La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1441) - histoire érotique

Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1440) -
Le Châtelain l’observe un long moment en silence, épiant les frémissements de son corps…et sa respiration qui trahit une nervosité importante, son visage fermé par une grande anxiété, certainement aussi très impressionnée de se trouver face à ce Fameux Maître, Celui qu’elle sait qu’Il est un des plus Maîtres au monde…
- Connais-tu les positions d’attente ? interroge-t-Il, enfin en rompant le silence, mais sur un ton très calme.
- Seu… Seulement une, Monsieur le Marquis, répond-t-elle d’une voix parfaitement respectueuse mais très intimidée.
- Laquelle ?
- A genoux, les mains dans le dos, avec la tête baissée.
- Bien, donc lorsque tu attends debout, tu dois également avoir les mains dans le dos, dit-il toujours sur un ton des plus aimables afin de ne pas lui générer de la peur inutile.

soumise Sarah ne répond rien mais corrige immédiatement sa position, conservant la tête baissée, plaçant les mains dans son dos.

- Voilà qui est mieux, tu réagis vite, c’est bien, l’encourage-t-Il d’une voix encore plus amicale.

Malgré sa voix si adoucie, le Châtelain la sent beaucoup trop anxieuse pour être capable de subir un quelconque acte de Domination.

- Tu sembles avoir peur, n’est-ce pas ?, lui chuchote-t-Il tout bas aux creux de l’oreille.
- Oui Monsieur le Marquis.
- Je t’impressionne ?, je te fais peur ?
- Oui Monsieur, le Marquis.
- J’apprécie ta franchise, sourit Le Noble. De quoi as-tu peur ?
- De … de Votre Présence qui me tétanise et aussi de la douleur, Monsieur le Marquis.
- Pour Ma Présence, rassure-toi et détend-toi, je ne vais pas te manger … et sache que je te respecte profondément en tant qu’être humain… Concernant ta deuxième peur, la soumission est avant tout du plaisir à être épanouie dans ce que la Nature a fait d’une personne aux besoins serviles et donc la douleur n’est qu’une composante de l’éducation et ne doit jamais être donnée à mauvaise escient… Je vais te faire une promesse, je ne te procurerai aucune douleur sans te prévenir à l’avance... dit-il avec une voix douce ponctuée d’une grande amabilité rassurante..

soumise Sarah ne répond rien, mais son corps se détend instantanément. Le Noble a déjà gagné sa confiance en sachant la rassurée. Alors Il pose doucement sa main sur le sexe de la jeune femme, passe un doigt doucement entre ses lèvres pour la découvrir complètement sèche. Il retire sa main, la remonte sur son ventre, jusqu’à sa poitrine, l’effleure sensuellement, pendant que Son autre main vient caresser la courbe de ses reins. Le Châtelain prend Son temps, cherche à réveiller ses sens, sans aucune brusquerie, il fait cela tout en douceur à lui faire prendre du plaisir sans qu’elle ne se sente forcée, ni obligée. Il observe attentivement ses réactions, lui fait goûter certains plaisirs, mais stoppe au bon moment pour éveiller en elle la frustration. Après un long moment le Noble passe de nouveau un doigt entre les lèvres intimes de la jeune femme, le ressort cette fois légèrement humide. Il le présente devant sa bouche et sans aucun ordre, soumise Sarah le lèche pour le nettoyer.

- C’est un bon début, continue ainsi, l’encourage-t-Il toujours avec gentillesse.

Monsieur le Marquis lance un regard interrogatif vers Le Maître de la jeune femme pour savoir s’Il peut continuer, l’homme acquiesce d’un signe de tête, attentif et toujours aussi admiratif à l’action du Châtelain, comme s’il était en train d’apprendre chaque geste, chaque mot du Mentor. Alors le Noble sort une chaînette de la poche de son costume, la laisse qu’Il utilise lorsqu’Il veut attacher Ses soumises en soirée, et la fixe au collier de soumise Sarah.

- A genoux, ordonne-t-Il d’une voix toujours calme mais plus Dominante cette fois.

La jeune femme s’exécute immédiatement, Le Noble tire doucement sur la laisse pour lui faire comprendre de se mettre à quatre pattes et de Le suivre. Il la mène doucement dans la salle, la faisant marcher à Ses pieds, allant toujours aussi doucement pour qu’elle prenne le rythme. Elle est maladroite, mais Il ne la brusque pas, lui donne quelques ordres sur le ton du conseil pour l’aider à prendre ses marques. Au fur et à mesure, sa démarche se fait plus féline, sa cambrure s’accentue, et la jeune soumise qui n’attirait pas les regards en entrant dans cette salle, devient l’attention de tous. Le silence s’est fait et l’assemblée assiste avec grand intérêt à la prestation de Monsieur le Marquis. Le Maître auquel elle appartient est subjugué, la transformation s’opère en si peu de temps, et tout en douceur, lui qui n’était pas parvenu à la faire progresser en toute une année, il observe les méthodes du Noble avec grande attention et une très forte admiration encore grandissante. A ce moment, Maître Donatien entre accompagné de soumise Keira MDE à ses pieds. Il découvre son ami animer la soirée et décide de laisser Sa prestation se dérouler. Aussi, il s'assoit dans un fauteuil, soumise Keira MDE se positionne sans aucun ordre en parfaite position d’attente à ses pieds.

- Lève les yeux, observe comment Le Maître auquel tu appartiens dresse une novice, tu as mérité cet honneur, lui autorise Maître Donatien. Puis il rajoute tout bas à Vanessa, dans le creux de l’oreille - Si l’assemblée savait qu’elle a en face d’elle, le Fameux Marquis d’Evans, cette assemblée serait encore plus admirative et les demandes d’autographe fuseraient !…
Après une dizaine de minutes, le Noble se stoppe, Il ordonne à soumise Sarah de se relever, immédiatement elle prend la pose les mains dans le dos. Il remarque avec satisfaction que son sexe dégouline littéralement, le long de ses cuisses, c’était le signe qu’Il attendait, Il voulait s’assurer qu’elle souhaitait véritablement être soumise, et qu’elle ne le faisait pas forcée. Alors le Châtelain s’approche d’elle, prend son menton entre Ses doigts, lui fait relever la tête pour plonger Son regard dans le sien avant de lui parler tout bas, pour que leur conversation reste confidentielle :
- Ce n’est pas toi qui as souhaité devenir soumise, n’est-ce pas ?
- Non Monsieur le Marquis, je ne connaissais même pas ce que c’était, c’est mon Maître qui me l’a demandé après quelques mois de relation vanille.
- Hum, par nature une soumise ne possède rien, surtout pas un Maître, tu devrais donc dire plus justement “Le Maître qui me soumet” et non pas “mon Maître”- D’accord Monsieur le Marquis, merci, c’est vrai !, répond la jeune femme prenant ce conseil comme une leçon.
- Tu l’aimes, n’est-ce pas ?
- Oui Monsieur le Marquis.
- Donc tu es devenue soumise par amour, sans y prendre de plaisir ?
- Oui Monsieur le Marquis.
- Mais tu as fini par aimer, affirme le Noble en remontant un doigt le long de la cuisse de Sarah pour lui faire remarquer que son plaisir est visible.
- Je... je ne sais pas Monsieur le Marquis, parfois je... je crois aimer et parfois j’ai en horreur ce que je vis.
- Lorsque la douleur se mêle au plaisir, n’est-ce pas ?
- Oui Monsieur le Marquis.
- Parce que tu n’as pas encore appris à accepter la douleur, mais tout s’apprend, souhaites-tu que je te la fasse découvrir ?
- Je...je ne sais pas...je ne pense pas en être capable, je... j’ai…-...peur, c’est bien normal. Je vais te prouver que tu en es capable, j’irai crescendo. Tu auras à tout moment le pouvoir de tout arrêter, en prononçant le mot “rouge”. Est-ce que cela te rassure ? Tu rendrais fier Le Maître qui te possède.
- D’accord Monsieur le Marquis, je sais que je peux vous faire confiance, je ne vous connais pas mais je sens profondément qu’avec Vous, je suis entre de bonnes mains, répond la jeune femme rassurée et espérant retrouver les bonnes grâces de l’homme qu’elle aime.

Monsieur Le Marquis relâche le visage de la jeune femme qui baisse immédiatement les yeux, appréhendant la suite des évènements. Il la prend fermement par les cheveux pour la mener jusqu’à un cheval d’arçon confortablement capitonné. Le Châtelain la positionne, son buste allongé sur le meuble, son fessier tendu en arrière, offert. Il se tourne vers Le Maître auquel appartient soumise Sarah, l’interroge du regard, ce dernier acquiesce, curieux de voir comment le Noble pourra faire évoluer sa soumise face à la douleur…
(A suivre …)