La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1440)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1440) Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-02-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1440)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1436) -
… heureuse de laisser Keira MDE apparaitre de nouveau… Le patron du club, ainsi que son employé regardent la jeune femme d’un œil ébahi. Un autre claquement de doigts de la part du Noble et Keira MDE se dirige vers eux à quatre pattes pour lécher leurs chaussures. Elle démarre par celles du patron, dans une position parfaitement érotique, et explicite avec sa cambrure naturelle mettant en valeur son fessier rebondi. Vanessa s’applique n’oubliant aucun recoin, souhaitant plus que tout prouver, si cela était encore nécessaire, la parfaite éducation du Noble. Une fois sa tâche accomplie, elle s’occupe de celles du videur avec la même application.

- Cela vous convient-il mieux ? demande Le Noble au videur alors que Keira MDE revient à Ses pieds.
- Monsieur le … Marquis, excusez-moi, je ne savais pas qui vous étiez, je ne faisais que mon travail.
- Votre travail est de faire appliquer les règles de ce lieu au poste d’accueil, vous avez une conception de l’accueil bien particulière.
- Je…- Allons, c’est oublié, je vous fais grâce d’une sanction qui serait méritée, bien que je sois en droit de la réclamer. Mais, vous ne méritez pas ma main, et vous n’êtes pas apte à la recevoir, encore bien trop novice, vous n’avez dû goûter qu’à la cravache et encore, certainement peu appuyée. N’est-ce pas très cher ?, conclut Le Noble en se tournant vers son hôte.

Le videur ne sait plus où se mettre, il reste figé, les yeux baissés, n’osant croiser le regard, ni du Noble, ni de son patron qui se trouve être également Le Maître auquel il appartient.

- Je ne devrais plus être étonné de votre capacité à percevoir la nature profonde de chacun, mais vous avez visé juste pour chaque point énoncé, encore une fois vous m’impressionnez, Monsieur Le Marquis. Puis-je vous demander ce qui vous a mis sur la voie que mon videur est mon soumis ?
- Sa façon de réagir à votre regard désapprobateur, tout en lui transpirait la crainte du soumis face au Maître. Mais il utilise l’impératif pour présenter ses excuses, ce qui me laisse penser qu’il est aux prémices de son éducation.
- Merci pour votre clémence à son égard, encore une preuve de votre légendaire humanité, il n’est effectivement pas encore apte à subir la sanction qui serait méritée, mais je puis vous assurer que je saurai lui faire regretter son attitude de ce soir, sourit le patron.
- Je n’en doute pas très cher, allons, oublions cet épisode. Je venais vous présenter soumise Keira MDE, une de Mes favorites, la dernière entrée à mon service.
- Je l’avais reconnue à Votre marque, Monsieur Le Marquis, si son visage est encore inconnu d’une grande partie de notre cercle, il n’en est pas de même de sa prestation le jour de son marquage, tout le monde en parle. Il faut dire que cela faisait longtemps qu’un (e) soumis (e) MDE n’avait pas été marqué de la sorte.
- Effectivement. Eh bien, puisque vous semblez tout connaître d’elle, souhaitez-vous en profiter un moment ? Je peux vous la confier le temps que je profite de la chaleur de votre établissement, propose généreusement le Noble en claquant des doigts pour signifier à la jeune femme de rejoindre les pieds de leur hôte.

soumise Keira MDE hésite un dixième de seconde, elle craint d’être à la merci d’un autre Dominant sans la présence du Noble, mais elle se ressaisit aussitôt, elle doit avoir pleinement confiance au Maître, Il ne la laisserait pas au premier venu, alors elle s’avance donc à quatre pattes pour se mettre en position d’attente aux pieds du patron. Le Noble s’est aperçu de cette hésitation, mais il décide de ne pas la relever pour le moment.

- Avec joie, j’apprécie votre présent, répond l’homme en dévorant Keira MDE des yeux.
- soumise Keira MDE, je te laisse aux mains de mon ami, Maître Donatien, je compte sur toi pour faire honneur à Mon éducation et à la marque que tu portes, annonce Le Noble d’une voix solennelle.

Ils se quittent donc là, Le Noble avançant dans le club privé qu’il connaît parfaitement, pour se rendre dans une première pièce, donjon équipée en matériel de première qualité. Quant à Keira MDE, elle suit l’homme jusqu’à son bureau.
- Mets-toi debout, mains derrière la nuque, ordonne-t-il d’une voix calme, dominante, sans être autoritaire.

soumise Keira MDE s’exécute sans attendre, prenant la position parfaite, devenant une véritable statue de chair, offerte très érotisée et sensuelle. Maître Donatien tourne autour d’elle, prend le temps d’apprécier sa plastique naturelle, caresse son fessier, laisse ses doigts glisser sur la marque MDE, comme s’il voulait vérifier qu’elle était véritable, fasciné par une telle soumission. Le Dominant remonte sa main sur ses flancs, la laisse glisser jusqu’à sa poitrine, caresse le galbe de ses seins avant de pincer sans trop de force ses tétons. Vanessa reste impassible, concentrée sur sa volonté d’honorer le Maître auquel elle appartient. Il claque des doigts et défait la ceinture de son pantalon, Keira MDE comprend aussitôt, elle s’agenouille, place les mains derrière son dos et ouvre la bouche. A peine a-t-il posé sa verge déjà dressée, sur sa langue, qu’elle s’active pour lui prodiguer une fellation dont elle a maintenant le secret. Sa bouche combinée aux mouvements de sa langue, sont tellement divins, en s’activant avec force et dynamisme qu’il ne tarde pas à jouir dans un puissant orgasme qui l’ébranle au point qu’il doit se cramponner à un meuble près de lui, pour ne pas vaciller, lâchant la semence dans ses bruyants râles sans retenues.

- Divin, absolument divin, à coup sûr, tu mérites la confiance que te porte Monsieur Le Marquis, s’exclame l’homme une fois qu’il a repris ses esprits.

Vanessa ne répond rien, consciente qu’elle n’a pas reçu l’autorisation de parler, mais sourit, heureuse de contenter l’homme à qui Le Maître l’a confiée… Pendant ce temps, le Noble s’est assis dans un fauteuil pour observer la scène d’une Maîtresse appliquant une sanction à un soumis. L’homme entièrement nu est attaché à une croix de Saint-André, ses testicules enserrés entre deux plaques de bois, son dos offert aux sévices de la Dominante à laquelle il appartient. Le soumis reste impassible alors qu’elle lui administre une sévère correction à l’aide d’une cane anglaise. La Maîtresse ne retient pas ses coups et semble prendre un plaisir sadique à voir le fessier et l’arrière des cuisses de son soumis se marquer fortement de large zébrure violacées. Le Noble remarque que le corps du supplicié frémit de plaisir, Il en conclut que cet homme n’est pas qu’un simple soumis, mais sans en douter, un masochiste déjà expérimenté à la souffrance physique… Un attroupement s’est fait autour de la scène, beaucoup sont fascinés par ce qui se joue devant eux, la passivité de l’homme, les marques qui se font de plus en plus visibles, l’abandon dont fait preuve le dominé.

- Tu vois, il endure bien plus que ce que je ne t’ai jamais infligé, et il ne pleure pas comme un enfant lui, fait remarquer sur le ton du reproche un homme d’une trentaine d’année à la jeune femme qui l’accompagne.
- Oui, Maître, répond-t-elle rougissante et d’une voix tremblante tentant de retenir le sanglot montant.
- Et voilà ! Tu ne vas pas recommencer au premier reproche tout de même !, s’énerve l’homme, voyant qu’une larme perle sur sa joue.

La jeune femme baisse la tête pour cacher son mal être, elle écoute sans réagir les reproches de l’homme auquel elle appartient, reniflant le plus silencieusement possible pour ne pas le mettre en colère. Le Noble, qui suit leur conversation depuis le début, et maintenant le monologue de reproches de l’homme qui ne s’arrête pas, décide d’intervenir en voyant la détresse de cette jeune soumise inexpérimentée.

- Bonjour très cher, c’est une belle soumise que vous possédez, félicitations, lui dit-il d’un ton aimable, lui faisant stopper son discours de reproches.
- Hein…euh…ah oui, merci. Et où se trouve la vôtre ? demande-t-il étonné de voir un Maître non-accompagné.
- J’en possède plusieurs et même beaucoup… A vrai dire, leur nombre est même assez impressionnant !
- Plusieurs, et même beaucoup ? Vous vous prenez pour qui ? Pour le Fameux et si célèbre Marquis d’Evans ? Personne ne pourrait lui arriver à la cheville ! Alors soyez crédible à ne pas vous prendre pour Lui ! Et faites-preuve de modestie.
- Oui plusieurs et même beaucoup disais-je, mais celle qui M’accompagne ce soir est actuellement avec le propriétaire des lieux.
- Maître Donatien ? Vous le connaissez ? C’est une grande chance qu’a votre soumise, c’est un Maître d’expérience admiré par beaucoup ici. Il a accepté de vous aider à l’éduquer ?
- Je ne lui ai pas laissée pour qu’il l’éduque, c’est en quelque sorte un présent que j’ai fait à un de mes anciens élèves.
- Un de vos élèves ?…Maître Donatien… mais alors … Alors … vous … vous êtes … le … le… Fameux Marquis d’Evans en personne ?, dont il fait si souvent référence, son Mentor, …celui qui marque Ses soumises au fer rouge et qui est de réputation mondiale… le Fameux Marquis qui est La Référence dans notre Monde de la Domination/soumission !, dit-il admiratif comme une groupie devant son idole….
- Edouard d’Evans en effet, enchanté, mais je ne marque pas toutes mes soumises au fer rouge, elles ont le choix, je suis un Maître, pas un bourreau, sourit Le Noble, tout en tendant une main chaleureuse…- Très honoré, Monsieur le Marquis de me trouver face à Vous… Ca alors ! J’en reviens pas … Jamais j’aurai pensé vous rencontrer un jour, en personne … Voici ma soumise Sarah mais ce n’est pas elle qui choisirait cette façon d’être marquée, répond l’homme d’un air déçu en la regardant sur un ton réprobateur.
- Ne la blâmez pas ! La plupart de Mes soumises n’ont pas choisi cette marque au fer rouge, même parmi Mes favorites, cela ne veut pas dire qu’elles ne sont pas d’excellentes soumises... Nous ne sommes plus au temps des barbares ! … Depuis combien de temps est-elle vôtre ?
- Depuis un an, un an sans aucun progrès, c’est une novice, peu encline à me satisfaire, elle n’a rien des soumises que vous possédez, elle ne mérite même pas ce titre, annonce-t-il suffisamment fort pour humilier davantage sa propriété.
- Hum…chaque soumise est différente, les progrès ne se font pas tous au même rythme.
- Encore faut-il avoir votre chance ou votre grand Savoir-faire et tomber sur les bonnes.
- La chance n’a rien à voir là-dedans, c’est du temps consacré, de la patience, de l’écoute, et surtout de la confiance mutuelle… Puis-je ? demande le Noble en désignant la jeune femme.
- Oh oui… ce serait même un véritable honneur … mais vous allez être déçu, elle ne mérite pas Votre égard de Grand Maitre... C’est comme si un petit compositeur amateur de musique peu talentueux montrait sa médiocre partition à Monsieur Mozart…- N’ayez crainte, j’en ai conscience, je vous promets même que je ne vous l’abîmerai pas, et si ce qui se passe ne vous convient pas, vous pourrez stopper à tout moment, sourit Le Noble respectueux, avec humilité et sans aucune conscendance envers le jeune Maître - Hum si vous voulez, mais je vous aurai prévenu, répond-t-il en laissant Monsieur Le Marquis avec Sa soumise pour aller s’asseoir dans un fauteuil quelques mètres plus loin, pour observer avec un regard empli d’admiration et très honoré de cette opportunité qu’il n’imaginait même pas il n’y a pas 5 minutes.

Le Noble s’approche de la jeune soumise Sarah qui patiente debout les bras le long du corps, la tête baissée. Il se place face à elle. Le Châtelain l’observe un long moment en silence, épiant les frémissements de son corps…
(A suivre …)

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