La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1555)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-09-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1555)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1554) -
Chapitre 19 : Les soucis de Charles ! -
… celle de mes parents esclaves MDE !…
Difficile de voir partir Antoine sans le toucher, sans l’embrasser, sans même lui serrer la main pour lui dire au revoir. Je l’avais accompagné jusqu’à sa voiture et le regardais s’éloigner tranquillement sur ce chemin poussiéreux. Juste avant le virage menant au portail, il sortait un bras de la portière de son véhicule pour me saluer une dernière fois. Je rentrais alors, avec un brin de tristesse mêlée de romantisme. Ce garçon était beau, athlétique, gentil, humble et honnête. Chose était sûre, j’éprouvais, peut-être pour la première fois, des sentiments amoureux, tout au moins une certaine affection et de la tendresse pour lui. Antoine était tendre, attirant, attachant, d’une grande authenticité et d’une sensibilité à mon égard que j’ai su capter. Pour prolonger un peu plus encore cet état chimérique et poétique dans lequel je me trouvais, je m’installais, allongé sur le divan, pour écouter les danses hongroises de Brahms. A cet instant précis, j’éprouvais une sensation de bien-être, avec l’esprit reposé. Sauf qu’ici, à la Bastide, ces temps étaient courts, beaucoup trop courts… Déjà, quelqu’un venait de frapper à ma porte.
- Bonsoir Monsieur Alexandre !
Charles était essoufflé, comme s’il venait de courir un marathon.
- Que vous arrive-t-il Charles, tenez, installez-vous dans un fauteuil, vous me semblez à bout de souffle…- C’est le cœur, Monsieur Alexandre… mon palpitant n’est plus tout jeune ! Dès que je suis énervé ou angoissé, il me joue des tours.
- Il faudrait voir un cardiologue, Charles.
- J’y pense et puis j’oublie, comme dit la chanson… - Ce n’est pas raisonnable Charles, vous devez consulter !
- Oui, je le ferai… mais pour l’heure, j’ai d’autres soucis en tête, on commence dans dix jours.
- Vous commencez quoi, Charles ?
- Vous, Monsieur Alexandre, si je peux me permettre, vous n’êtes pas dans votre assiette ! On commence la vendange, pardi !…
« Quel con tu es, mon pauvre Alex ! » pensais-je. Charles avait raison, mon esprit était ailleurs, comme dans la brume ou dans la ouate. Il fallait me ressaisir rapidement :
- Dites-moi mon bon Charles, ça fait combien de temps que vous travaillez ici ?
- Trente-six ans, Monsieur Alexandre, pourquoi cette question ?
- Vous avez l’habitude et l’expérience, vous nous avez toujours fait du bon vin, alors pourquoi vous mettre dans un état pareil ?
- C’est que cette année, ce n’est pas pareil…. J’ai des soucis pour constituer mon équipe de vendangeurs !
- Mais vous avez votre équipe d’habitués…- Oui, sauf que quatre me font défaut cette année… et pas des moindres ! Les quatre polonais… et ben… Y viennent pas ! J’ai appris ça hier au soir… et depuis je stresse… et mon cœur bat la chamade.
- Allons, mon brave Charles, calmez-vous ! Faut pas stresser comme ça ! Nous allons bien trouver une solution !…- Heu … ben voilà,… peut-être que j’en ai une… mais j’ai besoin de votre accord, car cette solution vous implique !
- Ah ? Je vous écoute Charles.
Charles m’expliquait qu’il avait rencontré Marcel, tôt ce matin dans les vignes. Il lui avait parlé de ce problème de main d’œuvre. Marcel lui avait dit qu’il trouverait une solution, mais qu’il devait préalablement en parler à Monsieur le Marquis d’Evans.
- Quatre de ses gars pourraient venir vendanger chez nous, Monsieur Alexandre, mais si Monsieur le Marquis donne Son accord, alors il faudra les nourrir et les loger.
- Les loger ?
- Oui, on pourrait les installer au-dessus du cuvage, dans ce dortoir qui nous servait par le passé, vous vous rappelez Monsieur Alexandre ?
- Oui je me souviens, mais ce lieu doit-être dans un piteux état, il y a bien longtemps qu’il n’a pas servi.
- Louise ira faire le ménage, et je m’occuperai à remettre en place les sanitaires.
- Bien !, répondis-je un peu perplexe…- D’après Marcel, ce sont des gars robustes et peu regardants, il m’a d’ailleurs dit que vous les avez croisés l’autre jour dans les vignes, vous vous rappelez d’eux ?
Je déglutissais bruyamment… Oh combien je m’en rappelais ! Je me souvenais parfaitement oui, peut-être plus de leurs grosses bites que de leurs visages… Comment oublier ce « gang-bang » bestial et en pleine nature, au milieu des rangs de vignes, où chacun leur tour, l’un après l’autre, ou l’un avec l’autre, ils m’avaient ravagé bouche et cul sans modération. Soudainement troublé, je regardais Charles droit dans les yeux, sans plus un mot… Je m’inquiétais de savoir si ce rustre Marcel avait tout dit, s’il avait annoncé à ce brave Charles ce qui s’était réellement passé dans les vignes. Avec cet homme lourdaud, grossier, brute, je craignais le pire.
- Cette solution ne vous convient pas Monsieur Alexandre ?
- Si Charles, elle me parait tout à fait bien.
Sans le savoir Charles me mettait dans les griffes de ces sauvages pervers affamés de sexe. Je comprenais mieux pourquoi, ils souhaitaient être logés ici… pour mieux m’utiliser, me baiser à leur convenance, le soir, après leur boulot… Je tremblais encore, me demandant s’ils sauraient se tenir pendant les heures de travail passées dans les vignes.
- En retour, j’ai proposé mes services à Marcel, une fois que nous aurions fini de vendanger à la Bastide, pour aller travailler au Château de Monsieur le Marquis… Vous savez ce qu’il m’a répondu, ce balourd ?
- Non pas encore Charles !
- ‘T’es trop vieux Charles, tu ne nous serviras à rien…’… moi trop vieux… quel toupet… et en plus que je ne sers plus à rien… Il a rajouté en parlant de vous…
Charles restait sans voix quelques secondes, les yeux humides, il reprenait sa respiration lentement.
- Désolé Monsieur Alexandre, ces mots me font mal, même lorsqu’ils sortent de la bouche de cet ahuri et abruti, et je reste poli !
Charles était réellement blessé... Je me levais et m’avançais vers lui pour lui prendre une main dans la mienne.
- Désolé encore Monsieur Alexandre, il faut que je vous livre les mots de ce goujat de Marcel… Il m’a dit en parlant de vous… C’est le jeunot qu’on veut, lui nous sera utile, c’est à prendre ou à laisser, je te file quatre de mes gars, tu les loges, les nourris, et tu nous files ton petit blanc-bec, sitôt le travail fini chez toi !… Je ne suis pas fier de vous dire ça Monsieur Alexandre, vous qui êtes si bon avec moi…- Ne vous inquiétez pas Charles… Je ne suis même pas vexé ! J’irai travailler au Château d’Evans, ainsi on règle votre problème de main d’œuvre.
Charles relevait les yeux jusqu’ici posés sur ma main caressant les siennes.
- Je ne suis pas serein de vous envoyer au Château de Monsieur le Marquis d’Evans… Votre père y est parti un jour, il est revenu sept ans après…- Soyez sans crainte Charles, je n’attendrais pas sept années pour revenir près de vous.
Charles se relevait difficilement, il me regardait encore sans rien dire, comme s’il y avait parfois des silences qui étaient plus forts et plus éloquents que de longs discours, puis regagnait la porte d’entrée. Juste avant de partir, il s’adressait une dernière fois à moi :
- Tout ceci n’est pas encore fait, il faut que Monsieur le Marquis d’Evans donne Son accord !
Le vieil homme levait les yeux au ciel et cette fois-ci me quittait. Je le regardais partir d’un pas hésitant, le dos un peu arcbouté. Je ne me faisais guère d’illusion sur les intentions du Maître, évidemment qu’il donnerait Son accord, mais ça… Charles ne le savait point encore !... Peu après, je me mettais à table pour dîner sommairement. Je n’avais guère faim ce soir-là car je m’inquiétais de ma première journée de travail avec ce Martial Montambert. Outre cette sodomie promise, qu’allait-il me faire subir d’autre ? « Arrête de te poser des questions Alex, suis l’exemple d’esclav’antoine ! » pensais-je en grimpant les marches me conduisant à l’étage.
Que se passait-il dans ma tête ce soir-là… Jamais je n’étais entré dans cette chambre, dans leur chambre, depuis leur disparition brutale. Tout était comme si mes parents venaient de quitter cette pièce, comme s’ils allaient revenir d’un moment à l’autre. Sur le lit, le peignoir en soie de maman posé négligemment, sur sa coiffeuse, un stick de rouge à lèvres non rebouché, à coté un flacon de parfum Chanel N° 5, son unique parfum, que j’allais humer ! Que de souvenirs à cet instant… La montre de mon père était posée sur le marbre de la commode ancienne, ses pantoufles rangées soigneusement aux pieds de celle-ci. Je poussais la porte de leur salle de bain, et ouvrait machinalement un premier tiroir du meuble sous le lavabo. Il y avait là, le rasoir de papa, la brosse à cheveux de maman avec quelques cheveux blonds accrochés dans celle-ci. Au second tiroir, je souriais… là bien rangé, un godemichet, deux colliers en cuir épais portant les Armoiries du Noble et une cage de chasteté… « Les coquins !... mais après tout pas si coquins que ça, car je ne pourrais jamais leur reprocher d’avoir vécu leur propre Nature servile », pensais-je tout haut. Je sursautais soudainement de peur lorsque mon téléphone se mit à sonner, comme si j’étais en train d’enfreindre ou de transgresser l’intimité de feu mes parents…
- Je vous présente mes respects, Maître- Bonsoir salope, demain matin à 6 heures, tu m’attendras devant les grilles du Château.
- A Vos Exigences, Maître.
- Tu me conduiras à l’entreprise Kinet Export, sur ce, bonne nuit, Ma putain !
Le Châtelain avait déjà raccroché. Je regagnais ma chambre, prenais une douche, me couchais... Au petit matin, lorsque le réveil sonna, il m’était bien difficile de dire si j’avais bien dormi ou pas… Je pris mon petit-déjeuner en vitesse, me lavais une nouvelle fois, m’habillais et partais. Sur la route me conduisant au Château, j’avais ce ressenti me rappelant mes rentrées scolaires, avec cette sensation physique désagréable, stressé avec la boule au ventre... Pendant plus d’un quart d’heure, devant la lourde grille du Château, j’attendais Monsieur le Marquis. Lorsqu’il m’apparut, je me précipitais pour lui ouvrir la portière et me prosterner ensuite.
- Aller zou, lève toi Mon chien !, on file ! Je t’autorise juste à embrasser rapidement le bout de Ma chaussure et en route !
Je ne me fis pas prier pour envoyer un sincère baiser sur le cuir de sa chaussure brillante et parfaitement bien cirée… Durant tout le trajet, le Noble, élégamment vêtu d’un magnifique costume gris anthracite, d’une parfaite chemise blanche, d’une cravate bordeaux nouée impeccablement, ne m’adressa pas la parole. A voir Son costume, il m’aurait fallu des mois et des mois de travail pour me l’offrir !… Lorsqu’on arriva dans les bureaux de l’Entreprise, il m’ordonnait de rester dans un coin et d’attendre sagement et tranquillement, alors que Lui montait les escaliers en colimaçon. De là où j’étais, il m’était possible de voir le bureau dans lequel j’avais passé mon entretien, la veille. Celui-ci était éclairé, porte fermée. Lorsque le Maître y entrait, une voix connue, celle de Martial Montambert résonnait.
- Donne-toi salope, mieux que ça !, entendis-je subitement
Des cris s’en suivaient… Peut-être sciemment, Monsieur le Marquis, après être entré, avait laissé cette porte entrouverte. J’entendais le claquement d’un fouet puis encore les cris d’une femme… Était-ce la secrétaire qui se faisait flageller ? J’entendais encore :
- Cette garce de salope ne progresse pas suffisamment vite, il va falloir que je Vous l’envoie une nouvelle fois en stage, Monsieur le Marquis.
- Avec grand plaisir !, rétorquait le Châtelain.
Autre claquement de fouet, autre cri… encore un …, autre jérémiade !
- Tends ton cul, chienne, offre-le à cette lanière !, exigeait le Maître.
Monsieur le Marquis avait pris les commandes alors que Martial Montambert sortait du bureau, dévalait les escaliers à toute allure. A grandes enjambées, il s’approchait de moi. A ma hauteur, sans un mot, il attrapait ma chevelure et m’entrainait ainsi courbé, plié en deux, jusqu’à son bureau, me faisant monter les escaliers quatre à quatre. Toujours tenu de cette manière, dans la même posture, il m’ordonnait :
- Fous-toi à poil, salope, dépêche-toi !
Il me fallait être un peu acrobate pour me dévêtir ainsi, penché en avant, mon nez à quelques centimètres de la braguette de ce pervers Dominant… Je me débattais avec les lacets de mes chaussures, parvenait à les ôter, non sans mal ainsi que mes chaussettes, alors que j’étais malmené, maintenu fermement par ma tignasse.
- Sens ma bite, hume-la, respire-la, tu la veux ma bite, répond le chien !
- Oui Monsieur, j’espère votre bite !
- Tu la souhaites où ?, dis-moi, la pute.
- Dans ma bouche et dans mon cul, Monsieur, répondis-je en quittant enfin mon jean et mon slip !
- Et en plus gourmand ! Dans ta bouche et dans ton cul, tu n’es vraiment qu’une sale petite pute !
J’étais nu… et à genoux devant une vulve se faisant doigter… La secrétaire était suspendue, attachée par les mains à des crochets fixés au plafond, ses pointes de pieds touchant à peine le sol, les cuisses maintenues largement écartées par une barre métallique allant d’une cheville à l’autre. Monsieur le Marquis visitait sa chatte, Ses doigts glissaient sur sa fente, écartaient les grandes et petites lèvres, Son majeur perquisitionnait et investissait cet orifice gluant.
- Elle est en chaleur cette chienne, elle mouille tant et plus !, constatait le Châtelain tout en la doigtant profondément et vivement, faisant aller et venir Ses longs doigts profondément et de vive allure…
Monsieur le Marquis me tendait ensuite Ses doigts, tout juste sortis de cette intimité trempée, j’ouvrais la bouche, comme par instinct, sans que j’en reçoive l’ordre, je les léchais, alors que Martial Montambert exigeait que je me mette à quatre pattes.
- Cambre ton cul, la pute !, m’ordonnait-il.
A cet instant, Monsieur le Marquis sortait Son sexe tendu à l’extrême de Son pantalon. Il me l’enfilait direct dans la bouche.
- Prépare-moi bien, petite putain !… Dépose ta salive sur ma queue, car je vais embrocher cette garce de salope sans aucune autre préparation. Regarde ! Sa chatte trempée ne demande qu’une seule chose, qu’on la prenne sans modération…
Alors que je suçais le Maître, je sentais un doigt lubrifier et pénétrer mon anus…
(A suivre…)
Chapitre 19 : Les soucis de Charles ! -
… celle de mes parents esclaves MDE !…
Difficile de voir partir Antoine sans le toucher, sans l’embrasser, sans même lui serrer la main pour lui dire au revoir. Je l’avais accompagné jusqu’à sa voiture et le regardais s’éloigner tranquillement sur ce chemin poussiéreux. Juste avant le virage menant au portail, il sortait un bras de la portière de son véhicule pour me saluer une dernière fois. Je rentrais alors, avec un brin de tristesse mêlée de romantisme. Ce garçon était beau, athlétique, gentil, humble et honnête. Chose était sûre, j’éprouvais, peut-être pour la première fois, des sentiments amoureux, tout au moins une certaine affection et de la tendresse pour lui. Antoine était tendre, attirant, attachant, d’une grande authenticité et d’une sensibilité à mon égard que j’ai su capter. Pour prolonger un peu plus encore cet état chimérique et poétique dans lequel je me trouvais, je m’installais, allongé sur le divan, pour écouter les danses hongroises de Brahms. A cet instant précis, j’éprouvais une sensation de bien-être, avec l’esprit reposé. Sauf qu’ici, à la Bastide, ces temps étaient courts, beaucoup trop courts… Déjà, quelqu’un venait de frapper à ma porte.
- Bonsoir Monsieur Alexandre !
Charles était essoufflé, comme s’il venait de courir un marathon.
- Que vous arrive-t-il Charles, tenez, installez-vous dans un fauteuil, vous me semblez à bout de souffle…- C’est le cœur, Monsieur Alexandre… mon palpitant n’est plus tout jeune ! Dès que je suis énervé ou angoissé, il me joue des tours.
- Il faudrait voir un cardiologue, Charles.
- J’y pense et puis j’oublie, comme dit la chanson… - Ce n’est pas raisonnable Charles, vous devez consulter !
- Oui, je le ferai… mais pour l’heure, j’ai d’autres soucis en tête, on commence dans dix jours.
- Vous commencez quoi, Charles ?
- Vous, Monsieur Alexandre, si je peux me permettre, vous n’êtes pas dans votre assiette ! On commence la vendange, pardi !…
« Quel con tu es, mon pauvre Alex ! » pensais-je. Charles avait raison, mon esprit était ailleurs, comme dans la brume ou dans la ouate. Il fallait me ressaisir rapidement :
- Dites-moi mon bon Charles, ça fait combien de temps que vous travaillez ici ?
- Trente-six ans, Monsieur Alexandre, pourquoi cette question ?
- Vous avez l’habitude et l’expérience, vous nous avez toujours fait du bon vin, alors pourquoi vous mettre dans un état pareil ?
- C’est que cette année, ce n’est pas pareil…. J’ai des soucis pour constituer mon équipe de vendangeurs !
- Mais vous avez votre équipe d’habitués…- Oui, sauf que quatre me font défaut cette année… et pas des moindres ! Les quatre polonais… et ben… Y viennent pas ! J’ai appris ça hier au soir… et depuis je stresse… et mon cœur bat la chamade.
- Allons, mon brave Charles, calmez-vous ! Faut pas stresser comme ça ! Nous allons bien trouver une solution !…- Heu … ben voilà,… peut-être que j’en ai une… mais j’ai besoin de votre accord, car cette solution vous implique !
- Ah ? Je vous écoute Charles.
Charles m’expliquait qu’il avait rencontré Marcel, tôt ce matin dans les vignes. Il lui avait parlé de ce problème de main d’œuvre. Marcel lui avait dit qu’il trouverait une solution, mais qu’il devait préalablement en parler à Monsieur le Marquis d’Evans.
- Quatre de ses gars pourraient venir vendanger chez nous, Monsieur Alexandre, mais si Monsieur le Marquis donne Son accord, alors il faudra les nourrir et les loger.
- Les loger ?
- Oui, on pourrait les installer au-dessus du cuvage, dans ce dortoir qui nous servait par le passé, vous vous rappelez Monsieur Alexandre ?
- Oui je me souviens, mais ce lieu doit-être dans un piteux état, il y a bien longtemps qu’il n’a pas servi.
- Louise ira faire le ménage, et je m’occuperai à remettre en place les sanitaires.
- Bien !, répondis-je un peu perplexe…- D’après Marcel, ce sont des gars robustes et peu regardants, il m’a d’ailleurs dit que vous les avez croisés l’autre jour dans les vignes, vous vous rappelez d’eux ?
Je déglutissais bruyamment… Oh combien je m’en rappelais ! Je me souvenais parfaitement oui, peut-être plus de leurs grosses bites que de leurs visages… Comment oublier ce « gang-bang » bestial et en pleine nature, au milieu des rangs de vignes, où chacun leur tour, l’un après l’autre, ou l’un avec l’autre, ils m’avaient ravagé bouche et cul sans modération. Soudainement troublé, je regardais Charles droit dans les yeux, sans plus un mot… Je m’inquiétais de savoir si ce rustre Marcel avait tout dit, s’il avait annoncé à ce brave Charles ce qui s’était réellement passé dans les vignes. Avec cet homme lourdaud, grossier, brute, je craignais le pire.
- Cette solution ne vous convient pas Monsieur Alexandre ?
- Si Charles, elle me parait tout à fait bien.
Sans le savoir Charles me mettait dans les griffes de ces sauvages pervers affamés de sexe. Je comprenais mieux pourquoi, ils souhaitaient être logés ici… pour mieux m’utiliser, me baiser à leur convenance, le soir, après leur boulot… Je tremblais encore, me demandant s’ils sauraient se tenir pendant les heures de travail passées dans les vignes.
- En retour, j’ai proposé mes services à Marcel, une fois que nous aurions fini de vendanger à la Bastide, pour aller travailler au Château de Monsieur le Marquis… Vous savez ce qu’il m’a répondu, ce balourd ?
- Non pas encore Charles !
- ‘T’es trop vieux Charles, tu ne nous serviras à rien…’… moi trop vieux… quel toupet… et en plus que je ne sers plus à rien… Il a rajouté en parlant de vous…
Charles restait sans voix quelques secondes, les yeux humides, il reprenait sa respiration lentement.
- Désolé Monsieur Alexandre, ces mots me font mal, même lorsqu’ils sortent de la bouche de cet ahuri et abruti, et je reste poli !
Charles était réellement blessé... Je me levais et m’avançais vers lui pour lui prendre une main dans la mienne.
- Désolé encore Monsieur Alexandre, il faut que je vous livre les mots de ce goujat de Marcel… Il m’a dit en parlant de vous… C’est le jeunot qu’on veut, lui nous sera utile, c’est à prendre ou à laisser, je te file quatre de mes gars, tu les loges, les nourris, et tu nous files ton petit blanc-bec, sitôt le travail fini chez toi !… Je ne suis pas fier de vous dire ça Monsieur Alexandre, vous qui êtes si bon avec moi…- Ne vous inquiétez pas Charles… Je ne suis même pas vexé ! J’irai travailler au Château d’Evans, ainsi on règle votre problème de main d’œuvre.
Charles relevait les yeux jusqu’ici posés sur ma main caressant les siennes.
- Je ne suis pas serein de vous envoyer au Château de Monsieur le Marquis d’Evans… Votre père y est parti un jour, il est revenu sept ans après…- Soyez sans crainte Charles, je n’attendrais pas sept années pour revenir près de vous.
Charles se relevait difficilement, il me regardait encore sans rien dire, comme s’il y avait parfois des silences qui étaient plus forts et plus éloquents que de longs discours, puis regagnait la porte d’entrée. Juste avant de partir, il s’adressait une dernière fois à moi :
- Tout ceci n’est pas encore fait, il faut que Monsieur le Marquis d’Evans donne Son accord !
Le vieil homme levait les yeux au ciel et cette fois-ci me quittait. Je le regardais partir d’un pas hésitant, le dos un peu arcbouté. Je ne me faisais guère d’illusion sur les intentions du Maître, évidemment qu’il donnerait Son accord, mais ça… Charles ne le savait point encore !... Peu après, je me mettais à table pour dîner sommairement. Je n’avais guère faim ce soir-là car je m’inquiétais de ma première journée de travail avec ce Martial Montambert. Outre cette sodomie promise, qu’allait-il me faire subir d’autre ? « Arrête de te poser des questions Alex, suis l’exemple d’esclav’antoine ! » pensais-je en grimpant les marches me conduisant à l’étage.
Que se passait-il dans ma tête ce soir-là… Jamais je n’étais entré dans cette chambre, dans leur chambre, depuis leur disparition brutale. Tout était comme si mes parents venaient de quitter cette pièce, comme s’ils allaient revenir d’un moment à l’autre. Sur le lit, le peignoir en soie de maman posé négligemment, sur sa coiffeuse, un stick de rouge à lèvres non rebouché, à coté un flacon de parfum Chanel N° 5, son unique parfum, que j’allais humer ! Que de souvenirs à cet instant… La montre de mon père était posée sur le marbre de la commode ancienne, ses pantoufles rangées soigneusement aux pieds de celle-ci. Je poussais la porte de leur salle de bain, et ouvrait machinalement un premier tiroir du meuble sous le lavabo. Il y avait là, le rasoir de papa, la brosse à cheveux de maman avec quelques cheveux blonds accrochés dans celle-ci. Au second tiroir, je souriais… là bien rangé, un godemichet, deux colliers en cuir épais portant les Armoiries du Noble et une cage de chasteté… « Les coquins !... mais après tout pas si coquins que ça, car je ne pourrais jamais leur reprocher d’avoir vécu leur propre Nature servile », pensais-je tout haut. Je sursautais soudainement de peur lorsque mon téléphone se mit à sonner, comme si j’étais en train d’enfreindre ou de transgresser l’intimité de feu mes parents…
- Je vous présente mes respects, Maître- Bonsoir salope, demain matin à 6 heures, tu m’attendras devant les grilles du Château.
- A Vos Exigences, Maître.
- Tu me conduiras à l’entreprise Kinet Export, sur ce, bonne nuit, Ma putain !
Le Châtelain avait déjà raccroché. Je regagnais ma chambre, prenais une douche, me couchais... Au petit matin, lorsque le réveil sonna, il m’était bien difficile de dire si j’avais bien dormi ou pas… Je pris mon petit-déjeuner en vitesse, me lavais une nouvelle fois, m’habillais et partais. Sur la route me conduisant au Château, j’avais ce ressenti me rappelant mes rentrées scolaires, avec cette sensation physique désagréable, stressé avec la boule au ventre... Pendant plus d’un quart d’heure, devant la lourde grille du Château, j’attendais Monsieur le Marquis. Lorsqu’il m’apparut, je me précipitais pour lui ouvrir la portière et me prosterner ensuite.
- Aller zou, lève toi Mon chien !, on file ! Je t’autorise juste à embrasser rapidement le bout de Ma chaussure et en route !
Je ne me fis pas prier pour envoyer un sincère baiser sur le cuir de sa chaussure brillante et parfaitement bien cirée… Durant tout le trajet, le Noble, élégamment vêtu d’un magnifique costume gris anthracite, d’une parfaite chemise blanche, d’une cravate bordeaux nouée impeccablement, ne m’adressa pas la parole. A voir Son costume, il m’aurait fallu des mois et des mois de travail pour me l’offrir !… Lorsqu’on arriva dans les bureaux de l’Entreprise, il m’ordonnait de rester dans un coin et d’attendre sagement et tranquillement, alors que Lui montait les escaliers en colimaçon. De là où j’étais, il m’était possible de voir le bureau dans lequel j’avais passé mon entretien, la veille. Celui-ci était éclairé, porte fermée. Lorsque le Maître y entrait, une voix connue, celle de Martial Montambert résonnait.
- Donne-toi salope, mieux que ça !, entendis-je subitement
Des cris s’en suivaient… Peut-être sciemment, Monsieur le Marquis, après être entré, avait laissé cette porte entrouverte. J’entendais le claquement d’un fouet puis encore les cris d’une femme… Était-ce la secrétaire qui se faisait flageller ? J’entendais encore :
- Cette garce de salope ne progresse pas suffisamment vite, il va falloir que je Vous l’envoie une nouvelle fois en stage, Monsieur le Marquis.
- Avec grand plaisir !, rétorquait le Châtelain.
Autre claquement de fouet, autre cri… encore un …, autre jérémiade !
- Tends ton cul, chienne, offre-le à cette lanière !, exigeait le Maître.
Monsieur le Marquis avait pris les commandes alors que Martial Montambert sortait du bureau, dévalait les escaliers à toute allure. A grandes enjambées, il s’approchait de moi. A ma hauteur, sans un mot, il attrapait ma chevelure et m’entrainait ainsi courbé, plié en deux, jusqu’à son bureau, me faisant monter les escaliers quatre à quatre. Toujours tenu de cette manière, dans la même posture, il m’ordonnait :
- Fous-toi à poil, salope, dépêche-toi !
Il me fallait être un peu acrobate pour me dévêtir ainsi, penché en avant, mon nez à quelques centimètres de la braguette de ce pervers Dominant… Je me débattais avec les lacets de mes chaussures, parvenait à les ôter, non sans mal ainsi que mes chaussettes, alors que j’étais malmené, maintenu fermement par ma tignasse.
- Sens ma bite, hume-la, respire-la, tu la veux ma bite, répond le chien !
- Oui Monsieur, j’espère votre bite !
- Tu la souhaites où ?, dis-moi, la pute.
- Dans ma bouche et dans mon cul, Monsieur, répondis-je en quittant enfin mon jean et mon slip !
- Et en plus gourmand ! Dans ta bouche et dans ton cul, tu n’es vraiment qu’une sale petite pute !
J’étais nu… et à genoux devant une vulve se faisant doigter… La secrétaire était suspendue, attachée par les mains à des crochets fixés au plafond, ses pointes de pieds touchant à peine le sol, les cuisses maintenues largement écartées par une barre métallique allant d’une cheville à l’autre. Monsieur le Marquis visitait sa chatte, Ses doigts glissaient sur sa fente, écartaient les grandes et petites lèvres, Son majeur perquisitionnait et investissait cet orifice gluant.
- Elle est en chaleur cette chienne, elle mouille tant et plus !, constatait le Châtelain tout en la doigtant profondément et vivement, faisant aller et venir Ses longs doigts profondément et de vive allure…
Monsieur le Marquis me tendait ensuite Ses doigts, tout juste sortis de cette intimité trempée, j’ouvrais la bouche, comme par instinct, sans que j’en reçoive l’ordre, je les léchais, alors que Martial Montambert exigeait que je me mette à quatre pattes.
- Cambre ton cul, la pute !, m’ordonnait-il.
A cet instant, Monsieur le Marquis sortait Son sexe tendu à l’extrême de Son pantalon. Il me l’enfilait direct dans la bouche.
- Prépare-moi bien, petite putain !… Dépose ta salive sur ma queue, car je vais embrocher cette garce de salope sans aucune autre préparation. Regarde ! Sa chatte trempée ne demande qu’une seule chose, qu’on la prenne sans modération…
Alors que je suçais le Maître, je sentais un doigt lubrifier et pénétrer mon anus…
(A suivre…)
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