La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1516)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1516) Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1516)
Vanessa au Château (devenue soumise Keira MDE) – (suite de l'épisode N°1513) -
La jeune femme garde le silence, baissant la tête en signe de soumission, faisant comprendre au Noble qu’elle est prête pour cette dernière épreuve... Le Majordome arrive à ce moment, et sur un signe du Châtelain, il fixe de nouveau une laisse au collier de la jeune femme et la traine à sa suite. Une fois sorti de la pièce, Walter lui bande les yeux, puis la mène à travers les luxueux couloirs. Malgré le bandeau, Vanessa reconnaît le trajet et réalise qu’elle est dans le long couloir capitonné à l’épaisse moquette et aux tentures de velours bordeaux menant à une des chambres des appartements privés du Maître. Elle en conclut que l’homme à qui elle va être confiée est donc un très proche ami du Maître, pour occuper une des chambres de cette aile du Château. Le Majordome s’arrête devant une large porte finement sculptée de moulures. Walter frappe et entre dans une chambre où il la place au centre de la pièce.

- Monsieur, voici la soumise que Monsieur Le Marquis vous offre pour la nuit, passez une excellente soirée, annonce-t-il tout haut.

Walter détache la laisse du collier de la jeune femme, puis quitte la pièce, la laissant seule avec l’ami du Maître. Elle patiente son bon vouloir, entend ses pas s’approcher d’elle. L’homme se place derrière elle, caressant son fessier d’une badine, tout en défaisant de son autre main son bandeau. Il la contourne, se place devant elle, suffisamment loin pour qu’elle ne puisse pas le voir car, en bonne soumise, Vanessa reste la tête baissée. Après quelques minutes à l’observer, il place sa badine sous son menton pour la forcer à lever les yeux sur lui. soumise Keira MDE découvre alors avec surprise Laurent, elle sent soudain la joie l’envahir, une larme perle sur sa joue, une larme de bonheur de d’amour. Il lui sourit, pose sa badine, s'accroupit à sa hauteur pour retirer son collier, puis la relève face à lui avant de la prendre dans ses bras avec une infinie tendresse.

- Comment te sens-tu, demande-t-il d’un ton aimant.
- Bien Monsieur, merci de vous en soucier, répond-t-elle avec respect, sa tête dans le creux de son épaule.
- Allons Vanessa, je veux retrouver ma femme ce soir, la soumise a suffisamment payé pour ses fautes, tu es toute pardonnée.
- Merci, répond-t-elle le serrant plus fort.
- Eh doucement, je vais étouffer, s’amuse-t-il. Je constate que je n’ai pas été le seul à vivre difficilement cette période, si proche et pourtant si loin.
- Je suis désolée, si seulement je m’étais contrôlée, tu n’aurais pas vécu tout ça par ma faute, répond-t-elle d’une voix sincère.

Laurent plonge son regard dans le sien, lui sourit amoureusement et l’embrasse dans un long baiser caressant son corps nu de ses douces mains. Il passe ses doigts vers son sexe qu’il découvre étonnement sec. Alors en lui lançant un regard interrogatif :
- Ça ne va pas ? interroge-t-Il inquiet.
- Si, je suis simplement un peu fatiguée, je suis désolée, j’accepterais ta sanction, répond la jeune femme baissant la tête.
- Et pourquoi devrais-je te sanctionner, ta fatigue est légitime après ces trois semaines sans véritable repos.
- Parce que je dois en toutes circonstances me réjouir des moments que m’offre Le Maître, et montrer de l’envie, répond la jeune femme d’une voix déçue d’elle-même.

Le Commandant sourit, elle est si désirable, si belle ainsi déterminée. Il la pousse vers le lit, l’allonge doucement sur le dos, lui écarte les jambes pour avoir une vue imprenable sur son sexe épilé puis se dirige vers une commode. Il se saisit d’un flacon de gel, revient vers sa compagne, enduit sa main de gel lubrifiant avant de venir exciter avec savoir-faire son clitoris par de savantes caresses. Laurent prend son temps, observe son torse se lever au rythme de ses respirations, voit son visage se détendre sous ses caresses visiblement agréables. Puis il pousse ses doigts un à un dans l’intimité de la jeune femme, prenant son temps pour ne pas la blesser, cherchant à faire monter le plaisir en elle. Alors que la respiration de Vanessa se fait plus haletante, Il se place sur elle avec douceur. Il l’embrasse de nouveau, la prenant alors délicatement de sa verge déjà tendue témoignant d’une forte attirance à la pénétrer. Laurent fait des allers et retours de son sexe dans un vagin fort trempé, il procède lentement et un long moment. Il est aisé d’entendre les gémissements de plaisirs de Vanessa, qui malgré la fatigue, n’hésite pas à faire des mouvements de va-et-vient avec son bassin afin de favoriser cette douce copulation. Visiblement, elle savoure cet acte d’amour et sexuel… Alors Laurent accélère le rythme, jusqu’à la prendre profondément par de puissants coups de reins virils et profonds. La jeune femme vibre sous les agréables et si excitants coups de boutoirs, sa montée en excitation ayant pris le dessus sur sa fatigue. Et c’est tout son corps chaud qui sent qu’un orgasme foudroyant ne va pas tarder à venir si Laurent continue de la prendre si bestialement désormais… Et c’est seulement quand elle est à la limite d’exploser sa jouissance, ne tenant plus que le Commandant lui susurre à l’oreille :
- Jouit, quand tu le souhaites ma belle, mon ami te l’autorise.

La jeune femme se laisse alors aller, faisant l’amour avec son compagnon, de longues minutes, avant qu’ils ne jouissent presque en même temps, heureux de se retrouver après trois semaines sans contacts intimes… Ils s’endorment amoureusement fatigués d’une soirée pleine d’émotions, dans les bras l’un de l’autre... Au petit matin, Laurent se réveille avant sa compagne, il l’observe d’un œil amoureux, caressant comme elle l’aime, avec sensualité son corps nu si sensuel à la parfaite silhouette d’une magnifique féminité aux proportions parfaites... Elle se réveille souriante, appréciant les tendres caresses de son compagnon, collant sa tête contre son torse. Il la laisse se réveiller doucement, profitant de cet instant de tendresse qui a tant manqué, à l’un comme à l’autre…
- En ces lieux, il est de coutume qu’une soumise qui se réveille dans le lit d’un Maître, lui présente ses hommages comme il se doit, finit-il par lui lancer d’un air complice.

Vanessa sourit, et pour seule réponse, elle se glisse alors sous la couette pour aller chercher de sa bouche la verge déjà dressée d’excitation anticipée de son compagnon. Elle s’applique avec tout le savoir-faire qu’il lui a enseigné, sentant la queue grossir entre ses lèvres, gonfler et durcir à vue d’œil, se raidir sous ses savoureux coups de langue. Mais alors qu’elle allait accélérer la cadence, Laurent la stoppe de sa main en empoignant ses cheveux pour lui relever le visage :
- Monte sur moi, lui ordonne-t-il.

La jeune femme ne se fait pas prier, elle vient coller son torse contre celui de son compagnon, appréciant le contact de sa peau nue contre sa poitrine, puis attend l’ordre suivant.

- Tu as le choix de l’orifice, lui sourit-il.

Vanessa sourit de nouveau et c’est fort excitée, fébrile et lascive de la perspective à venir qu’elle dirige la verge tendue de son amant à l’entrée de son intimité déjà ruisselante de cyprine, s’empalant doucement dessus, profitant de la sensation agréable de se sentir remplie. La belle reste un instant ainsi sans bouger, puis commence à onduler son bassin, l’envie de sentir bouger en elle cette grosse et épaisse verge durcie. Rapidement son plaisir monte en elle, elle réprime sa jouissance, mais Laurent lui donne l’autorisation libératrice. C’est un long moment de plaisir qui se passe ainsi à chevaucher le sexe de son compagnon qui l’amène à laisser son orgasme s’exprimer dans de longs gémissements. Il la laisse récupérer juste quelques secondes, ne laissant pas le temps à l’excitation de redescendre, alors que le souffle court Vanessa est au septième ciel, Laurent la retourne, la plaçant à quatre pattes avant de se placer derrière elle. D’un seul mouvement, la verge gluante de cyprine qu’il pénètre son fondement, l’enculant profondément à la hussarde d’une fulgurante saillie nette et sans appel, jusqu’à la garde. Ces couilles viennent toucher l’intimité de Vanessa… Puis il commence de puissants va-et-vient, cherchant rapidement à se libérer en elle, tout en lui fessant sans mesure le cul par de fortes claques, faisant rougir sa peau à l’œil nu… A ce rythme-là, Laurent ne tarde pas à jouir, déversant de longs jets de son sperme chaud et dans de longs râles de mâles en rut, profondément dans les entrailles de sa belle. Vanessa lâche en même temps une autre jouissance que l’on pourrait qualifier d’orgasme anal tant cette sodomie est torride ! Laurent se retire ensuite, reprend son souffle, il la regard, lui sourit et va chercher des peignoirs dans la salle de bain. Il en passe un et s’approche de sa compagne avec le deuxième. Alors que le Commandant pose le peignoir sur les épaules de sa compagne, deux esclaves femelles entièrement nues aux tétons annelés, seulement parées d’un épais collier de métal, entrent en portant les plateaux du petit-déjeuner.

- Posez ça là, ordonne Laurent en désignant une table basse faisant face à trois grands fauteuils.

Sans un mot, les deux jeunes femelles déposent les plateaux et patientent à genoux, les mains dans le dos, tête baissée, à côté de la table.

- Vous pouvez retourner aux cuisines, j’imagine que Madame Marie a largement de quoi vous occuper, ordonne de nouveau Le Commandant.

Les deux esclaves se dirigent donc à quatre pattes en dehors de la chambre, refermant la lourde porte derrière elles.

- Le timing était parfait, sourit la jeune femme.
- Quel timing ?
- Eh bien, le service, il arrive pile après que nous ayons terminé.
- Ah ? Tu as encore beaucoup à apprendre sur le fonctionnement du Château, sourit Laurent.
- Quel fonctionnement ?
- Cet interrupteur, il contrôle une lumière rouge se trouvant dans le couloir, si elle est allumée, aucun esclave n’a le droit de pénétrer, sous peine d’une sanction sévère, lui apprend Laurent en lui désignant un interrupteur accolé à celui contrôlant la lumière, qu’il peut atteindre de son lit.
- Ah non, je ne l’ai jamais remarquée, s’étonne la jeune femme.
- La Demeure est vaste et ses règles nombreuses, tu vas en apprendre encore beaucoup avant de connaître les moindres secrets du Château, sourit Laurent.
- Je ne suis pas certaine d’avoir cette chance un jour.
- Effectivement, la place que tu occupes, te permet de connaître un grand nombre de choses qui sont inconnus des esclaves, mais le Château est si vaste que peu en connaissent tous les recoins les plus secrets, telles les Oubliettes ou beaucoup d’autres endroits insoupçonnables et insoupçonnés … mais aussi et surtout toute l’Histoire… Je vais te donner un exemple, je ne t’apprends rien si je te dis que le fameux Marquis de Sade a séjourné de nombreuses fois au Château en tant qu’ami personnel d’un des aïeuls du Maître ?
- Oui, ça je le sais ! Et c’est même un honneur de pouvoir fouler dans les pas du fameux Marquis …- Ce que tu ne sais pas, en revanche, c’est l’histoire, par exemple, de cette grosse poutre maitresse qui traverse cette chambre, là, au centre du plafond !
- Eh bien, c’est juste une grosse poutre de chêne comme il y en a tant au Château ! Qu’a-t-elle de si particulier ?
- Lève-toi et regarde de plus près, prends une chaise, monte dessus et regarde bien l’inscription juste au niveau de la base du lustre (Vanessa curieuse et soif d’en apprendre plus, s’exécute et lit en effet une inscription gravée et noircie à même la poutre sur le côté)- Alors, c’est mal écrit mais je peux tout de même lire : ‘‘A Justine attachée et fouettée pendue par les bras à cette poutre - novembre 1785 - Marquis de Sade’’ … Mais, c’est incroyable ! La fameuse Justine a été utilisée, ici alors !
- Tout à fait ! Et dans la Grande Bibliothèque du Château, il y a même un parchemin de l’époque, écrit de la propre main de Sade, attestant ce fait ! Monsieur le Marquis le garde précieusement, justement comme une valeur historique !
- C’est impressionnant !
- Bien que dirais-tu de déjeuner, sourit Laurent en lui désignant les fauteuils.

Vanessa sourit, descend de la chaise et rejoint le fauteuil, s’asseyant devant son plateau. Elle remarque une enveloppe portant le sceau du Noble. Elle la prend et voit une inscription écrite de la main même du Maître “Pour soumise Keira MDE, à ouvrir lorsque Le Commandant le jugera opportun”. Elle envoie un regard interrogatif à son compagnon qui lui sourit, toujours amusé de voir la curiosité s’éveiller en elle.

- Mangeons, nous avons un peu de temps avant, lui annonce-t-il pour seule réponse.

Ils savourent le petit-déjeuner, mais Laurent voit bien que l’esprit de Vanessa est préoccupé.

- Chérie, ça va ? C’est le contenu de cette lettre qui te préoccupe ?
- Hein ?... ah... non, enfin pas vraiment, je sais que je finirai par savoir ce qu’elle contient.
- Alors qu’est-ce qui préoccupe tes pensées, je peux peut-être t’apporter quelques réponses, sourit-il.
- A vrai dire, je réalise qu’en dehors de Monsieur le Marquis, tu es le seul Dominant que j’ai vu occuper une des chambres de cette aile du Château. Et tu occupes tout le temps la même, je me demandais si c’était une chambre qui t’était réservée ?
- Effectivement, Edouard m’a réservé une chambre proche de la sienne depuis bien des années maintenant. En fait, depuis qu’Il occupe la chambre principale, avant c’était la sienne. Disons qu’ici, c’est un peu ma deuxième Demeure, mais cette chambre sera également la tienne d’ici peu, sourit-il.
- Comment cela, demande étonnée la jeune femme.
- Eh bien après le mariage, nous partagerons tout, il est convenu que lorsque tu seras entre ces murs en tant que ma femme, cette chambre sera celle où tu pourras venir te reposer. L'armoire contient d’ailleurs déjà des affaires à toi, explique-il en désignant le large meuble en bois de noyer.

La jeune femme se dirige vers l’armoire, intriguée, elle l’ouvre et découvre que la moitié contient des affaires de Laurent, alors que l’autre moitié est vide, seulement un uniforme de pompier à sa taille y est suspendu.

- C’est pour ?
- Simplement si j’ai besoin de mon sergent préféré en urgence au travail, et qu’elle est ici pour quelques raisons que ce soit, sourit-il.
- Mais d’où vient cet uniforme, tous les miens sont à leur place, je n’ai pas remarqué qu’il m’en manquait un.
- Voyons Vanessa, dois-je te rappeler mon grade ? Je n’ai pas besoin de me justifier pour réclamer une tenue supplémentaire.

Vanessa sourit et revient s’asseoir pour terminer son petit-déjeuner. Alors qu’elle avale la dernière gorgée de son chocolat chaud, Laurent lui désigne l’enveloppe. Elle la prend et l’ouvre, découvrant une lettre manuscrite, écrite de la main du Maître, elle est honorée qu’Il ait pris de Son temps pour lui écrire Lui-même. Elle lit son contenu :
“soumise Keira MDE, je pense que tu as pu profiter de ce temps de liberté bien mérité en compagnie de ton compagnon. Il est temps de revenir à Mes pieds, prépare-toi comme il se doit, et rejoins-moi dans mon bureau dès que tu seras prête.”.

La jeune femme replie la lettre en souriant, se lève, retire son peignoir pour le déposer sur le fauteuil, puis se place à quatre pattes pour rejoindre la salle de bain. Laurent la regarde quitter la pièce, dans une démarche féline particulièrement excitante. Elle s’y douche à l’eau froide, se prépare consciencieusement comme Le Maître l’exige, puis revient rapidement dans la chambre où Laurent l’attend, toujours dans son fauteuil, son collier à la main. Il claque des doigts pour qu’elle vienne se présenter à ses pieds, ce qu’elle fait sans attendre, dans une position parfaite. Il l’embrasse affectueusement sur le front, lui passe son collier, puis la congédie.

- Vas, tu es attendue.
- Merci Monsieur, répond-t-elle dans un ton parfaitement soumise.

Vanessa se dirige à quatre pattes jusqu’au bureau du Châtelain, croisant quelques esclaves et serviteurs du Maître au passage, mais personne ne prête attention à elle. Vanessa arrive enfin devant la porte du bureau, elle frappe et entend la voix du Marquis lui ordonner d’entrer...

(A suivre …)

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