La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1542)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-08-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1542)
Camélia au Château - Devenue chienne Maera MDE - (suite de l'épisode N°1515) -
J’avoue avoir eu la larme aux yeux d’amitié quand elles partirent en début d’après-midi pour l’aéroport… Après le départ de Maître Ho Shen, de Mei-Ling et de Sheng -Yu, je me mis donc à vaquer à mes occupations habituelles au Château étant toujours emplie de respect et d’humilité, dans une attitude humble, n’oubliant jamais quelle est sa place, ni que ce Château est un haut lieu historique et connu de la Domination/Soumission. La suite de la journée se passa sans encombre. Le soir, j’étais utilisée au service en soubrette pour préparer le repas sous le commandement sévère de Madame Marie, la cuisinière qui ne manqua pas de me flageller le fessier car j’avais juste oublié d’apporter la salière sur la grande table. Je dus aussi servir le Maître et ses Invités comme Il se doit, de manière féline et séduisante, en ayant pour seul but de satisfaire le Seigneur à qui j’ai dédié ma vie tout entière. Il n’y avait rien de plus magique que de savourer le bonheur de Monsieur le Marquis et Son sourire au cours de ce repas m’emplissait le cœur d’une joie infinie laquelle je n’aurais su mesurer tellement cela en était beau et intense. Une fois la soirée très avancée la nuit, je fus de nouveau utilisée, mais cette fois pour servir abondamment de vide-couilles dans mes trois orifices par tous les Invités gourmands de mon corps servile et nu mis à leur disposition. Ce n’est que quand tout fut terminé, vers le 2h du matin, que le Majordome me ramena dans mon Cachot pour tout simplement aller dormir comme cela avait été exigé…
En rentrant dans la cellule, j’avais tout de suite remarqué les caméras infrarouges allumées ainsi que les capteurs thermiques permettant de surveiller tout mouvement. Une fois que Walter referma la lourde porte du Cachot derrière lui pour me laisser seule, je m’allongeai sur le matelas posé à même le sol et m’endormis presque aussitôt tombant de sommeil... Quand tout d’un coup, je me réveillais subitement au milieu de la nuit, dans le noir le plus total. Je me levais encore en partie endormie et ressentis soudain une envie présente d’uriner. Je progressais ainsi à quatre pattes à tâtons jusqu’au fond du Cachot cherchant ainsi où se situait les toilettes à la turque. Je m'accroupis au plus vite en m’appuyant de mes deux mains sur le mur pour être stable afin de vider ma vessie sans la moindre pudeur. Après avoir fini d’uriner, je m’appuyais sur l’autre mur, celui de côté, pour m’aider à me redresser. Et sans le faire exprès, j'avais appuyé sur une pierre carrée et saillante encastrée dans ledit mur. C’est alors que, tout d’un coup, je sentis le mur se dérober, s’effaçant sous la pression dans un mécanisme mal huilé, occasionnant un lourd grincement de pierres sur des dalles empierrées, comme si j’assistais par magie à l’ouverture de la caverne d’Ali Baba !
Je ressentis alors comme un léger courant d’air venant d’un étroit souterrain sombre mais éclairé au loin par une minuscule lumière. Ce tunnel se dévoilait comme si cette pierre carrée avait déclenché l’ouverture sur une nouvelle pièce cachée derrière le mur épais de mon Cachot. En regardant de plus près, j’étais animée par ce sentiment étrange qui m’était encore méconnu, cela était un mélange entre curiosité et surprise par mes yeux ébahis. Je regardais de plus près ce souterrain datant sûrement de l’époque du Moyen-Age et je pris mon courage à deux mains pour avancer doucement et prudemment, presque à tâtons, m’aidant seulement de la lumière lointaine. Alors que la lumière se faisait de plus en plus grande en m’approchant, quand j’arrivais au bout de ce tunnel, quelle ne fut pas ma grande surprise quand je découvris le spectacle qui s’offrait à mon regard ébahi…
D’abord, j’étais complètement sous le charme face à cette gigantesque et vaste pièce décorée, bien éclairée avec des torches enflammées. Je découvris alors un univers comme hors du temps qui me paraissait très étrange car j’étais toujours au Château dans une pièce que je connaissais bien et reconnaissais donc comme le Donjon de cette demeure multi centenaire. Il y avait alors plusieurs personnes présentes que je connaissais et je reconnaissais également tout de suite au premier regard comme Monsieur le Marquis d’Evans, Walter le Majordome, Marie la cuisinière ainsi que mes sœurs et frères de soumission. Quelque chose attira tout de suite mon attention et attisa encore plus ma surprise car leurs habits étaient d’une toute autre époque, celle visiblement du début du XXème siècle avec des tenues typiques des années 30 avec la jupe, les premiers blazers, le nœud papillon ainsi que le chapeau haut de forme, C’est comme si j’avais fait un bond dans le passé et que je me retrouvais en pleine période des années folles, cela paraissait étrangement réel et à la fois si irréel.
J’avançais, sortant du tunnel et je me trouvais désormais en plein milieu de la pièce, mais étrangement, c’était comme si personne ne me voyait, ni ne m'entendait, tel un fantôme invisible. Avec un peu plus de courage je m’avançais et ce que je pus voir était vraiment très étrange… Il y avait une soumise attachée à une poutre au plafond au milieu de ce vaste Donjon, ses bras bien écartés ainsi que ses chevilles solidement liées au sol. Elle me tournait le dos et était en train de se faire prendre par le Maitre Vénéré qui la maintenait fermement par les deux hanches tout en la baisant virilement à grands coups de boutoir. J’avançais pour voir son visage et qu’elle fut ma grande surprise de me voir moi-même ! Oui c’était moi, en personne, chienne Maera MDE qui se faisait enculer ainsi par derrière, la Verge de Monsieur le Marquis bien plantée dans mon cul dilaté... J’étais sous le choc ayant du mal à reprendre mes esprits en ne comprenant pas comment je pouvais être à deux endroits à la fois et en même temps, en tant que simple spectatrice invisible de cette scène de Domination/soumission en pleine orgie et à la fois actrice de ladite orgie. En effet, je me voyais en train de me faire besogner dans cette saillie virile et bestiale par le Châtelain et visiblement je prenais beaucoup de plaisir, à la vue de mon visage proche de l’orgasme…
Je m’approchais encore plus près de moi-même et personne ne réagissait, c’était décidément de plus en plus bizarre, je n’étais qu’une simple et insignifiante ombre dans cette véritable orgie bestiale, animale où j’étais baisée par le Seigneur telle un simple objet sexuel. Cela m’excitait, je l’avoue, je mouillais à la vue de cette orgie mais aussi de voir mon double se faire enculer le Maître des Lieux. Cette sodomie à forte connotation D/s était si bonne à regarder car toutes les autres personnes présentes dans ce Donjon ancestral regardaient en silence ce spectacle sans oser bouger. Au bout d’un long moment le Noble m'autorisait et me donnait l’ordre de jouir, au moment où tout en continuant de me prendre mon cul, il éjaculait de Sa divine Semence à grands jets saccadés de sperme venant inonder mes entrailles alors qu’il me branlait frénétiquement mon clitoris de Ses doigts inquisiteurs… Je me voyais alors à crier ma propre jouissance en même temps que le Maître dans un orgasme commun et puissant à la fois sous Ses doigts qui titillaient allégrement mon bouton rose érigé sans que sa main se détache de mon sexe trempé qui arrosait donc Ses doigts masturbateurs au moment même où je hurlais mon fort plaisir orgasmique…
C’est alors que je me réveillais en sursaut et en sueur d’un coup, j’étais couchée sur mon matelas dans mon Cachot et seule dans la nuit silencieuse. Et je me rendis compte que tout cela n’était qu’un magnifique et extraordinaire rêve érotico/D/s ! Et cela était vraiment un pur et exquis délice, certainement le plus beau rêve de ma vie. Reprenant mes esprits, je m’empressais de mémoriser ce sublime songe afin de ne pas l’oublier, comme la plupart de nos rêves à tout à chacun qui ne font que traverser notre esprit avant de sombrer dans l’oubli... Je me rendais compte que j’étais toute trempée et que le matelas était complètement inondé de ma cyprine. J’avais l’impression que les doigts du Maître étaient encore posés sur mon clito, alors qu’elle fut ma surprise de constater que c’était mes propres doigts qui m’avaient caressé inconsciemment durant mon rêve. Et que j’en avais jouis au moment même où, dans le rêve, le Châtelain l’avait ordonné et pas avant, ça j’en étais profondément persuadé ! Je m’aperçus alors avec stupeur que j’avais joui de mon rêve par mes doigts me branlant moi-même…
Et que cet orgasme serait remarqué par les caméras thermiques à infrarouges ainsi que mes cris orgasmiques envoyés inévitablement et qui me semblaient encore résonner dans toute ma cellule… Je savais très bien que, dès la matinée, la vidéo des caméras seront consultées et que ma jouissance non autorisée serait sanctionnée rapidement. Après mon réveil, j’eus toutes les peines du monde à me rendormir. J’étais bien éveillée et n’arrivais pas à trouver de nouveau le sommeil. J’étais fortement préoccupée par ma faute, même si elle était involontaire, me posant beaucoup de questions ayant l’esprit fortement torturée car j’en éprouvais une culpabilité constante d’avoir ainsi fauté malgré moi. Culpabilité croissante, je passais les dernières heures de la nuit dans mes réflexions jusqu’à ce que tous les habitants du Château soient réveillés... Le matin, enfin, arriva non sans une certaine appréhension. Au bout d’un moment, Walter, le Majordome ouvrit la porte de mon Cachot de manière énervée et m'exigea de suite de me mettre en levrette, cul bien relevé, cuisses écartées, mains et bras sur le devant de façon prosternée, tête sur le côté. Alors il m’asséna sans ménagement une vingtaine de coups de cravache sur mon fessier nu puis me dit d’une voix furieuse :
(A suivre …)
J’avoue avoir eu la larme aux yeux d’amitié quand elles partirent en début d’après-midi pour l’aéroport… Après le départ de Maître Ho Shen, de Mei-Ling et de Sheng -Yu, je me mis donc à vaquer à mes occupations habituelles au Château étant toujours emplie de respect et d’humilité, dans une attitude humble, n’oubliant jamais quelle est sa place, ni que ce Château est un haut lieu historique et connu de la Domination/Soumission. La suite de la journée se passa sans encombre. Le soir, j’étais utilisée au service en soubrette pour préparer le repas sous le commandement sévère de Madame Marie, la cuisinière qui ne manqua pas de me flageller le fessier car j’avais juste oublié d’apporter la salière sur la grande table. Je dus aussi servir le Maître et ses Invités comme Il se doit, de manière féline et séduisante, en ayant pour seul but de satisfaire le Seigneur à qui j’ai dédié ma vie tout entière. Il n’y avait rien de plus magique que de savourer le bonheur de Monsieur le Marquis et Son sourire au cours de ce repas m’emplissait le cœur d’une joie infinie laquelle je n’aurais su mesurer tellement cela en était beau et intense. Une fois la soirée très avancée la nuit, je fus de nouveau utilisée, mais cette fois pour servir abondamment de vide-couilles dans mes trois orifices par tous les Invités gourmands de mon corps servile et nu mis à leur disposition. Ce n’est que quand tout fut terminé, vers le 2h du matin, que le Majordome me ramena dans mon Cachot pour tout simplement aller dormir comme cela avait été exigé…
En rentrant dans la cellule, j’avais tout de suite remarqué les caméras infrarouges allumées ainsi que les capteurs thermiques permettant de surveiller tout mouvement. Une fois que Walter referma la lourde porte du Cachot derrière lui pour me laisser seule, je m’allongeai sur le matelas posé à même le sol et m’endormis presque aussitôt tombant de sommeil... Quand tout d’un coup, je me réveillais subitement au milieu de la nuit, dans le noir le plus total. Je me levais encore en partie endormie et ressentis soudain une envie présente d’uriner. Je progressais ainsi à quatre pattes à tâtons jusqu’au fond du Cachot cherchant ainsi où se situait les toilettes à la turque. Je m'accroupis au plus vite en m’appuyant de mes deux mains sur le mur pour être stable afin de vider ma vessie sans la moindre pudeur. Après avoir fini d’uriner, je m’appuyais sur l’autre mur, celui de côté, pour m’aider à me redresser. Et sans le faire exprès, j'avais appuyé sur une pierre carrée et saillante encastrée dans ledit mur. C’est alors que, tout d’un coup, je sentis le mur se dérober, s’effaçant sous la pression dans un mécanisme mal huilé, occasionnant un lourd grincement de pierres sur des dalles empierrées, comme si j’assistais par magie à l’ouverture de la caverne d’Ali Baba !
Je ressentis alors comme un léger courant d’air venant d’un étroit souterrain sombre mais éclairé au loin par une minuscule lumière. Ce tunnel se dévoilait comme si cette pierre carrée avait déclenché l’ouverture sur une nouvelle pièce cachée derrière le mur épais de mon Cachot. En regardant de plus près, j’étais animée par ce sentiment étrange qui m’était encore méconnu, cela était un mélange entre curiosité et surprise par mes yeux ébahis. Je regardais de plus près ce souterrain datant sûrement de l’époque du Moyen-Age et je pris mon courage à deux mains pour avancer doucement et prudemment, presque à tâtons, m’aidant seulement de la lumière lointaine. Alors que la lumière se faisait de plus en plus grande en m’approchant, quand j’arrivais au bout de ce tunnel, quelle ne fut pas ma grande surprise quand je découvris le spectacle qui s’offrait à mon regard ébahi…
D’abord, j’étais complètement sous le charme face à cette gigantesque et vaste pièce décorée, bien éclairée avec des torches enflammées. Je découvris alors un univers comme hors du temps qui me paraissait très étrange car j’étais toujours au Château dans une pièce que je connaissais bien et reconnaissais donc comme le Donjon de cette demeure multi centenaire. Il y avait alors plusieurs personnes présentes que je connaissais et je reconnaissais également tout de suite au premier regard comme Monsieur le Marquis d’Evans, Walter le Majordome, Marie la cuisinière ainsi que mes sœurs et frères de soumission. Quelque chose attira tout de suite mon attention et attisa encore plus ma surprise car leurs habits étaient d’une toute autre époque, celle visiblement du début du XXème siècle avec des tenues typiques des années 30 avec la jupe, les premiers blazers, le nœud papillon ainsi que le chapeau haut de forme, C’est comme si j’avais fait un bond dans le passé et que je me retrouvais en pleine période des années folles, cela paraissait étrangement réel et à la fois si irréel.
J’avançais, sortant du tunnel et je me trouvais désormais en plein milieu de la pièce, mais étrangement, c’était comme si personne ne me voyait, ni ne m'entendait, tel un fantôme invisible. Avec un peu plus de courage je m’avançais et ce que je pus voir était vraiment très étrange… Il y avait une soumise attachée à une poutre au plafond au milieu de ce vaste Donjon, ses bras bien écartés ainsi que ses chevilles solidement liées au sol. Elle me tournait le dos et était en train de se faire prendre par le Maitre Vénéré qui la maintenait fermement par les deux hanches tout en la baisant virilement à grands coups de boutoir. J’avançais pour voir son visage et qu’elle fut ma grande surprise de me voir moi-même ! Oui c’était moi, en personne, chienne Maera MDE qui se faisait enculer ainsi par derrière, la Verge de Monsieur le Marquis bien plantée dans mon cul dilaté... J’étais sous le choc ayant du mal à reprendre mes esprits en ne comprenant pas comment je pouvais être à deux endroits à la fois et en même temps, en tant que simple spectatrice invisible de cette scène de Domination/soumission en pleine orgie et à la fois actrice de ladite orgie. En effet, je me voyais en train de me faire besogner dans cette saillie virile et bestiale par le Châtelain et visiblement je prenais beaucoup de plaisir, à la vue de mon visage proche de l’orgasme…
Je m’approchais encore plus près de moi-même et personne ne réagissait, c’était décidément de plus en plus bizarre, je n’étais qu’une simple et insignifiante ombre dans cette véritable orgie bestiale, animale où j’étais baisée par le Seigneur telle un simple objet sexuel. Cela m’excitait, je l’avoue, je mouillais à la vue de cette orgie mais aussi de voir mon double se faire enculer le Maître des Lieux. Cette sodomie à forte connotation D/s était si bonne à regarder car toutes les autres personnes présentes dans ce Donjon ancestral regardaient en silence ce spectacle sans oser bouger. Au bout d’un long moment le Noble m'autorisait et me donnait l’ordre de jouir, au moment où tout en continuant de me prendre mon cul, il éjaculait de Sa divine Semence à grands jets saccadés de sperme venant inonder mes entrailles alors qu’il me branlait frénétiquement mon clitoris de Ses doigts inquisiteurs… Je me voyais alors à crier ma propre jouissance en même temps que le Maître dans un orgasme commun et puissant à la fois sous Ses doigts qui titillaient allégrement mon bouton rose érigé sans que sa main se détache de mon sexe trempé qui arrosait donc Ses doigts masturbateurs au moment même où je hurlais mon fort plaisir orgasmique…
C’est alors que je me réveillais en sursaut et en sueur d’un coup, j’étais couchée sur mon matelas dans mon Cachot et seule dans la nuit silencieuse. Et je me rendis compte que tout cela n’était qu’un magnifique et extraordinaire rêve érotico/D/s ! Et cela était vraiment un pur et exquis délice, certainement le plus beau rêve de ma vie. Reprenant mes esprits, je m’empressais de mémoriser ce sublime songe afin de ne pas l’oublier, comme la plupart de nos rêves à tout à chacun qui ne font que traverser notre esprit avant de sombrer dans l’oubli... Je me rendais compte que j’étais toute trempée et que le matelas était complètement inondé de ma cyprine. J’avais l’impression que les doigts du Maître étaient encore posés sur mon clito, alors qu’elle fut ma surprise de constater que c’était mes propres doigts qui m’avaient caressé inconsciemment durant mon rêve. Et que j’en avais jouis au moment même où, dans le rêve, le Châtelain l’avait ordonné et pas avant, ça j’en étais profondément persuadé ! Je m’aperçus alors avec stupeur que j’avais joui de mon rêve par mes doigts me branlant moi-même…
Et que cet orgasme serait remarqué par les caméras thermiques à infrarouges ainsi que mes cris orgasmiques envoyés inévitablement et qui me semblaient encore résonner dans toute ma cellule… Je savais très bien que, dès la matinée, la vidéo des caméras seront consultées et que ma jouissance non autorisée serait sanctionnée rapidement. Après mon réveil, j’eus toutes les peines du monde à me rendormir. J’étais bien éveillée et n’arrivais pas à trouver de nouveau le sommeil. J’étais fortement préoccupée par ma faute, même si elle était involontaire, me posant beaucoup de questions ayant l’esprit fortement torturée car j’en éprouvais une culpabilité constante d’avoir ainsi fauté malgré moi. Culpabilité croissante, je passais les dernières heures de la nuit dans mes réflexions jusqu’à ce que tous les habitants du Château soient réveillés... Le matin, enfin, arriva non sans une certaine appréhension. Au bout d’un moment, Walter, le Majordome ouvrit la porte de mon Cachot de manière énervée et m'exigea de suite de me mettre en levrette, cul bien relevé, cuisses écartées, mains et bras sur le devant de façon prosternée, tête sur le côté. Alors il m’asséna sans ménagement une vingtaine de coups de cravache sur mon fessier nu puis me dit d’une voix furieuse :
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