La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1484)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1484)
esclave 976-038-936 au Château – (suite de l'épisode N°1480) -
… j’ai du mal à m’endormir…mais y arrive tout de même… Quand Monsieur Walter entre à nouveau… quel temps s’est-il passé ? Une heure ?, dix heures ? Je n’ai plus la notion du temps. Le Maître, j’en suis sûr, veut que j’apprenne à perdre cette notion du temps pour me soumettre totalement. Le temps ne doit plus être important pour l’esclave… il fait ce qu’il doit faire quand on lui dit de le faire … oui les heures, les jours, la journée, mois, années n’ont plus d’importance, l’esclave agit, il obéit… Après avoir traversé le spacieux chai aux mille bouteilles de meilleurs crus millésimés, Monsieur Walter comme à l’accoutumé me mena dans une salle pour me flageller. Mais cette fois ci, des cris, des gémissements, des sifflements de lanières se firent distinctement entendre… Monsieur Walter me dit :
- Cette chienne et ce chien ont joui avant d’en avoir eu l’autorisation pendant leur entraînement à la maîtrise de leurs pulsions animales et primitives … Le Maître les faisait s’entraîner à la copulation torride et bien sûr avec interdiction de jouir afin qu’ils progressent à résister à l’orgasme... Ils ont fauté, sans être capable de se retenir, alors ils sont punis.
Les deux soumis sanctionnés étaient suspendus cul à cul par les pieds, les jambes largement ouvertes, l’esclave mâle d’un côté et l’esclave femelle de l’autre côté. Les lanières de longs martinets fustigeant leur sexe et excitaient leur visible masochisme, l’érection du mâle était exhibée et la cyprine de la femelle dégoulinait le long de ses cuisses …
- En position sur ton tréteau le chien
Positionné ainsi, Monsieur Walter m’infligea mes coups réglementaires sous les gémissements de mon frère et sœur incapable de se maîtriser… Ensuite, le Majordome exigea que je m’approche en quadrupédie du sexe de la soumise esclave afin que je lui lèche sa cyprine. A quelques centimètre de la nouille dressée et décagée du soumis.
- Lèche cette chienne et elle n’a pas intérêt de jouir sous tes coups de langue, sinon cette punition n’aura pas été suffisante et je l’intensifierai sans hésiter. Et pendant que tu la lèches, tu branleras ce chien puni. Et lui aussi, il n’a pas intérêt à éjaculer entre tes doigts, sinon sa punition sera tout aussi intensifier… Exécution…
Alors je m’attelai du mieux possible avec ma langue à lécher d’abords l’intérieur des cuisses écartées de la soumise pour récupérer et avaler sa mouille coulante. Puis remontant doucement, j’arrivai devant ses lèvres intimes gonflées d’excitation au sexe parfaitement épilé… Après les avoir lécher avidement mais toujours aussi doucement de bas en haut et de haut en bas, je passais le bout de ma langue dans les parois de son vagin trempé alors que de ma main, j’empoignais l’épais membre dressé de l’esclave bandant pour le masturber également doucement… Je reçus quelques cinglants coups de cravaches durant ce temps alors que Monsieur Walter me lança :
- Le Maître à pleinement raison de les punir pour avoir aussi gravement fauté… Je n’ai aucune pitié pour eux, ils ont outragé le dressage du Maître, ils ont ce qu’ils méritent… Quant à toi, lèche et branle plus vite, tu es trop lent et je veux qu’ils ne jouissent pas alors qu’ils sont traités avec promptitude donc pas de mollesse sur leur sexe…
Alors, obéissant promptement, j’activais ma langue et ma main avec frénésie sous les coups de cravache sur mon cul et qui accentuaient ma propre rapidité à exécuter ce qui m’était exigé… Avec vigueur, mes doigts glissaient le long de cette hampe tandis que mon jeu de langue s’activait avec force et énergie. J’entendais alors la respiration de la femelle et du mâle s’accentuer grandement. Je ne souhaitais pas qu’ils soient plus amplement punis par la faute, si jamais ils succombaient à la jouissance à cause de mon traitement cadencé sur leur sexe respectif… Mais je ne faisais qu’obéir alors que mon propre fessier était déjà bien rougi sans ménagement … C’est alors que tout d’un coup je sentis une flaque de cyprine m’inonder le visage et pratiquement au même moment du sperme souiller mes doigts devenus poisseux… J’avais donc fait jouir des deux esclaves punis et je me doutais que leur sanction allait empirer. C’est ce qu’il se produisit sous mes yeux… Ils reçurent pour chacun d’eux, de vifs coups de fouets après que j’eus pour obligation de lécher leur jouissance, cyprine et sperme dégoulinant… Quant à moi, je fus ramené dans ma cellule sans commentaires du Majordome à mon sujet… De retour dans celle-ci et suite le départ de Monsieur Walter, après avoir mangé ma pâtée et bu dans mon autre gamelle, j’attrapais les feuilles de papier apportées par le Majordome et repris ma narration écrite où j’en étais resté la veille au soir, pour me mettre à écrire ceci :
‘‘ Viens entre mes jambes, je veux voir ce dont tu es capable…
Je me relève un peu et c’est à quatre pattes que je me positionne entre les jambes de celui qui deviendra le Maître.
- A genoux, tiens-toi droit, les mains posées l’une sur l’autre au niveau de tes reins, écartes tes genoux au maximum… Voilà c’est la position « Ecoute » quand tu seras à mes côtés. Habituellement tu ne me regardes, jamais dans les yeux, tu dois avoir la tête baissée en signe d’humilité et de servitude, mais cette fois regarde-moi, je veux voir tes yeux pendant que je vais définir certaines choses avec toi…
Je découvre donc enfin le visage du Maître : Cheveux blancs, de magnifiques yeux bleus qui vous pénètrent totalement et au fond de vous-même. C’est impressionnant de se retrouver ainsi, impuissant, soumis à un Maître si impressionnant.
- Pour l’instant tu me satisfais, tu as accepté d’être examiné par moi et par un de mes amis, j’ai donc apprécié ta docilité… Je travaillerai aussi à te faire perdre le sens de la pudeur.
- Merci Maître- Ton deuxième test est également concluant, tu as accepté sans recul d’être exposé à côté d’un de mes esclaves, ton corps nu a accepté la cire et même mieux que mon esclave car sache que j’aime utiliser ce produit sur mes animaux parlants...
- Merci Maître.
- Pour moi et pour tous les Maîtres qui se respectent, un soumis est une personne humaine qui se sent, et qui est au fond de son être, en dépendance d’un autre. C’est un être qui souhaite s’abandonner à un Dominateur pour lui donner du plaisir et cela reste pour lui l’ultime plaisir. Est-ce bien ton cas ?
- Oui Maître, depuis toujours j’ai souhaité et je fais de mon mieux pour satisfaire les autres, pour qu’ils prennent du plaisir et en vous faisant cette demande de m’accepter comme esclave, c’est un pas de plus dans l’accomplissement de vivre comme je suis, ce que je suis, un soumis.
- Très bien. Cela va te demander beaucoup de renoncements, peut-être de souffrances, d’humiliations, de travaux, etc… Tu en as conscience ?
- Oui Maître, je sais Maître et je sais également que Vous m’y aiderez- Ton corps m’appartiendra, je le modèlerai, je le transformerai, je le ferai à ma convenance. Ton être tout entier m’appartiendra, je le formaterai. Et hormis ta vie vanille que je respecterai toujours, tu devras vivre, pour moi, tu seras ma chose.
- Oui Maître, je le souhaite.
- Très bien…Alors, va dans la baignoire, retire tes décorations en cire, nettoie la baignoire et attend-y dedans et assis.
J’obéis promptement, je découvre la salle de bain, monte dans la baignoire et fais tomber la cire, puis ramasses les morceaux de cire refroidie et les place dans la poubelle. Ensuite, je m’installe assis dans la baignoire et j’attends. Cela me donne le temps de penser à ce que le Maître vient de me dire… Il a deviné ma personne et semble attentif et respectueux… Je me sens bien avec lui, je pense que c’est l’essentiel pour faire confiance et lâcher totalement prise.
- A quatre pattes…
J’obtempère. Le Maître ouvre l’eau de la douche et avec le pommeau et me mouille le corps, l’eau est froide, cela me fait contracter tout mon corps nu.
- Tu ne crois pas que j’utilise de l’eau chaud pour mes chiens tout de même, quand je les lave.
Et c’est ainsi qu’il me nettoie, savon, gant de crin (cela réchauffe), je pense que je rougis quand il me lave mes fesses et mon anus… je me contracte par réflexe…
- Laisse-toi faire, tu n’as plus aucune intimité, tout m’appartient, c’est bien cela que tu désires ?
- Oui Maître, mais c’est dur…- Je sais mais c’est pour ton bien. Tu ne crois pas qu’être soumis, c’est être dans un confort de facilité ?
Le Maître continue son lavage, me fait mettre sur le dos et, de même, tout passe au lavage, ma queue, qu’il appelle ma nouille, les couilles qu’il soulève pour frotter dessous…
- J’aime bien cette grosse nouille, elle me plait, je pense que mes amis apprécieront également quand je te présenterai à eux… debout que je te sèche …
Séchage de tout le corps, le Maître me laisse finir et me dit de le rejoindre au salon entre ses jambes. Bien sec, je retourne dans le salon à quatre pattes vers le Maître, je me positionne entre ses jambes. Il me fait me mettre à genoux en position « Ecoute »
- A tu déjà fais une fellation ?
- Non Maître- Alors je vais t’apprendre sur pièce.
- Merci Maître- Tout d’abord, tu vas découvrir ma Verge ou celle de celui à qui tu dois tirer une pipe. Lentement, c’est un cadeau que tu développes, un objet précieux, un objet de grande valeur,… Voilà c’est bien
J’ai dégagée la Verge du Maître, je n’ai pas à porter de jugement de valeur sur elle, elle est le membre viril de celui à qui je souhaite appartenir, je dois la respecter, la vénérer
- Maintenant, incline-toi devant-elle car c’est la première fois que tu la vois… embrasse là avec dévotion… Oui… Sens-là, imprègne-toi de son odeur, l’odeur du Maître… bien… Ta première mission est de la faire durcir, grossir et grandir à la faire se dresser… Utilise le bout de la langue pour lécher le gland… pas plus… Oui… le méat maintenant et le frein… recommence… ne te presse pas, vas-y lentement, fait lui apprécier ton travail…
J’écoute et mets en pratique ses recommandations
- C’est bien, la pute…
Immédiatement, je me mets à dire
- Je ne suis pas une pute… si c’est comme cela, je me barre…
Le Maître me saisit aux oreilles, me relève la tête et me donne une volée de gifle
- Donner un nom à un esclave doit être pris comme un honneur pour lui. Il est seulement comme tous les autres esclaves, une pute, une lope, un bâtard, une truie, un chien ou tout autre nom que je déciderai de te donner… Ce n’est pas du tout humiliant de ma part mais c’est plutôt un compliment de t’appeler ainsi comme pute…… Bien sûr, cela serai insultant pour les personnes qui ne sont pas de notre monde car elles l'entendraient comme tu viens de l’entendre.
- C’est vrai, Maître ? Je n’avais pas entendu cela pour un esclave de notre monde…- Oui ma petite pute…
Réconforté je reprends mon « taf », le gland du Maître dans ma bouche…
- Voilà, continue, doucement, sens ses palpitations, son grossissement, ne fais plus qu’un avec elle… Oh ! Ouii ! Sent comme elle envahit ta bouche, comme elle prend du volume possédant ta bouche de pute…Oui, c’est ça … lentement donne du plaisir, petit à petit enfonce la dans ta bouche… ressort sans arrêter de travailler avec ta langue… puis enfonce de nouveau… garde la bien au chaud… salive un maximum… et enfonce-la au plus profond… attention, tu vas avoir des hauts le cœur… Voilà c’est bien… Je te ferais travailler la gorge profonde… Si ta mâchoire commence à fatiguer, reprends le léchage ou occupe-toi de mes testicules, lèche-les, gobe-les… Oui c’est bien… continue comme cela… reprends ma verge… pompe…fais le vide dans ta bouche… Je vais prendre ta tête dans mes mains pour te donner le rythme que je veux que tu prennes pour rendre mon plaisir maximum…Ouiii… rassure toi pour cette première fois, je te jouirai pas dans la bouche…
Je m’applique dans mon travail d’esclave préposé au plaisir sexuel, ma bouche fatigue un peu lorsque… le Maître me repousse et :
- Oh ouiiiiiii, c’est bon… ouiiii …
En soufflant dans son extase, il déverse alors son sperme sur mon torse en de longs jets saccadés. C’est une première pour moi et je suis fier de mon travail qui a amené le Maître à une bonne jouissance… Je reste immobile entre ses jambes, recevant les dernières gouttes de son éjaculation…
- Fait entrer dans ton corps cette offrande que je viens de te faire, ma lope, imprègne toi de Ma semence.
Alors, je me masse le buste avec la semence du Maître. Après avoir terminé le Maître étant remis de son orgasme me fait positionner le ventre sur sa table basse…
- Avant de partir je te dois tes coups réglementaires avec ma ceinture cette fois
Puis le Maître me dit de rentrer chez moi, qu’il me contactera pour le troisième test…’’
(A suivre …)
… j’ai du mal à m’endormir…mais y arrive tout de même… Quand Monsieur Walter entre à nouveau… quel temps s’est-il passé ? Une heure ?, dix heures ? Je n’ai plus la notion du temps. Le Maître, j’en suis sûr, veut que j’apprenne à perdre cette notion du temps pour me soumettre totalement. Le temps ne doit plus être important pour l’esclave… il fait ce qu’il doit faire quand on lui dit de le faire … oui les heures, les jours, la journée, mois, années n’ont plus d’importance, l’esclave agit, il obéit… Après avoir traversé le spacieux chai aux mille bouteilles de meilleurs crus millésimés, Monsieur Walter comme à l’accoutumé me mena dans une salle pour me flageller. Mais cette fois ci, des cris, des gémissements, des sifflements de lanières se firent distinctement entendre… Monsieur Walter me dit :
- Cette chienne et ce chien ont joui avant d’en avoir eu l’autorisation pendant leur entraînement à la maîtrise de leurs pulsions animales et primitives … Le Maître les faisait s’entraîner à la copulation torride et bien sûr avec interdiction de jouir afin qu’ils progressent à résister à l’orgasme... Ils ont fauté, sans être capable de se retenir, alors ils sont punis.
Les deux soumis sanctionnés étaient suspendus cul à cul par les pieds, les jambes largement ouvertes, l’esclave mâle d’un côté et l’esclave femelle de l’autre côté. Les lanières de longs martinets fustigeant leur sexe et excitaient leur visible masochisme, l’érection du mâle était exhibée et la cyprine de la femelle dégoulinait le long de ses cuisses …
- En position sur ton tréteau le chien
Positionné ainsi, Monsieur Walter m’infligea mes coups réglementaires sous les gémissements de mon frère et sœur incapable de se maîtriser… Ensuite, le Majordome exigea que je m’approche en quadrupédie du sexe de la soumise esclave afin que je lui lèche sa cyprine. A quelques centimètre de la nouille dressée et décagée du soumis.
- Lèche cette chienne et elle n’a pas intérêt de jouir sous tes coups de langue, sinon cette punition n’aura pas été suffisante et je l’intensifierai sans hésiter. Et pendant que tu la lèches, tu branleras ce chien puni. Et lui aussi, il n’a pas intérêt à éjaculer entre tes doigts, sinon sa punition sera tout aussi intensifier… Exécution…
Alors je m’attelai du mieux possible avec ma langue à lécher d’abords l’intérieur des cuisses écartées de la soumise pour récupérer et avaler sa mouille coulante. Puis remontant doucement, j’arrivai devant ses lèvres intimes gonflées d’excitation au sexe parfaitement épilé… Après les avoir lécher avidement mais toujours aussi doucement de bas en haut et de haut en bas, je passais le bout de ma langue dans les parois de son vagin trempé alors que de ma main, j’empoignais l’épais membre dressé de l’esclave bandant pour le masturber également doucement… Je reçus quelques cinglants coups de cravaches durant ce temps alors que Monsieur Walter me lança :
- Le Maître à pleinement raison de les punir pour avoir aussi gravement fauté… Je n’ai aucune pitié pour eux, ils ont outragé le dressage du Maître, ils ont ce qu’ils méritent… Quant à toi, lèche et branle plus vite, tu es trop lent et je veux qu’ils ne jouissent pas alors qu’ils sont traités avec promptitude donc pas de mollesse sur leur sexe…
Alors, obéissant promptement, j’activais ma langue et ma main avec frénésie sous les coups de cravache sur mon cul et qui accentuaient ma propre rapidité à exécuter ce qui m’était exigé… Avec vigueur, mes doigts glissaient le long de cette hampe tandis que mon jeu de langue s’activait avec force et énergie. J’entendais alors la respiration de la femelle et du mâle s’accentuer grandement. Je ne souhaitais pas qu’ils soient plus amplement punis par la faute, si jamais ils succombaient à la jouissance à cause de mon traitement cadencé sur leur sexe respectif… Mais je ne faisais qu’obéir alors que mon propre fessier était déjà bien rougi sans ménagement … C’est alors que tout d’un coup je sentis une flaque de cyprine m’inonder le visage et pratiquement au même moment du sperme souiller mes doigts devenus poisseux… J’avais donc fait jouir des deux esclaves punis et je me doutais que leur sanction allait empirer. C’est ce qu’il se produisit sous mes yeux… Ils reçurent pour chacun d’eux, de vifs coups de fouets après que j’eus pour obligation de lécher leur jouissance, cyprine et sperme dégoulinant… Quant à moi, je fus ramené dans ma cellule sans commentaires du Majordome à mon sujet… De retour dans celle-ci et suite le départ de Monsieur Walter, après avoir mangé ma pâtée et bu dans mon autre gamelle, j’attrapais les feuilles de papier apportées par le Majordome et repris ma narration écrite où j’en étais resté la veille au soir, pour me mettre à écrire ceci :
‘‘ Viens entre mes jambes, je veux voir ce dont tu es capable…
Je me relève un peu et c’est à quatre pattes que je me positionne entre les jambes de celui qui deviendra le Maître.
- A genoux, tiens-toi droit, les mains posées l’une sur l’autre au niveau de tes reins, écartes tes genoux au maximum… Voilà c’est la position « Ecoute » quand tu seras à mes côtés. Habituellement tu ne me regardes, jamais dans les yeux, tu dois avoir la tête baissée en signe d’humilité et de servitude, mais cette fois regarde-moi, je veux voir tes yeux pendant que je vais définir certaines choses avec toi…
Je découvre donc enfin le visage du Maître : Cheveux blancs, de magnifiques yeux bleus qui vous pénètrent totalement et au fond de vous-même. C’est impressionnant de se retrouver ainsi, impuissant, soumis à un Maître si impressionnant.
- Pour l’instant tu me satisfais, tu as accepté d’être examiné par moi et par un de mes amis, j’ai donc apprécié ta docilité… Je travaillerai aussi à te faire perdre le sens de la pudeur.
- Merci Maître- Ton deuxième test est également concluant, tu as accepté sans recul d’être exposé à côté d’un de mes esclaves, ton corps nu a accepté la cire et même mieux que mon esclave car sache que j’aime utiliser ce produit sur mes animaux parlants...
- Merci Maître.
- Pour moi et pour tous les Maîtres qui se respectent, un soumis est une personne humaine qui se sent, et qui est au fond de son être, en dépendance d’un autre. C’est un être qui souhaite s’abandonner à un Dominateur pour lui donner du plaisir et cela reste pour lui l’ultime plaisir. Est-ce bien ton cas ?
- Oui Maître, depuis toujours j’ai souhaité et je fais de mon mieux pour satisfaire les autres, pour qu’ils prennent du plaisir et en vous faisant cette demande de m’accepter comme esclave, c’est un pas de plus dans l’accomplissement de vivre comme je suis, ce que je suis, un soumis.
- Très bien. Cela va te demander beaucoup de renoncements, peut-être de souffrances, d’humiliations, de travaux, etc… Tu en as conscience ?
- Oui Maître, je sais Maître et je sais également que Vous m’y aiderez- Ton corps m’appartiendra, je le modèlerai, je le transformerai, je le ferai à ma convenance. Ton être tout entier m’appartiendra, je le formaterai. Et hormis ta vie vanille que je respecterai toujours, tu devras vivre, pour moi, tu seras ma chose.
- Oui Maître, je le souhaite.
- Très bien…Alors, va dans la baignoire, retire tes décorations en cire, nettoie la baignoire et attend-y dedans et assis.
J’obéis promptement, je découvre la salle de bain, monte dans la baignoire et fais tomber la cire, puis ramasses les morceaux de cire refroidie et les place dans la poubelle. Ensuite, je m’installe assis dans la baignoire et j’attends. Cela me donne le temps de penser à ce que le Maître vient de me dire… Il a deviné ma personne et semble attentif et respectueux… Je me sens bien avec lui, je pense que c’est l’essentiel pour faire confiance et lâcher totalement prise.
- A quatre pattes…
J’obtempère. Le Maître ouvre l’eau de la douche et avec le pommeau et me mouille le corps, l’eau est froide, cela me fait contracter tout mon corps nu.
- Tu ne crois pas que j’utilise de l’eau chaud pour mes chiens tout de même, quand je les lave.
Et c’est ainsi qu’il me nettoie, savon, gant de crin (cela réchauffe), je pense que je rougis quand il me lave mes fesses et mon anus… je me contracte par réflexe…
- Laisse-toi faire, tu n’as plus aucune intimité, tout m’appartient, c’est bien cela que tu désires ?
- Oui Maître, mais c’est dur…- Je sais mais c’est pour ton bien. Tu ne crois pas qu’être soumis, c’est être dans un confort de facilité ?
Le Maître continue son lavage, me fait mettre sur le dos et, de même, tout passe au lavage, ma queue, qu’il appelle ma nouille, les couilles qu’il soulève pour frotter dessous…
- J’aime bien cette grosse nouille, elle me plait, je pense que mes amis apprécieront également quand je te présenterai à eux… debout que je te sèche …
Séchage de tout le corps, le Maître me laisse finir et me dit de le rejoindre au salon entre ses jambes. Bien sec, je retourne dans le salon à quatre pattes vers le Maître, je me positionne entre ses jambes. Il me fait me mettre à genoux en position « Ecoute »
- A tu déjà fais une fellation ?
- Non Maître- Alors je vais t’apprendre sur pièce.
- Merci Maître- Tout d’abord, tu vas découvrir ma Verge ou celle de celui à qui tu dois tirer une pipe. Lentement, c’est un cadeau que tu développes, un objet précieux, un objet de grande valeur,… Voilà c’est bien
J’ai dégagée la Verge du Maître, je n’ai pas à porter de jugement de valeur sur elle, elle est le membre viril de celui à qui je souhaite appartenir, je dois la respecter, la vénérer
- Maintenant, incline-toi devant-elle car c’est la première fois que tu la vois… embrasse là avec dévotion… Oui… Sens-là, imprègne-toi de son odeur, l’odeur du Maître… bien… Ta première mission est de la faire durcir, grossir et grandir à la faire se dresser… Utilise le bout de la langue pour lécher le gland… pas plus… Oui… le méat maintenant et le frein… recommence… ne te presse pas, vas-y lentement, fait lui apprécier ton travail…
J’écoute et mets en pratique ses recommandations
- C’est bien, la pute…
Immédiatement, je me mets à dire
- Je ne suis pas une pute… si c’est comme cela, je me barre…
Le Maître me saisit aux oreilles, me relève la tête et me donne une volée de gifle
- Donner un nom à un esclave doit être pris comme un honneur pour lui. Il est seulement comme tous les autres esclaves, une pute, une lope, un bâtard, une truie, un chien ou tout autre nom que je déciderai de te donner… Ce n’est pas du tout humiliant de ma part mais c’est plutôt un compliment de t’appeler ainsi comme pute…… Bien sûr, cela serai insultant pour les personnes qui ne sont pas de notre monde car elles l'entendraient comme tu viens de l’entendre.
- C’est vrai, Maître ? Je n’avais pas entendu cela pour un esclave de notre monde…- Oui ma petite pute…
Réconforté je reprends mon « taf », le gland du Maître dans ma bouche…
- Voilà, continue, doucement, sens ses palpitations, son grossissement, ne fais plus qu’un avec elle… Oh ! Ouii ! Sent comme elle envahit ta bouche, comme elle prend du volume possédant ta bouche de pute…Oui, c’est ça … lentement donne du plaisir, petit à petit enfonce la dans ta bouche… ressort sans arrêter de travailler avec ta langue… puis enfonce de nouveau… garde la bien au chaud… salive un maximum… et enfonce-la au plus profond… attention, tu vas avoir des hauts le cœur… Voilà c’est bien… Je te ferais travailler la gorge profonde… Si ta mâchoire commence à fatiguer, reprends le léchage ou occupe-toi de mes testicules, lèche-les, gobe-les… Oui c’est bien… continue comme cela… reprends ma verge… pompe…fais le vide dans ta bouche… Je vais prendre ta tête dans mes mains pour te donner le rythme que je veux que tu prennes pour rendre mon plaisir maximum…Ouiii… rassure toi pour cette première fois, je te jouirai pas dans la bouche…
Je m’applique dans mon travail d’esclave préposé au plaisir sexuel, ma bouche fatigue un peu lorsque… le Maître me repousse et :
- Oh ouiiiiiii, c’est bon… ouiiii …
En soufflant dans son extase, il déverse alors son sperme sur mon torse en de longs jets saccadés. C’est une première pour moi et je suis fier de mon travail qui a amené le Maître à une bonne jouissance… Je reste immobile entre ses jambes, recevant les dernières gouttes de son éjaculation…
- Fait entrer dans ton corps cette offrande que je viens de te faire, ma lope, imprègne toi de Ma semence.
Alors, je me masse le buste avec la semence du Maître. Après avoir terminé le Maître étant remis de son orgasme me fait positionner le ventre sur sa table basse…
- Avant de partir je te dois tes coups réglementaires avec ma ceinture cette fois
Puis le Maître me dit de rentrer chez moi, qu’il me contactera pour le troisième test…’’
(A suivre …)
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