La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1507)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 1756 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.7 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de MAITREDOMINO ont reçu un total de 5 353 286 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-06-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
Cette histoire de sexe a été affichée 2 349 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1507)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1504) -
Monsieur Le Marquis prend chaque jour connaissance de ses écrits, satisfait de l’application qu’elle y met, malgré la difficulté qu’elle éprouve à n’avoir aucun contact avec les deux hommes à qui il lui plaît le plus de s’offrir… Quelques jours plus tard alors qu’il s’agit d’un jour de garde, une intervention un peu particulière se présente à Vanessa. Elle part en ambulance pour un homme ayant fait un malaise chez lui, rien de bien inhabituel, mais lorsqu’elle arrive, elle découvre que l’homme en question est un des amis de Monsieur le Marquis. Il s’agit du premier adjoint au maire d’un village proche de celui du Château… L’homme fatigué par son état ne la reconnaît pas, l’ayant vu à plusieurs reprises, dénudée mais jamais habillée et encore moins en uniforme. Aussi décide-t-elle de ne pas lui faire savoir qui elle est, pour le moment. Le vieil homme présente une hyper-tension très élevée. Vanessa part dans l’ambulance faire une demande radio pour pouvoir le transporter à l’hôpital, mais quand elle revient, elle a la mauvaise surprise d’entendre l’homme se fâcher fermement envers son équipe. Sans comprendre la raison de ce conflit, elle calme rapidement la situation, sachant qu’il est mauvais pour son état de santé, de s’énerver ainsi.
- Monsieur, je vous en prie, il est important pour votre santé que vous vous calmiez, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour le comportement de mes hommes, je vais les recadrer immédiatement, annonce-t-elle d’un ton quasi dominant.
Devant l’assurance de la jeune femme qui reprend rapidement en main la situation, l’homme se calme. Sans un mot de plus, elle fait signe à son équipe de la suivre dans la pièce voisine, laissant l’homme seul aux côtés de sa soumise qu’il a présentée aux pompiers comme sa femme.
- J’espère que vous avez une bonne raison pour l’avoir mis dans cet état, annonce-t-elle fâchée.
- Oui Sergent, il refuse que nous parlions à sa femme sans sa présence, répond une jeune recrue.
- Et alors ? Pourquoi souhaitez-vous lui parler ? Nous ne venons pas pour elle.
- Nous pensons qu’elle est victime de violences, à sa façon de lui adresser la parole, elle semble le craindre, et puis il y a un martinet à portée de main de cet homme et, aucun animal dans la maison. Nous voulions vérifier cela en lui parlant seule et, comme par hasard il refuse avec force. Nous pensons vraiment qu’il y a quelque chose de suspect... Hélas, il doit s’agir d’une femme battue…- Hum, je comprends, répond la jeune femme d’un ton adouci. Mais j’aurais apprécié que vous m’en fassiez part avant de prendre cette initiative. Je vais tenter de lui parler… pendant ce temps allez chercher le brancard et attendez que je vous fasse signe pour revenir. Je vais lui parler seul, ça le calmera mieux que si on y est tous…
Vanessa retourne voir le Maître et sa soumise, fermant la porte derrière elle pour que leur conversation reste confidentielle.
- Monsieur, je tiens personnellement à vous présenter mes excuses pour le comportement de mes hommes, ils ont été maladroits certes, mais ils ne font que leur travail, c’est le protocole de parler aux femmes seules, lorsqu’on pense qu’elles peuvent être maltraitées, explique-t-elle d’un ton très respectueux.
- Je ne maltraite pas ma femme, s’offusque l’homme.
- Je le sais, mais je ne vais pas leur expliquer la raison de la présence de ce martinet, ni de son attitude effacée face à vous, ils ne connaissent pas notre univers de la Domination/soumission, ils ne comprendraient pas, sourit Vanessa.
L’homme surpris la dévisage, mais ne parvient pas à la reconnaître, il se dit qu’il aurait dû faire ranger ce martinet avant l’arrivée des secours.
- Nous nous connaissons ?, interroge-t-il comprenant qu’il a dû la rencontrer lors d’une soirée D/s quelconque.
- Pas personnellement, mais nous nous sommes déjà rencontrés au Château de Monsieur le Marquis d’Evans lors de plusieurs soirées.
- Il y a toujours un grand nombre d’Invités aux soirées de Monsieur le Marquis Edouard d’Evans, j’avoue ne pas me souvenir de toutes les personnes présentes, s’excuse l’homme.
- Je comprends, j’ai également des difficultés à me souvenir de tous, mais vous aviez fait rougir mon fessier à l’aide d’un paddle avec un savoir-faire non-négligeable, difficile de l’oublier, lui répond Vanessa sur le ton de l’humour.
- J’en ai fait rougir plus d’un, sourit l’homme mis en confiance et calmé.
- Je suis une des soumises MDE, celle qui a été marquée au fer rouge lors de cette soirée.
- Ca y est, j’y suis ! Vous êtes soumise Keira MDE, je ne vous avais pas reconnue, pourtant je me rappelle parfaitement de vous, et de votre impressionnante prestation ce soir-là.
- Bien, maintenant que les présentations sont faites, vous comprenez que je dois parler seule à seule avec votre soumise, pour que mes hommes croient que j’ai pu vérifier qu’elle n’est pas maltraitée. Pendant ce temps ils vont vous amener dans l’ambulance, vous acceptez ?
- Je vous la confie les yeux fermés. Puis-je abuser de la situation pour vous demander de faire en sorte que mes soumises soient sous la protection de Monsieur le Marquis, le temps de mon absence ?
- Je ne peux pas parler en Son nom, mais je vais faire de mon mieux, répond la jeune femme.
- Merci, vraiment, je suis heureux d’être tombé sur vous. Justine, mène-la à l’étage rejoindre Juliette.
Vanessa sourit en prenant connaissance des prénoms que ce Maître a donné à ses soumises. A n’en pas douter, il a été inspiré par Sade lui-même… Elle suit donc Justine à l’étage et découvre des combles aménagés en un véritable donjon. Une femme qu’elle suppose être Juliette est attachée à une croix de Saint-André, entièrement nue, les traces d’une très récente sanction sont visibles sur son corps nu.
- C’est l’œuvre d’un martinet, n’est-ce pas ?
- Oui, Le Maître était en train de sanctionner Juliette lorsqu’Il a été pris de ce malaise, il ne s’est senti pas bien et à tout juste eu le temps de descendre dans le canapé où vous l’avez trouvé, alors j’ai appelé les pompiers et vous connaissez la suite, répond Justine humblement.
Juliette se met à sangloter, Vanessa s’approche d’elle, la détache avec douceur, plonge son regard dans ses yeux d’un air fraternel et la laisse reprendre ses esprits à genoux sur le sol.
- Pourquoi pleures-tu ?
- C’est de ma faute, j’ai énervé le Maître, cela l’a fatigué, sanglote Juliette.
- Allons, allons, il est inutile de chercher un coupable, tu ne pouvais pas prévoir, et puis il va bien, tu imploreras son pardon lorsque tu seras de nouveau à Ses pieds. Je dois passer un appel, je reviens dans quelques minutes.
Vanessa hésite un instant, sachant qu’elle n’a pas à prendre contact avec le Noble en ce moment, et donc encore moins à l’appeler directement. D’un autre côté, Il lui a ordonné de Le prévenir immédiatement pour toute intervention concernant une personne de leur Cercle, donc elle pense qu’Il lui pardonnera cet écart pour de bonnes raisons. Aussi prend-t-elle son téléphone pour Le contacter sur son numéro personnel. En voyant son numéro, le Châtelain qui est occupé à son bureau, hésite à décrocher, contrarié de constater qu’elle se permet d’enfreindre une de Ses règles essentielles, mais réalise que si elle le fait, ce ne peut être que pour une bonne raison.
- soumise Keira MDE, j’espère que cet appel est important, dit-Il d’une voix grave en décrochant.
- Bonjour Maître, je suis désolée d’enfreindre Votre règle et, acceptera Votre juste sanction si Vous jugez que cet appel ne se justifiait pas, répond-t-elle d’une voix la plus respectueuse possible.
- Je t’écoute, sois brève.
Vanessa explique la situation au Noble, sans parler d’autres choses que de la raison de son appel.
- Je comprends, tu as bien fait de m’appeler, rassure mon ami Roger que j’envoie mon Majordome chercher ses soumises immédiatement, et que je prendrai personnellement soin d’elles durant son absence, ordonne-t-Il en raccrochant sans plus de considération pour elle.
La jeune femme est rassurée d’avoir pris la bonne décision, elle retourne voir les deux soumises.
- D’ici un quart d’heure, le Majordome de Monsieur Le Marquis d’Evans viendra vous chercher. Rangez rapidement la maison, habillez-vous pour faire la route et attendez-le. Il vous mènera au Château où vous séjournerez durant la convalescence du Maître auquel vous appartenez, sous la protection de Monsieur Le Marquis.
- Oh, merci, vraiment merci, répond Justine, aidant Juliette à se relever.
Vanessa rejoint ses collègues dans l’ambulance VSL, elle informe Maître Roger d’un signe de tête que Monsieur Le Marquis a accepté, et ordonne le départ de l’ambulance vers l’hôpital. Arrivés aux urgences, les pompiers confient l’homme à l’infirmière d’accueil, ce dernier parle à Vanessa à voix basse.
- Merci pour tout, sincèrement. J’espère vous revoir dans de meilleures circonstances, mais sachez que je saurais parler de votre professionnalisme et de votre attitude irréprochable à Monsieur Le Marquis.
- Merci Monsieur, bon rétablissement surtout, lui souhaite Vanessa en rejoignant ses collègues.
Le lendemain soir, Walter récupère Vanessa et la mène au Chenil, mais avant de la laisser entrer dans la cage, il la place à genoux devant lui.
- Ne devais-tu pas avoir comme seul contact de notre Cercle, moi-même durant ta période de sanction ?, accuse-t-il d’une voix sévère.
- Si Monsieur Walter, répond-t-elle comprenant de quoi il veut parler.
- Et pourtant tu as contacté le Maître sur Sa ligne personnelle.
- Oui Monsieur, je suis prête à recevoir la sanction qu’Il a décidé, répond Keira MDE déterminée.
- Monsieur le Marquis a estimé que tu avais bien agi, aucune sanction ne sera donc appliquée pour avoir dérogé à cette règle, c’est ce que l’on appelle un cas de force majeur… Mais puisque cette action m’a valu du travail supplémentaire, Il m’a autorisé à me détendre avant de te laisser te reposer.
Sans dire un mot de plus, Walter claque des doigts en ouvrant son pantalon, la favorite du Noble ouvre la bouche et s’applique à prodiguer une fellation dont elle a le secret, au bras droit du Maître. Il la laisse faire un instant, puis en voulant plus, il se retire, la redresse en la prenant par sa queue de cheval, la pousse contre sa cage, pour qu’elle y appuie ses mains tout en présentant sa croupe arrondie de femelle. Immédiatement il la pénètre d’un coup de reins, la besognant dans un rythme régulier, se servant d’elle comme d’un vulgaire vide-couilles, cherchant à prendre son plaisir rapidement, jusqu’à se vider dans son sexe dégoulinant de plaisir. Walter prend le temps de récupérer, la laissant dans cette position offerte, puis décroche une badine du mur pour revenir vers elle. Sans un mot, il applique vingt coups appuyé, marquant sévèrement la jeune femme, puis il caresse délicatement son fessier, comme pour l’encourager à tenir la sanction qu’elle doit encore endurer. Le Majordome lui remet la ceinture de chasteté, puis il la fait entrer dans la cage avant d’y glisser une gamelle de nourriture. Vanessa mange rapidement, puis se love dans la couverture, cherchant le sommeil…
(A suivre …)
Monsieur Le Marquis prend chaque jour connaissance de ses écrits, satisfait de l’application qu’elle y met, malgré la difficulté qu’elle éprouve à n’avoir aucun contact avec les deux hommes à qui il lui plaît le plus de s’offrir… Quelques jours plus tard alors qu’il s’agit d’un jour de garde, une intervention un peu particulière se présente à Vanessa. Elle part en ambulance pour un homme ayant fait un malaise chez lui, rien de bien inhabituel, mais lorsqu’elle arrive, elle découvre que l’homme en question est un des amis de Monsieur le Marquis. Il s’agit du premier adjoint au maire d’un village proche de celui du Château… L’homme fatigué par son état ne la reconnaît pas, l’ayant vu à plusieurs reprises, dénudée mais jamais habillée et encore moins en uniforme. Aussi décide-t-elle de ne pas lui faire savoir qui elle est, pour le moment. Le vieil homme présente une hyper-tension très élevée. Vanessa part dans l’ambulance faire une demande radio pour pouvoir le transporter à l’hôpital, mais quand elle revient, elle a la mauvaise surprise d’entendre l’homme se fâcher fermement envers son équipe. Sans comprendre la raison de ce conflit, elle calme rapidement la situation, sachant qu’il est mauvais pour son état de santé, de s’énerver ainsi.
- Monsieur, je vous en prie, il est important pour votre santé que vous vous calmiez, je vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour le comportement de mes hommes, je vais les recadrer immédiatement, annonce-t-elle d’un ton quasi dominant.
Devant l’assurance de la jeune femme qui reprend rapidement en main la situation, l’homme se calme. Sans un mot de plus, elle fait signe à son équipe de la suivre dans la pièce voisine, laissant l’homme seul aux côtés de sa soumise qu’il a présentée aux pompiers comme sa femme.
- J’espère que vous avez une bonne raison pour l’avoir mis dans cet état, annonce-t-elle fâchée.
- Oui Sergent, il refuse que nous parlions à sa femme sans sa présence, répond une jeune recrue.
- Et alors ? Pourquoi souhaitez-vous lui parler ? Nous ne venons pas pour elle.
- Nous pensons qu’elle est victime de violences, à sa façon de lui adresser la parole, elle semble le craindre, et puis il y a un martinet à portée de main de cet homme et, aucun animal dans la maison. Nous voulions vérifier cela en lui parlant seule et, comme par hasard il refuse avec force. Nous pensons vraiment qu’il y a quelque chose de suspect... Hélas, il doit s’agir d’une femme battue…- Hum, je comprends, répond la jeune femme d’un ton adouci. Mais j’aurais apprécié que vous m’en fassiez part avant de prendre cette initiative. Je vais tenter de lui parler… pendant ce temps allez chercher le brancard et attendez que je vous fasse signe pour revenir. Je vais lui parler seul, ça le calmera mieux que si on y est tous…
Vanessa retourne voir le Maître et sa soumise, fermant la porte derrière elle pour que leur conversation reste confidentielle.
- Monsieur, je tiens personnellement à vous présenter mes excuses pour le comportement de mes hommes, ils ont été maladroits certes, mais ils ne font que leur travail, c’est le protocole de parler aux femmes seules, lorsqu’on pense qu’elles peuvent être maltraitées, explique-t-elle d’un ton très respectueux.
- Je ne maltraite pas ma femme, s’offusque l’homme.
- Je le sais, mais je ne vais pas leur expliquer la raison de la présence de ce martinet, ni de son attitude effacée face à vous, ils ne connaissent pas notre univers de la Domination/soumission, ils ne comprendraient pas, sourit Vanessa.
L’homme surpris la dévisage, mais ne parvient pas à la reconnaître, il se dit qu’il aurait dû faire ranger ce martinet avant l’arrivée des secours.
- Nous nous connaissons ?, interroge-t-il comprenant qu’il a dû la rencontrer lors d’une soirée D/s quelconque.
- Pas personnellement, mais nous nous sommes déjà rencontrés au Château de Monsieur le Marquis d’Evans lors de plusieurs soirées.
- Il y a toujours un grand nombre d’Invités aux soirées de Monsieur le Marquis Edouard d’Evans, j’avoue ne pas me souvenir de toutes les personnes présentes, s’excuse l’homme.
- Je comprends, j’ai également des difficultés à me souvenir de tous, mais vous aviez fait rougir mon fessier à l’aide d’un paddle avec un savoir-faire non-négligeable, difficile de l’oublier, lui répond Vanessa sur le ton de l’humour.
- J’en ai fait rougir plus d’un, sourit l’homme mis en confiance et calmé.
- Je suis une des soumises MDE, celle qui a été marquée au fer rouge lors de cette soirée.
- Ca y est, j’y suis ! Vous êtes soumise Keira MDE, je ne vous avais pas reconnue, pourtant je me rappelle parfaitement de vous, et de votre impressionnante prestation ce soir-là.
- Bien, maintenant que les présentations sont faites, vous comprenez que je dois parler seule à seule avec votre soumise, pour que mes hommes croient que j’ai pu vérifier qu’elle n’est pas maltraitée. Pendant ce temps ils vont vous amener dans l’ambulance, vous acceptez ?
- Je vous la confie les yeux fermés. Puis-je abuser de la situation pour vous demander de faire en sorte que mes soumises soient sous la protection de Monsieur le Marquis, le temps de mon absence ?
- Je ne peux pas parler en Son nom, mais je vais faire de mon mieux, répond la jeune femme.
- Merci, vraiment, je suis heureux d’être tombé sur vous. Justine, mène-la à l’étage rejoindre Juliette.
Vanessa sourit en prenant connaissance des prénoms que ce Maître a donné à ses soumises. A n’en pas douter, il a été inspiré par Sade lui-même… Elle suit donc Justine à l’étage et découvre des combles aménagés en un véritable donjon. Une femme qu’elle suppose être Juliette est attachée à une croix de Saint-André, entièrement nue, les traces d’une très récente sanction sont visibles sur son corps nu.
- C’est l’œuvre d’un martinet, n’est-ce pas ?
- Oui, Le Maître était en train de sanctionner Juliette lorsqu’Il a été pris de ce malaise, il ne s’est senti pas bien et à tout juste eu le temps de descendre dans le canapé où vous l’avez trouvé, alors j’ai appelé les pompiers et vous connaissez la suite, répond Justine humblement.
Juliette se met à sangloter, Vanessa s’approche d’elle, la détache avec douceur, plonge son regard dans ses yeux d’un air fraternel et la laisse reprendre ses esprits à genoux sur le sol.
- Pourquoi pleures-tu ?
- C’est de ma faute, j’ai énervé le Maître, cela l’a fatigué, sanglote Juliette.
- Allons, allons, il est inutile de chercher un coupable, tu ne pouvais pas prévoir, et puis il va bien, tu imploreras son pardon lorsque tu seras de nouveau à Ses pieds. Je dois passer un appel, je reviens dans quelques minutes.
Vanessa hésite un instant, sachant qu’elle n’a pas à prendre contact avec le Noble en ce moment, et donc encore moins à l’appeler directement. D’un autre côté, Il lui a ordonné de Le prévenir immédiatement pour toute intervention concernant une personne de leur Cercle, donc elle pense qu’Il lui pardonnera cet écart pour de bonnes raisons. Aussi prend-t-elle son téléphone pour Le contacter sur son numéro personnel. En voyant son numéro, le Châtelain qui est occupé à son bureau, hésite à décrocher, contrarié de constater qu’elle se permet d’enfreindre une de Ses règles essentielles, mais réalise que si elle le fait, ce ne peut être que pour une bonne raison.
- soumise Keira MDE, j’espère que cet appel est important, dit-Il d’une voix grave en décrochant.
- Bonjour Maître, je suis désolée d’enfreindre Votre règle et, acceptera Votre juste sanction si Vous jugez que cet appel ne se justifiait pas, répond-t-elle d’une voix la plus respectueuse possible.
- Je t’écoute, sois brève.
Vanessa explique la situation au Noble, sans parler d’autres choses que de la raison de son appel.
- Je comprends, tu as bien fait de m’appeler, rassure mon ami Roger que j’envoie mon Majordome chercher ses soumises immédiatement, et que je prendrai personnellement soin d’elles durant son absence, ordonne-t-Il en raccrochant sans plus de considération pour elle.
La jeune femme est rassurée d’avoir pris la bonne décision, elle retourne voir les deux soumises.
- D’ici un quart d’heure, le Majordome de Monsieur Le Marquis d’Evans viendra vous chercher. Rangez rapidement la maison, habillez-vous pour faire la route et attendez-le. Il vous mènera au Château où vous séjournerez durant la convalescence du Maître auquel vous appartenez, sous la protection de Monsieur Le Marquis.
- Oh, merci, vraiment merci, répond Justine, aidant Juliette à se relever.
Vanessa rejoint ses collègues dans l’ambulance VSL, elle informe Maître Roger d’un signe de tête que Monsieur Le Marquis a accepté, et ordonne le départ de l’ambulance vers l’hôpital. Arrivés aux urgences, les pompiers confient l’homme à l’infirmière d’accueil, ce dernier parle à Vanessa à voix basse.
- Merci pour tout, sincèrement. J’espère vous revoir dans de meilleures circonstances, mais sachez que je saurais parler de votre professionnalisme et de votre attitude irréprochable à Monsieur Le Marquis.
- Merci Monsieur, bon rétablissement surtout, lui souhaite Vanessa en rejoignant ses collègues.
Le lendemain soir, Walter récupère Vanessa et la mène au Chenil, mais avant de la laisser entrer dans la cage, il la place à genoux devant lui.
- Ne devais-tu pas avoir comme seul contact de notre Cercle, moi-même durant ta période de sanction ?, accuse-t-il d’une voix sévère.
- Si Monsieur Walter, répond-t-elle comprenant de quoi il veut parler.
- Et pourtant tu as contacté le Maître sur Sa ligne personnelle.
- Oui Monsieur, je suis prête à recevoir la sanction qu’Il a décidé, répond Keira MDE déterminée.
- Monsieur le Marquis a estimé que tu avais bien agi, aucune sanction ne sera donc appliquée pour avoir dérogé à cette règle, c’est ce que l’on appelle un cas de force majeur… Mais puisque cette action m’a valu du travail supplémentaire, Il m’a autorisé à me détendre avant de te laisser te reposer.
Sans dire un mot de plus, Walter claque des doigts en ouvrant son pantalon, la favorite du Noble ouvre la bouche et s’applique à prodiguer une fellation dont elle a le secret, au bras droit du Maître. Il la laisse faire un instant, puis en voulant plus, il se retire, la redresse en la prenant par sa queue de cheval, la pousse contre sa cage, pour qu’elle y appuie ses mains tout en présentant sa croupe arrondie de femelle. Immédiatement il la pénètre d’un coup de reins, la besognant dans un rythme régulier, se servant d’elle comme d’un vulgaire vide-couilles, cherchant à prendre son plaisir rapidement, jusqu’à se vider dans son sexe dégoulinant de plaisir. Walter prend le temps de récupérer, la laissant dans cette position offerte, puis décroche une badine du mur pour revenir vers elle. Sans un mot, il applique vingt coups appuyé, marquant sévèrement la jeune femme, puis il caresse délicatement son fessier, comme pour l’encourager à tenir la sanction qu’elle doit encore endurer. Le Majordome lui remet la ceinture de chasteté, puis il la fait entrer dans la cage avant d’y glisser une gamelle de nourriture. Vanessa mange rapidement, puis se love dans la couverture, cherchant le sommeil…
(A suivre …)
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par MAITREDOMINO
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...