La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1442)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1442) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-02-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1442)
Lope Olivier au Château –
Monsieur le Maquis d'Evans avait pour habitude de se lever tôt, sa journée était toujours organisée à l’avance. Et en ce vendredi du mois de juin, une de ses secrétaires lui avait transmis des mails de demandes de stagiaires pour une de ses nombreuses entreprises. Et donc le Châtelain qui, pour rappel, était à la tête d’une holding internationale, en tant qu’homme d’affaires mondialement connu, faisant partie du club très fermé des cinq plus grandes fortunes de France. Il recevait donc parfois des demandes de stages, lesquelles, il tenait à les gérer lui-même pour celles retenues par la secrétaire, retenues selon certains critères bien précis… Transmises sur une adresse mail particulière ce qui lui permettait donc d’avoir des sollicitations d'un certains nombres de personnes, hommes et femmes, qui désiraient échanger avec Lui et ainsi alléger le filtrage numérique. Et parmi ces sollicitations, un mail d'un certain Olivier retint son attention. Pourquoi ce mail en particulier et pas un autre ? Il serait difficile de chercher un élément de réponse, sauf peut-être dans la teneur des propos en début de mail, mais ce qui est certain, c’est que le mail de cet Olivier fut retenu par la secrétaire et lu par le Noble. En voici un extrait du contenu, du début de ce mail :
‘‘Bonjour Monsieur le Marquis, j’ai l’honneur de vous informer que je viens de finir mes études et que j'ai toujours appris que l'on doit toujours effectuer les tâches qu'on nous impose dans les meilleurs délais et avec rigueur, sans rechigner et ainsi répondre à l’exigence par le dévouement le plus parfait. En effet étant d'un tempérament obéissant, on n’a pas besoin de m'expliquer dix fois ce que je dois faire, volontaire et disponible je me tiens donc à votre disposition pour tous types de tâches liées à mon cursus universitaire. Mobile, je peux aussi me déplacer rapidement (…) C’est pour cela que je sollicite un stage de (...) Ci-joint mon CV (…) ’’
A ce mail était ajouté une photo. Olivier précisait aussi qu'il était très impressionné par le parcours entrepreneurial du Noble. Le Châtelain répondit qu'il était éventuellement intéressé et adressa, en retour, une invitation à se rendre à un entretien au Château pour la fin du mois. Olivier à la lecture de ce dernier mail fut enthousiasmé à l'idée de rencontrer le Noble et aussi d'avoir la chance d'obtenir un stage voir un emploi… Et c'est ainsi qu'Olivier par un matin se retrouva à sonner devant les grilles de la vaste Demeure de Monsieur le Marquis. Et avant même de rentrer dans l’impressionnante propriété, il avait pu apprécier, de loin, la qualité de la construction de ce magnifique Château mais aussi la grandeur de l’immense parc et des vastes communs jouxtant la Propriété. L’immense portail forgé s’ouvrit automatiquement et Olivier, après avoir marché sur une centaine de mètres dans l’allée centrale aux graviers rouges, se retrouva en bas du perron, qu’il gravit pour sonner à la double-porte massive du Château. Cette dernière s'ouvrit après un temps d’attente assez long. Olivier fut invité à rentrer par un homme qui se présenta comme le Majordome, chauffeur et secrétaire particulier de Monsieur le Marquis, et qui se faisait appeler Walter.

- Bonjour Monsieur, vous êtes Olivier je suppose. Monsieur le Marquis est occupé. Il va vous recevoir dans une heure. Pour l'instant vous allez me suivre et vous l’attendrez dans la pièce attenante à son bureau. Il vous appellera pour vous présenter à lui.

Olivier suivit le Majordome dans un dédale de luxueux couloirs et tout le long de ce trajet, son regard était capté par la magnificence des lieux par les tentures, aux hautes fenêtres, composées de riches étoffes, par les tableaux magnifiques de grands peintres et par le mobilier stylé d'époque. Walter ouvrit la porte de la pièce attenante au bureau et indiqua à Olivier où s’assoir. Puis il referma la porte en le laissant dans l’attente.

Au bout d'un instant, Olivier entendit la voix de Monsieur le Marquis car celui-ci était au téléphone et le son de sa voix passait par une toute petite fenêtre entrebâillée et disposée juste au-dessus de porte séparant les deux pièces. Olivier fut tout de suite surpris par le ton de la voix du Noble, une voix calme mais forte et attirante. Intrigué, Olivier essaya de tendre l'oreille pour entendre ce que disait Monsieur le Marquis mais c'était peine perdu. L'attente dura une bonne heure quand enfin le Châtelain ouvrit la porte de son bureau. Olivier fut de suite très impressionné par la prestance, par le charisme de Monsieur le Marquis mais aussi par le regard brillant et intelligent de Celui-ci. Un regard d’un bleu envoûtant que l’on n’oublie pas, qui donne de suite l’impression que le Noble lit dans les pensées, par son côté hypnotique, perçant et assuré…
Et puis cette voix incroyable ! Une voix maitrisée parfaitement exprimant un grand calme et paradoxalement d’une froideur mélangée à de la chaleur humaine mais par son côté posée, il est certain qu’il s’agit d’une voix d’un homme extrêmement cultivé, qui ne parle pas pour ne rien dire… Et c’est cette voix qui l’invita à entrer dans le bureau et à attendre debout. Le Châtelain laissa passer Olivier et en le dévisageant un simple instant, en le regardant se déplacer avec une sorte de crainte, la tête dans les épaules, le Noble compris que ce futur stagiaire serait potentiellement enclin à la soumission. En effet, son immense expérience de la psychologie humaine ne le trahissait que très rarement, voire jamais. Et il fallait simplement tirer sur les bons fils pour qu’il vérifie si son évaluation était la bonne. Le Châtelain pris place derrière son bureau et fit mine de s'intéresser à un dossier et c'est seulement après quelques minutes qu'il s'adressa à Olivier, le fixant droit dans les yeux, de son fameux regard sans cligner de ses propres yeux
- Ainsi, vous sollicitez un stage ! s’exclama le Noble sans que son propos soit interrogatif, mais plutôt affirmatif
Encore plus impressionné, Olivier allait timidement répondre, mais son premier mot fut coupé par Monsieur le Marquis
- Je …- Vous êtes ici chez moi, vous parlerez quand je vous le dirai pour l’instant ce n'est pas le cas. Sachez que notre entretien va se dérouler en deux phases. La première, vous allait vous décrire, me dire qui vous êtes, me raconter vos expériences. La deuxième, je vais vous tester pour voir si vous êtes aussi discipliné que vous me le dites dans votre mail. Je vous écoute maintenant, d'abord votre état civil, votre parcours professionnel et vous allez m'expliquer si vous êtes vraiment disponible… Je veux tout savoir également de votre vie personnel et si vous avez quelqu'un dans votre vie. Et si vous jugez cela indiscret, vous pouvez de suite quitter ce Château…
Olivier ne bougea pas. D’abord interloqué par ce côté très direct, très assuré du Châtelain, il fut comme attiré, sans savoir pourquoi, par cet homme qui a l’habitude de diriger, à l’évidence, Olivier était comme subjuguer, alors il commença à décliner son nom et enchaina d'une manière classique sur ses études, son parcours pro. Il fut plus gêné quand il aborda la partie de sa vie personnelle car il était plutôt timide et réservé, de plus il n’avait pas grand-chose à raconter, car sa vie intime était bien morose et sans saveur. Le Noble perçut tout de suite la monotonie et la servilité naturelle de la vie de cet Olivier qui était, en quelques sorte, un terrain vierge à dominer et qu’il allait pouvoir imprimer Son Emprise rapidement sur cet homme à l’évidence enclin à l’obéissance tout aussi naturelle, si on lui intimait quelques directives... Pour cela, il fallait obtenir d'Olivier un premier geste d’obéissance.

- Bien, répliqua Monsieur le Marquis … Je vois quel genre d’homme vous êtes et à quoi vous pouvez inspiré devenir si on vous donne un coup de pouce … Votre candidature m'intéresse, vous êtes prêt à aller jusqu'où pour cela ?

Olivier fut surpris par cette question mais Monsieur le Marquis continua :
- Je vais vous faire une démonstration de ce que j'attends de vous... Vous comprendrez très vite…
Monsieur le Marquis appuya sur un bouton de son interphone de bureau et lança laconiquement :
- Vient, tout de suite.

Au bout d'un instant une très belle femme entra dans le bureau. Olivier fut très surpris, la bouche ouverte muette de stupéfaction, sans voix, car elle était entièrement nue. Simplement un collier lui fermait le cou. Olivier remarqua ses beaux seins lourds aux tétons rosés et ses hanches voluptueuses de la jeune femme. Elle évoluait la tête baissée et s'approcha du Noble, sans regarder Olivier. Elle se mit devant le bureau dans une posture agenouillée, toujours la tête baissé et mit ses mains derrière le dos et ne bougea plus, dans un parfait silence. Le Châtelain dit alors à Olivier
- Voici Sophie notre dernière stagiaire. Sophie montre à ce futur stagiaire ce que j’attends de toi... dit-il en claquant des doigts
Alors Sophie, docilement, se glissa à quatre pattes sous bureau et alla entre les cuisses du Châtelain, exhibant toute son intimité aux yeux effarés d’Olivier. Il était évident que Monsieur le Marquis allait honorer de Son sexe, la bouche de la jeune Sophie.... Mais contrairement à ce qui supposait Olivier, Monsieur le Marquis se leva et s'approcha d'Olivier. Le Noble dit alors :
- Vous voyez cette jeune stagiaire est arrivée il y a quinze jours. Elle a rapidement compris ce que obéissance voulait dire, disponibilité aussi, pas seulement de sa présence mais aussi de ses orifices, bouche, vagin et cul. Oh, je n’ai eu nullement besoin de la forcer à quoi que ce soit, car c’est de ses propres aveux qu’elle est venue jusqu’à Moi par sa demande détournée de stage afin qu’elle puisse être ce qu’elle est et vivre son besoin viscérale d’obéissance… Et elle a vite compris aussi que j'attends une dévotion absolue quand on réside dans Mon Château... Maintenant je m'adresse à vous, cher Olivier, je vous laisse le temps de la réflexion mais votre réponse vous obligera… Voulez-vous faire partie de mes stagiaires ?... Cela veut dire que votre bouche, votre cul seront ma propriété comme tout le reste de votre corps, tant que vous resterez au Château, vous serez sous Mon joug avec comme prérogatives, uniquement Me satisfaire…
Le Noble s'approcha au plus près du jeune homme, Olivier baissa la tête en signe de soumission car il n’avait aucune envie de quitter ce lieu que, peut-être beaucoup aurait quitté les jambes autour du cou. Non sa Nature servile faisait surface à l’évidence, il comprit alors que le Châtelain avait perçu cette Nature et qu’il ne pouvait qu’accepter sans même y réfléchir tandis qu’il constata qu’il en bandait déjà de par ses pulsions sexuelles de soumis. Alors il venait de céder aux exigences du Dominant. Sa vie personnelle manquait de piquant et la proposition du Châtelain répondait à son intime envie d'être dominé qui le taraudait depuis tant d’année. Plus qu’une envie, cela devenait un besoin plus puissant depuis déjà quelques semaines. Et enfin aussi de perdre sa virginité anale, lui qui avait toujours été maladroit pour draguer les filles comme si la gente féminine comprenait son manque d'assurance. Olivier avait peur de prendre la parole mais ne bougeait pas d’un iota. Monsieur le Marquis le fixait toujours d’un regard silencieux, une tension s'installait et c'est le Noble qui en Maître chez Lui dominait la situation. Le Châtelain conclut alors :
- Tu ne te sauves pas à toutes jambes et tu ne dis aucun mot. Ton silence vaut donc pour acceptation. De plus, ta bosse sous ton pantalon trahit aussi tes pulsions de soumission trop longtemps enfouies en toi…
(A suivre …)

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