La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1470)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-04-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1470)
esclave 976-038-936 au Château – (suite de l'épisode N°1462) -
Je suis animalisé et j’avoue que j’en éprouve une véritable excitation mettant en exergue mes pulsions serviles … Ayant terminé ma pitance, même si j’ai un peu de mal pour manger directement dans une gamelle, mais il faut que je m’y habitue si le Maître veut continuer à me considérer pour ce que je suis véritablement, c’est à dire un bon chienchien servile et obéissant…. Cette considération animalisée et exprimée par Monsieur le Marquis est même un grand honneur qu’Il daigne m’accorder car Il m’a appelé le chien. Est-ce le nom auquel je dois répondre ? Est-ce seulement la désignation d’une espèce animale ?… Non, le Maître m’a fait comprendre, avec réalisme que c’est bien plus que cela, qu’en fait, un soumis servile de ma catégorie, ce n’est pas juste un nom de chien, c’est être un chien, c’est-à-dire, se comporter comme tel, à être dressé, éduqué, obéir à donner la papatte par exemple, si le Maître l’exigeait. A se déplacer en quadrupédie, à être tenu et mené en laisse, à uriner en levant la patte arrière contre un arbre, à ramener la baballe s’il me la lance, à espérer au susucre s’Il estime que je le mérite avec une caresse affectueuse sur mon cuir chevelu, bref c’est plus qu’un comportement canin qu’il faut avoir, c’est ressentir être cet animal domestiqué et uniquement pour le bien-être du Maître.
Ainsi le Châtelain me fait comprendre que seule Sa satisfaction compte et pas la mienne. Qu’un chien dominé n’a pas à être insatisfait de son sort ou de sa condition. Car être ainsi, insatisfait, serait de fait rechercher la satisfaction pour moi-même. Et la seule et unique satisfaction que ma condition servile m’autorise à rechercher, à obtenir avant toute chose est la Sienne et surtout pas pour la mienne, mais bien pour la Sienne … Comprendre cela, c’est comprendre, ce que c’est véritablement être un chien … Comprendre cela, c’est comprendre, ce que c’est véritablement être un chien … Par ailleurs, comment devrais-je appeler Monsieur Walter lorsque j’aurai l’autorisation de parler à nouveau, car c’est bien lui le Majordome. Ce n’est le Maître, mais son fidèle bras droit apparemment et donc il me semble logique de l’appeler Monsieur ou Monsieur Walter... Je reprends mon travail ordonné par le Noble et je vais essayer de m’appliquer pour l’orthographe. Bien sûr pour éviter les coups de fouets qui doivent faire mal, voire très mal, surtout que je n’y suis pas habitué, mais surtout pour ne pas déplaire au Maître à qui j’appartiens et qui fait tout pour m’aider dans ma déshumanisation à ressentir et donc ce que je commence à percevoir au plus profond de moi-même… Mais aussi de ne pas risquer de faire abîmer le corps qui Lui appartient et que je suis chargé d’entretenir en bon état pour Sa satisfaction… Je vais donc raconter, écrire au Maître mes premières aventures dans le milieu de la Domination/soumission :
‘‘ Cela remonte déjà à plusieurs années. J’ai rencontré le premier Maître qui a commencé mon dressage sur un site internet. Après quelques échanges, il me convoque chez lui. Les conseils que j’avais lu ci-et-là sur internet recommandaient aux soumis de ne pas recevoir, par prudence. Donc convoqué chez lui à 15h00, arrivé au bas de son immeuble, plusieurs minutes en avance… J’ai attendu qu’il soit l’heure de la convocation pour sonner à l’interphone.
- 3° étage porte gauche, tu prends l’escalier, l’ascenseur ne t’est pas autorisé.
La porte de l’immeuble s’ouvre, je monte les trois étages et sonne à la porte indiquée.
- Entre- Bonjour… Mons…- Maître.
- Bonjour Mon Maître.
Une vive claque qui fuse… Je suis un peu surpris…
- Je ne t’appartiens pas, tu dis Maître et quand tu parles de moi, tu dis Le Maître.
- Oui Maître, répondant rouge de confusion
Je me mets de suite à genoux et m’incline respectueusement.
- A poils, plis tes vêtements correctement, et mets ce bandeau sur tes yeux. Et attends.
Excité, je m’empresse de me déshabiller… être nu chez quelqu’un que l’on connaît que par internet, c’est assez perturbant… Mais il faut passer par là pour assouvir mes tendances serviles… Nu, je me positionne comme je l’ai vu décrit sur de nombreux sites : Les mains au niveau des reins, les jambes écartées, le buste droit, la tête baissée. Je patiente quand j’entends des voix… Le Maître n’est pas seul… J’hésite à me rhabiller en vitesse et repartir mais Maître à ce moment-là me passe un collier autour du cou et me tire derrière lui, au bout d’une laisse… Il va doucement, m’indique de faire attention pour ne pas tomber, ayant toujours mon bandeau sur les yeux… Visiblement, il prend soin de moi, cela me met en confiance... Nous tournons à droite, nous entrons dans une autre pièce.
- Reprends la position que tu as prise à l’instant…
J’obtempère, bien évidemment. Et là, j’entends le Maître parler à une autre personne :
- Qu’est-ce que tu en penses ?
- Pas mal… mais ses poils le font te ressembler… - Oui je suis d’accord avec toi, l’esclave ne peut ressembler au Maître qui le possède.
La voix du Maître vient de devant moi et celle de l’autre homme de derrière… Le Maître m’interroge, sur mes mensurations, il les vérifie lui-même avec un mètre en ruban, puis me questionne sur mon expérience…
- Aucune Maître c’est la première fois, lui réponds-je…- Très bien, il faut que je te dresse alors…- Oui…
Je prends une violente claque sur le cul…
- Quand tu t’adresses au Maître, tu dois dire Maître à chaque fois, dit l’homme…- Oui Maître
Une nouvelle claque toute aussi forte…
- Je ne suis pas le Maître. Quand tu t’adresses à moi, tu dis Monsieur, me rétorque l’homme qui est derrière moi
Je suis un peu perdu…
- Oui Monsieur.
- Tu as déjà été enculé ?
- Non Maître et j’ai peur et Vous avez mis « non sodo » sur votre profil…- Oui en effet, je ne sodomise pas, mais rien ne m’empêche "de te faire sodomiser par un autre". Et ta peur ne rentre pas en compte pour moi… Si j’ai envie de faire baiser mon esclave, je le fais prendre que cela lui plaise ou non. Mais pour l’instant tu es en test, alors ton cul ne craint rien.
Les deux Dominants continuent à appréhender mon corps, à le scruter, l’analyser sous toutes les coutures. Mes tétons sensibles, ma bouche, mes couilles, mes fesses, la raie de mon cul, mon anus aussi est scruté alors que l’on écarte mes fesses… On me retourne du regard dans tous le sens …
- Tu as vu sa couille gauche, elle est énorme…- Oui en effet.
- Est-ce naturel ?
- Oui Mons…, Maître- Très bien elle pourra faire l’admiration de mes amis… Mais regarde … il commence à bander…- Désolé Maître- Son prépuce est très long regarde son gland reste caché…
Le Maître essaie de me décalotter le gland mais il se rend compte que c’est dur…
- S’il réussit mes tests je ferai améliorer cela- Oui tu as raison, un esclave n’exhibant pas son gland est mal apprécié.
Je suis, je pense, tout rouge de honte suite à ces manipulations, à ses remarques crues car je sens mes joues s’empourprer mais paradoxalement, je sens aussi mon excitation se développer…
- Pourquoi es-tu rouge ?
- J’ai honte- Tu n’as pas à avoir honte, mon chien est nu et je le caresse et je le décris et il n’est nullement honteux… Alors toi qui es-tu ? Un futur esclave alors tu ne seras pas plus considéré que mon chien et tu dois accepter ta nudité, tu dois perdre le sens de la pudeur, de la honte, de ton intimité que tu dois perdre…- Ouuuii Maître.
- A genoux, vient prendre connaissance de l’odeur du Maître, sens ma Verge, mes testicules que tu auras peut-être le privilège de lécher, de sucer… mais pas pour l’instant …
Bien entendu j’obtempère, je sniffe l’odeur de celui qui sera peut-être, si j’en suis digne le Maître qui me possèdera. Pendant que je m’imprègne de son odeur de mâle Dominant, je reçois des coups de martinet sur le cul… Maître me retient par une poigne ferme à mon bras après le premier coup pour éviter que je me dérobe au suivant… Cela surprend, mais je n’accepte pas trop mal la douleur… J’en compte 15…
- C’est bien, chaque fois que je te recevrai chez moi, tu recevras systématiquement des coups… pour te rappeler ton état… Redresses-toi…
Je reprends la position…
- Ton premier test est réussi… Tu reviens la semaine prochaine, même jour, même heure. D’ici là, tu auras épilé ton pubis, queue, couilles, ton buste et ton dos… Une façon de perte de ta virilité d’homme que tu n’as plus à exercer… Tu porteras avant de pénétrer dans mon immeuble, mais discrètement, un collier similaire à celui que tu portes actuellement… - Oui Maître…
Le Maître reprend la laisse et me raccompagne dans le couloir…
- Maintenant, dégage…
L’homme me laisse, je retire le bandeau, retire le collier, me rhabille, et je m’en vais…’’
J’ai à peine terminé cette dernière ligne narrant ma première rencontre d’une expérience avec un Maître, que Monsieur Walter rentre et m’ordonne de me coucher… Les heures ont passé très vite… Est-ce que Monsieur le Marquis veut me faire perdre la notion du temps ? Un esclave doit-il avoir cette notion ? Le Noble, semble-t-il, a lui Seul la possibilité de gérer Son temps… L’esclave, lui, n’a pas à s’en soucier… Il obéit… le Maître sait ce qui est bien pour que le soumis esclave donne le maximum de lui-même pour procurer le plaisir aux Dominants. J’obéis, mais je n’ai pas eu le temps de faire mes vidanges… Attaché sur la banquette, dans l’impossibilité de me lever. Monsieur Walter prend les feuilles écrites dans la journée et sans un mot, ni un regard, il sort après avoir éteint la lumière et fermé la porte derrière lui...
(A suivre …)
Je suis animalisé et j’avoue que j’en éprouve une véritable excitation mettant en exergue mes pulsions serviles … Ayant terminé ma pitance, même si j’ai un peu de mal pour manger directement dans une gamelle, mais il faut que je m’y habitue si le Maître veut continuer à me considérer pour ce que je suis véritablement, c’est à dire un bon chienchien servile et obéissant…. Cette considération animalisée et exprimée par Monsieur le Marquis est même un grand honneur qu’Il daigne m’accorder car Il m’a appelé le chien. Est-ce le nom auquel je dois répondre ? Est-ce seulement la désignation d’une espèce animale ?… Non, le Maître m’a fait comprendre, avec réalisme que c’est bien plus que cela, qu’en fait, un soumis servile de ma catégorie, ce n’est pas juste un nom de chien, c’est être un chien, c’est-à-dire, se comporter comme tel, à être dressé, éduqué, obéir à donner la papatte par exemple, si le Maître l’exigeait. A se déplacer en quadrupédie, à être tenu et mené en laisse, à uriner en levant la patte arrière contre un arbre, à ramener la baballe s’il me la lance, à espérer au susucre s’Il estime que je le mérite avec une caresse affectueuse sur mon cuir chevelu, bref c’est plus qu’un comportement canin qu’il faut avoir, c’est ressentir être cet animal domestiqué et uniquement pour le bien-être du Maître.
Ainsi le Châtelain me fait comprendre que seule Sa satisfaction compte et pas la mienne. Qu’un chien dominé n’a pas à être insatisfait de son sort ou de sa condition. Car être ainsi, insatisfait, serait de fait rechercher la satisfaction pour moi-même. Et la seule et unique satisfaction que ma condition servile m’autorise à rechercher, à obtenir avant toute chose est la Sienne et surtout pas pour la mienne, mais bien pour la Sienne … Comprendre cela, c’est comprendre, ce que c’est véritablement être un chien … Comprendre cela, c’est comprendre, ce que c’est véritablement être un chien … Par ailleurs, comment devrais-je appeler Monsieur Walter lorsque j’aurai l’autorisation de parler à nouveau, car c’est bien lui le Majordome. Ce n’est le Maître, mais son fidèle bras droit apparemment et donc il me semble logique de l’appeler Monsieur ou Monsieur Walter... Je reprends mon travail ordonné par le Noble et je vais essayer de m’appliquer pour l’orthographe. Bien sûr pour éviter les coups de fouets qui doivent faire mal, voire très mal, surtout que je n’y suis pas habitué, mais surtout pour ne pas déplaire au Maître à qui j’appartiens et qui fait tout pour m’aider dans ma déshumanisation à ressentir et donc ce que je commence à percevoir au plus profond de moi-même… Mais aussi de ne pas risquer de faire abîmer le corps qui Lui appartient et que je suis chargé d’entretenir en bon état pour Sa satisfaction… Je vais donc raconter, écrire au Maître mes premières aventures dans le milieu de la Domination/soumission :
‘‘ Cela remonte déjà à plusieurs années. J’ai rencontré le premier Maître qui a commencé mon dressage sur un site internet. Après quelques échanges, il me convoque chez lui. Les conseils que j’avais lu ci-et-là sur internet recommandaient aux soumis de ne pas recevoir, par prudence. Donc convoqué chez lui à 15h00, arrivé au bas de son immeuble, plusieurs minutes en avance… J’ai attendu qu’il soit l’heure de la convocation pour sonner à l’interphone.
- 3° étage porte gauche, tu prends l’escalier, l’ascenseur ne t’est pas autorisé.
La porte de l’immeuble s’ouvre, je monte les trois étages et sonne à la porte indiquée.
- Entre- Bonjour… Mons…- Maître.
- Bonjour Mon Maître.
Une vive claque qui fuse… Je suis un peu surpris…
- Je ne t’appartiens pas, tu dis Maître et quand tu parles de moi, tu dis Le Maître.
- Oui Maître, répondant rouge de confusion
Je me mets de suite à genoux et m’incline respectueusement.
- A poils, plis tes vêtements correctement, et mets ce bandeau sur tes yeux. Et attends.
Excité, je m’empresse de me déshabiller… être nu chez quelqu’un que l’on connaît que par internet, c’est assez perturbant… Mais il faut passer par là pour assouvir mes tendances serviles… Nu, je me positionne comme je l’ai vu décrit sur de nombreux sites : Les mains au niveau des reins, les jambes écartées, le buste droit, la tête baissée. Je patiente quand j’entends des voix… Le Maître n’est pas seul… J’hésite à me rhabiller en vitesse et repartir mais Maître à ce moment-là me passe un collier autour du cou et me tire derrière lui, au bout d’une laisse… Il va doucement, m’indique de faire attention pour ne pas tomber, ayant toujours mon bandeau sur les yeux… Visiblement, il prend soin de moi, cela me met en confiance... Nous tournons à droite, nous entrons dans une autre pièce.
- Reprends la position que tu as prise à l’instant…
J’obtempère, bien évidemment. Et là, j’entends le Maître parler à une autre personne :
- Qu’est-ce que tu en penses ?
- Pas mal… mais ses poils le font te ressembler… - Oui je suis d’accord avec toi, l’esclave ne peut ressembler au Maître qui le possède.
La voix du Maître vient de devant moi et celle de l’autre homme de derrière… Le Maître m’interroge, sur mes mensurations, il les vérifie lui-même avec un mètre en ruban, puis me questionne sur mon expérience…
- Aucune Maître c’est la première fois, lui réponds-je…- Très bien, il faut que je te dresse alors…- Oui…
Je prends une violente claque sur le cul…
- Quand tu t’adresses au Maître, tu dois dire Maître à chaque fois, dit l’homme…- Oui Maître
Une nouvelle claque toute aussi forte…
- Je ne suis pas le Maître. Quand tu t’adresses à moi, tu dis Monsieur, me rétorque l’homme qui est derrière moi
Je suis un peu perdu…
- Oui Monsieur.
- Tu as déjà été enculé ?
- Non Maître et j’ai peur et Vous avez mis « non sodo » sur votre profil…- Oui en effet, je ne sodomise pas, mais rien ne m’empêche "de te faire sodomiser par un autre". Et ta peur ne rentre pas en compte pour moi… Si j’ai envie de faire baiser mon esclave, je le fais prendre que cela lui plaise ou non. Mais pour l’instant tu es en test, alors ton cul ne craint rien.
Les deux Dominants continuent à appréhender mon corps, à le scruter, l’analyser sous toutes les coutures. Mes tétons sensibles, ma bouche, mes couilles, mes fesses, la raie de mon cul, mon anus aussi est scruté alors que l’on écarte mes fesses… On me retourne du regard dans tous le sens …
- Tu as vu sa couille gauche, elle est énorme…- Oui en effet.
- Est-ce naturel ?
- Oui Mons…, Maître- Très bien elle pourra faire l’admiration de mes amis… Mais regarde … il commence à bander…- Désolé Maître- Son prépuce est très long regarde son gland reste caché…
Le Maître essaie de me décalotter le gland mais il se rend compte que c’est dur…
- S’il réussit mes tests je ferai améliorer cela- Oui tu as raison, un esclave n’exhibant pas son gland est mal apprécié.
Je suis, je pense, tout rouge de honte suite à ces manipulations, à ses remarques crues car je sens mes joues s’empourprer mais paradoxalement, je sens aussi mon excitation se développer…
- Pourquoi es-tu rouge ?
- J’ai honte- Tu n’as pas à avoir honte, mon chien est nu et je le caresse et je le décris et il n’est nullement honteux… Alors toi qui es-tu ? Un futur esclave alors tu ne seras pas plus considéré que mon chien et tu dois accepter ta nudité, tu dois perdre le sens de la pudeur, de la honte, de ton intimité que tu dois perdre…- Ouuuii Maître.
- A genoux, vient prendre connaissance de l’odeur du Maître, sens ma Verge, mes testicules que tu auras peut-être le privilège de lécher, de sucer… mais pas pour l’instant …
Bien entendu j’obtempère, je sniffe l’odeur de celui qui sera peut-être, si j’en suis digne le Maître qui me possèdera. Pendant que je m’imprègne de son odeur de mâle Dominant, je reçois des coups de martinet sur le cul… Maître me retient par une poigne ferme à mon bras après le premier coup pour éviter que je me dérobe au suivant… Cela surprend, mais je n’accepte pas trop mal la douleur… J’en compte 15…
- C’est bien, chaque fois que je te recevrai chez moi, tu recevras systématiquement des coups… pour te rappeler ton état… Redresses-toi…
Je reprends la position…
- Ton premier test est réussi… Tu reviens la semaine prochaine, même jour, même heure. D’ici là, tu auras épilé ton pubis, queue, couilles, ton buste et ton dos… Une façon de perte de ta virilité d’homme que tu n’as plus à exercer… Tu porteras avant de pénétrer dans mon immeuble, mais discrètement, un collier similaire à celui que tu portes actuellement… - Oui Maître…
Le Maître reprend la laisse et me raccompagne dans le couloir…
- Maintenant, dégage…
L’homme me laisse, je retire le bandeau, retire le collier, me rhabille, et je m’en vais…’’
J’ai à peine terminé cette dernière ligne narrant ma première rencontre d’une expérience avec un Maître, que Monsieur Walter rentre et m’ordonne de me coucher… Les heures ont passé très vite… Est-ce que Monsieur le Marquis veut me faire perdre la notion du temps ? Un esclave doit-il avoir cette notion ? Le Noble, semble-t-il, a lui Seul la possibilité de gérer Son temps… L’esclave, lui, n’a pas à s’en soucier… Il obéit… le Maître sait ce qui est bien pour que le soumis esclave donne le maximum de lui-même pour procurer le plaisir aux Dominants. J’obéis, mais je n’ai pas eu le temps de faire mes vidanges… Attaché sur la banquette, dans l’impossibilité de me lever. Monsieur Walter prend les feuilles écrites dans la journée et sans un mot, ni un regard, il sort après avoir éteint la lumière et fermé la porte derrière lui...
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