il reprenait ainsi possession de mon corps soumis à Lui, après cette semaine asiatique. Ensuite et après avoir joui de sa reprise de possession physique sur Sa chienne salope que je suis, je Lui nettoyais Sa verge consciencieusement, si heureuse de retrouver Celui à qui j’ai la chance d’appartenir. Ce fut un grand moment de plaisir, mais en même temps j’avais le contre coup du traitement que le Maitre avait exigé de moi durant une semaine en Chine par une extrême fatigue. Donc une fois arrivé au Château, Il me fit ramener par Walter dans le Chenil où je pus dormir durant un long moment. Je ne mis pas longtemps pour m’endormir en boule. Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi mais à mon réveil, il faisait déjà noir donc je tournai en rond sur ma couche comme une chienne pour me recoucher et me rendormir toute la nuit sous les yeux de la caméra de surveillance allumée...

Le matin, je fus réveillée par Walter m’apportant une gamelle de pâtée en bouillie nourrissante à avaler bien évidemment en quadrupédie dans le Chenil, comme un chien. Une fois finie, j’eu droit à une douche froide dans une salle de bain de la crypte et ensuite je fus conduite dans la salle de réception du Château pour nettoyer, frotter avec une cire spéciale et adaptée tout le parquet multi-centenaire du Maitre. Nous étions plusieurs soumises et soumis à cette tâche. Et tous avions un plug enfoncé dans le cul pour effectuer ce dur labeur à quatre pattes. Soufflant quelques secondes en relevant la tête, j’aperçus un superbe tableau du portrait du fameux Marquis de Sade avec une inscription en dessous ‘‘Ce parquet fut foulé par le célèbre Marquis de Sade en 1784’’. Je me remis alors à frotter de plus belle afin de faire honneur à cette historique réalité de l’Histoire de ce parquet que j’avais le privilège de faire briller à la cire, avec mes sœurs et frère de soumission. On y passa une bonne partie de la journée, parfois fouettés dans le dos ou sur nos culs relevés si on n’allait pas assez vite par le Majordome surveillant notre travail…
Quand je fus arrivée vers la grande cheminée, Walter s’approcha de moi et sans dire un seul mot, en profita pour me relever ma tête en empoignant ma queue de cheval et me prendre en levrette par ma chatte bien exhibée alors que je récurai à 4 pattes le parquet, et dans de puissants coups de reins forts et virils, à me la baiser sauvagement. Tout autour de nous, les autres soumis restaient silencieux et continuaient leur travail comme si de rien n’était, afin de ne pas fauter. Le Majordome m’enleva ensuite le volumineux plug pour y loger son sexe bien dur, il entra en moi comme dans du beurre dans mon anus dilaté par le plug et me laboura le cul durant de longues minutes. Ensuite, il décida de se retirer et se vida dans ma bouche de salope. Puis, il ordonna aux chiens soumis mâles (qui n’était pas encagés et cela je ne l’avais pas remarqué en arrivant) de faire la même chose avec les chiennes soumises femelles. Et que si une seule goutte de foutre tombait sur le parquet, le couple copulant serait sévèrement sanctionné. Ce fut alors une partouse torride entre soumis et soumise. Alors que ça copulait comme des bêtes tout autour de moi, entra une dizaine de soumis mâles, non encagés, tous des blacks de forte corpulence au corps brillant et huilé d’ébène suite à la voix forte de Walter qui cria fortement ‘’Entrez les chiens’’...

Alors, je fus prise par tous les trous sans modération par ses blacks et je recevais leur sperme chaud uniquement dans ma bouche pour ne pas salir le parquet multi-centenaire du Maitre...

- Tu es un vrai sac à foutre, la chienne en chaleur…Maintenant va te préparer, Monsieur le Marquis a prévu une soirée D/s et tu fais partie des chiennes soumise salopes qui vont être utilisées par les Invités, dit Walter. File maintenant. Quand à vous les chiennes et chiens continuez à nettoyer le sol et à préparer la salle de réception pour les Invités du Maitre. Mais avant, je vais de suite faire l’inspection du sol et si je vois une seule goutte de foutre sur le parquet, chaque couple incriminé ira de suite en quadrupédie dans la salle de punition située dans la crypte et attendra pour y être châtié…
De mon côté, le soir venu, je me dépêchais à me préparer dans la salle de bain des soumises et soumis avec mes autres sœurs de soumission. Une fois douchées et apprêtées, nous attendions au milieu de la salle de réception à genoux devant tous les Invités arrivés et aux pieds du Maitre… La soirée D/s allait commencer …
(A suivre …)

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