La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1455) - histoire érotique

esclave 976-038-936 au Château – (suite de l'épisode N°1452) -
Je me retrouve seul face au nouveau Maître qui me soumet désormais… Monsieur Walter prend pute par les couilles et le traîne derrière lui. Ils sortent tous les deux… Je reste donc seul avec Monsieur le Marquis et je suis très impressionné, oui, vraiment intimidé par Son Charisme et Sa Dominance naturelle. On sent très fortement Sa Présence Dominante même dans le plus absolu silence. Quant à Sa voix, elle est très assurée et est d’un calme parfaitement contrôlé exprimant ainsi une évidente maîtrise de Lui-même et de Sa communication. Une voix peut devenir chaude ou froide voire glaciale en quelques secondes... Le Noble claque avec Ses doigts et me montre que je dois me mettre devant Lui. Alors, je m’exécute rapidement en rectifiant ma position pour bien montrer à Celui à qui j’ai été cédé, que je souhaite Le satisfaire. Agenouillé, le buste bien droit afin que mes fesses ne touchent pas mes talons, mes genoux bien écartés, la tête baissée avec le regard au sol, les mains positionnées derrière mon dos l’une sur l’autre.

- esclave e7569MDE, tu m’appartiens dorénavant et entièrement et je vais te transformer, te métamorphoser en un bon esclave-chien obéissant… Pour cela, je vais tout d’abord te mettre à l’épreuve mais pas de la même manière que pute. Je veux être sûr que tu es capable de cela, capable d’être sous Mon Joug. Je te rappelle l’un de Mes principes fondamentaux : Ici, aucun esclave n’est retenu de force, le Château n’est pas une prison et donc chacun peut repartir tel qu’il est venu. Le cas échéant, je peux même lui offrir éventuellement un emploi dans l’une de Mes nombreuses entreprises. Mais s’il part, il ne pourra jamais revenir à Me pieds. Est-ce clair ? Tu as entendu esclave ?
- Oui Maître, j’ai bien conscience de cela. Et je mesure ainsi mieux la chance d’être sous Votre Joug.
- Tout d’abord, je vais te séquestrer pendant un certain temps, afin que tu puisses mûrement réfléchir encore plus à ton avenir, à ce que tu étais, à ce que tu es devenu et ce que tu souhaites devenir dans Mon Cheptel. A la fin de ce temps de réflexion nécessaire, si tu es décidé à vivre pleinement ta condition servile, ta propre Nature soumise, je veux que tu sortes encore plus déterminé, encore plus décidé dans tes convictions. Pendant ce temps, dont Seul je déterminerai la durée, je te mets entre les mains d’un de Mes esclaves confirmé et qui m’est totalement dévoué évidemment. C’est un esclave de grande expérience, que même mes amis m’empruntent souvent pour former leurs propres esclaves Il se nomme esclave Matthieu MDE… Il te fera découvrir jusqu’où peut aller la déchéance, l’humiliation, l’avilissement le plus totale, la perte de ton ‘moi’ en le donnant entièrement au Maître à qui tu appartiens, dans l’abandon et la pleine confiance. Il te fera prendre conscience, mieux que quiconque à part Moi, que désormais tu vis uniquement pour Me satisfaire et que rien au monde est et sera le plus important, c’est et se sera chaque jour le seul et unique objectif le plus absolu de ton existence… Le Maître, Moi Marquis d’Evans, je veux cela sincèrement et véritablement pour Mon Seul Plaisir. Bien entendu, mais aussi pour le tien, te conduire vers ton épanouissement, la jubilation, le bien-être d’appartenir, la perfection dans ta soumission totale, celle de l’esclave car Me satisfaire t’apportera cet inouï bien-être, cette plénitude totale grâce à ton lâcher-prise le plus engagé et nécessaire à ton équilibre mental...

J’avale ma salive, Ses mots sont forts, choisis à la perfection, dits avec un calme parfait et une profonde conviction certaine, dits avec une telle évidence affichée sans détour, dits dans un parler clair et direct ne laissant place à aucune ambiguïté. Ses mots, je les bois avec gourmandise, je les dévore un par un, je les savoure tel un poème de Rimbaud et je les imprime dans mon petit crâne. Et plus je l’écoute attentivement, plus je souhaite plus que tout, déjà, les mettre en pratique. Je fais de plus en plus confiance au Maître, qui Me parait, certes, intransigeant dans Ses Exigences, mais aussi Juste et Exemplaire dans Son comportement digne d’un Grand Maître d’une telle Envergure. Je prends conscience qu’à Ses pieds, j’entre dans la cour des Grands, que j’entre dans une autre catégorie de Dominants, celle de la parfaite maîtrise. Alors, je désire plus que tout aussi me plier à Ses Volontés intimes, sincères, authentiques, à Ses Directives et Exigences bien définies, même les plus perverses, des plus banales aux plus extrêmes. Et donc je souhaite vraiment être sien, totalement à Lui, je le souhaite plus que tout. Et ce puissant désir d’appartenance la plus absolue, est avec lucidité, bien plus qu’intuitif ou instinctif car ce que je ressens, là, à être à Ses pieds en ce moment, je ne l’avais jamais ressenti de toute ma misérable vie...

En effet je n’avais ressenti cette Force tranquille, la Puissance de Son regard hypnotique, la force de Sa voix envoûtante, la prestance de Sa Présence, et comme déjà dit, Son Charisme et Sa Dominance naturelle. Tout cela devient, de fait, d’une telle Evidence à être tout à Lui. Je constate avec une incomparable paix intérieure qui m’irradie de délicieux frissons qu’être en Sa Présence retire tout doute, tout questionnement, toute futilité. En quelques minutes, je suis dépouillé de toutes craintes inutiles, Seule Son évidente Présence m’importe désormais… Et je ne ressens pas tout cela comme si j’étais ensorcelé de sortilèges d’un quelconque guru, mais simplement parce que j’ai compris avec lucidité, réalisme que j’ai trouvé, enfin un Maître digne de ce nom, que je me trouve en face d’un Maître d’une exceptionnelle et parfaite maîtrise de l’Art de la Domination/soumission. Et si la vie de chacun réserve des rencontres au cours de l’existence, je sais désormais que je ne viens pas de faire une rencontre, mais La Rencontre. Celle qui va changer ma vie… Alors c’est le cœur battant la chamade avec cette puissante émotion sans égale qui vous prend aux tripes, et conscient de ce moment historique pour vivre ma servilité naturelle, que je Lui balbutie ces mots :
- Oui … Maî… Maître … je … je suis si … si ému … je Vous… je Vous appartiens… je … sais qu’entre Vos mains, je … vais devenir … ce que je suis véritablement au plus profond de moi … un esclave. … Je Vous … donne mon entière confiance … Je Vous … donne mon misérable corps et mon esprit. … je ne possède plus rien. … tout est à Vous… Faites de moi ce qui Vous plaira. … et je ferai tout. … pour Vous donner pleine satisfaction…
Monsieur le Marquis fait résonner de nouveau Sa sonnette mais deux fois de suite… Dans les secondes qui suivent un corps humain entre, un esclave sûrement car il est quasiment nu, il ne porte qu’un collier et une cage de chasteté. Il a deux piercings ou plutôt ce sont deux anneaux, soit un à chacun de ses petits tétons à la poitrine. De sa cage fixée à ses couilles enfermant sa servile nouille, part de chaque côté une ceinture lui entourant ainsi la taille et facilitant le maintien profond d’un plug anal… Cet esclave mâle se prosterne aux pieds du Maître et sur Son ordre se relève et se positionne en « écoute » agenouillé, buste droit, tête baissée et mains derrière le dos.

- esclave Matthieu MDE, je te présente e7569MDE qui souhaite rejoindre mon harem d’esclaves mâles… Qu’en penses-tu ?

esclave Matthieu MDE tourne autour de moi, passe ses doigts sur ma langue, ausculte attentivement ma dentition puis soulève ma nouille et soupèse mes couilles tout en me masturbant quelques secondes en faisant reculer le prépuce de mon sexe.

- Maître, si moi simple esclave peut se permettre d’exprimer un sentiment, je trouve qu’esthétiquement ce chien correspond à Vos catégories, par exemple ses couilles sont bien pendues et assez basses, en revanche son prépuce est un peu long et ne correspond pas exactement à Vos mensurations préférées pour Vos Exigences, mais il faudra juger ses autres capacités, son potentiel à ce qu’il prétend devenir, son aptitude totale à Vous servir, sa capacité à la plus complète servilité, vérifier son acceptation à l’avilissement le plus extrême… Bref, vérifier s’il a bien l’étoffe du véritable esclave, seule garantie à mériter d’avoir l’exceptionnelle chance de se rester à Vos pieds…- En effet, esclave Matthieu MDE, j’en suis bien conscient, ayant fait le même diagnostique. Aussi descends-le dans le cachot des nouveaux. Une couverture, un sceau et une gamelle avec de l’eau… En journée, une chaîne scellée au mur et accrochée à son collier, le soir il sera enchaîné sur le plateau servant de lit…Aucune parole ne doit sortir de ses lèvres… Il devra obéir à toutes Mes exigences que je t’aurai communiquées au préalable.
- Très bien Maître.
- Remplace-lui son collier métallique par un simple collier en cuir de bondage. Et emmène-le… Tu reviendras ensuite pour que je te donne Mes ordres à son sujet.
- Très bien Maître.

esclave Matthieu MDE me fait signe de le suivre à quatre pattes, j’emboite son pas tel un animal de compagnie. Nous descendons dans les caves, via d’étroits et d’abrupts escaliers de pierre en colimaçon. La descente est raide et glissante sur cette pierre froide et nous évoluons doucement. Quand enfin nous sommes arrivés en bas, esclave Matthieu MDE ouvre une lourde et massive porte aux gonds grinçants pour ensuite pénétrer tout d’abord dans une très spacieuse et longue salle voûtée en pierre de taille et je comprends que nous sommes dans le chai du Château. Des centaines de tonneaux parfaitement entreposés et alignés de chaque côté. Sur chacune des clefs de voûte le même blason de la Famille des Evans représenté par deux lions d’or dressés sur leurs pattes avant et reposant sur un entrelacement de feuilles de vignes encadrant un écu de gueule et couronné d’or comportant St-Georges terrassant un dragon aux yeux effarouchés. Nous traversons l’allée centrale et un furtif coup d’œil sur les volumineux tonneaux de vins de chaque côté de l’allée me fait constater que les meilleurs Beaujolais de renommée mondiale dorment dans ces fûts de chêne.

Ensuite nous arrivons dans une première salle prolongeant le chai, dont l’accès est de nouveau possible par une autre vieille porte massive, mais cette fois aux gonds parfaitement huilés. Nous la franchissons et cette salle, que je découvre, est éclairée par des lumières indirectes, comportant de nombreux sièges et banquettes, des tables d’auscultation munies de chaînes et de sangles, des poufs équipés de la même façon, des fauteuils de gynécologie, des poteaux avec des anneaux et des chaînes, des croix de Saint André, des poutres et des chaînes suspendues, et tout autour des étagères remplies de plugs, godes, martinets, fouets, paddles, etc… Cette lumière tamisée crée une ambiance feutrée, ajoutée à la décoration d’obscènes et nombreux tableaux de scènes de la mythologie grecque en situations purement pornographiques, comme par exemple un tableau qui me marque tout particulièrement, celui où je reconnais distinctement Priape au gros membre visible enculant un esclave mâle attaché sur une table de marbre blanc…
- L’un des nombreuses salles de séances D/s de Monsieur le Marquis, se contente de dire Matthieu, sans s’arrêter
Nous franchissons de nouveau une porte et continuons dans un couloir étroit éclairé par des veilleuses au plafond qui s’éclairent à notre passage. De chaque côté tous les 3 mètres, il y a des portes en bois munies d’œilleton, de trappe au sol et d’épais verrous. esclave Matthieu MDE ouvre l’une des portes portant gravée une inscription : ‘Cachot N°12’.

- Ton lit, ton sceau pour tes besoins, la gamelle d’eau fixée au sol, ta couverture. Le cachot est propre, alors à toi de le garder dans cet état. Couche-toi sur le dos que je t’attache à la chaîne.

J’obtempère à l’ordre donné fermement mais sans aucune agressivité. Il me retire alors mon collier matricule et met à la place un collier en cuir avec 4 anneaux, me fixe des bracelets en cuir aux poignets et aux chevilles. Il attrape ensuite une chaine accrochée à un épais anneau scellé au mur et me l’accroche à un des anneaux de mon nouveau collier. Je suis comme un chien animal attaché en laisse à sa niche, limitant le déplacement à la longueur de la chaîne. Ma nouille est au garde à vous tandis que la sienne je l’imagine rester pendante emprisonnée dans sa cage…
- Tu devras apprendre à bander que sur exigence. Je pense que tu seras puni pour cela… le Maître en décidera.

J’avais envie de converser avec lui… mais je me suis rappelé la stricte directive de Monsieur le Marquis de me taire… Après m’avoir écarté les jambes, il fixe mes chevilles de chaque côté de la planche qui fait guise de lit puis les poignets à mon collier qui, ce dernier et pour rappel, est fixée à une chaîne fixée au mur. Il dispose la couverture sur moi, fait demi-tour, ferme la porte sans ne me dire aucun mot, sans ne m’adresser aucun regard… Je suis dans le noir le plus complet, incapable de bouger… Alors dans ce silence absolu, je repense à tout ce qui était arrivé depuis ce matin… mon départ avec celui que j’appelai « maître Pierre », pardon je dois dire désormais « pute » maintenant… le voyage et l’arrivée dans cet immense et luxueux Château.… la découverte de la véritable identité soumise de … « pute » qui est aux antipodes de la domination… la découverte et donc cette véritable Révélation, du Maître, à qui j’appartiens désormais, par… Sa Présence si forte et marquante, Son Autorité innée tant dans Sa Voix autoritaire mais dans un calme quasi glacial, Son regard perçant, scrutant l’âme, via Ses yeux bleus hypnotiques qui vous impressionnent et qui semblent vous sonder jusqu’au très fond de vous-même…(Ai-je ou dois-je encore avoir un moi-même ?) … la signature de ma déchéance… l’attitude d’esclave Matthieu MDE obéissant à la lettre aux Exigences du Maître et sans aucun état d’âme… sauf peut-être celui de sa totale et absolue obéissance au Maître… Cette salle de D/s traversée, magnifique et au combien excitante, je dois l’avouer… et enfin ce cachot sans la moindre lumière… aucun repère… dans cette position attachée et dans la nudité la plus complète… Les minutes passent, les heures peut-être, je n’arrive pas à dormir et malgré moi, je ne peux que constater que je bande sans pouvoir maitriser mon érection des plus envahissante… Je sais alors que je suis à ma place … Que cette érection me rappelle que je suis en train de vivre, de ressentir ma propre Nature servile…
(A suivre …)