La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1448)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1448)
L’esclave salope au Château (suite de l'épisode N°1427) -
Quand il finit de parler, c’est d’un coup de laisse que le Maitre me fait mettre à quatre pattes et me tire vers la sortie du Château… Une semaine plus tard en me réveillant le matin je découvre un mail du Maitre. Comme toujours en ce qui concerne les mails ou messages du Maitre, je m’empresse de l’ouvrir. Dedans, j’y trouve des instructions.
« Bonjour Mon esclave salope, à partir d’aujourd’hui et jusqu’à la prochaine fois où tu auras la chance et l’honneur d’être à Mes pieds, tu as interdiction de porter une culotte, de plus, je veux que chaque jour tu prennes un marqueur et que tu écrives juste au-dessus de ta chatte de salope de chienne, ton matricule d’esclave : eN69 .Ainsi que le mot ‘putain’ juste en dessous, et tu le marqueras aussi sur tes seins. Chaque jour, tu devras m’envoyer la photo de ton sexe et de tes seins marqués. A très bientôt Ma salope de chienne esclave, Le Maître »
Je réponds si docilement par un « Oui Maitre » à Monsieur le Marquis, lui faisant savoir que Ses exigences ont été reçues et comprises. Je me lève et me prépare donc pour ma journée de travail, tout en respectant à la lettre les consignes du Maitre sans oublier de lui envoyer la photo. Je continue ainsi pendant 4 longs jours et je n’ai aucune nouvelles du Maitre. Mais je sais que le Châtelain me sollicite quand Il le veut seulement et que même s’il ne me sollicite pas ça ne change en rien du fait que je reste à Ses pieds, et à mes devoirs d’esclave. C’est donc le 5e jour, en rentrant du travail, que je trouve le Noble confortablement assis sur mon canapé. Mon conjoint étant au courant de ma nature soumise et de ma relation D/s avec le Maitre. Ce dernier a décidé que du fait que je suis Son esclave, il était normal qu’il ait la clé de cher moi.
Ma surprise de trouver le Châtelain ici chez moi est immense, et j’en reste juste stupéfaite à l’entrée, saisie par la surprise à l’observer pour être sûre que je ne rêve pas. C’est la première fois que j’ai l’immense honneur d’avoir le Maitre cher moi... Je suis de petite de taille et donc c’est quand le Noble se lève, et me domine de toute Sa hauteur et Son puissant Charisme, que je reprends mes esprits et que je réalise que le Maitre et bel et bien devant moi. Et là je me sens toute petite, voire insignifiante face à Sa Présence. Alors je commence donc rapidement à me déshabiller avant de me prosterner entièrement nue devant le Maitre, et d’attendre ainsi Son bon Vouloir... C’est après un long silence, durant lequel je me doute que le Maitre m’observe attentivement de Son regard gourmand, que je l’entends commencer à bouger, et à s’approcher de ma petite personne prosternée à Ses pieds. Le Châtelain s’arrête juste devant moi, et prosternée ainsi à attendre, je crève d’envie d'approcher simplement mon visage et de pouvoir lécher le bout de Ses chaussures, ce qui serait un honneur suprême. Et ainsi lui dire ‘bonjour’ de cette façon comme une bonne chienne esclave soumise. Mais n’ayant pas reçu la permission de bouger, je n’ose pas bouger et je continue à attendre le bon Vouloir du Noble… Le Châtelain se dirige derrière moi et commence doucement à me caresser les fesses arrondies et qui doivent Lui être bien exposées. Quand soudain, je le sens toucher ma raie d’entre mes fesses pour se diriger sur mon sexe déjà bien mouillé. Mais ce n’est pas Sa main que je sens dessus ma chatte, mais Sa chaussure. Ainsi il récolte ma mouille sur Ses chaussures, c’est ce que je comprends quand Il fait la même chose avec Sa deuxième chaussure. C’est quand, je suppose la chaussure de Monsieur le Marquis bien remplie de ma mouille, que je le vois à nouveau devant moi, et cette fois il approche Son pieds de moi, avant de commencer à me parler de Sa voix si calme et si Dominant à la fois :
- Regarde chienne comme tu mouilles, et pourtant je ne t’ai même pas encore touchée. Rien qu’à être en Ma présence et prosternée face à Moi, regarde comment tu as souillé Mes chaussures, chienne en chaleur ! Alors commence à nettoyer esclave, pute en chaleur, et applique-toi bien surtout, salope…
C’est avec toute ma dévotion que je commence à lécher les chaussures du Châtelain que j’ai souillée par ma forte excitation de chienne en chaleur. Et plus je lèche les souliers vernis du Noble, plus mon sexe s’active et plus je mouille d’une cyprine coulante sur mes cuisses... J’ai l’impression d’avoir la chatte en feu et pourtant je sais que le Maitre commence juste à peine à être avec moi... Les chaussures du Maitre sont désormais brillantes et pourtant je ne m’arrête pas, je continue à les lécher de ma langue baladeuse sur le cuir, à embrasser le dessus avec motivation. Je sens la main du Maitre se poser sur ma tête et commencer à appuyer dessus, comme pour diriger ma langue quand il empoigne ma queue de cheval. Puis à me caresser le cuir chevelu, suivi de quelques « bonne chienne, c’est bien »… Puis d’un coup le Maitre empoigne de nouveau mes cheveux en ma queue de cheval et me la tire, et ainsi me positionne à genoux devant lui. Il attrape ma tête qu’il colle à Sa Verge par-dessus Son pantalon.
- Renifle chienne, renifle l’odeur de la bite qui va te défoncer, qui va te posséder pas tout tes trous de putain en chaleur
Je commence donc à renifler, au travers du pantalon, le Sexe du Noble telle une chienne à la recherche de sa friandise. Et je sens la verge du Maitre commencer à gonfler et l’idée de Lui donner du plaisir, m’excite encore plus et me fait encore plus mouiller. Bien rapidement le Châtelain m’attrape à nouveau par les cheveux et me tire derrière Lui en allant s'assoir sur le canapé, moi à Ses genoux à attendre. Monsieur le marquis tapote Sa cuisse, je comprends donc et j’y pose délicatement ma tête, que le Noble commence à caresser quand Il prend la parole.
- Bien, Mon esclave puisque ton compagnon et au courant pour ta vraie Nature servile. Puisqu’il te sait soumise à un Maitre, et qu’il accepte cette situation et comprenant, j’ai donc décidé de faire quelques changements cher toi. Pour adapter ta condition de chienne soumise esclave en tout temps quand je le déciderai, en Ma présence, et même quand je ne serai pas présent…
Je ne sais ce que le Noble me réserve, ce que Ses mots veulent dire exactement, mais pourtant j’en suis excitée, mentalement comme physiquement. En effet, la pensée de pouvoir vivre ma nature de soumise esclave, même hors présence du Maitre me fait frissonner de plaisir, je suis impatiente de savoir ce que le Châtelain a décidé, mais je Le connais et je sais où est ma place et donc que je dois attendre pour savoir où Monsieur le Marquis veut en venir, et de quel changement Il parle. Sûrement décidé à continuer à me laisser attendre, le Noble pousse ma tète de sur sa cuisse, et commence à ouvrir Son pantalon pour laisser sortir Sa Verge déjà bien gonflée, et de Sa main attrape mon visage pour le colle contre Son noble Vit, ainsi que sur Ses divines couilles.
- Renifle petite chienne, renifle bien l’odeur du mâle auquel tu appartiens, renifle l’odeur de Ma Bite que tu vénères tant. Je sais que tu en as envie, mais tu as interdiction de la prendre en bouche pour le moment, tu as seulement le droit de renifler et mettre des petits coups de langue sur Mes couilles tout en flairant de ton museau de clebs. Et quand je le déciderai et seulement quand je le déciderais tu seras autorisée à me donner du plaisir avec un de tes trous de pute, de chienne en chaleur. Aller exécution chienne de rues, et applique-toi à bien renifler sans modération..
Je humais donc à plein nez Son odeur si délicieuse. Et je compris vite que le Maître avait parfumé, juste avant de venir, son bas-ventre d’un certain parfum peu commun et donc pourquoi Il insistait tant à ce que je renifle Ses parties génitales. Même s’Il savait très bien que je n’avais nullement besoin de renifler Son mystérieux parfum enivrant de sensations sublimes, pour m’exciter, je compris alors qu’Il me faisait sentir un parfum hautement aphrodisiaque… Je me sentais déjà chienne en chaleur, mais les effets rapides de ce que je reniflais à plein nez décuplèrent subitement ma libido à l’excès. Et seule l’envie irrésistible de me faire prendre sauvagement comptait désormais, je devenais une véritable bombe sexuelle, il fallait qu’on me prenne, qu’on me baise, qu’on assouvisse, à grands coups de reins puissants et profonds d’une bite dans ma chatte, cet irrésistible besoin de copulation sauvage, animale, bestiale. Je n’étais plus qu’une femelle en chaleur qui devait se faire prendre au plus vite, là sans attendre, de suite et sans ménagement, même si je savais que je ne pouvais décider de rien du tout. Alors un difficile conflit dans mon cerveau opérait, entre ce besoin incompressible de me faire baiser et celui de savoir attendre le bon Vouloir du Maître…
Enivrée par le puissant aphrodisiaque, je remuais instinctivement mon cul, faisant des mouvements évocateurs de mon bassin et cela malgré moi. Je gémissais en étant extrêmement en chaleur, ne tenant plus, je coulais littéralement ma mouille sur mes cuisses et même sans y être autorisée, je mis une main sur mon sexe pour me caresser, l’envie étant trop forte, mon cerveau ne pouvant pas réprimer ce geste masturbatoire. Je savais que je pouvais être punie par ce geste initié par moi-même sans que le Maître n’exige de me branler, mais impossible de retenir ma main à défaut d’une grosse bite pour tenter de soulager l’extrême excitation qui maintenant me provoquait des spasmes dans tout mon corps fiévreux d’excitation. Et l’envie de jouissances devenait, de fait, ultra-puissante, je devenais à l’évidence sous l’effet de ce parfum, une véritable bête de sexe… Monsieur le Marquis observait attentivement mes réactions suite aux effets si évocateurs de l’aphrodisiaque qui emplissait mes narines et enivrait mon cerveau et activait à outrance mes pulsions sexuelles, quand il me dit clairement :
- Je sais ce que provoque, comme effets foudroyants, ce très puissant parfum aphrodisiaque. Et il serait très injuste de Ma part de te punir parce que tu te branles sans Mon autorisation. Je dirai même que c’est exactement ce que je voulais que tu fasses. Et même si tu n’as pas besoin d’un aphrodisiaque pour te masturber devant Moi, je veux que tu te couches devant Moi sur ton carrelage à même le sol et que tu continues à te branler avec énergie et frénésie comme une folle, te mettant sur le dos en écartant tes cuisses largement et relevant tes genoux. Je t’autorise même à jouir sans modération car là aussi, je serai injuste de t’interdire l’orgasme, car c’est Moi qui t’ai provoqué cet état de chaleur extrême… Exécution …
Il ne fallut pas me le dire deux fois, je fus couchée sur le dos dans la seconde qui suivait, me tortillant comme un ver. N’y tenant plus, j’ai même joui avant d’être couchée ! Mais je continuais à me branler frénétiquement devant les yeux satisfait du Maître. Et je lui offrais un spectacle extrêmement lubrique, délicieusement scabreux, soulevant mes fesses du sol, branlant mon clitoris alors que de mon autre main, je me doigtais puissamment la chatte… J’avais mes tétons de femelle durs et dressés comme jamais je ne les avais jamais vus autant dressés d’excitation. Je laissais exprimer mes atomiques orgasmes qui s’enchaînaient sans discontinuité par des cris d’une amplitude sonore rarement égalée. Je ne pouvais m’arrêter, plus je jouissais et plus je me branlais, me tordais dans tous les sens dans les jouissances explosives, avec des spasmes remontant toute mon échine, enchaînant les décharges électriques orgasmiques, me faisant frissonner de milles sensations jouissives…
Tellement en chaleur extrême sous l’effet de l’aphrodisiaque, que je m’aperçus qu’une fois entre mes jambes, que le Maître était venu s’y placer. Mon spectacle de cette femelle en chaleur en train de se branler et de jouir dans des cris hors normes, le faisait à l’évidence bander et il ne tarda à investir ma chatte pour me labourer, me prendre, me baisant en écartant de ses puissantes mains encore plus mes jambes à même le sol… Alors que je jouissais encore et encore sous ses coups de boutoirs d’une force incroyable, il me baisait avec une virilité impressionnante à grands coups de reins … quand au bout de longues minutes, il lâcha Sa semence dans de longs râles de mâle en rut…
(A suivre …)
Quand il finit de parler, c’est d’un coup de laisse que le Maitre me fait mettre à quatre pattes et me tire vers la sortie du Château… Une semaine plus tard en me réveillant le matin je découvre un mail du Maitre. Comme toujours en ce qui concerne les mails ou messages du Maitre, je m’empresse de l’ouvrir. Dedans, j’y trouve des instructions.
« Bonjour Mon esclave salope, à partir d’aujourd’hui et jusqu’à la prochaine fois où tu auras la chance et l’honneur d’être à Mes pieds, tu as interdiction de porter une culotte, de plus, je veux que chaque jour tu prennes un marqueur et que tu écrives juste au-dessus de ta chatte de salope de chienne, ton matricule d’esclave : eN69 .Ainsi que le mot ‘putain’ juste en dessous, et tu le marqueras aussi sur tes seins. Chaque jour, tu devras m’envoyer la photo de ton sexe et de tes seins marqués. A très bientôt Ma salope de chienne esclave, Le Maître »
Je réponds si docilement par un « Oui Maitre » à Monsieur le Marquis, lui faisant savoir que Ses exigences ont été reçues et comprises. Je me lève et me prépare donc pour ma journée de travail, tout en respectant à la lettre les consignes du Maitre sans oublier de lui envoyer la photo. Je continue ainsi pendant 4 longs jours et je n’ai aucune nouvelles du Maitre. Mais je sais que le Châtelain me sollicite quand Il le veut seulement et que même s’il ne me sollicite pas ça ne change en rien du fait que je reste à Ses pieds, et à mes devoirs d’esclave. C’est donc le 5e jour, en rentrant du travail, que je trouve le Noble confortablement assis sur mon canapé. Mon conjoint étant au courant de ma nature soumise et de ma relation D/s avec le Maitre. Ce dernier a décidé que du fait que je suis Son esclave, il était normal qu’il ait la clé de cher moi.
Ma surprise de trouver le Châtelain ici chez moi est immense, et j’en reste juste stupéfaite à l’entrée, saisie par la surprise à l’observer pour être sûre que je ne rêve pas. C’est la première fois que j’ai l’immense honneur d’avoir le Maitre cher moi... Je suis de petite de taille et donc c’est quand le Noble se lève, et me domine de toute Sa hauteur et Son puissant Charisme, que je reprends mes esprits et que je réalise que le Maitre et bel et bien devant moi. Et là je me sens toute petite, voire insignifiante face à Sa Présence. Alors je commence donc rapidement à me déshabiller avant de me prosterner entièrement nue devant le Maitre, et d’attendre ainsi Son bon Vouloir... C’est après un long silence, durant lequel je me doute que le Maitre m’observe attentivement de Son regard gourmand, que je l’entends commencer à bouger, et à s’approcher de ma petite personne prosternée à Ses pieds. Le Châtelain s’arrête juste devant moi, et prosternée ainsi à attendre, je crève d’envie d'approcher simplement mon visage et de pouvoir lécher le bout de Ses chaussures, ce qui serait un honneur suprême. Et ainsi lui dire ‘bonjour’ de cette façon comme une bonne chienne esclave soumise. Mais n’ayant pas reçu la permission de bouger, je n’ose pas bouger et je continue à attendre le bon Vouloir du Noble… Le Châtelain se dirige derrière moi et commence doucement à me caresser les fesses arrondies et qui doivent Lui être bien exposées. Quand soudain, je le sens toucher ma raie d’entre mes fesses pour se diriger sur mon sexe déjà bien mouillé. Mais ce n’est pas Sa main que je sens dessus ma chatte, mais Sa chaussure. Ainsi il récolte ma mouille sur Ses chaussures, c’est ce que je comprends quand Il fait la même chose avec Sa deuxième chaussure. C’est quand, je suppose la chaussure de Monsieur le Marquis bien remplie de ma mouille, que je le vois à nouveau devant moi, et cette fois il approche Son pieds de moi, avant de commencer à me parler de Sa voix si calme et si Dominant à la fois :
- Regarde chienne comme tu mouilles, et pourtant je ne t’ai même pas encore touchée. Rien qu’à être en Ma présence et prosternée face à Moi, regarde comment tu as souillé Mes chaussures, chienne en chaleur ! Alors commence à nettoyer esclave, pute en chaleur, et applique-toi bien surtout, salope…
C’est avec toute ma dévotion que je commence à lécher les chaussures du Châtelain que j’ai souillée par ma forte excitation de chienne en chaleur. Et plus je lèche les souliers vernis du Noble, plus mon sexe s’active et plus je mouille d’une cyprine coulante sur mes cuisses... J’ai l’impression d’avoir la chatte en feu et pourtant je sais que le Maitre commence juste à peine à être avec moi... Les chaussures du Maitre sont désormais brillantes et pourtant je ne m’arrête pas, je continue à les lécher de ma langue baladeuse sur le cuir, à embrasser le dessus avec motivation. Je sens la main du Maitre se poser sur ma tête et commencer à appuyer dessus, comme pour diriger ma langue quand il empoigne ma queue de cheval. Puis à me caresser le cuir chevelu, suivi de quelques « bonne chienne, c’est bien »… Puis d’un coup le Maitre empoigne de nouveau mes cheveux en ma queue de cheval et me la tire, et ainsi me positionne à genoux devant lui. Il attrape ma tête qu’il colle à Sa Verge par-dessus Son pantalon.
- Renifle chienne, renifle l’odeur de la bite qui va te défoncer, qui va te posséder pas tout tes trous de putain en chaleur
Je commence donc à renifler, au travers du pantalon, le Sexe du Noble telle une chienne à la recherche de sa friandise. Et je sens la verge du Maitre commencer à gonfler et l’idée de Lui donner du plaisir, m’excite encore plus et me fait encore plus mouiller. Bien rapidement le Châtelain m’attrape à nouveau par les cheveux et me tire derrière Lui en allant s'assoir sur le canapé, moi à Ses genoux à attendre. Monsieur le marquis tapote Sa cuisse, je comprends donc et j’y pose délicatement ma tête, que le Noble commence à caresser quand Il prend la parole.
- Bien, Mon esclave puisque ton compagnon et au courant pour ta vraie Nature servile. Puisqu’il te sait soumise à un Maitre, et qu’il accepte cette situation et comprenant, j’ai donc décidé de faire quelques changements cher toi. Pour adapter ta condition de chienne soumise esclave en tout temps quand je le déciderai, en Ma présence, et même quand je ne serai pas présent…
Je ne sais ce que le Noble me réserve, ce que Ses mots veulent dire exactement, mais pourtant j’en suis excitée, mentalement comme physiquement. En effet, la pensée de pouvoir vivre ma nature de soumise esclave, même hors présence du Maitre me fait frissonner de plaisir, je suis impatiente de savoir ce que le Châtelain a décidé, mais je Le connais et je sais où est ma place et donc que je dois attendre pour savoir où Monsieur le Marquis veut en venir, et de quel changement Il parle. Sûrement décidé à continuer à me laisser attendre, le Noble pousse ma tète de sur sa cuisse, et commence à ouvrir Son pantalon pour laisser sortir Sa Verge déjà bien gonflée, et de Sa main attrape mon visage pour le colle contre Son noble Vit, ainsi que sur Ses divines couilles.
- Renifle petite chienne, renifle bien l’odeur du mâle auquel tu appartiens, renifle l’odeur de Ma Bite que tu vénères tant. Je sais que tu en as envie, mais tu as interdiction de la prendre en bouche pour le moment, tu as seulement le droit de renifler et mettre des petits coups de langue sur Mes couilles tout en flairant de ton museau de clebs. Et quand je le déciderai et seulement quand je le déciderais tu seras autorisée à me donner du plaisir avec un de tes trous de pute, de chienne en chaleur. Aller exécution chienne de rues, et applique-toi à bien renifler sans modération..
Je humais donc à plein nez Son odeur si délicieuse. Et je compris vite que le Maître avait parfumé, juste avant de venir, son bas-ventre d’un certain parfum peu commun et donc pourquoi Il insistait tant à ce que je renifle Ses parties génitales. Même s’Il savait très bien que je n’avais nullement besoin de renifler Son mystérieux parfum enivrant de sensations sublimes, pour m’exciter, je compris alors qu’Il me faisait sentir un parfum hautement aphrodisiaque… Je me sentais déjà chienne en chaleur, mais les effets rapides de ce que je reniflais à plein nez décuplèrent subitement ma libido à l’excès. Et seule l’envie irrésistible de me faire prendre sauvagement comptait désormais, je devenais une véritable bombe sexuelle, il fallait qu’on me prenne, qu’on me baise, qu’on assouvisse, à grands coups de reins puissants et profonds d’une bite dans ma chatte, cet irrésistible besoin de copulation sauvage, animale, bestiale. Je n’étais plus qu’une femelle en chaleur qui devait se faire prendre au plus vite, là sans attendre, de suite et sans ménagement, même si je savais que je ne pouvais décider de rien du tout. Alors un difficile conflit dans mon cerveau opérait, entre ce besoin incompressible de me faire baiser et celui de savoir attendre le bon Vouloir du Maître…
Enivrée par le puissant aphrodisiaque, je remuais instinctivement mon cul, faisant des mouvements évocateurs de mon bassin et cela malgré moi. Je gémissais en étant extrêmement en chaleur, ne tenant plus, je coulais littéralement ma mouille sur mes cuisses et même sans y être autorisée, je mis une main sur mon sexe pour me caresser, l’envie étant trop forte, mon cerveau ne pouvant pas réprimer ce geste masturbatoire. Je savais que je pouvais être punie par ce geste initié par moi-même sans que le Maître n’exige de me branler, mais impossible de retenir ma main à défaut d’une grosse bite pour tenter de soulager l’extrême excitation qui maintenant me provoquait des spasmes dans tout mon corps fiévreux d’excitation. Et l’envie de jouissances devenait, de fait, ultra-puissante, je devenais à l’évidence sous l’effet de ce parfum, une véritable bête de sexe… Monsieur le Marquis observait attentivement mes réactions suite aux effets si évocateurs de l’aphrodisiaque qui emplissait mes narines et enivrait mon cerveau et activait à outrance mes pulsions sexuelles, quand il me dit clairement :
- Je sais ce que provoque, comme effets foudroyants, ce très puissant parfum aphrodisiaque. Et il serait très injuste de Ma part de te punir parce que tu te branles sans Mon autorisation. Je dirai même que c’est exactement ce que je voulais que tu fasses. Et même si tu n’as pas besoin d’un aphrodisiaque pour te masturber devant Moi, je veux que tu te couches devant Moi sur ton carrelage à même le sol et que tu continues à te branler avec énergie et frénésie comme une folle, te mettant sur le dos en écartant tes cuisses largement et relevant tes genoux. Je t’autorise même à jouir sans modération car là aussi, je serai injuste de t’interdire l’orgasme, car c’est Moi qui t’ai provoqué cet état de chaleur extrême… Exécution …
Il ne fallut pas me le dire deux fois, je fus couchée sur le dos dans la seconde qui suivait, me tortillant comme un ver. N’y tenant plus, j’ai même joui avant d’être couchée ! Mais je continuais à me branler frénétiquement devant les yeux satisfait du Maître. Et je lui offrais un spectacle extrêmement lubrique, délicieusement scabreux, soulevant mes fesses du sol, branlant mon clitoris alors que de mon autre main, je me doigtais puissamment la chatte… J’avais mes tétons de femelle durs et dressés comme jamais je ne les avais jamais vus autant dressés d’excitation. Je laissais exprimer mes atomiques orgasmes qui s’enchaînaient sans discontinuité par des cris d’une amplitude sonore rarement égalée. Je ne pouvais m’arrêter, plus je jouissais et plus je me branlais, me tordais dans tous les sens dans les jouissances explosives, avec des spasmes remontant toute mon échine, enchaînant les décharges électriques orgasmiques, me faisant frissonner de milles sensations jouissives…
Tellement en chaleur extrême sous l’effet de l’aphrodisiaque, que je m’aperçus qu’une fois entre mes jambes, que le Maître était venu s’y placer. Mon spectacle de cette femelle en chaleur en train de se branler et de jouir dans des cris hors normes, le faisait à l’évidence bander et il ne tarda à investir ma chatte pour me labourer, me prendre, me baisant en écartant de ses puissantes mains encore plus mes jambes à même le sol… Alors que je jouissais encore et encore sous ses coups de boutoirs d’une force incroyable, il me baisait avec une virilité impressionnante à grands coups de reins … quand au bout de longues minutes, il lâcha Sa semence dans de longs râles de mâle en rut…
(A suivre …)
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