La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1540)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-08-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1540)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1539) -
Chapitre 13 : Une mise au point nécessaire ! -
- Et maintenant, mange ta bouillie spermée, exigea le Maître !…
Un peu plus tard, dans cette voiture me ramenant au Château, j’étais totalement exténué, anéanti, en ruine. Monsieur le Marquis ainsi que Monsieur Jean avaient usé et abusé de mon corps servile, de mon mental, servile aussi, en alternance ou ensemble, tout au long de la matinée et de ce début d’après-midi. Je n’avais pas eu un moment de répit… Sans relâche, sans se préoccuper de mes atermoiements, sans interruption, ils s’étaient divertis faisant de moi une loque humaine, une épave, une chose, un simple objet sexuel, je n’étais plus que deux trous à combler, bouche et anus à remplir, à se vider les couilles sans modération, à jouir de et dans mes orifices d’esclave, à se soulager la vessie aussi ayant servi également d’urinoir… Bref j’étais en lambeau et avais le cerveau en vrac !... Heureusement, il y avait eu ce temps, juste avant notre départ, où le Maître m’avait accordé un peu de douceur. Dans une baignoire remplie d’eau chaude et pleine de mousse, tous deux dedans, il m’avait longuement lavé, comme on laverait son chien, puis m’avait autorisé à m’appuyer contre Lui pour me détendre un peu. Il m’avait caressé longtemps. Il m’avait ensuite ordonné de m’étendre sur un lit…
Là, sur le matelas, il m’avait massé tendrement, le dos, les cuisses, les fesses, l’anus avec un crème apaisante. A cet instant, je me souvenais encore de mes soupirs, je me remémorais de ces moments de sensualité intenses, de ces papillons dans mon estomac… Une fois encore, d’une autre manière je m’étais abandonné à son pouvoir, à sa séduction naturelle, à ses mains passant et caressant mon corps nu ! J’étais devenu Son esclave et je me sentais totalement être à Lui. Je me sentais être sous Ses caresses baladeuses et lentes être aussi Son amant, enfin j’avais cette sensation et cela me faisait battre le cœur de bonheur. Le Châtelain savait Dominer, mais il savait aussi aimer, aimer sensuellement, tendrement, surtout quand il décidait sous Ses caresses intimes de m’embrasser sur la bouche longuement, passant Sa langue autour de la mienne et de me faire l’amour. Il me prenait cette fois-ci comme un amant et pas comme une chose… Donc ce matin-là, j’avais été Son objet sexuel et ensuite Son compagnon de lit, pour un instant que je n’oublierai jamais…
Le ciel était gris, il pleuvait, l’orage grondait. Avec lucidité cette fois-ci, je m’inquiétais réellement. « Pourvu qu’il ne grêle pas » pensais-je ! Combien de fois ces orages d’été avaient anéanti le travail viticole d’une année. La vendange s’annonçait belle, en un rien de temps, elle pouvait être réduite à néant. Monsieur le Marquis, Lui aussi semblait soucieux, car maintenant, de petits grêlons claquaient contre le parebrise du véhicule. « Eh zut ! » lançait-il à haute voix… Sous des trompes d’eau, une fois le portail du Château passé, le Maître m’ordonnait de me dévêtir totalement et rapidement dans Sa voiture. Je n’étais pas mécontent de me débarrasser de ces haillons.
- Tu t’es assez donné ces dernières 24 heures, je vais te laisser regagner tes pénates…, me disait-il
Walter, sous un immense parapluie, attendait sur le perron, Monsieur le Marquis garait Son véhicule près des marches. Le Majordome se précipitait pour Lui ouvrir la portière sous une pluie battante.
- Tu descends, tu attends ici, Walter va venir ôter ton collier !, m’ordonnait le Noble.
Ultime épreuve pour ces dernières 24 heures passées sous l’autorité constante du Maitre. Sous cette pluie battante, nu, frigorifié, je restais figé sur la première marche de l’entrée principale du Château. Dieu merci, l’attente ne fut pas très longue, Walter revenait, déverrouillait le cadenas de cette chaine passée à mon cou et m’autorisait à partir. Je me précipitais dans ma voiture, trempé jusqu’aux os, m’épongeais le visage avec mon tee-shirt, passais mon short et partais en direction de la Bastide, avec deux seules idées en tête, la première prendre une bonne douche chaude et salvatrice, la seconde me coucher ! … Avec cette pluie diluvienne, j’étais sûr de ne pas rencontrer grand monde sur la route, il valait mieux. Torse nu par un temps pareil, avec un short détrempé laissant paraitre nettement ma cage de chasteté sous celui-ci, avec sur mon dos ces traces de la flagellation d’hier soir, je faisais pâle figure… Ouf, je ne croisais personne, ni Charles, ni Louise, c’était mieux ainsi. Je montais la volée d’escaliers quatre à quatre pour regagner ma chambre, à cet instant mon téléphone sonnait (sec car il était resté dans ma voiture jusqu’à que j’en sorte). Je faisais demi-tour, attrapait mon téléphone. Oups, j’avais bien fait de redescendre, l’appel venait de Monsieur le Marquis.
- Tu es rentré salope ?, m’affirma-t’il- Oui Maitre, à l’instant Maitre, merci Maitre.
- Je ne sais pas si tu es bien conscient des engagements que tu as pris hier, devant témoins. Jusqu’ici tu n’étais qu’un simple chien, un simple soumis, un simple bâtard en quête d’un collier et d’une laisse. Aujourd’hui, par ta seule volonté, avec Mon aide et Mon autorité tu es et vas devenir un réel esclave, Mon esclave, comme l’étaient tes parents des années durant et ce jusqu’à que ta mère tombe enceinte de toi…
J’étais stupéfait et mon cœur se mit à battre apprenant le statut exact de mes parents …
- Merci Maître…, osais-je répondre sans vraiment comprendre ces propos, sans vraiment encore avoir eu le temps de digérer l’information relative à mon nouveau statut et aussi à celle relative à mes parents…- Jusqu’ici tu étais privé de liberté sexuelle, maintenant et dès à présent, tu es privé de liberté d’action, d’expression sans Mon accord préalable, y compris lorsque tu n’es pas près de Moi. Tu dois te contenter d’obéir et de te soumettre simplement à Mes injonctions quelles qu’elles soient. Point d’initiative, point de décision, y compris dans ton quotidien pour que je puisse mieux te façonner, te recréer au-delà de ce que tu peux imaginer. En attendant, tu dois dès à présent obtenir Mon accord préalable pour agir, faire, entreprendre, sortir, etc… Pour ne pas te prendre en défaut, sache que Walter, en compagnie d’un de Mes informaticiens, a installé hier un mouchard sur ton téléphone portable laissé dans ta voiture. Ainsi, je suis capable d’entendre tes communications téléphoniques, lire tes sms et mails, te suivre à distance, consulter ton agenda électronique, voir les sites Internet que tu consultes, bref comme si ce téléphone était mien !
J’étais de nouveau stupéfait, m’asseyais pour écouter la suite.
- En outre, il faut bien que tu comprennes que je vais exploiter l’étendue de tes capacités sexuelles, parce que je suis là pour ça… Ta lubricité va t’honorer, tu vas devenir ce trou béant avide de bites qui ne demande qu’à se faire prendre et remplir, tu souhaiteras avoir devant toi des queues à sucer, des chattes et des culs à lécher, sous Mes ordres pour mieux te faire enculer comme une putain de chienne que tu es. Ta perversion, ta descente aux enfers, enfin je préfère dire ta descente à la luxure extrême, jusqu’aux confins des plaisirs défendus, ta volonté de Me donner du plaisir sous quelle que forme que ce soit, ton devoir d’accueillir Mes fluides là où bon Me semblera, voilà ce que j’attends de toi. Comprends-tu Mes propos salope ?
- Oui Maître !, répondais-je hébété.
- Enfin, avant demain matin 10 heures, tu m’adresseras deux pages d’un récit, récit que tu vas commencer à construire, portant sur nos rencontres, dans lequel tu me feras part de tes ressentis, de tes doutes, de tes difficultés de tes facilités, de tes impressions. Tu as libre court… sois honnête, franc, sincère. D’aucune manière je ne t’en tiendrai rigueur. Sur ce, bonne nuit mon petit esclav’alex !
Monsieur le Marquis raccrochait immédiatement, sans que je puisse Lui adresser mes respectueuses salutations. Je restais de longues minutes sur cette chaise abasourdi, ahuri, sidéré. L’étau se refermait sur moi, effectivement je n’avais pas réellement mesuré les conséquences de cet engagement, même si le Noble me les avait largement expliqué (NDLA : lire chapitre précédent). Abasourdi, sidéré, aussi concernant mes parents. Je comprenais mieux le grand chagrin du Maître suite à leur décès. Il avait tissé un lien fort, très fort avec eux. La relation de Domination/soumission dépassait le statut de Maître/soumis (se), elle avait été poussée à l’extrême pour devenir une relation plus puissante Maître/esclaves. Je savais maintenant que Mes parents avait été très heureux aux pieds de Monsieur le Marquis comme je le suis désormais… Cette pensée me réconforterait, me rassurais et je n’avais pas à juger du comportement de mes parents, ils avaient simplement vécu leur propre Nature, comme je le faisais actuellement… Enfin je regagnais ma chambre avec la ferme intention de prendre une bonne douche. Sauf que… mon téléphone sonnait de nouveau.
- Bonsoir Charles.
- Bonsoir Monsieur Alexandre, je ne vous dérange pas trop ?
- Je vous écoute Charles- Dites-moi Monsieur Alexandre, est-elle blonde ou brune ?
Je levais les yeux au ciel parce qu’un peu exaspéré… Les allusions à deux balles de Charles, commençaient à m’agacer.
- C’est pour ça que vous m’appeler Charles ?, lui répondais-je sèchement.
- Oh non Monsieur Alexandre, veuillez m’excuser, vous me connaissez, j’aime plaisanter - Oui je sais Charles ! Lui disais-je toujours froidement.
- Je vous appelais pour tout autre chose Monsieur Alexandre… Je vous appelais pour savoir si ce mois-ci vous aviez l’intention de me payer…- Quelle question Charles, évidemment que je vous paierai en fin de mois, comme d’habitude.
- C’est que le mois dernier, vous ne l’avez pas fait Monsieur Charles… on est le 10 du mois et je n’ai toujours pas eu mon chèque.
« Oh zut, de zut !, cette soumission, te fait perdre la tête mon pauvre Alex » pensais-je
- Oh Charles, excusez-moi, je suis vraiment désolé, c’est un stupide oubli, c’est tout ! Je vous apporte votre chèque sitôt ma douche prise.
- Mais non Monsieur Alexandre, il pleut encore trop ce soir, vous me le donnerez demain.
- D’accord, entendu, et mille excuses encore, Charles - Pas de souci Monsieur Alexandre, je sais ce que c’est… avec le grand amour, on en oublie le boire et le manger…- Bonne soirée Charles, promis demain à la première heure, je vous descends votre chèque et votre bulletin de salaire.
- Vous avez regardé les actualités régionales Monsieur Alexandre.
Je rageais… Charles avait envie de parler, moi de me coucher…
- Non Charles !
- Ils ont dégusté du coté de Brouilly, 50 % de perte il parait, suite à cette grêle… on a eu chaud aux fesses, nous ici on n’a rien eu…
« Moi aussi, hier, j’ai eu chaud aux fesses, mais pas pour les mêmes raisons » pensais-je en souriant
- Croisons les doigts Charles, Ils annoncent des orages encore pour demain.
- Je ne vous embête pas plus Monsieur Alexandre, allez bonne nuit à demain.
- Bonne soirée Charles, embrassez Louise de ma part.
- Plutôt deux fois qu’une Monsieur Alexandre
Charles s’esclaffait et raccrochait. Enfin, j’étais sous la douche…
(A suivre…)
Chapitre 13 : Une mise au point nécessaire ! -
- Et maintenant, mange ta bouillie spermée, exigea le Maître !…
Un peu plus tard, dans cette voiture me ramenant au Château, j’étais totalement exténué, anéanti, en ruine. Monsieur le Marquis ainsi que Monsieur Jean avaient usé et abusé de mon corps servile, de mon mental, servile aussi, en alternance ou ensemble, tout au long de la matinée et de ce début d’après-midi. Je n’avais pas eu un moment de répit… Sans relâche, sans se préoccuper de mes atermoiements, sans interruption, ils s’étaient divertis faisant de moi une loque humaine, une épave, une chose, un simple objet sexuel, je n’étais plus que deux trous à combler, bouche et anus à remplir, à se vider les couilles sans modération, à jouir de et dans mes orifices d’esclave, à se soulager la vessie aussi ayant servi également d’urinoir… Bref j’étais en lambeau et avais le cerveau en vrac !... Heureusement, il y avait eu ce temps, juste avant notre départ, où le Maître m’avait accordé un peu de douceur. Dans une baignoire remplie d’eau chaude et pleine de mousse, tous deux dedans, il m’avait longuement lavé, comme on laverait son chien, puis m’avait autorisé à m’appuyer contre Lui pour me détendre un peu. Il m’avait caressé longtemps. Il m’avait ensuite ordonné de m’étendre sur un lit…
Là, sur le matelas, il m’avait massé tendrement, le dos, les cuisses, les fesses, l’anus avec un crème apaisante. A cet instant, je me souvenais encore de mes soupirs, je me remémorais de ces moments de sensualité intenses, de ces papillons dans mon estomac… Une fois encore, d’une autre manière je m’étais abandonné à son pouvoir, à sa séduction naturelle, à ses mains passant et caressant mon corps nu ! J’étais devenu Son esclave et je me sentais totalement être à Lui. Je me sentais être sous Ses caresses baladeuses et lentes être aussi Son amant, enfin j’avais cette sensation et cela me faisait battre le cœur de bonheur. Le Châtelain savait Dominer, mais il savait aussi aimer, aimer sensuellement, tendrement, surtout quand il décidait sous Ses caresses intimes de m’embrasser sur la bouche longuement, passant Sa langue autour de la mienne et de me faire l’amour. Il me prenait cette fois-ci comme un amant et pas comme une chose… Donc ce matin-là, j’avais été Son objet sexuel et ensuite Son compagnon de lit, pour un instant que je n’oublierai jamais…
Le ciel était gris, il pleuvait, l’orage grondait. Avec lucidité cette fois-ci, je m’inquiétais réellement. « Pourvu qu’il ne grêle pas » pensais-je ! Combien de fois ces orages d’été avaient anéanti le travail viticole d’une année. La vendange s’annonçait belle, en un rien de temps, elle pouvait être réduite à néant. Monsieur le Marquis, Lui aussi semblait soucieux, car maintenant, de petits grêlons claquaient contre le parebrise du véhicule. « Eh zut ! » lançait-il à haute voix… Sous des trompes d’eau, une fois le portail du Château passé, le Maître m’ordonnait de me dévêtir totalement et rapidement dans Sa voiture. Je n’étais pas mécontent de me débarrasser de ces haillons.
- Tu t’es assez donné ces dernières 24 heures, je vais te laisser regagner tes pénates…, me disait-il
Walter, sous un immense parapluie, attendait sur le perron, Monsieur le Marquis garait Son véhicule près des marches. Le Majordome se précipitait pour Lui ouvrir la portière sous une pluie battante.
- Tu descends, tu attends ici, Walter va venir ôter ton collier !, m’ordonnait le Noble.
Ultime épreuve pour ces dernières 24 heures passées sous l’autorité constante du Maitre. Sous cette pluie battante, nu, frigorifié, je restais figé sur la première marche de l’entrée principale du Château. Dieu merci, l’attente ne fut pas très longue, Walter revenait, déverrouillait le cadenas de cette chaine passée à mon cou et m’autorisait à partir. Je me précipitais dans ma voiture, trempé jusqu’aux os, m’épongeais le visage avec mon tee-shirt, passais mon short et partais en direction de la Bastide, avec deux seules idées en tête, la première prendre une bonne douche chaude et salvatrice, la seconde me coucher ! … Avec cette pluie diluvienne, j’étais sûr de ne pas rencontrer grand monde sur la route, il valait mieux. Torse nu par un temps pareil, avec un short détrempé laissant paraitre nettement ma cage de chasteté sous celui-ci, avec sur mon dos ces traces de la flagellation d’hier soir, je faisais pâle figure… Ouf, je ne croisais personne, ni Charles, ni Louise, c’était mieux ainsi. Je montais la volée d’escaliers quatre à quatre pour regagner ma chambre, à cet instant mon téléphone sonnait (sec car il était resté dans ma voiture jusqu’à que j’en sorte). Je faisais demi-tour, attrapait mon téléphone. Oups, j’avais bien fait de redescendre, l’appel venait de Monsieur le Marquis.
- Tu es rentré salope ?, m’affirma-t’il- Oui Maitre, à l’instant Maitre, merci Maitre.
- Je ne sais pas si tu es bien conscient des engagements que tu as pris hier, devant témoins. Jusqu’ici tu n’étais qu’un simple chien, un simple soumis, un simple bâtard en quête d’un collier et d’une laisse. Aujourd’hui, par ta seule volonté, avec Mon aide et Mon autorité tu es et vas devenir un réel esclave, Mon esclave, comme l’étaient tes parents des années durant et ce jusqu’à que ta mère tombe enceinte de toi…
J’étais stupéfait et mon cœur se mit à battre apprenant le statut exact de mes parents …
- Merci Maître…, osais-je répondre sans vraiment comprendre ces propos, sans vraiment encore avoir eu le temps de digérer l’information relative à mon nouveau statut et aussi à celle relative à mes parents…- Jusqu’ici tu étais privé de liberté sexuelle, maintenant et dès à présent, tu es privé de liberté d’action, d’expression sans Mon accord préalable, y compris lorsque tu n’es pas près de Moi. Tu dois te contenter d’obéir et de te soumettre simplement à Mes injonctions quelles qu’elles soient. Point d’initiative, point de décision, y compris dans ton quotidien pour que je puisse mieux te façonner, te recréer au-delà de ce que tu peux imaginer. En attendant, tu dois dès à présent obtenir Mon accord préalable pour agir, faire, entreprendre, sortir, etc… Pour ne pas te prendre en défaut, sache que Walter, en compagnie d’un de Mes informaticiens, a installé hier un mouchard sur ton téléphone portable laissé dans ta voiture. Ainsi, je suis capable d’entendre tes communications téléphoniques, lire tes sms et mails, te suivre à distance, consulter ton agenda électronique, voir les sites Internet que tu consultes, bref comme si ce téléphone était mien !
J’étais de nouveau stupéfait, m’asseyais pour écouter la suite.
- En outre, il faut bien que tu comprennes que je vais exploiter l’étendue de tes capacités sexuelles, parce que je suis là pour ça… Ta lubricité va t’honorer, tu vas devenir ce trou béant avide de bites qui ne demande qu’à se faire prendre et remplir, tu souhaiteras avoir devant toi des queues à sucer, des chattes et des culs à lécher, sous Mes ordres pour mieux te faire enculer comme une putain de chienne que tu es. Ta perversion, ta descente aux enfers, enfin je préfère dire ta descente à la luxure extrême, jusqu’aux confins des plaisirs défendus, ta volonté de Me donner du plaisir sous quelle que forme que ce soit, ton devoir d’accueillir Mes fluides là où bon Me semblera, voilà ce que j’attends de toi. Comprends-tu Mes propos salope ?
- Oui Maître !, répondais-je hébété.
- Enfin, avant demain matin 10 heures, tu m’adresseras deux pages d’un récit, récit que tu vas commencer à construire, portant sur nos rencontres, dans lequel tu me feras part de tes ressentis, de tes doutes, de tes difficultés de tes facilités, de tes impressions. Tu as libre court… sois honnête, franc, sincère. D’aucune manière je ne t’en tiendrai rigueur. Sur ce, bonne nuit mon petit esclav’alex !
Monsieur le Marquis raccrochait immédiatement, sans que je puisse Lui adresser mes respectueuses salutations. Je restais de longues minutes sur cette chaise abasourdi, ahuri, sidéré. L’étau se refermait sur moi, effectivement je n’avais pas réellement mesuré les conséquences de cet engagement, même si le Noble me les avait largement expliqué (NDLA : lire chapitre précédent). Abasourdi, sidéré, aussi concernant mes parents. Je comprenais mieux le grand chagrin du Maître suite à leur décès. Il avait tissé un lien fort, très fort avec eux. La relation de Domination/soumission dépassait le statut de Maître/soumis (se), elle avait été poussée à l’extrême pour devenir une relation plus puissante Maître/esclaves. Je savais maintenant que Mes parents avait été très heureux aux pieds de Monsieur le Marquis comme je le suis désormais… Cette pensée me réconforterait, me rassurais et je n’avais pas à juger du comportement de mes parents, ils avaient simplement vécu leur propre Nature, comme je le faisais actuellement… Enfin je regagnais ma chambre avec la ferme intention de prendre une bonne douche. Sauf que… mon téléphone sonnait de nouveau.
- Bonsoir Charles.
- Bonsoir Monsieur Alexandre, je ne vous dérange pas trop ?
- Je vous écoute Charles- Dites-moi Monsieur Alexandre, est-elle blonde ou brune ?
Je levais les yeux au ciel parce qu’un peu exaspéré… Les allusions à deux balles de Charles, commençaient à m’agacer.
- C’est pour ça que vous m’appeler Charles ?, lui répondais-je sèchement.
- Oh non Monsieur Alexandre, veuillez m’excuser, vous me connaissez, j’aime plaisanter - Oui je sais Charles ! Lui disais-je toujours froidement.
- Je vous appelais pour tout autre chose Monsieur Alexandre… Je vous appelais pour savoir si ce mois-ci vous aviez l’intention de me payer…- Quelle question Charles, évidemment que je vous paierai en fin de mois, comme d’habitude.
- C’est que le mois dernier, vous ne l’avez pas fait Monsieur Charles… on est le 10 du mois et je n’ai toujours pas eu mon chèque.
« Oh zut, de zut !, cette soumission, te fait perdre la tête mon pauvre Alex » pensais-je
- Oh Charles, excusez-moi, je suis vraiment désolé, c’est un stupide oubli, c’est tout ! Je vous apporte votre chèque sitôt ma douche prise.
- Mais non Monsieur Alexandre, il pleut encore trop ce soir, vous me le donnerez demain.
- D’accord, entendu, et mille excuses encore, Charles - Pas de souci Monsieur Alexandre, je sais ce que c’est… avec le grand amour, on en oublie le boire et le manger…- Bonne soirée Charles, promis demain à la première heure, je vous descends votre chèque et votre bulletin de salaire.
- Vous avez regardé les actualités régionales Monsieur Alexandre.
Je rageais… Charles avait envie de parler, moi de me coucher…
- Non Charles !
- Ils ont dégusté du coté de Brouilly, 50 % de perte il parait, suite à cette grêle… on a eu chaud aux fesses, nous ici on n’a rien eu…
« Moi aussi, hier, j’ai eu chaud aux fesses, mais pas pour les mêmes raisons » pensais-je en souriant
- Croisons les doigts Charles, Ils annoncent des orages encore pour demain.
- Je ne vous embête pas plus Monsieur Alexandre, allez bonne nuit à demain.
- Bonne soirée Charles, embrassez Louise de ma part.
- Plutôt deux fois qu’une Monsieur Alexandre
Charles s’esclaffait et raccrochait. Enfin, j’étais sous la douche…
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