La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1499)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1499) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-06-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1499)
La jeunesse d’Edouard d’Evans - 1 ère période : Etudiant, Monsieur le Marquis avait 20 ans - (suite de l'épisode précédent N°1498)-
- Lèche !…
Je m'exécutai naturellement sans attendre, sentant le goût du cuir sur ma langue. Je sentis que l'on fixait une laisse à mon collier d'esclave et je fus contraint de me redresser. J’étais debout, la tête baissée, face au corps nu de la belle Chloé dont mon regard pouvait voir les hautes bottes qu'elle avait donc passées. Sous le regard avisé et attentif du Châtelain confortablement installé dans un fauteuil du salon, la jeune femme me fit ainsi évoluer à sa suite, me tenant en laisse et n'hésitant pas à faire claquer sur ma peau, la badine qu'elle tenait maintenant à la place du paddle. J’évoluais d'abord sur les pieds, puis elle me fit remettre en quadrupédie me forçant à progresser ainsi le plus vite possible, motivant mes évolutions par de petits coups de badine sur ma croupe déjà tellement avivée par la séance de paddle… Tel un cheval mené par son écuyère, Chloé me faisait ainsi aller et venir à travers la pièce, interrompant parfois les allées et venues pour me faire prendre diverses positions aussi dégradantes et impudiques que possible, m'exposant le plus possible. Ainsi, je dus me tenir à genoux, les cuisses très largement écartées, les mains reposant sur mes cuisses, paumes vers le haut, offrant mon intimité encagée au frottement de son talon qui appuyait dessus sans ménagement. Puis, dans la même position, je dus lécher la semelle souillée de ses bottes, qu'elle vint ensuite frotter entre mes cuisses.... Elle me fit aussi prendre la position du chien qui pisse, la jambe, que dis-je, la patte levée en arrière, puis la position de la femelle qui pisse, accroupie mais avec les mains jointes sur mon crâne, etc…
Sur un geste du Noble qui contemplait ainsi Ses créatures totalement soumises à Sa Volonté, Chloé cessa et attendit, immobile de nouvelles instructions. La suite ne tarda pas. Remis debout, les pieds bien écartés, les mains jointes sur la nuque, je fus lentement décoré par une très grande quantité de pinces à linge de couleurs diverses. Tout mon corps nu était ainsi couvert de pinces, depuis mes parties intimes jusqu'à l'intérieur des bras, des cuisses, les petits plis du ventre, la moindre parcelle de peau accessible se vit ainsi dotée de son lot de pinces. Neuves, celles-ci avaient conservé toute leur force de pression. Et tandis que la pose se poursuivait, les premières pinces commençaient à mordre durement la peau. Une fois que des dizaines de pinces eurent ainsi été disposées, Le Maître vint rejoindre Sa soumise dévouée et contempla le résultat. Je n'osais relever les yeux que je conservai baissés dans la plus humble des attitudes. Le jeune Edouard d'Evans s'approcha et repositionna quelques pinces, en profitant pour jouer un peu de la pression et étirer notamment les tétons ainsi torturés, toute en soupesant ma cage de chasteté sous mes couilles enfermées… Le Maître sembla satisfait de la tension qu'Il venait de provoquer en moi et qu'Il avait pu ressentir malgré mes efforts pour demeurer immobile dans le divin supplice.

- Nous allons le laisser ainsi un moment, dit-il à la soumise qu'il enlaçait dans sa nudité offerte. Et je demeurai là, immobile, le corps parcouru de la morsure des pinces... Le Maître et Sa soumise quittant la pièce.

Je ne saurai dire combien de temps cela dura, mais je ne puis qu'entendre les gémissements sans retenue de Chloé subissant avec la plus totale impudeur les assauts répétés du Maître qui devait visiblement la besogner à grands coups de reins. Elle jouissait sans la moindre retenue, suppliant Le Maître de la prendre encore et encore ! La morsure des pinces se faisant à chaque instant plus profonde, j'avais du mal à suivre les ébats sexuels qui se déroulaient, supposai-je, dans la chambre de la jeune femme. Mais je compris que la belle femelle avait l'honneur d'être possédée sans limite par le jeune Marquis Edouard d'Evans, qui ne négligeait aucun de ses orifices qui naturellement ne sauraient avoir de devoir plus absolu que d'être offerts au Maître et de Lui procurer la plus totale Jouissance. Ce que fit avec enthousiasme soumise Chloé qui était manifestement prise au plus divers sens du terme... Longtemps après, donc, le Maître et Chloé revinrent dans la pièce où je subissais douloureusement la multiplication des pinces sur la quasi-totalité de mon corps nu.

- Il est temps de libérer ce chien de ces pinces, commenta le Maître. Et pour cela tu vas avoir besoin d'un autre instrument, dit-Il à Chloé, lui tendant maintenant une cravache. Tu vas t'appliquer à faire sauter les pinces une à une, poursuivit-Il. Il faut frapper juste, sèchement mais d'un petit coup pour faire sauter la pince, sinon elle se détache mal. Commence et sois précise, si une pince est mal détachée, nous la replacerons sur son corps... Allons, va !… Et toi, le chien, je ne pas t’entendre… Aucun son ne doit sortir de ta bouche de pute…
Reprenant place dans le fauteuil d'où Il pouvait contempler la scène dans son ensemble, le jeune Edouard d'Evans observait Sa soumise Chloé testant Son caractère dominant sur l'esclave que je suis, contraint à la plus passive servilité et grimaçant en silence sous la multitude de pinces colorées qui décoraient mon corps douloureusement tourmenté. Une érection commençait à poindre, tant cela m’excitait d’être ainsi malmené, mais elle fut réprimée par ma cage de chasteté et ainsi comprimait ma nouille qui tentait de gonfler de volume… Chloé bien que débutante me cravachait, moi simple esclave, avec une précision appliquée, elle faisait de son mieux afin que chaque coup de cravache fasse sauter une pince à la fois et une seule. Lorsque, par manque d'expérience une pince était mal détachée, la belle soumise s'approchait, enlevait la pince, ce qui fut très douloureux à chaque fois, et la replaçait ailleurs sur mon corps meurtri, puis elle regagnait sa place, levait la cravache et l'abattait à nouveau, visant au mieux une nouvelle pince...

L’exercice durait, s'éternisait, surtout pour moi qui supportait les pinces depuis un si long temps. Leur morsure devenait à peine supportable et les coups de cravache venant s'ajouter amplifiaient encore le sublime supplice qui aurait dû se traduire par une forte érection si ma nouille avait été libérée, ce qui n’était pas le cas. Difficile ainsi de conserver l'immobilité que l'on exige d'un esclave, quelles que soient les circonstances. Et à la douleur multipliée, s'ajoutait pour moi la crainte de mériter par la suite le juste courroux du Maître… Mais sans doute le Châtelain Dominant commençait-Il à se lasser du spectacle. Il se leva soudain et stoppa net le coup que Chloé s'apprêtait à m'infliger.

- Cela suffit. C'est bien, tu as été appliquée et pas trop maladroite. lui dit-Il tout en caressant son opulente poitrine dénudée. Mais tu dois aussi apprendre à fixer des limites. Certes un esclave n'a aucun droit, il n'est rien d'autre qu'un objet animé à la disposition des Supérieurs. Celui-ci M'appartient et je puis en user comme bon Me semble, autant que bon Me semble. Il n'a rien à dire, aucune opinion à exprimer car la seule opinion qui lui est permise, c'est d'accomplir Ma Volonté, quelle qu'elle soit et quoi qu'il lui en coûte. Mais en tant que Maître, j'ai aussi une responsabilité incontournable. Une responsabilité que tu devras aussi assumer lorsque Je déciderai de t'autoriser à exprimer ta seconde nature, celle de dominante. Aussi tu dois apprendre à percevoir le moment, assez subtil il est vrai, où l'esclave que tu tourmentes atteint certains points de rupture. Bien sûr, son devoir sera de toujours aller plus loin, de toujours pouvoir supporter plus. Jamais il ne devra cesser d'atteindre ses limites et de les dépasser afin de Me satisfaire. Et je ne cesserai jamais de Me montrer plus exigeant, plus contraignant, plus intransigeant parfois, afin de jauger sa capacité d'inférieur à se dépasser dans l'unique but qui compte pour une telle chose : Satisfaire uniquement le Maître… Et là, en cet instant, je pense que cet esclave a assez subi pour aujourd'hui. Il a fauté en montrant de la faiblesse et il sera puni pour cela. Mais pour aujourd'hui cela suffit. Voyons, combien reste-t-il de pinces sur son corps ?

Chloé compta les vingt et une pinces encore accrochées à mon corps servile. Le Maître la fit alors mettre dans la même position que celle dans laquelle je me tenais. Et une à une Il retira de moi les pinces pour les placer au même endroit sur le corps de la soumise. Ce sont ainsi 21 pinces qui passèrent de mon corps au sien... Je ressentais encore dans ma chair la brûlure que laisse une pince lorsqu'elle est restée longtemps attachée au corps. Mais cela peu à peu s'estompait et je risquais un bref regard vers Chloé qui affrontait les pinces pour la première fois. Le jeune Marquis travaillait un peu son magnifique corps de femelle, il tirait doucement sur une pince accrochée au téton gauche, le tordant un peu afin d'obtenir une grimace silencieuse sur le beau visage de la soumise. Il m'intima l'ordre de ramasser toutes les pinces qui jonchaient le sol après avoir été ôtées, tantôt, de moi à coups de cravache par la belle Chloé. Je tenais toutes ces pinces entre mes mains et le Maître, maintenant, les plaçait sur le corps de Chloé...

(A suivre …)

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