La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1423)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1423)
chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1422) –
La soirée D/s allait commencer …
- Mes amis, bienvenus chez Moi au Château, pour cette nouvelle soirée de Domination/soumission. Mes chiennes et chiens sont toutes à votre entière disposition. Usez et abusez en autant que vous le voulez, elles et ils sont là pour cela.
La soirée commença par le repas où bon nombre de dominés (ées) passèrent sous la table pour sucer des bites ou lécher des chattes. Puis la soirée commença véritablement avec plusieurs de mes sœurs de soumission étaient attachées, godées, fistées, enculées, baisées, fouettées ... Deux hommes me prirent et me conduisirent jusqu'à une des nombreuses croix de st André pour une séance de martinet à 4 mains. Ce fut vraiment un pur bonheur pour moi, je dansais littéralement sous leurs mains expertes. Une fois finie, on m’installa à genoux les mains dans le dos, sur une surface carrelées dans une petite pièce accolée. Et les mêmes Dominants se mirent à me pisser dessus et dans ma bouche. Je m’efforçais à avaler tout leur précieux liquide. Ensuite, ils me donnèrent l’ordre de tourner autour de la pisse tombée au sol, en quadrupédie, et le nez à ras le carrelage et de renifler l’urine tel un vrai chien. Puis de m’y rouler dedans, alors durant de longues minutes, je me roulais dans leurs pisse fortement odorante. Quand j’eus terminé, je fus humiliée verbalement de chienne puant la pisse, de trainée de catin, et j’en passe, ce qui m’excitait terriblement.
Je fus ramenée dans la grande salle et une Domina m’attacha sans tarder, à des cordes suspendues à une grosse poutre du plafond pour subir un shibari et me fouetta longuement, sous les yeux de Monsieur le Marquis qui n’en perdit pas une seconde de ce traitement que je subissais. Il s’approcha et passa Ses doigts sur ma chatte trempée pour venir me les présenter pour que je les Lui lèche. Ensuite, pendant que la Domina me fouettait le dos, Maitre me doigta sauvagement la chatte de Ses doigts virils et puissants. Je sentais mon orgasme monter, exacerbée par le fouet. Le doigtage de mon sexe en feu ne m’aidait pas à contrôler ma jouissance qui allait crescendo à toute vitesse, dans mon bas-ventre. Ce ne fut qu’au bout de longue minutes, que Le Noble m’accorda enfin le droit à l’orgasme. Alors et je me suis laissé aller à la jouissance dans des cris et râles gutturaux… Une fois détachée, plusieurs hommes Dominants s’approchèrent avec leur bite dressée à la main et se masturbèrent devant moi. Maitre dit :
- Ma belle putain de salope soumise est toute à vous, Mes amis. C’est une vraie catin, nympho et vicieuse, alors de vous en priver pas... Quant à toi, Ma belle petite pute de chienne salope, J’exige que tu satisfasses chacun de ses hommes ici présents et cela durant toute la nuit. Je te veux en une véritable chienne en chaleur, citerne à foutre, une grosse truie en manque, comme tu sais si bien le faire. Je veux que tu subisses leurs virils assauts par toutes tes cavités que ce soit ta chatte, ton cul ou ta bouche de putain. Je veux que quand je reviendrai demain voir Mes amis, tu pue leur semence à plein nez. Me suis-je bien fait comprendre, petite pute ?, rajouta le Maitre- Oui Maitre, mes orifices sont à leur entière disposition, je ferais tout ce que Vous exigez, Maitre.
- Bien. Sûr ce, Mes amis, profitez-en bien. Je vous laisse, avec cette chienne spécialisée dans le vidage des couilles.
Le Maitre quitta la pièce avec plusieurs chiennes tenues en laisse, par la porte donnant la direction du Donjon... Je suppose donc qu’Il est allé continuer Sa soirée de Domination/soumission en comité plus restreint et je suis un peu triste de ne pas être partie avec Lui. Mais je me concentre sur Ses Exigences et on m’installa sur une sorte de table de gynéco baissée au maximum. Là, déjà plusieurs bites se présentèrent à moi. Je commençais donc à les sucer à tour de rôle, les cuisses largement écartées pendant que d’autres me branlèrent le clito et me prirent la chatte. Ils me baisèrent sauvagement, sans penser à mon plaisir ou que la position soit désagréable car pour eux, j’étais seulement un trou à remplir, un simple objet sexuel, un bon vide-couilles... Durant toute la nuit, je n’eus pas le temps de me reposer, je me fis prendre encore et encore dans toutes les positions possibles et inimaginables, abusivement sans modération ni temps mort, dans une nuitée orgiaque à outrance, dans la luxure extrême… Je reçus tout le sperme de ses hommes, plus celui d’autres Dominants venus se joindre au groupe, déversant leur semence dans mon cul, dans ma bouche, sur mon corps, mes seins, mes cheveux, sur le visage ou bien dans ma chatte. Ce fut une nuit incroyablement torride que je vécu très intense pour moi et très épuisante physiquement. Une nuitée que je peux qualifier de mémorable...
A 8h du matin, alors que les Dominants dormaient dans diverses chambres, on m’avait laissé ici en lieu et place et je somnolais nue et puante, attachée sur une chaise, quand j’entendis les portes de la grande salle s’ouvrirent et Maitre entrer le sourire aux lèvres, visiblement content du spectacle que je lui offrais
- Eh bien en voilà une jolie vue Ma belle putain, un vrai sac à foutre que tu es devenue. Je l’ai toujours su quand tu M’as fais ta demande que tu serais Mon esclave et encore plus Ma pute de chienne bonne qu’à être utilisée, prise comme tu l’as été lors de cette nuit que j’ai voulu orgiaque… Maintenant tu vas aller te doucher car tu pues fortement le foutre et la pisse. Ensuite, tu iras dormir dans la Chenil pour te reposer, une gamelle nourrissante t’y attend aussi.
- Oui Maitre, répondis-je, obéissante mais très fatiguée.
Monsieur le marquis me détacha de la chaise et de suite je me prosternais à Ses pieds pour les embrasser et quitta la pièce à quatre pattes pour me rendre dans la salle de bain comme exigé, prendre une douche froide mais tout de même salvatrice après cette nuit hors norme. Ensuite, je me rendis jusqu’au Chenil, mangeais et me couchais sur ma paillasse et je ne tardais pas à m’endormir, épuisée de fatigue… Il était 16 h de l’après-midi quand Walter vint me réveiller et me chercher et il me tendit des vêtements, exigeant que j’aille de nouveau me doucher et manger mais aussi de m’habiller. Ensuite, je le suivis en direction de la Rolls-Royce et une fois dans la voiture, le Maitre m’y attendait. Nous fumes conduit jusqu’au siège de ma société pour une longue réunion suite à ce que j’avais remarqué, il y avait déjà quelques jours, et signalé à Monsieur le Marquis que d’importantes sommes d’argent disparaissaient des comptes de l’entreprise. Et après avoir mené ma propre petite enquête, j’avais informé Maitre de ce que j’avais trouvé et les sanctions allaient être prises envers les coupables. La police était présente sous l’autorité du Préfet présent aussi et ami du Châtelain. Une fois les interrogatoires finis, les coupables furent déférés sans tarder au parquet de Lyon pour y être jugés en comparution immédiate. Quant à moi, je me retrouvais seule avec le Préfet dans une pièce où il ferma la porte à clé et sans attendre, il sortit sa verge de son pantalon et exigea :
- Toi la chienne, maintenant que cette affaire de détournement d’argent est réglée, met-toi à poil car j’ai bien droit à une petite récompense pour avoir fait prestement le nécessaire afin d’arrêter les coupables le plus vite possible, aidant ainsi mon vieil ami, Monsieur le Marquis…Ta bouche est tellement délicieuse que je ne vais pas m’en privé, alors maintenant tu vas me sucer comme mon ami le Maître qui te soumet, te l’a appris et plus vite que ça !, salope !
Je me mis alors à genoux pour prendre le sexe déjà dur du Préfet en bouche et le sucer comme Maitre m’avais appris à le faire… Ce fut un pur bonheur pour moi d’avoir l’honneur de sucer un Préfet, chose qui était rare où du moins peu commune pour moi, car d’habitude il n’y a que les soumises et esclaves MDE qui s’occupent de lui. Je pris donc mon temps pour le prendre comme il faut bien en bouche profondément. Il prit mes cheveux, sa main derrière ma nuque, et imposa lui-même le rythme à suivre me baisant littéralement la bouche à coups de reins puissants ne se souciant pas de savoir si je prenais plaisir ou non, me laissant juste de quoi respirer de temps en temps pour recommencer ses va-et-vient. Une fois qu’il en eu assez, il me dit :
- A quatre pattes, petite catin, et présente moi ta chatte et ton cul de pute.
Je m’exécutai et je me mis en position fesses bien cambrées, offerte aux yeux du Préfet qui prit possession de mon cul déjà trempée par ma mouille de chienne en manque. Il n’eut pas de mal à entrer dans mon anus et commença à me défoncer le cul dans une saillie qui s’annonçais animale. Je sentais ses couilles claquer sur ma chatte et cette sodomie sauvage dura un très long moment, puis il se retira pour s’enfoncer dans ma chatte dégoulinante de ma cyprine. Idem, il se mit à me pilonner vigoureusement mon sexe trempé à grands coups de boutoirs sauvages pour finir par éjaculer très profondément dans ma chatte brûlante de désirs de femelle en chaleur. Ses longs jets saccadés de sperme chaud fusèrent en moi dans des râles de mâle, de cerf en rut. Ensuite, il me présenta sa queue toute molle et je la pris en bouche pour bien la nettoyer avec ma bouche de salope...
(A suivre …)
La soirée D/s allait commencer …
- Mes amis, bienvenus chez Moi au Château, pour cette nouvelle soirée de Domination/soumission. Mes chiennes et chiens sont toutes à votre entière disposition. Usez et abusez en autant que vous le voulez, elles et ils sont là pour cela.
La soirée commença par le repas où bon nombre de dominés (ées) passèrent sous la table pour sucer des bites ou lécher des chattes. Puis la soirée commença véritablement avec plusieurs de mes sœurs de soumission étaient attachées, godées, fistées, enculées, baisées, fouettées ... Deux hommes me prirent et me conduisirent jusqu'à une des nombreuses croix de st André pour une séance de martinet à 4 mains. Ce fut vraiment un pur bonheur pour moi, je dansais littéralement sous leurs mains expertes. Une fois finie, on m’installa à genoux les mains dans le dos, sur une surface carrelées dans une petite pièce accolée. Et les mêmes Dominants se mirent à me pisser dessus et dans ma bouche. Je m’efforçais à avaler tout leur précieux liquide. Ensuite, ils me donnèrent l’ordre de tourner autour de la pisse tombée au sol, en quadrupédie, et le nez à ras le carrelage et de renifler l’urine tel un vrai chien. Puis de m’y rouler dedans, alors durant de longues minutes, je me roulais dans leurs pisse fortement odorante. Quand j’eus terminé, je fus humiliée verbalement de chienne puant la pisse, de trainée de catin, et j’en passe, ce qui m’excitait terriblement.
Je fus ramenée dans la grande salle et une Domina m’attacha sans tarder, à des cordes suspendues à une grosse poutre du plafond pour subir un shibari et me fouetta longuement, sous les yeux de Monsieur le Marquis qui n’en perdit pas une seconde de ce traitement que je subissais. Il s’approcha et passa Ses doigts sur ma chatte trempée pour venir me les présenter pour que je les Lui lèche. Ensuite, pendant que la Domina me fouettait le dos, Maitre me doigta sauvagement la chatte de Ses doigts virils et puissants. Je sentais mon orgasme monter, exacerbée par le fouet. Le doigtage de mon sexe en feu ne m’aidait pas à contrôler ma jouissance qui allait crescendo à toute vitesse, dans mon bas-ventre. Ce ne fut qu’au bout de longue minutes, que Le Noble m’accorda enfin le droit à l’orgasme. Alors et je me suis laissé aller à la jouissance dans des cris et râles gutturaux… Une fois détachée, plusieurs hommes Dominants s’approchèrent avec leur bite dressée à la main et se masturbèrent devant moi. Maitre dit :
- Ma belle putain de salope soumise est toute à vous, Mes amis. C’est une vraie catin, nympho et vicieuse, alors de vous en priver pas... Quant à toi, Ma belle petite pute de chienne salope, J’exige que tu satisfasses chacun de ses hommes ici présents et cela durant toute la nuit. Je te veux en une véritable chienne en chaleur, citerne à foutre, une grosse truie en manque, comme tu sais si bien le faire. Je veux que tu subisses leurs virils assauts par toutes tes cavités que ce soit ta chatte, ton cul ou ta bouche de putain. Je veux que quand je reviendrai demain voir Mes amis, tu pue leur semence à plein nez. Me suis-je bien fait comprendre, petite pute ?, rajouta le Maitre- Oui Maitre, mes orifices sont à leur entière disposition, je ferais tout ce que Vous exigez, Maitre.
- Bien. Sûr ce, Mes amis, profitez-en bien. Je vous laisse, avec cette chienne spécialisée dans le vidage des couilles.
Le Maitre quitta la pièce avec plusieurs chiennes tenues en laisse, par la porte donnant la direction du Donjon... Je suppose donc qu’Il est allé continuer Sa soirée de Domination/soumission en comité plus restreint et je suis un peu triste de ne pas être partie avec Lui. Mais je me concentre sur Ses Exigences et on m’installa sur une sorte de table de gynéco baissée au maximum. Là, déjà plusieurs bites se présentèrent à moi. Je commençais donc à les sucer à tour de rôle, les cuisses largement écartées pendant que d’autres me branlèrent le clito et me prirent la chatte. Ils me baisèrent sauvagement, sans penser à mon plaisir ou que la position soit désagréable car pour eux, j’étais seulement un trou à remplir, un simple objet sexuel, un bon vide-couilles... Durant toute la nuit, je n’eus pas le temps de me reposer, je me fis prendre encore et encore dans toutes les positions possibles et inimaginables, abusivement sans modération ni temps mort, dans une nuitée orgiaque à outrance, dans la luxure extrême… Je reçus tout le sperme de ses hommes, plus celui d’autres Dominants venus se joindre au groupe, déversant leur semence dans mon cul, dans ma bouche, sur mon corps, mes seins, mes cheveux, sur le visage ou bien dans ma chatte. Ce fut une nuit incroyablement torride que je vécu très intense pour moi et très épuisante physiquement. Une nuitée que je peux qualifier de mémorable...
A 8h du matin, alors que les Dominants dormaient dans diverses chambres, on m’avait laissé ici en lieu et place et je somnolais nue et puante, attachée sur une chaise, quand j’entendis les portes de la grande salle s’ouvrirent et Maitre entrer le sourire aux lèvres, visiblement content du spectacle que je lui offrais
- Eh bien en voilà une jolie vue Ma belle putain, un vrai sac à foutre que tu es devenue. Je l’ai toujours su quand tu M’as fais ta demande que tu serais Mon esclave et encore plus Ma pute de chienne bonne qu’à être utilisée, prise comme tu l’as été lors de cette nuit que j’ai voulu orgiaque… Maintenant tu vas aller te doucher car tu pues fortement le foutre et la pisse. Ensuite, tu iras dormir dans la Chenil pour te reposer, une gamelle nourrissante t’y attend aussi.
- Oui Maitre, répondis-je, obéissante mais très fatiguée.
Monsieur le marquis me détacha de la chaise et de suite je me prosternais à Ses pieds pour les embrasser et quitta la pièce à quatre pattes pour me rendre dans la salle de bain comme exigé, prendre une douche froide mais tout de même salvatrice après cette nuit hors norme. Ensuite, je me rendis jusqu’au Chenil, mangeais et me couchais sur ma paillasse et je ne tardais pas à m’endormir, épuisée de fatigue… Il était 16 h de l’après-midi quand Walter vint me réveiller et me chercher et il me tendit des vêtements, exigeant que j’aille de nouveau me doucher et manger mais aussi de m’habiller. Ensuite, je le suivis en direction de la Rolls-Royce et une fois dans la voiture, le Maitre m’y attendait. Nous fumes conduit jusqu’au siège de ma société pour une longue réunion suite à ce que j’avais remarqué, il y avait déjà quelques jours, et signalé à Monsieur le Marquis que d’importantes sommes d’argent disparaissaient des comptes de l’entreprise. Et après avoir mené ma propre petite enquête, j’avais informé Maitre de ce que j’avais trouvé et les sanctions allaient être prises envers les coupables. La police était présente sous l’autorité du Préfet présent aussi et ami du Châtelain. Une fois les interrogatoires finis, les coupables furent déférés sans tarder au parquet de Lyon pour y être jugés en comparution immédiate. Quant à moi, je me retrouvais seule avec le Préfet dans une pièce où il ferma la porte à clé et sans attendre, il sortit sa verge de son pantalon et exigea :
- Toi la chienne, maintenant que cette affaire de détournement d’argent est réglée, met-toi à poil car j’ai bien droit à une petite récompense pour avoir fait prestement le nécessaire afin d’arrêter les coupables le plus vite possible, aidant ainsi mon vieil ami, Monsieur le Marquis…Ta bouche est tellement délicieuse que je ne vais pas m’en privé, alors maintenant tu vas me sucer comme mon ami le Maître qui te soumet, te l’a appris et plus vite que ça !, salope !
Je me mis alors à genoux pour prendre le sexe déjà dur du Préfet en bouche et le sucer comme Maitre m’avais appris à le faire… Ce fut un pur bonheur pour moi d’avoir l’honneur de sucer un Préfet, chose qui était rare où du moins peu commune pour moi, car d’habitude il n’y a que les soumises et esclaves MDE qui s’occupent de lui. Je pris donc mon temps pour le prendre comme il faut bien en bouche profondément. Il prit mes cheveux, sa main derrière ma nuque, et imposa lui-même le rythme à suivre me baisant littéralement la bouche à coups de reins puissants ne se souciant pas de savoir si je prenais plaisir ou non, me laissant juste de quoi respirer de temps en temps pour recommencer ses va-et-vient. Une fois qu’il en eu assez, il me dit :
- A quatre pattes, petite catin, et présente moi ta chatte et ton cul de pute.
Je m’exécutai et je me mis en position fesses bien cambrées, offerte aux yeux du Préfet qui prit possession de mon cul déjà trempée par ma mouille de chienne en manque. Il n’eut pas de mal à entrer dans mon anus et commença à me défoncer le cul dans une saillie qui s’annonçais animale. Je sentais ses couilles claquer sur ma chatte et cette sodomie sauvage dura un très long moment, puis il se retira pour s’enfoncer dans ma chatte dégoulinante de ma cyprine. Idem, il se mit à me pilonner vigoureusement mon sexe trempé à grands coups de boutoirs sauvages pour finir par éjaculer très profondément dans ma chatte brûlante de désirs de femelle en chaleur. Ses longs jets saccadés de sperme chaud fusèrent en moi dans des râles de mâle, de cerf en rut. Ensuite, il me présenta sa queue toute molle et je la pris en bouche pour bien la nettoyer avec ma bouche de salope...
(A suivre …)
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