La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1431)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1431)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1430) -
- Très bien, alors allons-y, ordonne-t-il en se levant...
Bertrand se dirige vers Vanessa, libère ses tétons des pinces qui la retenaient dans sa position, accroche une laisse à son collier et la traîne à sa suite jusqu’à la salle de sport de l’hôtel. Là, il la fait monter sur un tapis de course, le met en route et lui ordonne de courir. Elle s’exécute, espérant qu’il se lassera rapidement de ce nouveau « jeu ». Vanessa est donc nue, parée uniquement de son collier, fatiguée d’une nuit blanche et courant sur le tapis au rythme imposé par le serviteur du Maître. Mais cette humiliation ne lui suffit pas et il commence à la fouetter en rythme avec une cravache. Il appuie fortement, cherchant à obtenir ses supplications, continuant de longues minutes qui semblent une éternité à la jeune femme, visant chaque partie de son corps, sans exception. Mais Bertrand n’obtient rien de sa part, même quand les zébrures laissées sur l’ensemble de son corps deviennent violettes et gonflées. L’homme stoppe le tapis après une trentaine de minutes, la prend par le bras, pour la mener vers un vélo d’appartement, pose un plug sur la selle et lui ordonne de monter dessus. Keira MDE se force à obéir, refoulant son envie de rébellion qu’elle sent de plus en plus fort. Il lui ordonne de commencer à pédaler alors qu’il sort un fouet. Cet instrument est difficile à manier correctement, Vanessa le sait, et elle craint que cet homme n’en soit pas capable.
Bertrand se recule et lance la lanière de cuir dans la direction de la jeune femme, la regarde s’enrouler autour de son corps pour s’arrêter dans le creux de ses reins. Une longue zébrure se forme sur son dos, mais à l’extrémité une goutte de sang vient à perler, il abat le fouet encore deux fois, faisant apparaitre deux nouvelles gouttes, conscient qu’il ne peut pas continuer, sachant très bien que Monsieur le Marquis refuse catégoriquement et en toute circonstance que le sang coule. Alors il range le fouet, retire son collier, le jette au sol et s’en va, sans un seul mot pour la soumise, sans un seul regard, tout en maugréant des mots incompréhensibles entre ses dents. Vanessa reste un instant sans bouger, reprenant son souffle, refoulant son sentiment de haine, se retire du vélo, ramasse délicatement son collier et se dirige vers la salle de bain la plus proche. Elle découvre dans le miroir les marques sur son corps et réalise qu’il sera difficile de les atténuer seule. Vanessa prend une douche fraiche pour se soulager, se sèche, se coiffe et se maquille avec soin, puis s’habille d’un peignoir pour rejoindre la salle de relaxation où se trouve soumise Léa MDE. Elle est occupée à masser un serviteur du Maître qui se détend sous ses mains expertes. Elle patiente dans un coin, debout, qu’elle ait terminé. Une fois le serviteur parti, Léa MDE se dirige vers Vanessa.
- soumise Keira MDE, je n’ai pas été prévenue de ta venue, que puis-je faire pour toi ?
- C’est normal, je viens de mon propre chef, j’ai besoin d’aide.
- Je t’écoute, répond curieuse la jeune femme.
- Ce serait pour m’aider à atténuer des marques, continue Vanessa en faisant tomber son peignoir.
Léa MDE découvre le corps de la jeune femme extrêmement marqué dans les moindres recoins, elle est étonnée qu’une soumise MDE telle qu’elle, puisse mériter pareille sanction.
- Tout de même ! Tu as dû fauter lourdement pour mériter pareil traitement.
- Certainement, répond Vanessa qui ne souhaite pas entrer dans les détails.
- Mais il est allé jusqu’au sang, sur plusieurs coups, remarque Léa MDE. Le Maître est au courant ?
- Pas encore.
- Et tu me demandes d’atténuer ces marques pour les lui cacher ?, s’offusque Léa MDE.
- Non, évidemment, c’est surtout pour me soulager, c’est douloureux et je souhaite être apte à répondre à Ses moindres Exigences s’Il me réclame à Ses pieds.
- Hum…c’est d’accord, seulement si tu m’autorises à faire des photos avec ton smartphone pour conserver une preuve, si Le Maître l’exige.
- Oui, merci, répond Vanessa en lui tendant son téléphone.
Léa MDE photographie le corps de la jeune femme sous tous les angles, puis dépose un linge humide sur une table de massage avant de l’inviter à s’y allonger sur le ventre. Elle dépose un autre linge sur son dos avant d’y déposer des sachets de glace.
- Il faut que ça dégonfle avant que je puisse faire quoi que ce soit, je reviens dans quelques minutes.
Le froid la soulage, Vanessa se laisse porter par sa fatigue et la douce musique ambiante, faisant, elle s’endort très vite du manque de sommeil. Léa MDE revient mais elle la laisse se reposer une bonne heure avant de retirer la glace et le linge pour commencer à soulager ses plaies. Elle dépose une crème spéciale par un massage délicat, réveillant la jeune femme en douceur, elle reste la plus douce possible, mais le corps de Vanessa se crispe lorsqu’elle effleure certaines marques.
- Tu as mal ?, s’étonne Léa MDE.
- Evidemment, ça semble t’étonner, les marques sont profondes.
- Oui, mais disons que…j’avais cru comprendre que tu ne ressentais pas la douleur comme les autres.
- Drôle d’idée, pourquoi cette croyance ?
- Eh bien, ta capacité à supporter les sanctions, la marque du Maître que tu as choisie par le fer rouge, et pour laquelle tu n’as pas crié, les choses remarquables que j’ai entendues sur toi…, répond timidement Léa MDE.
Vanessa sourit à cette annonce, elle ne pensait pas qu’on puisse parler d’elle ainsi en de si bonnes éloges
- Détrompe-toi, à chaque coup je ressens la douleur, tout comme toi, j’ai juste la volonté, plus que tout, d’honorer la marque du Maître, c’est cette volonté inébranlable qui me fait tenir.
Léa MDE s’applique à réduire au maximum sa douleur en restant la plus douce possible pour ne pas la faire souffrir davantage, puis elle la laisse repartir vers sa chambre. Vanessa revient détendue, même si les marques sont encore très importantes, elle ne ressent presque plus rien... Il est 11h, elle s’allonge sur le lit pour récupérer un peu avant l’heure de se présenter à Monsieur Walter, et s’endort de nouveau de fatigue... A 13h, ne la voyant pas venir, sachant que le retard n’est pas dans son habitude, le Majordome du Noble s’inquiète immédiatement, il tente de l’appeler sur son téléphone, mais trop fatiguée dans son profond sommeil, elle ne l’entend pas sonner. Walter quitte donc rapidement ses appartements pour se diriger vers sa chambre. Il la trouve nue, allongée sur le ventre, il porte la main à la cravache fixée à sa ceinture, prêt à la réveiller comme il se doit, mais voyant la multitude de marques déjà présentes sur son corps, il se retient, restant très interrogatif sur l’origine de ces marques.
- soumise Keira MDE, il semble que tu aies manqué un rendez-vous !, accuse-t-il d’une voix forte pour la réveiller.
Aussitôt la jeune femme réalise qu’elle a dormi trop longtemps et que Walter s’est déplacé en personne jusqu’à sa chambre. Alors d’un bond surprenant de vitalité, elle saute hors du lit pour se prosterner à ses pieds.
- Monsieur, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses, et vous supplie de sanctionner cette faute inadmissible, demande-t-elle haut et fort.
- Hum…quelle faute ?
- Celle de ne pas m’être présentée en temps et en heure dans vos appartements, celle de vous avoir fait perdre votre temps en vous forçant à vous déplacer en personne, Monsieur.
- Et celle de m’avoir inquiété, tu n’as même pas entendu mon appel téléphonique, ajoute le Majordome.
- Non en effet …je suis…- « Désolée », c’est la moindre des choses…mais avant de décider de ta sanction, j’aimerai savoir quelle a été ta faute pour mériter la sanction qui a laissé toutes ces marques, interroge-t-il curieux et inquiet à la fois.
- J’ai manqué de respect au serviteur à qui j’ai été confiée cette nuit, Monsieur.
- De quelle manière ?, s’étonne Walter qui connait suffisamment la jeune femme pour se douter qu’il doit y avoir une raison.
- En lui rappelant les règles du Maître, Monsieur.
- Et pourquoi lui avoir fait cette leçon ?
- Parce qu’il y dérogeait Monsieur, mais ce n’était pas à moi de le lui faire remarquer et encore moins avec le ton que j’ai employé, reconnait la jeune femme.
- Mets-toi à genoux, en position d’attente, et conte-moi ta soirée et nuitée dans les moindres détails, ordonne-t-il.
La jeune femme obéit, détaillant chaque secondes du début de soirée aux pieds de ce Bertrand, le serviteur du Maître, jusqu’au matin et son passage dans le salon de massage auprès de Léa MDE et son endormissement dans sa chambre étant morte de fatigue. Apprenant que soumise Léa MDE a pris des photos des marques avant son intervention, Walter se saisit du téléphone de Vanessa sur la table de nuit, pour en prendre connaissance. Il découvre avec stupeur que ce serviteur a dépassé les limites.
- Suis-moi ! ordonne-t-il en sortant de la pièce Après tout ce que tu viens de m’expliquer et après avoir vu ces photos, c’est inadmissible, ça ne va pas se passer comme ça…
Vanessa le suit à quatre pattes, ils prennent l’ascenseur jusqu’aux appartements du Noble. Walter frappe et entre sur ordre, lui ordonnant d’attendre derrière la porte. Monsieur Le Marquis est debout au milieu de son salon, un martinet à la main, occupé à sanctionner la soumise et femme de chambre qui devait s’occuper de refaire son lit.
- Walter, nous ne devions pas nous voir avant 17h, s’étonne Le Noble en découvrant son Majordome.
- Effectivement Monsieur le Marquis, mais je dois vous aviser d’un souci qui ne peut attendre, répond Walter d’un air grave.
- Chienne, retourne nettoyer ma chambre comme il se doit, et tâche de ne faire aucune autre erreur, lorsque ce sera fait, tu m’y attends à genoux au pied du lit, ordonne Le Châtelain… Walter, je t’en prie cher ami, assieds-toi et explique-moi la situation, continue-t-Il en désignant un fauteuil à son Majordome, tout en s’asseyant dans celui qui lui fait face…
(A suivre …)
- Très bien, alors allons-y, ordonne-t-il en se levant...
Bertrand se dirige vers Vanessa, libère ses tétons des pinces qui la retenaient dans sa position, accroche une laisse à son collier et la traîne à sa suite jusqu’à la salle de sport de l’hôtel. Là, il la fait monter sur un tapis de course, le met en route et lui ordonne de courir. Elle s’exécute, espérant qu’il se lassera rapidement de ce nouveau « jeu ». Vanessa est donc nue, parée uniquement de son collier, fatiguée d’une nuit blanche et courant sur le tapis au rythme imposé par le serviteur du Maître. Mais cette humiliation ne lui suffit pas et il commence à la fouetter en rythme avec une cravache. Il appuie fortement, cherchant à obtenir ses supplications, continuant de longues minutes qui semblent une éternité à la jeune femme, visant chaque partie de son corps, sans exception. Mais Bertrand n’obtient rien de sa part, même quand les zébrures laissées sur l’ensemble de son corps deviennent violettes et gonflées. L’homme stoppe le tapis après une trentaine de minutes, la prend par le bras, pour la mener vers un vélo d’appartement, pose un plug sur la selle et lui ordonne de monter dessus. Keira MDE se force à obéir, refoulant son envie de rébellion qu’elle sent de plus en plus fort. Il lui ordonne de commencer à pédaler alors qu’il sort un fouet. Cet instrument est difficile à manier correctement, Vanessa le sait, et elle craint que cet homme n’en soit pas capable.
Bertrand se recule et lance la lanière de cuir dans la direction de la jeune femme, la regarde s’enrouler autour de son corps pour s’arrêter dans le creux de ses reins. Une longue zébrure se forme sur son dos, mais à l’extrémité une goutte de sang vient à perler, il abat le fouet encore deux fois, faisant apparaitre deux nouvelles gouttes, conscient qu’il ne peut pas continuer, sachant très bien que Monsieur le Marquis refuse catégoriquement et en toute circonstance que le sang coule. Alors il range le fouet, retire son collier, le jette au sol et s’en va, sans un seul mot pour la soumise, sans un seul regard, tout en maugréant des mots incompréhensibles entre ses dents. Vanessa reste un instant sans bouger, reprenant son souffle, refoulant son sentiment de haine, se retire du vélo, ramasse délicatement son collier et se dirige vers la salle de bain la plus proche. Elle découvre dans le miroir les marques sur son corps et réalise qu’il sera difficile de les atténuer seule. Vanessa prend une douche fraiche pour se soulager, se sèche, se coiffe et se maquille avec soin, puis s’habille d’un peignoir pour rejoindre la salle de relaxation où se trouve soumise Léa MDE. Elle est occupée à masser un serviteur du Maître qui se détend sous ses mains expertes. Elle patiente dans un coin, debout, qu’elle ait terminé. Une fois le serviteur parti, Léa MDE se dirige vers Vanessa.
- soumise Keira MDE, je n’ai pas été prévenue de ta venue, que puis-je faire pour toi ?
- C’est normal, je viens de mon propre chef, j’ai besoin d’aide.
- Je t’écoute, répond curieuse la jeune femme.
- Ce serait pour m’aider à atténuer des marques, continue Vanessa en faisant tomber son peignoir.
Léa MDE découvre le corps de la jeune femme extrêmement marqué dans les moindres recoins, elle est étonnée qu’une soumise MDE telle qu’elle, puisse mériter pareille sanction.
- Tout de même ! Tu as dû fauter lourdement pour mériter pareil traitement.
- Certainement, répond Vanessa qui ne souhaite pas entrer dans les détails.
- Mais il est allé jusqu’au sang, sur plusieurs coups, remarque Léa MDE. Le Maître est au courant ?
- Pas encore.
- Et tu me demandes d’atténuer ces marques pour les lui cacher ?, s’offusque Léa MDE.
- Non, évidemment, c’est surtout pour me soulager, c’est douloureux et je souhaite être apte à répondre à Ses moindres Exigences s’Il me réclame à Ses pieds.
- Hum…c’est d’accord, seulement si tu m’autorises à faire des photos avec ton smartphone pour conserver une preuve, si Le Maître l’exige.
- Oui, merci, répond Vanessa en lui tendant son téléphone.
Léa MDE photographie le corps de la jeune femme sous tous les angles, puis dépose un linge humide sur une table de massage avant de l’inviter à s’y allonger sur le ventre. Elle dépose un autre linge sur son dos avant d’y déposer des sachets de glace.
- Il faut que ça dégonfle avant que je puisse faire quoi que ce soit, je reviens dans quelques minutes.
Le froid la soulage, Vanessa se laisse porter par sa fatigue et la douce musique ambiante, faisant, elle s’endort très vite du manque de sommeil. Léa MDE revient mais elle la laisse se reposer une bonne heure avant de retirer la glace et le linge pour commencer à soulager ses plaies. Elle dépose une crème spéciale par un massage délicat, réveillant la jeune femme en douceur, elle reste la plus douce possible, mais le corps de Vanessa se crispe lorsqu’elle effleure certaines marques.
- Tu as mal ?, s’étonne Léa MDE.
- Evidemment, ça semble t’étonner, les marques sont profondes.
- Oui, mais disons que…j’avais cru comprendre que tu ne ressentais pas la douleur comme les autres.
- Drôle d’idée, pourquoi cette croyance ?
- Eh bien, ta capacité à supporter les sanctions, la marque du Maître que tu as choisie par le fer rouge, et pour laquelle tu n’as pas crié, les choses remarquables que j’ai entendues sur toi…, répond timidement Léa MDE.
Vanessa sourit à cette annonce, elle ne pensait pas qu’on puisse parler d’elle ainsi en de si bonnes éloges
- Détrompe-toi, à chaque coup je ressens la douleur, tout comme toi, j’ai juste la volonté, plus que tout, d’honorer la marque du Maître, c’est cette volonté inébranlable qui me fait tenir.
Léa MDE s’applique à réduire au maximum sa douleur en restant la plus douce possible pour ne pas la faire souffrir davantage, puis elle la laisse repartir vers sa chambre. Vanessa revient détendue, même si les marques sont encore très importantes, elle ne ressent presque plus rien... Il est 11h, elle s’allonge sur le lit pour récupérer un peu avant l’heure de se présenter à Monsieur Walter, et s’endort de nouveau de fatigue... A 13h, ne la voyant pas venir, sachant que le retard n’est pas dans son habitude, le Majordome du Noble s’inquiète immédiatement, il tente de l’appeler sur son téléphone, mais trop fatiguée dans son profond sommeil, elle ne l’entend pas sonner. Walter quitte donc rapidement ses appartements pour se diriger vers sa chambre. Il la trouve nue, allongée sur le ventre, il porte la main à la cravache fixée à sa ceinture, prêt à la réveiller comme il se doit, mais voyant la multitude de marques déjà présentes sur son corps, il se retient, restant très interrogatif sur l’origine de ces marques.
- soumise Keira MDE, il semble que tu aies manqué un rendez-vous !, accuse-t-il d’une voix forte pour la réveiller.
Aussitôt la jeune femme réalise qu’elle a dormi trop longtemps et que Walter s’est déplacé en personne jusqu’à sa chambre. Alors d’un bond surprenant de vitalité, elle saute hors du lit pour se prosterner à ses pieds.
- Monsieur, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses, et vous supplie de sanctionner cette faute inadmissible, demande-t-elle haut et fort.
- Hum…quelle faute ?
- Celle de ne pas m’être présentée en temps et en heure dans vos appartements, celle de vous avoir fait perdre votre temps en vous forçant à vous déplacer en personne, Monsieur.
- Et celle de m’avoir inquiété, tu n’as même pas entendu mon appel téléphonique, ajoute le Majordome.
- Non en effet …je suis…- « Désolée », c’est la moindre des choses…mais avant de décider de ta sanction, j’aimerai savoir quelle a été ta faute pour mériter la sanction qui a laissé toutes ces marques, interroge-t-il curieux et inquiet à la fois.
- J’ai manqué de respect au serviteur à qui j’ai été confiée cette nuit, Monsieur.
- De quelle manière ?, s’étonne Walter qui connait suffisamment la jeune femme pour se douter qu’il doit y avoir une raison.
- En lui rappelant les règles du Maître, Monsieur.
- Et pourquoi lui avoir fait cette leçon ?
- Parce qu’il y dérogeait Monsieur, mais ce n’était pas à moi de le lui faire remarquer et encore moins avec le ton que j’ai employé, reconnait la jeune femme.
- Mets-toi à genoux, en position d’attente, et conte-moi ta soirée et nuitée dans les moindres détails, ordonne-t-il.
La jeune femme obéit, détaillant chaque secondes du début de soirée aux pieds de ce Bertrand, le serviteur du Maître, jusqu’au matin et son passage dans le salon de massage auprès de Léa MDE et son endormissement dans sa chambre étant morte de fatigue. Apprenant que soumise Léa MDE a pris des photos des marques avant son intervention, Walter se saisit du téléphone de Vanessa sur la table de nuit, pour en prendre connaissance. Il découvre avec stupeur que ce serviteur a dépassé les limites.
- Suis-moi ! ordonne-t-il en sortant de la pièce Après tout ce que tu viens de m’expliquer et après avoir vu ces photos, c’est inadmissible, ça ne va pas se passer comme ça…
Vanessa le suit à quatre pattes, ils prennent l’ascenseur jusqu’aux appartements du Noble. Walter frappe et entre sur ordre, lui ordonnant d’attendre derrière la porte. Monsieur Le Marquis est debout au milieu de son salon, un martinet à la main, occupé à sanctionner la soumise et femme de chambre qui devait s’occuper de refaire son lit.
- Walter, nous ne devions pas nous voir avant 17h, s’étonne Le Noble en découvrant son Majordome.
- Effectivement Monsieur le Marquis, mais je dois vous aviser d’un souci qui ne peut attendre, répond Walter d’un air grave.
- Chienne, retourne nettoyer ma chambre comme il se doit, et tâche de ne faire aucune autre erreur, lorsque ce sera fait, tu m’y attends à genoux au pied du lit, ordonne Le Châtelain… Walter, je t’en prie cher ami, assieds-toi et explique-moi la situation, continue-t-Il en désignant un fauteuil à son Majordome, tout en s’asseyant dans celui qui lui fait face…
(A suivre …)
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