La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1566)

- Par l'auteur HDS MAITREDOMINO -
Auteur homme.
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Récit libertin : La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1566) Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1566)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1565) -

Chapitre 26 (bis) : Ce couple diaboliquement pervers ! -

Le volumineux gode allait et venait en moi… d’abord lentement, mais lorsque ce pervers de Marc appuyait sur une petite télécommande, les mouvements augmentaient sensiblement allant à la verticale, de haut en bas, de bas en haut et ainsi de suite...

- Tu vois chérie, ainsi nous ne perdons pas de temps, grâce à mon système, on lui fait le cul tout en le nourrissant.
- Tu es trop fort, mon Marc… Heureusement que je t’ai !, reprenait cette vulgaire nurse en éclatant de rire.

Maintenant je mangeais, certes à contre cœur, mais je mangeais. « Plus vite tu auras fini, plus vite tu seras débarrassé de ce gode perforateur », pensais-je… Mais ces deux pervers continuaient à m’humilier :

- Dès lors qu’on lui nourrit le cul à cette putain, tout s’arrange !
- Il adore ça… se faire remplir… c’est sa raison d’être, c’est sa raison d’exister…
- Tout comme ses parents !
- Regarde-le… Tu as vu comme il se pâme, il tremble de tout son corps…
- Je suis sûr que si on lui enlevait sa cage, il banderait comme un porc
- Chiche ! Testons pour voir !

Effectivement, ils avaient tous deux raisons ! Aussitôt ma queue libérée, elle se redressait d’un seul coup, s’érigeait instantanément. Je mouillais abondamment du gland

- Regarde-moi cette salope, ça bite ruisselle, une vraie chiennasse !, affirmait Marc.

Ce pervers homme manipulait encore la télécommande, et là je ressentais de longs va-et-vient lents et invasifs me pénétrer, j’étais au bord de la jouissance, craignais qu’une longue et forte éjaculation se produise tant cette pénétration m’était agréable. Des petites rotations de l’objet sur ma prostate me faisait trembler de tout mon corps, je frissonnais, sentais le feu en moi m’envahir, je me sentais partir… « A ce rythme-là, tu ne vas pas pouvoir tenir bien longtemps », pensais-je… Je geignais, soupirais, respirais, gémissais. Puis les va-et-vient s’accentuaient grandement, à une vitesse inouïe.

- Haaaaaa ! Je…. Je vais… je vais joui….jouir… Haaaaaa …

Trop tard… Je jouissais violemment et expulsant mon sperme par plusieurs spasmes successifs, un moment d’extase fulgurant et foudroyant, alors que cette machine à baiser continuait à aller et venir entre mes reins dans une cadence folles et régulière, comme un métronome qui s’affolerait et qu’on ne pourrait pas stopper. Quelques secondes après, juste après avoir retrouvé mes esprits je me disais. « Tu vas dérouiller mon pauvre Alex, tu as joui sans autorisation… » Evidemment, je prenais quelques paires de gifles, mais pas aussi fortes et violentes qu’elles auraient pu être…

- Tu vois ce que c’est que de jouir du cul, espèce de putain que tu es !, me lançait la nurse perverse

Je voyais très bien, c’était une première fois pour moi que de jouir ainsi, sans me caresser, ni me branler, juste en me faisant ramoner et défoncer le cul par une bite factice toujours plantée et bien arrimée entre mes reins ! Les mouvements des va-et-vient ralentissaient très vite et étaient de plus en plus lents jusqu’à finalement s’arrêter. Le bout de ce gode, restait enfoncé de quelques centimètres dans mon antre, dilatant et obligeant mon anneau à rester distendu et écarté.

- Nous allons t’apprendre à délester tes couilles de leur jus sans que tu éprouves le besoin de bander… La prochaine fois, tu garderas ta cage sur ta nouille, espèce de cochon…

Du bout de son index, cette satanée femme cueillait mon foutre retombé sur la tablette de la chaise et me portait ce doigt en bouche en me disant :

- Avale des souillures, gros bâtard que tu es, regarde, tu en as foutu de partout, y compris sur ton bavoir. Tu n’es qu’un vrai porc !

Le bavoir en éponge m’était retiré, mais cette garce le frottait contre mes joues et mon front pour l’essuyer, puis disparaissait en compagnie de son conjoint, me laissant là, dans un piteux état, totalement défait, toujours assis sur ce gode.

Peut-être une demi-heure plus tard, Monsieur et Madame ‘Pervers’, habillés cette fois-ci, se décidaient enfin à me libérer. J’étais détaché et conduit à la salle de bain. J’espérais pouvoir prendre une bonne douche, pour effacer toutes ces odeurs de pisse et de foutre, mais aussi pour me brosser les dents pour, car j’avais encore ce gout de bouillie infâme qui persistait en bouche, me donnant l’impression que je puais de la gueule. Encore une fois, j’avais tout faux ! Ces deux sinistres dépravés, après m’avoir reposé cette minuscule cage de chasteté, me faisait allonger sur une planche posée sur les rebords de la baignoire.

- Tu n’as vraiment pas de chance mon pauvre bébé esclave, me disait cette grosse mégère tout en souriant avec une perversité affichée.

Je ne voyais absolument pas où elle voulait en venir. Elle haussait les épaules en regardant son mari et reprenait la parole.

- Tu as une solution Marc…
- Ben non !

Qu’est-ce que ces deux sadiques manigançaient ?

- La solution serait de lui remettre celle d’hier au soir, on ne peut pas le laisser sans !, reprenait Marc

Je ne comprenais rien de cet échange.

- Oui tu as raison, tu l’as mis où ?
- A la poubelle… Je vais la rechercher, mais elle est sale !...
- Merci chéri… Sale ? Ce n’est pas grave ça ! Tu vas voir, elle va être nettoyée !, concluait la vulgaire nurse avec un gros clin d’œil complice à Marc

Peu après Marc revenait en tenant la couche-culotte sale et souillée que j’avais porté la nuit dernière.

- Nous n’avons plus de couches culottes propres, mon pauvre bébé esclave, nous sommes donc dans l’obligation de te remettre celle-ci… Mais ne t’inquiète pas mon petit chéri, nous devons aller faire des courses, nous t’en achèterons.
- En attendant, tu vas lécher cette couche ! Après tout, ce ne sont que tes propres souillures, alors nettoie bien avec ta langue, l’intérieur de cette couche, ainsi elle sera plus propre pour te la remettre !

Ils étaient odieux, simplement odieux. J’étais toujours allongé sur la planche posée sur les rebords de la baignoire et la nurse me plaquait contre mon visage cette couche grande ouverte, souillée et encore humide, imbibée de mes urines froides de la veille …

- Aller, lèche le petit chienchien, lèche bien et nettoie !, exigeait Marc

J’avais peine à respirer, la mauvaise odeur intoxiquait mes narines, Marc pinça mes tétons et me provoqua une douleur subite qui me fit hurler et ouvrir grand la bouche. La perverse mégère en profita pour plaquer encore mieux la couche au-dessus de ma cavité buccale

- Je vais soulever un tout petit peu la couche pour que tu puisses mieux sortir ta langue de chien. Et tu as intérêt à lécher, sinon mon Marc va être obligé de martyriser tes petits tétons de chiot ! Et il est spécialiste pour ça, tu peux me croire !

Sur ce propos, l’homme pervers me vrilla en même temps et entre ses doigts, mes deux tétons, ce qui me fit de nouveau hurler. Je n’avais d’autre choix que d’obéir, alors que je sentais ma verge se durcir dans sa cage et cela bien malgré moi. Je léchais cette humidité restée sur la couche souillée quasiment sous la torture car à chaque fois que je m’arrêtais deux secondes pour reprendre mon souffle, Marc en profitait pour maltraiter ma poitrine… L’odeur sur mon nez, le gout sur ma langue me donnait l’envie de vomir, mais je continuais tant bien que mal…

- Regarde, chéri, il a envie de bander !
- Oui visiblement, il aime ça !
- Serait-il masochiste ?
- Ah, que oui ! Y’a plus à douter !
- Aller, ça suffit, maintenant il faut qu’on parte. Remet-lui sa couche au cul et partons !

Un peu plus tard, la couche réinstallée me collait aux fesses sous ce short étroit et tout tâché. Je ne ressemblais à rien avec ce tee-shirt court et ces baskets éculées et pas du tout à ma pointure… Pire encore, en me regardant furtivement dans une glace, je constatais des traces de sperme séché sur mon visage.

- Allez viens bébé esclave, nous t’emmenons avec nous au supermarché ! …

(A suivre…)

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