La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1530)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1530) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1530)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1529) -
Chapitre 8 : La lettre -
- Voilà un cul bien défoncé qui vaut le meilleur de mes honoraires…
Le docteur Duernois, d’une main posée sur mon dos, me tenait toujours plaqué sur son bureau. Qu’avait-il encore derrière la tête, ce pervers sodomite ? Venait-il de décider de me faire vivre une ultime humiliation ? J’en avais bien peur… Je l’avais entendu appeler Anita via son interphone téléphonique … Je l’avais entendu lui exiger d’apporter un Tampax. Elle était arrivée en courant, s’était une nouvelle fois inclinée respectueusement devant le Maitre, et avait tendu l’objet au médecin.

- Toi, la pute qui a l’habitude de plonger ce machin dans ton vagin de salope, tu vas aller l’insérer dans le cul de cette chienne soumise que je viens d’arroser copieusement de mon foutre. Je ne voudrais pas qu’il ne tâche ni son pantalon, ni le siège de sa voiture !

Le médecin se gaussait, un rire ouvertement moqueur, alors que le Maitre, penché sur moi, m’écartait largement les fesses pour que la cible soit facile d’accès. Honteux je l’étais, Anita quant à elle, ne semblait pas troublée. Elle insérait le tampon dans mon anus, ôtait l’applicateur et laissait pendre le petit bout de ficelle entre mes fesses.

- Et bien voilà tu peux te relever et t’habiller petite chaudasse indisposée !, me disait le docteur Duernois en éclatant de rire.

Le Maître prenait congé en remerciant très chaleureusement son ami médecin. A la suite de ça, une fois dans la rue, à pieds, nous nous dirigions dans les beaux quartiers riches de Lyon pour aller dans un très luxueux restaurant haut de gamme où visiblement Monsieur le Marquis avait Ses habitudes. C’est pour cela que personne ne fut choqué quand, sous les yeux du portier indifférent à moi, le Maître juste devant la porte d’entrée m’exigea :
- Toi le chien soumis, tu restes là, dehors, à M’attendre, comme un bon chien. Ici les animaux sont interdits d’entrer... Je te ferai peut-être apporter un croûton de pain et un os de poulet à rogner…
Je n’étais plus à une humiliation près… Je restais humble, tête basse, pratiquement indifférent à ce nouvel affront, presque heureux de vivre cette humiliation en pleine rue et devant ce portier austère en me disant que je commençais à intégrer mon statut de soumis, là dans la vraie vie et non pas uniquement dans des lieux clos et feutrés dédiés à ce genre de pratique. Je me disais aussi que l’humiliation me fabriquait, me façonnait, me modelait, pensant aussi que si je voulais être un bon soumis, mon devoir était de l’accepter sans broncher…
Une heure après s’être copieusement restauré de riches mets que j’imagine exquis, le Châtelain sortit, alors que j’attendais toujours, assis sur le trottoir d’en face, contre un platane à grignoter un reste d’une carcasse de poulet labélisé de Bresse… Nous rejoignîmes la voiture … Nous roulions en direction du Château, le Maître était silencieux, moi je me disais en esquissant discrètement un sourire en m’inventant ce petit poème imaginé dans ma tête :
« Mon petit Alex, cage de chasteté posée, Et Tampax arrimé dans ton cul bien dosé, Juste une carcasse, de volaille, à bouffer, Comme repas de chien, et te voilà paré ! »
Je ne savais pas pourquoi à cet instant précis, j’avais l’âme joyeuse ! Avais-je besoin de décompresser ?

- Pourquoi souris-tu salope ?, me questionnait le Maître.

Mine de rien le Maître m’épiait chacun de mes faits et gestes, mes attitudes étaient sous contrôle. Je lui répondais simplement que j’étais bien, heureux d’avoir ce privilège d’être près de Lui, d’être Son chien soumis, j’osais même lui redire ce qui m’était venu à l’esprit, ces rimes stupides qui m’avaient fait sourire, tout en craignant une vive réaction de Sa part. Il n’en fut rien, au contraire, le Maître eut un sourire, il m’expliquait qu’il appréciait de voir Ses soumises et soumis heureux, peut-être un peu malicieux, ayant de l’esprit, du caractère, de l’intelligence dès lors qu’il n’y avait pas de mépris, d’arrogance ou d’insolence, dès lors qu’ils savaient ce qu’ils étaient et espéraient être !

- J’aime te voir t’épanouir à Mes pieds car je préfère ça que les ignorants, les ânes bâtés… trop peu pour moi !, avait-il conclu.

Le silence était revenu dans l’habitacle de la voiture, nous venions de quitter l’autoroute à Villefranche-sur-Saône, pour prendre les routes départementales nous conduisant au Château. Là alors que j’étais arrêté à un feu rouge, le Maître reprenait la parole :
- J’apprécie ton intelligence alexsoumis, tu es bien le digne fils de tes parents !

Pourquoi le Maitre me parlait subitement de mes parents ? Je faisais comme si de rien n’était, bien que troublé par cette remarque, tellement troublé que le feu était passé au vert depuis longtemps, je n’avais pas redémarré.

- Allons salope, qu’attends-tu pour avancer ?

Trop tard, le feu passait à l’orange.

- Désolé Maître, sincèrement désolé.

- C’est moi qui suis désolé de te remuer les tripes en te parlant de tes parents, mais je veux que tu saches que j’ai été profondément triste d’apprendre leur décès, profondément touché par leur disparition, un deuil qui m’a beaucoup affecté et qui m’affecte encore, je les appréciais énormément. Mais il est nécessaire et de Mon Devoir de te parler d’eux.

- Je ne veux rien savoir Maî….
- Tais-toi salope, tu n’as pas à vouloir, tu n’as rien à exiger, tu dois te contenter d’obéir dignement, respectueusement, comme tes parents le faisaient auprès de Moi.

Cette juste mise au point me remettait sur le rail, effectivement Monsieur le Marquis avait raison, je ne devais plus décider, plus arbitrer, plus choisir, ne pas vouloir mais espérer, souhaiter, seulement me résoudre à la totale obéissance, à accepter la subordination, la dépendance et me tenir dans la plus parfaite docilité et servilité. Je savais qu’ainsi, je me nourrissais, je grandissais, parce que mon besoin de discipline et de contraintes était devenu impérieux en l’espace de quelques jours seulement. Ma vie d’avant n’avait plus aucun sens, celle qui s’ouvrait à moi allait me conduire au total épanouissement de mon être intérieur, j’en étais convaincu. Lorsque nous fûmes arrivés au Château, le Maître me dit :
- Tu sais ce que tu dois faire pour entrer en Ma Demeure !

Je savais. Alors que le Maître regagnait le perron, je me dévêtis dans ma voiture puis prenait la direction de cet enclos pour m’y enfermer. Dans ce couloir vouté, ordinairement très calme et silencieux, là, j’entendais des cris, des exclamations, des exigences, des gémissements, des grognements, des réprobations, des récriminations, en fait, un tohu-bohu sans non, m’empêchant presque d’avancer. Lorsque j’arrivais dans cette pièce contenant les cellules, je fus impressionné par ce que je voyais. Là dans la cellule à côté de la mienne, un homme totalement nu, cagoule posée sur son visage, avec un collier autour du cou était suspendu par les bras, juste posé sur la pointe de ses pieds, les jambes tenues écartées par une barre métallique, allant d’une de ses chevilles à l’autre, avec un seau attaché à ses testicules et pendant entre ses jambes. A côté de lui, une femme corpulente, la cinquante tapait cet homme avec une cravache cinglante, elle paraissait visiblement, au premier coup d’œil, rustre, sévère, sadique et perverse.

- Qu'en vas-tu comprendre, la salope que tu ne dois plus te toucher les couilles et la nouille de chien ?, lui disait-elle sévèrement et sèchement- Pardon, pardon Madame Marie, je ne le referai plus, lui répondait l’homme en gémissant puis hurlant à la suite d’un nouveau coup violent de cravache porté sur ses fesses meurtries et zébrées.
- Comment te croire, sale pute, alors qu’il y a deux jours seulement, tu m’avais exactement dit la même chose, espèce de bâtard...

A cela, cette femme aux yeux emplis de sadisme rajoutait un demi-litre d’eau dans le seau accroché aux attributs masculin du soumis
- Point de pitié pour les lopes désobéissantes, crois-moi tu vas regretter de porter une paire de couilles, tu vas comprendre qu’il t’est interdit de te branler sans autorisation, espèce de chien de rue, tu n’es qu’un…
Cette femme autoritaire et vicieuse s’arrêta net en me voyant.

- Tiens, tiens, le petit nouveau ! Est-ce bien toi, le fameux alexsoumis ?
- Oui Madame !, répondais-je en me passant le collier autour du cou- Ici on m’appelle Madame Marie … Si tu oublies ça, tu auras à faire à ma cravache, le chien- Bien, je ne l’oublierai pas, Madame Marie, répondis-je avec crainte, car cette femme me faisait peur- Dépêche-toi de te mettre à quatre pattes, et montre-moi ton cul de putain, petit chien soumis.

Evidemment, elle riait en voyant le petit bout de ficelle sortir de mon anus.

- Encore un qui ne sait pas tenir le jus, la bonne semence qu’on lui donne…, lançait-elle en haussant les épaules de dépit et en levant le bras, sa cravache en main, prête à me frapper.

Heureusement Walter arrivait juste à cet instant, alors que la sadique Marie allait me cravacher simplement parce que j’avais un tampon dans le cul
- Laisse Marie, tu le cravacheras à ta guise une autre fois, Monsieur le Marquis veut voir ce chien tout de suite dans Son bureau- Ah OK, dit-elle, baissant le bras… Toi le bâtard, tu ne perds rien pour attendre, j’t’apprendrais à garder le sperme et sans tampon dans ton cul … Tu peux me croire, la pute à foutre…
Le Majordome déverrouillait ma cellule me fixait une laisse à mon collier, en m’entrainait en quadrupédie jusqu’au bureau de Monsieur le Marquis. Le Noble assis dans Son fauteuil semblait m’attendre. En Ses nobles Mains, il tenait un document jauni par le temps. On aurait cru qu’il tenait un trésor, tant il tenait ce document avec mille précautions.

- Approche-toi Mon chien, viens ici près de moi, à genoux, ton cul posé sur tes talons, tes mains sur tes cuisses écartées, paumes levées vers le ciel, regarde-moi !

Bien difficile de tenir un regard d’une telle intensité, il fallait une parfaite obéissance pour y parvenir. Je me conformais à l’ordre reçu avec un plaisir évident, parce que je me sentais devenir de plus en plus servile, docile et obéissant. Un plaisir physique puisque ma nouille cherchait à se redresser, mais bien plus encore, une jouissance intellectuelle sans nom, quelque chose d’inexplicable, à la fois déconcertante et incompréhensible mais tellement emplie de plénitude. Je me voyais, offert, silencieux, respectueux, humble, asservi, dans le dénuement total avec un ressenti et un besoin de vénération de dévotion incommensurable.

- Regarde Mon chien, j’ai entre Mes mains, une lettre écrite il y a maintenant près de vingt-cinq ans, peu après ta naissance. Elle a un peu jauni parce qu’elle a demeuré dans un de Mes coffres toutes ces années et y serait restée si tu n’étais pas venu à ma rencontre grâce à ta destinée qui t’a amené jusqu’au Château.

Pour la première fois, je ressentais de l’émotion dans la voix du Maitre, il regardait ce pli avec tellement de retenue, d’affection et d’émotions, on sentait même, étrangement une légère commotion chez Lui. J’ai même aperçu une larme coulée sur sa joue, ce qui devait être exceptionnel devant un soumis… Il se ressaisissait et reprenait la parole avec courage et dans une sorte d’humilité sincère. Et ‘est donc très ému qu’il me dit :
- Tu vois cette lettre est cachetée de mon sceau. Et donc elle n’aurait jamais été ouverte si tu ne m’avais pas rejoint, si tu n’étais pas là, aujourd’hui, humble à Mes pieds ! Cette lettre, elle te revient de droit, parce que j’en ai fait le serment en son temps. J’en ai fait la promesse de te la remettre en main propre, le jour venu. Et ce jour est aujourd’hui.

Je ne voyais absolument pas où Monsieur le Marquis voulait en venir. Pourquoi cette lettre me reviendrait-elle ? Et pourquoi le Maître semblait si ému ? « alex, apprend la patience si tu veux être celui que tu espères ! » me disais-je.

- Cette lettre, je la tiens de tes parents !

Je sursautais en me mettant à trembler… Mes yeux s’embrumaient, je sentais mon cœur battre beaucoup plus vite…
- Ta maman l’a écrite, deux ans après ta naissance, alors qu’elle et ton père avait quitté le Château sous Mon consentement, cette lettre a été écrite ici, un soir d’automne, sur ce bureau. Ce fut un grand moment d’émotion, pour elle, pour ton père et pour Moi également. Tes parents m’ont demandé de conserver cette lettre près de Moi, de ne jamais la remettre à quiconque hormis à toi, et à toi seulement dans le cas où un jour tu venais à Ma rencontre pour te mettre à Ma disposition, comme eux l’ont fait lorsqu’ils eurent 18 ans pour ta mère, 21 pour ton père. Aujourd’hui, je suis fier d’honorer Ma promesse, aujourd’hui je te la remets, tiens, prends-là, ouvre-là, lis-là.

Je sentais rouler des larmes sur mes joues. Je pleurais de tristesse, de joie, je ne savais pas pourquoi exactement. Remonter des souvenirs, que des bons souvenirs d’enfance, de jeunesse, d’adolescence.

- Veuillez m’excuser Maître !, lui disais-je d’une voix chevrotante.
- Tiens prends ce mouchoir en papier et essuie tes larmes.

J’ouvrais le pli avec délicatesse et attention, les mains tremblantes d’émotion :
« Mon petit chéri, mon cher et adorable enfant, mon petit Alexandre,Si tu lis cette lettre entre tes mains, cela veut dire que deux évènements majeurs se seront alors produits. Le premier, voudra dire que ni ton père, ni moi-même ne serons plus de ce monde pour te chérir, t’adorer, pour te voir grandir ou vieillir, la mort nous aura cueilli et donc ce pli est uniquement réalisé dans ce cas de figure de notre éventuel décès. Mais nous aurons laissé à travers toi, ce fil d’Ariane unissant nos âmes… Le second évènement, voudra dire que tu auras cheminé et marché dans nos pas si ta destinée l’exige, peut-être sans même le savoir, pour te retrouver ici en train de lire cette lettre, dans cette noble Demeure qui nous a apporté tant de bonheur et de joie auprès de Monsieur le Marquis, cette noble et délicieuse Personne, ce Bienfaiteur humaniste, ce grand Maître Exigent mais Juste qui a su nous conduire vers un idéal que nous attendions, que notre Nature nous réservait...

(Je pleurais…)
… Quand tu seras en possession de cette lettre, alors de là où nous sommes, nos âmes seront sereines, calmes et pourront reposer en paix. Lire cette lettre voudra donc dire que la vie que tu viens de te choisir sera belle, harmonieuse, faite de plaisirs et de jouissances mais surtout que tu y trouveras la plénitude et la sérénité avec toi-même que nul ailleurs tu pourrais trouver. La vie, ta vie sera comblée puisque c’est ici, en ces Lieux que ton père et moi nous sommes connu, ici aussi que plus tard tu as été conçu, dans la Grande Bibliothèque de Monsieur le Marquis, avec Son aval et sous Son regard. Peut-être un jour, mon petit chéri, aimeras-tu la lecture et les livres ?, comme moi et ton père, avons apprécié ces temps d’enrichissement de notre culture qui nous ont été offert à maintes reprises ici...

(Je pleurais toujours…)
… Sache encore, mon doux bébé, que tu es le fruit d’un grand amour passionnel entre les deux soumis que nous sommes, d’un amour abyssal et gigantesque, ton père et moi nous nous aimons tellement, si tendrement, viscéralement. Enfin, mon adorable enfant, sache encore, que Monsieur le Marquis, cet Homme de parole si bon, nous a fait une magnifique promesse ce soir. Il vient de souscrire une assurance-vie à notre nom en te désignant comme seul bénéficiaire en cas de nos décès, d’un montant de trois millions d’euros. Que tu sois près de Lui ou non, cette somme te reviendra après notre disparition. Tout va être acté en bon et du uniforme chez le Notaire du Maître. Ainsi, il veut te mettre à l’abri de toute difficulté financière pour que tu puisses vivre aisément et dans le confort ! Saches que nous avons quitté le Château, dès ta naissance il y a deux années, avec la permission de Monsieur le Marquis, afin que l’on puisse t’élever dans un lieu neutre de toute Domination/soumission. Le Maître a tout financé, comme par exemple notre nouvelle maison où tu grandis et vas grandir… Maintenant que tu lis cette lettre, que tu sais, n’oublie pas de remercier cet Homme bien aimé ! Ne pleure pas, soit fort mon grand petit bonhomme, ressent cette force que nous t’adressons de tout là-haut…
Espérant que tu n’aies jamais à lire cette lettre signe que nous serons vivants le plus tard possible et que nous te verrons vieillir …
Ta maman qui t’aime tant, ton papa qui t’adore ! … »
Je ne pus encore retenir mes sanglots … Le Maître silencieux, pleurait aussi …
(A suivre…)

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