La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1426)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1426) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-01-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1426)
chienne Kajira (devenue chienne Cataleya) au Château – (suite de l'épisode précédent N°1425) –
Ce fut les douces caresses du Maitre sur ma tête qui me réveilla…
- Ma belle esclave, tu Me sembles assez reposée, alors tu vas aller dans le chai du Château qui se trouve près de la crypte, pour t’occuper de l’érection de Mon Majordome laquelle, je ne doute pas, tu sauras lui provoquer avec ta bouche de pute. Et quand il se sera bien vidé dans un de tes trous de chienne en chaleur de son choix, tu resteras dans le chai à M’attendre en position de levrette car j’ai envie de M’occuper de toi, en cette soirée, ordonna le Maitre.

Je me prosternais une dernière fois et me déplaçais en quadrupédie jusqu’au chai en descendant prudemment les escaliers en pierre étroits en colimaçon. Quand je fus arrivée au chai, il y avait déjà Walter en train de se faire sucer par un esclave mâle. Dès qu’il me vit, il congédia l’esclave qui, sans un mot, s’en alla. Le Majordome se retrouva donc devant moi, sa grosse verge déjà bien dure par la fellation de l’esclave et sans attendre, il se planta dans ma bouche m’empoignant les cheveux pour imposer son geste.

- Vient par-là, la chienne, vient finir le travail de bouche de cet esclave insignifiant, salope, et donne-moi du plaisir, tu es là pour ça…
Walter prit possession de ma cavité buccale de ses mains pour imprimer son propre rythme, s’enfonçant plus profondément en moi en gorge profonde. Il me baisa littéralement la bouche et me mit à quatre pattes, bien cambrée pour que je continue à le sucer. Je sentis alors une présence derrière moi que je n’avais pas entendu venir. Des mains caressaient mon cul nu et bien arrondi et je les reconnus tout de suite, c’étaient les mains de Monsieur le Marquis. Puis je sentis Sa Verge raide au gros gland du Maitre prendre possession de ma chatte sans préambule. Le Noble baisa mon sexe alors que j’avais la bite du Majordome en bouche. Tous les deux en même temps avec de puissants coups de reins dans mes deux trous sans me ménager et dans un tempo parfait et cadencé. Puis Maitre sortit Sa grosse queue épaisse et longue de ma chatte et l’introduit dans ma rondelle après avoir frotté Son gland sur mon anus, une poussée énergique fit entrer Son Vit d’un seul coup puissant dans mes entrailles. J’ai failli crier de surprise mais malgré la subite et courte douleur de l’intromission, je retins de sortit un quelconque son de ma bouche qui était bien encombrée du volumineux sexe de Walter…
Alors que j’étais sodomisée dans cette saillie bestiale, prise par deux de mes orifices, celui du cul et bouche, le troisième allait très tôt être rempli car je sentis tout d’un coup un gros gode vibrant me pénétrer ma chatte dégoulinante de cyprine. Le Châtelain le mit alors de suite en route et ce gode continua de me prendre la chatte allant et venant tenu par Sa main énergique. Mes trois trous étaient donc bien remplis en même temps et c’était vraiment délicieux de me sentir remplie de partout, je me sentais à ma place, juste un objet de plaisir, utilisée pour vider des couilles. Mais durant ce moment bestial de baise aux pénétrations, buccale, vaginale et anale simultanées, je n’eus pas le droit de jouir, n’y étant pas autorisée, il m’était difficile de me retenir et je fis d’extrêmes efforts pour y parvenir car la forte envie était au rendez vous. Ils accentuèrent la virile et profonde cadence pour enfin éjaculer en même temps, et après un long et si sublime moment, éjaculer dans ma bouche et dans ma chatte dans des longs jets de sperme chaud. Comme dans un accord entendu entre eux deux, une fois qu’ils eurent joui, ils restèrent bien plantés en moi, le Noble au fond de mon cul, le Majordome dans ma bouche et le gode vibrant dans ma chatte continuait à vibrer tout au fond de mon vagin mais sans faire d’aller-retour
Personne ne bougeait, tous les deux immobiles dans mes trous et le silence se fit quand je sentis la main claquante du Maître me fesser le cul. Une puissante volée de fessées fusait comme pour donner le signal à Water de se retirer de ma bouche. Je reçus l’exigence ensuite de nettoyer la bite du Majordome tandis que Maitre restait planté en moi, tout au fond de mes entrailles. Quand j’eus terminé de nettoyer la queue de Walter Maitre sortit de mon cul pour présenter Sa noble Verge devant ma bouche que je me mis à nettoyer également avec dévotion et adoration. Walter salua Maitre et quitta le chai pour nous laisser seul. Le Maitre s’assis sur un tonnelet et me dit :
- Depuis ton retour de Chine, tu as fait Ma fierté. Tu as su te retenir de jouir, tu as su Me satisfaire, quoi qu’il t’en coute, à être baisée, enculée et bien plus encore, dans les bordels de Pékin et ici avec Mes Invités et sans jamais rien dire, très obéissante et dressée en une vraie putain que tu es pour Moi. Et surtout, tu as suivi Mes directives à la lettre sans jamais faillir. Je suis donc extrêmement fier de toi, Ma chienne. Cette nuit, pour te récompenser, tu passeras la nuit dans Ma chambre, enchainée au pied de mon lit. Tu as quelque chose à me dire avant d’y aller, Ma chienne !
- Maitre, que pourrais-je dire si ce n’est un immense merci de me dresser, et de faire de moi une meilleure esclave pour Vous. Depuis que je suis à Vos pieds, je revis et j’ai trouvé ma place qui me sied si bien, celle d’une esclave, prête à tout pour Vous satisfaire et Vous servir dans cette univers qu’est la D/s et qui me permet de vivre ma propre Nature soumise. Je n’aspire qu’à rester à Vos pieds tout le reste de ma vie. Et depuis le début de mon éducation, j’ai déposé à Vos pieds ma vie entière et comme dit précédemment mes sentiments et tout mon amour pour Vous, Maitre tant Vénéré et Adulé. Je suis à Vous, toute à Vous, rien qu’à Vous…- Bien, Ma belle Cataleya, il est temps pour nous d’aller dormir. Viens avec Moi, allons dans Ma chambre …
Le Maitre accrocha la laisse à mon collier noir ébène pour me faire sortir à quatre pattes par une ancienne porte latérale située sur un mur de côté du chai et donnant directement à l’extérieur, pour m’emmener pisser dehors dans le parc. Puis nous sommes rentrés de nouveau à l’intérieur du Château par la porte principale, en y accédant par les escaliers du perron, pour allés directement dans Sa chambre. Arrivé à celle-ci, le Noble déposa mon panier au pied de Son lit et attacha une grosse et lourde chaine à mon collier pour m’enchainer au lit. Je me couvris et m’allongeais en boule dans mon panier de chienne. Maitre éteignit la lumière après de douces caresses et baisers sur mes lèvres buccales tout en allant vérifier l’humidité de mes lèvres intimes... Je tombai dans un profond sommeil, épuisée par la nuit précédente et par la journée passée. Maitre me réveilla 3 fois cette nuit-là pour prendre, à tour de rôle, chacun de mes trous de chienne, sans jouir, mais simplement pour que je me sente à ma place d’esclave soumise. Et ce fut un pur moment de bonheur que d’être réveillée ainsi pour chacun des moments passés avec Lui. Je n’eus pas le droit de jouir mais je m’en fichais, car j’étais simplement bien à ma place....

Le matin, ce fut esclave Matthieu qui fut venu me réveiller et déposer le petit déjeuner sur le bureau du Maitre. Il était entièrement nu et encagé et portait un épais collier métallique autour du cou. Nous attendions que Maitre se réveille pour grimper, comme exigé la veille, sur Son lit et Lui faire Sa fellation matinale. Ce fut le cas donc dès son réveil qui ne tarda pas. Puis une fois qu’il avait joui dans ma bouche, il m’ordonna en me tendant une clé, celle de la cage de chasteté du soumis présent, de sucer cet esclave Matthieu pour le faire éjaculer. Aussi c’est ce que je fis en bonne chienne obéissante après lui avoir ôté sa cage. Il ne lui fallut pas longtemps pour se décharger dans ma bouche, visiblement en manque d’éjaculation par une abstinence forcée. Puis je dus remettre moi-même la cage au soumis et rendre la clé au Noble. Ensuite, Maitre exigea à l’esclave Matthieu de me branler par ses doigts et de me doigter allègrement tout en me léchant mon clitoris et de me faire jouir à son tour, ce qu’il fit mais uniquement quand le Noble en aurait l’ordre.

Attendant cette autorisation à l’orgasme, je dus donc retenir ma jouissance au maximum pendant que Maitre enculait esclave Matthieu par de puissants coups de reins. Et c’est au moment où Maitre jouit profondément dans le cul d’esclave Matthieu que j’eus l’autorisation de jouir sous les doigts et la bouche de ce dernier. Je pus donc jouir en même temps que Maitre. Une fois terminée, c’est mon frère de soumission qui nettoya la verge du Maitre après que le soumis eut bu ma fontaine de cyprine. Puis le Châtelain prit Son copieux petit déjeuner, nous à Ses pieds, mangeant en quadrupédie, chacun dans notre gamelle. Quand on eut fini, on attendait à genoux Ses Exigences.

- Mon chien, retourne aux cuisines, porter mon plateau et demande à Walter de te trouver de l’occupation à l’entretien du Château. Quant à toi, Ma chienne, debout contre le mur que je fasse rougir ton cul et ton dos de salope et je ne veux pas t’entendre.

Sans un mot, je me positionnai donc comme exiger sans un bruit. Maitre commença avec le martinet pour chauffer mon cul et mon dos. Par la suite, Il attrapa la badine pour frapper plus fort et plus durement, alors que je retenais mes cris et mes gestes pour rester immobile. Une cinquantaine de coups de badine, puis 50 coups de fouet se fit sentir sur mon corps nu. Ce fut dur et délicieux à la fois pour moi et très excitant de subir juste pour Le plaisir du Maitre. Entre chaque instrument, Il venait passer Ses mains sur mon dos et sur mon cul et ne manquait pas de venir fouiller mon entrecuisses afin d’y vérifier son taux d’humidité abondant, ce qui me donner encore plus envie de Le satisfaire dans ce qu’Il me faisait subir. Quand Le Maitre passe Ses mains sur mon corps, j’ai l’impression que la douleur s’envole, et le plaisir est démultiplié quand Le Châtelain en profite pour vérifier mon excitation et me faire lécher Ses doigts de ma mouille de trainée. Il inséra donc une fois de plus, deux doigts dans mon sexe dégoulinant pour me doigter sauvagement la chatte et bestialement cette fois. Je dû me retenir pour ne pas jouir tellement c’était bon de Le sentir en moi, étant toujours bien mouillée et excitée.

Cette séance de fouettage avait, à l’évidence, redonné de la vigueur au sexe du Maître, de nouveau très excité par Ses pulsions de Domination qui lui provoquaient toujours de fulgurantes érections. Alors le Maître, bandant de nouveau, me prit en levrette, à même le sol, comme une vulgaire chienne de rue dans une baise bestiale et bien profonde. C’est dans ces moment-là que je me sens pleinement à ma place, animalisée et prise comme un simple objet de plaisir pour Le Maitre. Il me pilonna, me baisa, me laboura la chatte par de virils et puissants coups de reins, sans prêter attention à moi, réduite à un simple trou pour Sa noble Verge...

Au bout d’un moment, Il se vida dans ma chatte sans me donner l’autorisation de jouir. Je Lui nettoyais de nouveau Son Vit avec ma bouche de salope, sans s’occuper de moi. Une fois finie, Le Maitre quitta Sa chambre et me laissa seule durant une heure à genoux en position d’attente immobile. C’est Walter qui vint me chercher et me conduisit dans son bureau. J’attendis aussi à genoux durant encore une heure qu’il termine son travail avant d’être amenée dans une pièce que je ne connaissais absolument pas dans le Château où attendaient des hommes. Je ne sais pas s’ils étaient soumis ou pas. On m’attacha à une sorte de chaise de gynéco et les hommes s’occupèrent de moi durant des heures. Je fus baisée, godée par tous mes trous, que ce soit mon cul, ma chatte ou ma bouche, aucun de mes orifices de chienne ne fus laissé à l’abandon...

A un moment, on me banda les yeux et je sentis sur moi une brulure de cire, ce n’était pas douloureux à proprement parlé, juste une agréable sensation de chaleur, pour la masochiste que je suis, et qui se répandait sur mon corps nu, plus douloureux au niveau de mes tétons et de ma chatte trempée. Ensuite, ils m’enlevèrent la cire à coups de martinet et de cravache, sans que je n’émette aucun son, ayant reçu l’exigence de ne rien dire, ni de bouger. Quand ils eurent fini, on me détacha et enleva mon bandeau pour venir me pisser dessus et plusieurs hommes venaient se branler et se vider dans ma bouche, sur mes seins, sur mon visage, partout où c’était possible, me trainant de putain, de trainée, de vide-couilles, de sac à foutre et j’en passe. Tous ces mots avaient le don pour m’exciter, je dois bien l’avouer… Un des hommes m’exigea de me branler le clito en me doigtant moi-même ma chatte, ce que je fis avec un immense plaisir excitant. Il ne me fallu pas longtemps avant d’avoir de nouveau envie de jouir…
(A suivre…)

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